AVENEMENT
Juin 1993 No 60
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Aider les ados
- Nous avons un garçon
de 16 ans et une fille de 14 ans qui nous accompagnent au culte le
dimanche.
Mais nous sentons qu'ils
sont soumis aux pressions extérieures: sorties en bande, désir de
liberté, flirts, etc...
Comment conserver une
attitude équilibrée pour ne pas les enfermer dans un cocon tout en les
protégeant des tentations dangereuses ?
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AVENEMENT
Janvier 1995 No 79
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Avoir 20 ans
- La génération montante
d'une société en crise
- "les systèmes
éducatifs sont des fabriques de chômeurs"
- ... rarement en temps
de paix, une génération de jeunes adultes n'aura accumulé autant de
handicaps.
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AVENEMENT
Janvier 1992 No 37
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Le corps et le
mariage
Dans la Bible il semble
que les gens se mariaient très jeunes.
Si notre puberté
survient à 13-14 ans, Dieu ne nous montre-t-il pas par là que nous
sommes alors mûrs pour le mariage et les relations physiques ?
Dans notre société le
mariage survient bien après que notre corps soit apte à l'expérience
physique ou sexuelle. les jeunes du monde ont réglé ce problème: ils
ont des relations sexuelles - hélas! - sans être mariés!
Pour les chrétiens la
meilleure solution ne serait-elle pas de se marier beaucoup plus tôt et
d'être ainsi en règle avec Dieu sans être obligés de se livrer à la
fornication ?
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AVENEMENT
Mai 1994 No 71
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Crise d'ados
Que d'incompréhensions
devant cette période de maturation. Les parents et l'adolescent restent
parfois frustrés, n'évoluant pas dans les mêmes schémas de réflexion.
Pourtant, quelques bases simples peuvent aider à éclairer, ou débloquer
des situations délicates.
- Bien les conduire à
l'âge adulte
- Ranger sa chambre...
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La Bonne Nouvelle
6/93 - 1/97
Edmond
ltty « La Voix Evangélique » Fort-de-France, Martinique.
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Le drame de la
jeunesse
Nous nous entretiendrons
pendant quelques instants du drame de la jeunesse, titre que les
spécialistes des distractions juvéniles trouveront excessif, puisqu'ils
prétendent que la jeunesse se porte très bien ! Elle s'ouvre à peine à
l'aurore souriante de la vie, elle s'épanouit à la source de toutes les
satisfactions auxquelles les jeunes peuvent aspirer!
Au risque de contrarier
les optimistes obnubilés, nous persisterons à dire que pour beaucoup de
jeunes les années normalement consacrées à la préparation d'un avenir
heureux, sont un temps de déformation systématique de leur conscience,
de leur sens moral, de la vie familiale et sociale.
On répète sans cesse que
la jeunesse est l'avenir des peuples, donc il faut la former dans ce
dessein avec sagesse, intelligence, prudence et compréhension. Les
anciens le savent bien, la jeunesse est l'âge difficile où l'on fait
l'apprentissage de la vie, ce qui exige discipline, effort de la
volonté et persévérance. Nous assistons au contraire à une libération
sans contrôle de tous les instincts qui devraient rester le plus
longtemps possible sous l'influence indispensable du sens moral. La
mentalité de ce monde, que la Bible appelle « perverse » (Actes 2 :
40), n'a aucun souci de l'avenir juste et heureux de la jeunesse. Cette
mentalité cherche à influencer les jeunes pour les mettre de son côté,
et rien n'est trop aberrant ni trop démentiel pour déformer l'état
d'esprit et les sentiments des jeunes. Une seule devise parcourt le
monde : «Tout est permis aujourd'hui », c'est le règne absolu de toutes
les libertés !
Les images d'obscénités
et d'immoralité que véhiculent les médias entrent dans tous les foyers
(qui les acceptent!) pour éveiller dés l'enfance les passions de la
sensualité la plus tyrannique. Les enfants sont élevés avec les images
de la sexualité et le seul remède que notre société d'éducateurs et de
conseillers médicaux peut leur proposer, c'est le préservatif!
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Promesses
1988 - 1 / No 83
Anne
KREIS
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LA DROGUE ET
LES ADOLESCENTS
Il y a longtemps qu'on
en parle, et le problème n'est toujours pas résolu ! Pourtant, on ne se
drogue pas aujourd'hui pour les mêmes raisons que dans les années
soixante. La drogue était alors utilisée avec l'espoir qu'elle
apporterait quelque chose de bon : la connaissance de soi, voire de
Dieu. Les hippies voulaient l'utiliser dans un but idéaliste et
pacifique.
Quelques années
suffirent pour faire tomber ces illusions. Les rêves et les débouchés
extraordinaires que les drogues hallucinogènes laissaient entrevoir
durant les "voyages" devenaient absurdes et sans aucun sens quand on y
réfléchissait la tête froide.
Mais on n'a pas laissé
tomber les drogues pour autant! On en a fait un porte-drapeau pour la
révolte et la contestation de l'ordre social. Plus tard encore, la
drogue est devenue un phénomène de mode : c'était "in" de l'essayer.
C'est à ce moment que les consommateurs étaient les plus jeunes; alors
qu'au départ on ne commençait guère avant 16 à 17 ans, au début des
années quatre-vingts, l'âge des premiers essais s'abaissa
progressivement jusqu'à atteindre les 12 à 13 ans ou même plus jeunes
(dans les grandes villes).
Actuellement, il semble
que l'âge des consommateurs augmente de nouveau un peu, alors qu'il est
moins à la mode de fumer et de se droguer. Il semble aussi qu'on essaie
moins par curiosité, ce qui serait une conséquence de la prévention
(cela fait plaisir!). On utilise moins le LSD, mais davantage la
cocaïne qu'on prend par snobisme.
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REALITE DE LA FOI DIGEST
4 / 1987
Félix
Bélisle
Texte intégral
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Education
sexuelle: Du sexe en toute sécurité
Vu la croissance
effrénée des maladies transmises sexuellement et particulièrement du
Sida, le danger et la peur de contracter de telles maladies, divers
organisme sociaux-éducatifs recommandent vivement des mesures de
sécurité sanitaires dont les médias font état de manière plus ou moins
officielle jusqu'à ce jour.
C'est particulièrement
dans les milieux scolaires, au niveau secondaire, que l'on s'efforce de
renseigner les adolescents sur tous les aspects de la sexualité et de
les prévenir des dangers possibles. On veut parfaire leur éducation.
Cependant cette éducation sexuelle se fait trop souvent au détriment
des valeurs morales chrétiennes.
En effet, la "moralité"
est considérée de plus en plus comme une affaire personnelle qui n'a
rien à voir avec la sexualité. Bien sûr, de bonnes notions de
psychologie font partie de cette éducation, mais sans plus. Et une
nouvelle moralité a vu le jour, la voici: toute relation sexuelle
pré-maritale est "correcte" pourvu qu'elle ne propage pas une maladie
vénérienne ou ne conduise à une grossesse. On veut éviter le pire et on
s'efforce de mettre à la disposition des jeunes toutes les garanties
possibles: moyens contraceptifs, voir avortement dans certains cas. On
prend pour acquis qu'il est normal et acceptable qu'un adolescent ou
une adolescente ait des relations sexuelles avant le mariage.
Dans les sept années qui
ont suivi l'adoption de l'éducation sexuelle obligatoire au Danemark en
1970, les agressions et viols ont augmenté de 300%. les maladies
vénériennes, elles, ont augmenté de 200% chez les plus de 20 ans, de
250% chez ceux de 16 à 25 ans et de 400% chez les moins de 15 ans.
La Suède a introduit
l'éducation sexuelle obligatoire en 1954 déjà. Aujourd'hui elle détient
le plus haut taux des maladies vénériennes en Europe, et un groupe de
médecins a présenté au roi une pétition demandant l'abolition de ce
système éducatif, car ils le considèrent comme nuisible à la vie
familiale et à la stabilité morale des jeunes.
Le point de vue chrétien
quant à la sexualité se fonde sur la Bible qui démontre clairement que
toute relation sexuelle est réservée au mariage. En dehors de ce cadre
divinement tracé, c'est de la débauche, et le corps n'est pas destiné à
cela, il est pour le Seigneur qui doit être glorifié par l'usage qu'on
en fait (Romains 12:1; 1 Corinthiens 6:13-18; 10:33).
Il n'y a pas non plus
dans la Bible d'options sexuelles telle le lesbianisme,
l'homosexualité, la bisexualité, l'hétérosexualité. Le Créateur a
établi un ordre précis et une fonction spécifique pour chaque organe du
corps, et ce dans dans un cadre bien déterminé. Il ne nous appartient
pas d'en changer l'usage, c'est ce que nous rappelle l'apôtre Paul dans
Romains 1: 126-27 "Leurs femmes ont changé l'usage naturel en celui qui
est contre nature; de même les hommes, abandonnant l'usage naturel de
la femme, se sont enflammés dans leur désir les uns pour les autres,
commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant eux-mêmes
le salaire que méritait leur égarement".
La véritable liberté est
celle qui est soutenue par des valeurs morales saines. Voilà ce qui
devrait être aussi la pierre d'angle de toute éducation sexuelle.
Ce dont notre jeunesse a
besoin, c'est bien plus de connaître la Vérité qui affranchit et des
standards moraux plus élevés que d'avoir du sexe en toute sécurité.
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AVENEMENT
Juin 1994 No 72
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Loisirs et
moralité 1994
N'importe quelle
occasion est bonne pour les amis de mes enfants d'aller en discothèque
et de les y inviter.
Malgré leur refus je
sens bien qu'ils ont du mal à ne pas faire comme tout le monde et à se
sentir exclu du groupe.
Comment les convaincre
que c'est bon pour eux de ne pas y aller?
Les influences du monde
sont de plus en plus fortes pour détourner nos jeunes du droit chemin
et les entraîner dans des situations qu'ils ne sont pas capables
d'affronter ou de maîtriser. Outre le fait de connaître les amis de nos
enfants, nous, parents, devons rester vigilants et maintenir un
véritable dialogue, où d'une part sera exprimée la compréhension de
leur désir de ne pas se sentir exclus d'un groupe avec lequel ils
partagent des activités et d'autre part, de leur partager notre souci
de les préserver des dangers inhérents à certains lieux publics tels
que les dance-parties.
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Promesses
1989 - 1 / No 87
Jean-Marc
Berthoud
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Le mariage:
image de l'union du Christ et de son Eglise
Ainsi donc, que chacun
de vous aime sa femme comme lui-même; et que la femme respecte son
mari. (Eph 5.33)
Préambule
J'aimerais brièvement
méditer quelques éléments de l'exhortation qu'adresse l'apôtre Paul aux
couples chrétiens de tous les âges en écrivant aux fidèles d'Ephèse les
paroles sur le mariage que nous pouvons lire dans Eph 5.22-33.
Mais avant de me pencher
sur ce texte magnifique qui, si j'ose m'exprimer ainsi, donne de façon
solennelle ses titres de noblesse divine au saint état du mariage
chrétien dans lequel vous entrez aujourd'hui, j'aimerais situer ces
paroles dans le contexte de tout le cinquième chapitre de la lettre aux
Ephésiens. Nous verrons que l'enseignement de Paul n'est pas simplement
conditionné culturellement comme l'affirment si légèrement certains
qui, au nom de la foi chrétienne, souhaiteraient relativiser les normes
divinement établies du mariage que Paul nous rappelle ici.
Paul commence ce
chapitre en exhortant les fidèles, et parmi eux les couples mariés, à
devenir rien de moins que les imitateurs de Dieu, comme des enfants
bien-aimés (v. 1).
Il les appelle ensuite à
prendre exemple sur Christ lui-même, en faisant toujours plus de
progrès dans l'amour qu'ils se doivent les uns aux autres.
L'ordre divin
Inscrit dans la
création
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Promesses
1984 - 3 / No 71
Sermon
prêché lors d'un mariage en février 1984
par
M. George CRIPE, pasteur
Traduit
et adapté par J.P. SCHNEIDER
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Le mariage
institution surannée ?
COMME LE CHRIST A AIME
L'EGLISE
L'institution du mariage
subit aujourd'hui des attaques violentes, dues principalement à la
philosophie humaniste de l'hédonisme, qui place la recherche du plaisir
au-dessus de toute considération morale. Les romans, les films, les
productions de la télévision, et même les élucubrations de certains
meneurs religieux, contribuent à corrompre nos conceptions morales et
celles de nos enfants aguichés par ce miroitement de faux plaisirs
auquel ils sont exposés. Puisque tout ce qui donne de la satisfaction à
nos sens est bon par définition, les journaux et les études
sociologiques traitent l'amour libre, le divorce, l'adultère et même
les perversions sexuelles comme de simples "préférences", donc comme
des comportements parfaitement normaux.
Que notre culture
subisse le contrecoup de cet assaut sans précédent sur la pudeur et la
moralité sexuelle est déjà plus qu'alarmant. Mais que les chrétiens
commencent à suivre cette orientation vers l'immoralité est absolument
terrifiant. Des chrétiens tout à fait sincères vous diront qu'il est
salutaire de vivre en couple avant le mariage, pourvu qu'on s'aime. En
plus, disent-ils, on saura s'il y a compatibilité ou non - comme si le
mariage pouvait se comparer à l'achat d'une voiture d'occasion. Il
faut, disent-ils, se libérer du légalisme et de coutumes surannées.
En répétant ces slogans,
on oublie qu'on ne fait que les rabâcher car, en y réfléchissant
vraiment, on serait horrifié de découvrir de quelle source ils
proviennent.
Tôt ou tard, chacun doit
affronter un choix qui déterminera si sa vie sera comblée ou vide, s'il
sera libre ou enchaîné, et qui aura autorité sur lui. En fait, il n'y a
que deux possibilités : la vérité telle que la Bible nous la révèle, et
l'opinion des hommes ; la première procure la liberté, la deuxième
l'enlève.
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