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Jérusalem est la «
prunelle des yeux de Dieu » ! - rapporté par «Gérard
F.»
Je veux jubiler avec Dieu et avec les
250.000 Juifs (qui manifestent ces jours-ci) de
l'Israël d'aujourd'hui pour proclamer Jérusalem,
comme Capitale éternelle et indivisible
d'Israël, parce que Dieu l'a voulu ainsi.
« Voici, dit l'Eternel, je
lève ma main contre les nations, et elles seront la
proie de ceux qui leur étaient asservis ; Et vous
saurez que l'Eternel des armées m'a envoyé.
Pousse des cris de d'allégresse et
réjouis-toi, Fille de SION ! Car, voici, Je viens, et
J'habiterai au milieu de toi, dit l'Eternel. »
(Zacharie 2 :8-10)
Je veux jubiler avec Dieu et avec les
250.000 Juifs (qui manifestent ces jours-ci) de
l'Israël d'aujourd'hui pour proclamer Jérusalem,
comme Capitale éternelle et indivisible
d'Israël, parce que Dieu l'a voulu ainsi.
Jérusalem est «une couronne éclatante
dans la main de l'Eternel » (Esaïe 62), et nous ne
pouvons pas accepter que cette ville-joyau, dans laquelle
Melchisédech fut roi et sacrificateur d'El Elyon,
ville que David honora par la construction du Temple sous le
règne de son fils Salomon, et surtout ville où
le Messie vient bientôt s'établir pour mille
ans, ne soit à nouveau partagée et
souillée par des étrangers, qui ne souhaitent
qu'une chose : détruire la nation d'Israël.
Abraham et Abimélek
Le passage de Genèse 20 est
intéressant, pour illustrer ce sujet.
Il est question d'Abraham et de Sara
qui viennent s'installer dans le Neguev, et font « un
séjour » dans la ville de Guérar, dont
Abimélek est roi. Abraham, par crainte, fait passer
Sara pour sa soeur (ce qu'elle est en partie).
Là-dessus, le roi
Abimélek fait enlever Sara. Combien Sara devait
être belle, même âgée ! Dieu
perturbe alors la nuit du roi et le menace de mort s'il ne
libère pas Sara, qui, dit Dieu, « a un mari
». Stupeur du roi qui se justifie devant Dieu de sa
bonne foi, croyant que Sara n'était pas mariée
! Et Abimélek se confond en excuse devant Abraham,
lui rendant sa femme et le comblant par la suite de cadeaux
princiers.
Et Abraham pria Dieu pour
Abimélek - et toute sa maison - afin qu'il soit
guéri. « Car l'Eternel avait frappé de
stérilité toute la maison d'Abimélek,
à cause de Sara, femme d'Abraham. »
Je trouve ce passage remarquable et
prophétique, car il nous montre que Dieu est un Dieu
jaloux. Sara est l'image de Jérusalem, qui est
souvent comparée à une femme dans la Bible.
Dieu ne permet à quiconque de la toucher. Lui seul
peut la châtier (Jérusalem) et l'humilier comme
il l'a fait, et Jérémie en est témoin.
Le prophète dira : « Est-ce là cette
ville, qu'on appelait une beauté parfaite, la joie de
toute la terre É » (Lamentations 2 :15) et il suppliera
Dieu de sauver Jérusalem, prophétisant sa
prochaine restauration. C'est aussi notre rôle,
chrétiens, que de pleurer et de supplier : « Que
pleurent les sacrificateurs, serviteurs de l'Eternel et
qu'ils disent : Eternel, épargne ton peuple ! Ne
livre pas ton héritage à l'opprobre ! »
(Joël 2 :17)
Abraham - Israël - avait de la
crainte pour sa propre vie : « Je craignais qu'on me
tue à cause de ma femme ». Aujourd'hui,
Israël a peur. Qui d'entre nous n'aurait pas peur dans
la situation de ce minuscule pays, mis au ban des nations,
et menacé d'extermination par la plupart des 21
nations arabes environnantes ?É
Dieu semble injuste envers
Abimélek, mais Abimélek accepte
complètement le jugement de Dieu dans la situation,
même s'il se rebelle au début. Il plie
même le genou devant Abraham, à cause de ce
Dieu qui l'impressionne.
On ne touche pas à Sara, elle
est celle qui doit enfanter Isaac, l'élu de Dieu. De
la même façon, on ne touche pas à
l'intégrité de Jérusalem : c'est elle
qui doit accueillir le Roi des rois !
Isaac (Ytshak) signifie : « Il
rira ! ». Oui, Jérusalem - Sion - se
réjouira, dansera et rira, lorsque le salut lui sera
manifesté pleinement. Alléluia !
En Genèse 21 :9, il est
parlé du rire d'Ismaël, le fils de la servante
Agar. Ce rire est moqueur et méprisant. Pourtant,
Abraham n'est pas d'accord avec Sara de chasser alors Agar
et Ismaël, « à cause de son fils »
qu'il aimait. Mais Dieu lui-même confirmera la
décision de Sara et dira à Abraham : «
Accorde à Sara tout ce qu'elle te demande, car c'est
d'Isaac que sortira ta descendance, celle de la promesse
».
Et il affirmera aussi qu'il ferait
d'Ismaël une nation bénie. Ismaël n'a pas
à jalouser Isaac, encore moins à vouloir sa
mort. En effet Dieu l'a aussi béni, et un jour, les
nations arabes connaîtront le salut.
Pasteur Gérald Fruhinsholz -
Shalom Israël
PS : Je recommande la lecture de notre
Journal bimestriel ãSonnez la trompette" n°27, qui sort
ce mois-ci.
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à demander un exemplaire, il vous sera offert
gracieusement.
(Shalom Israël) ajouté le
9/01/2001
Trouvé
sur http://voxdei2.free.fr/infos Point Final - Informations
chrétiennes et eschatologiques au
quotidien.
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