La Bonne Nouvelle

04 / 2000
Gordon J. Keddie

 

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Question de fond

Le cri du prophète Amos

L'on regarde souvent le chrétien comme l'adepte irrationnel d'un mode de vie impossible, et sa foi comme une chose acquise ou non par nature. «Il est religieux», dit-on, comme s'il s'agissait d'un défaut congénital, de quelque syndrome mystique inné ou, surtout en cas de conversion spectaculaire, d'un virus qu'il aurait «attrapé»!

L'homme de la rue aujourd'hui (il s'agit d'un rationaliste post-darwinien) conçoit un grand fossé entre la foi et la raison. La méthode scientifique lui tient lieu de mesure du rationnel et du raisonnable. La science « prouve » les choses. En revanche, tout le reste se contente de deviner (de « croire») sur des bases invérifiables par une investigation scientifique.

La science, bien entendu, se limite aux phénomènes naturels: observables, accessibles et expérimentalement manipulables. Elle ne peut donc toucher au surnaturel, qui n'a aucun poids ni valeur pour une appréhension rationnelle de la réalité. Les limites légitimes de la science servent à définir la réalité, le raisonnable et le vrai.

En conséquence, l'homme moderne rejette Dieu et sa Parole car ils n'apportent rien à sa vie ou sa compréhension du monde. L'Écriture et la vie chrétienne n'expriment plus pour lui une vérité absolue et éternelle. Elles se contentent de manifester une évolution intellectuelle de l'homme et les expressions de son désir de sécurité dans un environnement souvent hostile.

Gordon J. Keddie Extrait de «Moi l'Éternel»

La Bonne Nouvelle No 4 / 2000

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La Bonne Nouvelle

01 / 2001
Texte intégral

 

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Semer la lumière!

« La lumière est semée pour le juste, et la joie pour ceux qui ont le coeur droit. » Psaume 97:11

La justice peut être coûteuse pour celui qui la poursuit en toute occurrence, mais à la longue elle finit par être rémunératrice, et rapporte un grand bénéfice. Une vie sainte est une semence. Beaucoup de semence est répandue, en apparence enterrée dans le sol, pour y être complètement perdue. Nous sommes dans l'erreur si nous attendons une récolte immédiate; mais l'erreur est naturelle, car il paraît impossible d'ensevelir la lumière. Cependant « la lumière est semée », dit le texte. Elle est là cachée; personne ne peut la voir, mais elle est semée. Un jour, soyons-en sûrs, elle se manifestera.

Nous avons la parfaite certitude que le Seigneur a préparé une moisson pour les semeurs qui répandent la lumière, moisson que chacun recueillera pour lui-même. Alors suivra pour lui l'allégresse: une gerbe de joie pour chaque semence de lumière. Car leur coeur était droit devant Dieu, lors même que les hommes n'avaient pas confiance en eux et les censuraient. Ils ont encore à attendre le précieux fruit de la terre; mais la lumière est semée et le Seigneur leur prépare une récolte de joie.

Courage, frères, semons sans précipitation, en possédant nos âmes par notre patience, et bientôt elles seront elles-mêmes en possession de la joie et de la lumière.

C.-H. Spurgeon

La Bonne Nouvelle No 1 / 2001

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La Bonne Nouvelle

01 / 2001

 

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Clarification à propos des « béatifications »

Le dimanche 3 septembre 2000 le pape Jean-Paul Il a « béatifié» les papes Pie IX (pape de 1846 à 1878) et Jean XXIII (pape de 1958 à 1963). En 23 années de pontificat Jean-Paul Il a ainsi «béatifié» 990 personnes défuntes.

Que veut dire béatifier?

Béatifier, c'est déclarer bienheureux. Selon le catholicisme romain le pape aurait le pouvoir de proclamer bienheureux des trépassés. La Bible, par contre, déclare heureux ou bienheureux (1) dès à présent - sans aucun cérémonial - ceux qui meurent dans le Seigneur (Apoc. 14:13). Et sont également déclarés bienheureux:

- ceux dont les iniquités sont pardonnées (Rom. 4:7-8),

- ceux qui écoutent la parole et qui la gardent (Luc 11 :28),

- ceux qui croient sans avoir vu (Jean 20:29),

- ceux qui ont un coeur pur (Mat. 5:8),

- ceux qui sont persécutés à cause de la justice (Mat. 5: 10),

- ceux qui sont outragés pour le nom de Christ (Il Pierre 4:14), - ceux qui ont tenu ferme (Jacq. 5: 11), etc. (2)

 

N'y a-t-il pas usurpation d'autorité ?

C'est donc Dieu seul qui rend bienheureux ses fidèles, ce qu'aucun mortel ne saurait faire à sa place, fût-il monarque ou pape!

La Bonne Nouvelle No 1 / 2001

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La Bonne Nouvelle

02 / 2001

Paul-André Dubois


 

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Le combat de l'Eglise pour la Vérité, par la vie, la parole et l'écrit

«Je t'écris ces choses, avec l'espérance d'aller bientôt vers toi, mais afin que tu saches, si je tarde, comment il faut se conduire dans la maison de Dieu, qui est l'Eglise du Dieu vivant, la colonne et l'appui de la vérité », 1 Ti. 3:14, 15.

Dans le monde profane, et même dans des milieux qui se réclament du christianisme, ceux qui veulent jeter la vérité par terre (cf. Da. 8:12) - les détracteurs de la Vérité Révélée - sont légion.

À la véritable «maison» ou famille née du Père, l'Eglise du Dieu vivant, revient au contraire l'honneur d'être «la colonne et l'appui de la vérité»: une communauté de disciples faisant corps avec elle. Et cela est dans la logique des choses, car l'Eglise est entièrement redevable envers la Vérité: que ce soit «la Vérité incarnée», Jésus-Christ, qui s'est livré lui-même pour elle», Ep. 5:25, ou, la «Vérité écrite», qui nous révèle la personne et l'oeuvre du Fils pour notre salut, oeuvre grandiose accomplie dans l'histoire. Dans nos esprits, ces deux éléments conjoints de la Vérité qui sauve doivent toujours rester étroitement unis. En rédigeant cet article, je ne les sépare jamais, même si je me réfère spécifiquement à la Vérité - ou Parole - écrite.

I.- La dette immense de l'Eglise envers la Vérité

- Première affirmation:...

La Bonne Nouvelle No 2 / 2001

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La Bonne Nouvelle

02 / 2001

 

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Pluralisme et choses secondaires

VIGI-SECTES, lancée officiellement en 1998, est une association européenne chrétienne de prévention et d'aide aux victimes des sectes. La publication « La route droite», de M. Christian Piette, est devenue le périodique de «VIGI-SECTES», dont le président est M. Gérard Dagon et les vice-présidents Christian Piette et Paul Ranc.

Ledit périodique contient d'intéressantes et d'utiles présentations de mouvements connus (par ex. les «Témoins de Jéhovah») et moins connus (par ex. « Les Pèlerins d'Arès»), avec de sérieuses mises en garde. (Voir «La route droite», no 26-27, octobre 1999-mars 2000). Dans ce dernier numéro se trouve aussi un exposé intitulé «Pluralisme dans l'Eglise de Christ?», dans lequel Christian Piette rejette la position soutenue dans un ouvrage de Pierre Le Fort, professeur retraité de Nouveau Testament à la Faculté protestante de Bruxelles.

Ce professeur traite de la question: «Porte ouverte ou examen d'entrée», laissant entendre que Jésus n'accueillait pas les pécheurs pour les convertir. Christian Piette dénonce très justement cet «accueil inconditionnel» en démontrant que, si nous devons évidemment témoigner l'amour de Christ aux inconvertis, ces derniers ne sauraient être considérés comme chrétiens et admis comme membres d'église avant d'être effectivement sauvés. Il est écrit: « Le Fils de l'homme est venu sauver ce qui était perdu » (Mat. 18: 11).

La Bonne Nouvelle No 2 / 2001

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Nouvelles d'Israël

02 / 1987
Wim malgo

 

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La preuve de la filialité divine de Jésus-Christ

Premièrement: Qu'il soit précisé d'avance: Nulle part, I'Ecriture ne prouve intellectuellement la filialité divine de Jésus-Christ. Il faut le croire. Jésus est le Christ, le Fils de Dieu. Dans sa première lettre, Jean dit au chapitre 2, 22:

«Qui est menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ? Celui-là est l'antichrist, qui nie le Père et le Fils». Puis au verset 23: «Quiconque nie le Fils n'a pas non plus le Père; celui qui confesse le Fils a aussi le Père».

Lors de son pèlerinage terrestre, Jésus n'a jamais tenté de prouver Sa filialité divine malgré les oeuvres et les nombreux miracles qu'Il accomplit. Il demandait que l'on crut en eux. Nous lisons en Jean 9, 35-38:

«Jésus apprit qu'ils l'avaient jeté dehors. Il le trouva et lui dit: Crois-tu au Fils de l'homme? Il répondit: Qui est-il, Seigneur, afin que je croie en lui? Tu l'as vu, lui dit Jésus, et celui qui te parle, c'est lui. Alors il dit: Je crois, Seigneur. Et il l'adora».

Deuxièmement: Par la résurrection de Jésus d'entre les morts, Dieu nous a donné une preuve tangible de la filialité divine de Christ:

«... déclaré Fils de Dieu avec puissance, selon l'Esprit de sainteté, par sa résurrection d'entre les morts» (Ro. 1,4).

Wim Malgo

Nouvelle d'Israël février 1987

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Nouvelles d'Israël

sept. / 1986
Wim malgo

 

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Israël entre l'Union Soviétique et l'Afrique du Sud à la lumière de la parole prophétique

Cette constellation - l'Union soviétique - Israël - l'Afrique du Sud - ainsi que la tension concernant ces pays, a une signification prophétique du point de vue géographique et historique du salut. Géographiquement, Israël se situe exactement au centre, entre l'Union soviétique au nord et l'Afrique du Sud. Ce fait est non seulement signalé sur la carte géographique, mais aussi dans la Bible où il est dit, dans Ezéchiel 5, 5: «Ainsi parle le SEIGNEUR, l'Eternel: C'est là cette Jérusalem que j'avais placée au milieu des nations et des pays d'alentour».

Avec sa ville de Jérusalem, Israël est non seulement situé exactement entre l'URSS et l'Afrique du Sud, mais il est aussi le centre du monde. C'est en Israël que se joue toute l'histoire du monde et du salut. On peut tourner et retourner le problème, le résultat reste le même: C'est en Israël que s'est accompli le plus extraordinaire miracle de tous les temps. Nous lisons dans 2 Corinthiens 5, 19: «Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses». C'est sur la colline de Golgotha que cela s'est passé. «C'est là qu'il fut crucifié, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu» (Jn. 19, 18). Etre crucifié entre les deux malfaiteurs signifiait une séparation. Il en est de même aujourd'hui, car il y a ceux qui disent «oui» au Seigneur et ceux qui disent «non». C'est à Golgotha que Dieu, par Jésus-Christ, sépara définitivement la lumière d'avec les ténèbres.

L'opinion internationale déroutée

Evénements entre le Nord et le Sud bouleversant le monde

«Des hommes violents . . . succomberont»

La confrontation massive s'accentue!

Ce qui arrivera bientôt

Terrible affrontement juste avant la révélation de l'antichrist

Très bientôt le nouveau temple sera reconstruit

Dangereux divulgateurs

Melody Green

Conséquences insoupçonnées

Wim Malgo

Nouvelles d'Israël septembre 1986

© Nouvelles d'Israël


Voxdei

11-01-2001
Texte intégral

 

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La bible positive est arrivée ! - rapporté par «Nicolas»

Cette Bible, réalisée par Kenneth Caine a été publiée en 1998 par les éditions Avon Books de New York. On peut raisonnablement penser que 75% des Ecritures y sont tronquées.

Pourtant, dans son introduction, l'auteur prétend y inclure "chaque verset qui régénère, encourage, aide, redonne espoir, inspire et construit la foi, de la Genèse à l'Apocalypse" ! Cela signifie évidemment que le reste de la Bible ne possède aucune de ces vertus. Quelle audace ! Qu'est-ce que l'homme pour affirmer que la sainte parole de Dieu n'est pas édifiante, puissante et inspirante en son entier ?

C'est cette philosophie " Rien que du positif " qui est au coeur du Néo-évangélisme. Le fait est que la vérité ne peut être continuellement positive. Les mauvaises nouvelles préparent l'annonce de la Bonne Nouvelle. Dieu est à la fois saint et aimant. Bien qu'il y ait de nombreuses choses négatives dans les Ecritures, l'homme a besoin de chaque mot qui s'y trouve. " Il est écrit : l'homme ne vivra pas de pain seulement mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. " (Matt 4 :4).

(Idéa) ajouté le 11/01/2001

Trouvé sur http://voxdei2.free.fr/infos Point Final - Informations chrétiennes et eschatologiques au quotidien.


Voxdei

9-01-2001
Texte intégral

 

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Jérusalem est la « prunelle des yeux de Dieu » ! - rapporté par «Gérard F.»

Je veux jubiler avec Dieu et avec les 250.000 Juifs (qui manifestent ces jours-ci) de l'Israël d'aujourd'hui pour proclamer Jérusalem, comme Capitale éternelle et indivisible d'Israël, parce que Dieu l'a voulu ainsi.

« Voici, dit l'Eternel, je lève ma main contre les nations, et elles seront la proie de ceux qui leur étaient asservis ; Et vous saurez que l'Eternel des armées m'a envoyé. Pousse des cris de d'allégresse et réjouis-toi, Fille de SION ! Car, voici, Je viens, et J'habiterai au milieu de toi, dit l'Eternel. » (Zacharie 2 :8-10)

Je veux jubiler avec Dieu et avec les 250.000 Juifs (qui manifestent ces jours-ci) de l'Israël d'aujourd'hui pour proclamer Jérusalem, comme Capitale éternelle et indivisible d'Israël, parce que Dieu l'a voulu ainsi. Jérusalem est «une couronne éclatante dans la main de l'Eternel » (Esaïe 62), et nous ne pouvons pas accepter que cette ville-joyau, dans laquelle Melchisédech fut roi et sacrificateur d'El Elyon, ville que David honora par la construction du Temple sous le règne de son fils Salomon, et surtout ville où le Messie vient bientôt s'établir pour mille ans, ne soit à nouveau partagée et souillée par des étrangers, qui ne souhaitent qu'une chose : détruire la nation d'Israël.

 

Abraham et Abimélek

Le passage de Genèse 20 est intéressant, pour illustrer ce sujet.

Il est question d'Abraham et de Sara qui viennent s'installer dans le Neguev, et font « un séjour » dans la ville de Guérar, dont Abimélek est roi. Abraham, par crainte, fait passer Sara pour sa soeur (ce qu'elle est en partie).

Là-dessus, le roi Abimélek fait enlever Sara. Combien Sara devait être belle, même âgée ! Dieu perturbe alors la nuit du roi et le menace de mort s'il ne libère pas Sara, qui, dit Dieu, « a un mari ». Stupeur du roi qui se justifie devant Dieu de sa bonne foi, croyant que Sara n'était pas mariée ! Et Abimélek se confond en excuse devant Abraham, lui rendant sa femme et le comblant par la suite de cadeaux princiers.

Et Abraham pria Dieu pour Abimélek - et toute sa maison - afin qu'il soit guéri. « Car l'Eternel avait frappé de stérilité toute la maison d'Abimélek, à cause de Sara, femme d'Abraham. »

Je trouve ce passage remarquable et prophétique, car il nous montre que Dieu est un Dieu jaloux. Sara est l'image de Jérusalem, qui est souvent comparée à une femme dans la Bible. Dieu ne permet à quiconque de la toucher. Lui seul peut la châtier (Jérusalem) et l'humilier comme il l'a fait, et Jérémie en est témoin. Le prophète dira : « Est-ce là cette ville, qu'on appelait une beauté parfaite, la joie de toute la terre É » (Lamentations 2 :15) et il suppliera Dieu de sauver Jérusalem, prophétisant sa prochaine restauration. C'est aussi notre rôle, chrétiens, que de pleurer et de supplier : « Que pleurent les sacrificateurs, serviteurs de l'Eternel et qu'ils disent : Eternel, épargne ton peuple ! Ne livre pas ton héritage à l'opprobre ! » (Joël 2 :17)

Abraham - Israël - avait de la crainte pour sa propre vie : « Je craignais qu'on me tue à cause de ma femme ». Aujourd'hui, Israël a peur. Qui d'entre nous n'aurait pas peur dans la situation de ce minuscule pays, mis au ban des nations, et menacé d'extermination par la plupart des 21 nations arabes environnantes ?É

Dieu semble injuste envers Abimélek, mais Abimélek accepte complètement le jugement de Dieu dans la situation, même s'il se rebelle au début. Il plie même le genou devant Abraham, à cause de ce Dieu qui l'impressionne.

On ne touche pas à Sara, elle est celle qui doit enfanter Isaac, l'élu de Dieu. De la même façon, on ne touche pas à l'intégrité de Jérusalem : c'est elle qui doit accueillir le Roi des rois !

Isaac (Ytshak) signifie : « Il rira ! ». Oui, Jérusalem - Sion - se réjouira, dansera et rira, lorsque le salut lui sera manifesté pleinement. Alléluia !

En Genèse 21 :9, il est parlé du rire d'Ismaël, le fils de la servante Agar. Ce rire est moqueur et méprisant. Pourtant, Abraham n'est pas d'accord avec Sara de chasser alors Agar et Ismaël, « à cause de son fils » qu'il aimait. Mais Dieu lui-même confirmera la décision de Sara et dira à Abraham : « Accorde à Sara tout ce qu'elle te demande, car c'est d'Isaac que sortira ta descendance, celle de la promesse ».

Et il affirmera aussi qu'il ferait d'Ismaël une nation bénie. Ismaël n'a pas à jalouser Isaac, encore moins à vouloir sa mort. En effet Dieu l'a aussi béni, et un jour, les nations arabes connaîtront le salut.

 

Pasteur Gérald Fruhinsholz - Shalom Israël

PS : Je recommande la lecture de notre Journal bimestriel ãSonnez la trompette" n°27, qui sort ce mois-ci.

Chacun peut s'y abonner et être ainsi membre de Shalom Israël. N'hésitez pas à demander un exemplaire, il vous sera offert gracieusement.

(Shalom Israël) ajouté le 9/01/2001

Trouvé sur http://voxdei2.free.fr/infos Point Final - Informations chrétiennes et eschatologiques au quotidien.

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