ROME ET LA BIBLE

ABSOLUTION à CULTE

-------

A. Dieu seul peut absoudre. - Notes 22, 119 A, 474.

B. L'Écriture ne nous montre aucun homme exerçant le droit d'absoudre.- Voir Confession B.

C. Obscurités et contradictions à signaler dans ce que l'Église romaine enseigne là-dessus.56, 119 B.

Voir encore Lier et Délier, Indulgences, etc.

Abstinences.

A. Elles ruinent la spiritualité de l'Évangile. - 41, 282, 283, 285, 311, 393, 413, 447.

B. Elles faussent l'idée de la sanctification.- Voir Pratiques C et D.

Adoration.

A. Elle est due à Dieu seul. -7, 372, 486.

B.Le culte des saints, de la Vierge et des anges, arrive à peu près toujours à être une adoration. -238, 247, 278, 372.

Anges.

A. Nous ne leur devons aucun culte. -394, 434, 486.

B. Nous n'avons pas besoin d'eux. - Voir Saints D.

Apocryphes(Livres).

Ils n'ont été introduits dans la Bible que par décret du concile de Trente. - 407.

Argent.

A. Son rôle dans l'Église romaine. -25, 48, 66, 73, 222, 313, 396 A, 421, 458.

B. Erreurs, abus, etc. , résultant de ce rôle. - Voir Indulgences, Messes, Canonisation B, Lieux privilégiés, etc.

Assomption. - Voir Marie E.

Aumône.

On la représente à tort comme payant le ciel. - 327.

Autorité.

A. L'autorité de la vérité est dans la vérité elle-même, indépendamment de tout ordre humain. -96, 131, 167.

B. L'autorité suprême, dans une Église chrétienne, n'est et ne peut être que la Bible. - Voir Bible A.

C. La Bible ne mentionne jamais l'Autorité, dans le sens romain de ce mot. -49, 129, 224, 242, 254, 274 A, 293, 300 B, 319, 335, 353, 373, 374, 376, 388, 398, 400, 412, 424, 468, 470, 471, 472, 476, 480.

D. Aucun accord, parmi les théologiens romains, sur la question du siège de l'autorité dans l'Église. -188 B, 274 B.

E. L'existence d'une autorité enseignante irresponsable, souveraine, favorise et perpétue les altérations de la vérité. - 95, 170.

Baptême.

A. Sa vraie nature. - 464.

B. Aucune trace de l'idée que les enfants morts sans baptême soient exclus du salut. - 59.

Bible.

A. Son autorité suprême. - 20, 78, 83, 146, 169, 245, 432.

B. Elle ne parle pas d'une autorité visible et permanente, chargée de l'interpréter. - Voir Autorité C.

C. Elle est claire pour tous dans tout ce qu'il leur importe véritablement de savoir. - 36, 126, 147, 223, 426.

D. Elle reconnaît à tous le droit de la lire, et en fait un devoir à tous - 6 A, 116, 137, 159, 246, 255, 286, 332, 350, 382, 395, 399, 426.

E. Elle se proclame suffisante, et ne suppose nulle part qu'elle ait à être complétée par des traditions. - Voir Tradition.

F. Sa puissance.-437.

G. Aucun fondement au reproche qu'on nous fait de l'avoir falsifiée ou tronquée. - 6 B, 407.

H. Ce qu'est et ce que vaut la version romaine officielle.- Voir Vulgate.

Canonisation.

A. Fausseté du principe. - Voir Saints A.

B. Vénalité bizarreries. -222 B, 230.

Cardinaux.

A. Leurs droits n'ont pas même l'apparence d'être fondés sur un ordre divin. -325 C.

B. Conséquences de ce fait quant à la papauté et à la filiation papale. -325 D.

Carême. - Voir Abstinences.

Catholicisme. - Voir Ultramontanisme.

Cérémonies. Voir Culte B, Formalisme, Oeuvres D et B.

Célibat.

A.L'Ecriture ne le considère pas comme plus pur, en soi, que le mariage -310, 397, 430, 445.

B. Elle ne parle pas de l'imposer aux ministres de l'Église. -21, 309, 312, 411.

C. Elle ne mentionne nulle part le célibat par voeu et la vie monastique. -308, 409, 414, 418.- Voir encore Vie monastique.

Cène. - Voir Communion, Messe, Transsubstantiation.

Chapelet. - Voir Prière C et D.

Christianisme

A. Le christianisme est essentiellement spirituel. - 97, 149, 297, 338, 344, 360, 369, 386, 442, 489.

B. L'Écriture condamne tout précepte où ce caractère est méconnu.- Voir Pratiques, Macérations, etc.

C. L'Écriture condamne également tout oubli de ce caractère dans le culte.- Voir Culte, Formalisme, Images, Pèlerinages, etc.

Clefs(Pouvoir des). - Voir Lier et Délier et Excommunication.

Clergé.

A. Le clergé, n'est pas l'Église. - Voir Église G.

B. Le clergé ne doit pas former une caste dans l'Église. - Voir Célibat et Sacerdoce.

Commandements.,

A. L'Écriture ne reconnaît aucune autorité aux commandements d'hommes ajoutés à la loi de Dieu. - 40, 430.

B. Les commandements d'hommes, dans l'Église romaine, altèrent presque tous la spiritualité de l'Évangile.- Voir Abstinences, Pratiques, Formalisme, Images, etc.

Communion.

A. L'intention de Jésus-Christ a été que le vin, comme le pain, fut donné à tous. - 81, 323.

B. Les apôtres et les premiers chrétiens ne l'ont jamais entendu autrement.-318, 323. Pour les autres questions, voir Messe et Transsubstantiation.

Conciles.

A. L'infaillibilité ne leur a pas été promise. - 242.

B. Leurs hésitations, leurs embarras, etc., contredisent la notion d'infaillibilité. - 27.

C. Ils ont décrété ou approuvé - tout ce que nous attaquons par l'Écriture; un seul point renversé renverse leur infaillibilité.

D. L'Écriture ne donne pas aux évêques le droit de figurer seuls dans les conciles. -241 B.

Confession.

A. Jésus-Christ ne l'a pas instituée - 51, 52, 56, 196. - Voir Lier et Délier.

B. L'histoire évangélique et celle des apôtres ne la montrent pas en usage. -2 A, 3, 204, 251, 324, 417, 456, 474.

C. Ses dangers -119 C, 343.

Confirmation.

Aucune trace, dans l'Écriture et dans l'histoire des premiers temps, de ce que l'Église romaine désigne sous ce nom.- 377.

Controverse.

A. Sa légitimité - 9, 29, 167, 192, 291.

B. Dans quel esprit elle doit être faite. - 74, 295, 300 C.

Couvents. - Voir Vie monastique et Célibat.

Croix.

A. Aucune trace , dans le Nouveau Testament, d'aucune importance mise à conserver comme relique la croix de Jésus-Christ.195 A.

B. Aucune trace d'un culte rendu à la croix, à l'image de la croix. -344 B.

Culte.

A. L'Écriture ne connaît pas d'autre culte que le culte absolu, l'adoration, dont Dieu seul peut être l'objet. - Voir Adoration, Latrie et Dulie, Anges A, Saints.B, Marie N.

B. Le culte chrétien est essentiellement spirituel. - 155, 218, 252, 338, 386, 489.

C. Point de lieux privilégiés. - 55. 154, 218.

D. Point de formes qui risquent de remplacer la piété du coeur. - Voir Formalisme, Pratiques, etc.