Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



ARGUMENS ET RÉFLEXIONS SUR LES LIVRES ET LES CHAPITRES DU NOUVEAU TESTAMENT


ÉVANGILE
SELON SAINT LUC.

CHAPITRE XIII.-

Notre Seigneur

exhorte les Juifs à profiter de ce qui était arrivé à quelques Galiléens, que Pilate avait fait mourir dans le temps qu'ils offraient leurs sacrifices, et à dix-huit personnes qui avaient été écrasées par la chute d'une tour.
2. Il ajoute dans cette vue la similitude du figuier stérile.
3. Il rend la santé à une femme qui était malade et courbée depuis dix-huit ans.
4. Il propose la similitude d'un grain de moutarde et celle du levain.
5. Il répond à ce qu'on lui demanda, s'il y aurait peu de gens qui fussent sauvés; il exhorte à entrer de bonne heure dans le chemin du salut; et il dit que les Juifs incrédules, qui n'avaient pas profité de sa présence, seraient exclus du royaume de Dieu, pendant que les autres peuples y seraient reçus.
6. Sur l'avis qu'on lui donne qu'Hérode cherchait à le faire mourir, il déclare qu'il ne craignait point ce prince rusé et artificieux; il dit que son ministère allait finir, et qu'il mourrait en effet bientôt; mais que ce serait à Jérusalem, et non dans la Galilée, où Hérode régnait, qu'il souffrirait la mort; et il déplore à cette occasion l'ingratitude, l'endurcissement, et la ruine de cette ville.

I. 1-5; Il. 6-10; III. 11-17; IV. 18-21; V. 22-30; VI. 31-35.

RÉFLEXIONS.
NOTRE Seigneur nous enseigne
, dans ce chapitre, qu'on ne doit pas croire que ceux a qui il arrive quelque grand malheur soient toujours les plus criminels, ni que ceux que Dieu épargne soient meilleurs que les autres. Dieu supporte souvent, par des raisons de sagesse et de bonté, ceux qui sont plus coupables, pendant qu'il en afflige d'autres qui le sont moins; ainsi au lieu de nous flatter et de condamner ceux que Dieu châtie, nous devons profiter des malheurs qui leur arrivent et nous amender, de peur que nous ne soyons traités encore plus sévèrement qu'eux.

2.
Le sens de la parabole du figuier stérile était que Dieu, qui avait déjà usé d'une longue patience envers les Juifs, employait alors les derniers moyens pour les convertir, en les faisant appeler à la repentance par Jésus-Christ ; après quoi ils devaient être détruits, comme cela arriva en effet peu d'années après.
On voit dans cette parabole, que Dieu supporte les pécheurs avec beaucoup de patience; qu'il se sert des moyens les plus efficaces pour les amener à la repentance; mais que par leur impénitence ils attirent sur eux les derniers malheurs.

Jésus-Christ ayant guéri une femme
qui était courbée depuis dix-huit ans, il y eut des personnes qui se scandalisèrent de ce qu'il avait fait ce miracle un jour de sabbat. Ce que Jésus-Christ dit, pour convaincre ces gens-là de leur ignorance et de leur malice, nous enseigne que l'exercice de la charité et des bonnes oeuvres est ce qu'il y a de plus nécessaire dans la religion; que ces devoirs sont toujours de saison, et que nous ne devons négliger aucune occasion de nous en acquitter, quand même il se trouverait des personnes assez mal disposées pour s'en scandaliser.

Les paraboles du grain de moutarde
et du levain signifient que, quoique l'Évangile fût reçu par peu de gens, lorsque Jésus-Christ était au monde, et que les commencemens de son règne fussent bien faibles, on le verrait s'établir en tous lieux, et cela dans fort peu de temps, ce qui arriva aussi.
On doit faire une très-grande attention à ce que Notre Seigneur répondit, lorsqu'on lui demanda s'il y aurait peu de gens qui fussent sauvés: Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite, car je vous dis que plusieurs tâcheront d'entrer ne le pourront. Ces paroles nous apprennent, qu'au lieu de former des questions vaines et curieuses, sur les choses dont Dieu s'est réservé la connaissance et sur le salut des autres, notre principal soin doit être d'y parvenir nous-mêmes ; que nous devons faire de continuels efforts pour cela, et y travailler de bonne heure; que quand l'occasion sera on ne pourra plus y être admis; et que les méchans n'auront alors pour partage que les remords et le désespoir de se voir exclus par leur faute de la béatitude céleste.

Ce que Notre Seigneur dit,
qu'il ne craignait ni les ruses, ni la cruauté et que ce ne serait pas dans la Galilée, mais ce serait à Jérusalem qu'on le ferait mourir, nous montre que les méchans ne peuvent pas toujours exécuter leurs desseins, qu'ils ne sauraient empêcher ceux de Dieu, et qu'on ne doit rien craindre, quand on marche dans sa vocation.

Enfin, la tendresse
avec laquelle Notre Seigneur déplore l'ingratitude et la ruine de Jérusalem, en disant qu'il avait voulu mettre les Juifs à couvert des jugemens de Dieu, mais qu'ils ne l'avaient pas voulu, montre bien clairement que Dieu n'a sur les hommes que des vues et des desseins d'amour et qu'il ne leur arrive de mal que celui qu'ils s'attirent eux-mêmes, en méprisant sa bonté, et en négligeant les offres de sa grâce.

CHAPITRE X I V.-

Notre Seigneur

mangeant chez un pharisien, guérit un hydropique, et montre qu'on ne devait pas se scandaliser, s'il avait fait ce miracle un jour de sabbat.
2. Il donne des leçons d'humilité et de charité à ceux qui étaient à table.
3. Il leur propose la similitude du festin, auquel ceux qui étaient invités ne voulurent pas venir.
4. Il déclare que ceux qui voulaient devenir ses disciples devaient être prêts à renoncer à ce qu'ils avaient de plus cher, et même à leur vie; et il montre par deux similitudes la nécessité de ce devoir.

I. 1-6; II. 7-14; III. 15-24; IV. 25-35.

RÉFLEXIONS.
LA guérison que Jésus-Christ accorda
à un hydropique, montré qu'il était toujours prêt à faire du bien aux hommes et à soulager les misérables, et qu'il n'y avait aucune sorte de maladies qu'il ne guérît; et ce qu'il dit à ceux qui n'approuvaient pas qu'il eût fait ce miracle en un jour de sabbat, fait voir qu'il faut éviter les jugemens téméraires et l'hypocrisie, et qu'on doit profiter de toutes les occasions qui se présentent de faire des oeuvres de charité.

La seconde instruction
que nous avons ici regarde l'humilité et la charité. Jésus-Christ nous recommande l'un et l'autre de ces devoirs, lorsqu'il dit que ceux qui cherchent à s'élever, seront abaissés devant Dieu, et même devant les hommes, au lieu que ceux qui s'humilient et qui s'abaissent seront élevés; et lorsqu'il nous exhorte à ne pas imiter les gens du monde, qui ne font accueil qu'aux riches et à leurs amis, et qui méprisent et négligent les pauvres et les misérables.

3.
La parabole dit festin signifie que les Juifs, et surtout les plus considérables d'entr'eux, allaient être rejetés, pour n'avoir pas profité des invitations que Dieu leur fit faire par Jésus-christ et par les apôtres; et que ceux qui étaient les plus méprisés, et même les païens, recevraient cette grâce que les Juifs avaient rejetée.
Cette parabole regarde aussi les chrétiens qui ne répondent pas à leur vocation, et qui, sur de frivoles excuses, et surtout par l'attachement qu'ils ont pour les choses de la terre, négligent les offres de la miséricorde divine, et perdent, par ce moyen, le droit qu'ils avaient au salut.

4.
Enfin Jésus-Christ nous avertit très-expressément que, pour être ses disciples, il faut avoir appris premièrement à renoncer à tout ce qui peut nous empêcher de le suivre. C'est à quoi tend la similitude d'un homme qui voudrait bâtir une tour, et celle d'un roi qui voudrait combattre un autre roi.
Par là il nous enseigne qu'il ne faut pas s'engager témérairement à son service, et qu'avant que de prendre le nom de chrétien et d'en faire la profession et le voeu, nous devons nous examiner nous-mêmes, pour voir si nous avons une résolution ferme de lui être fidèles, et si nous aurons le courage de résister aux tentations, de porter notre croix, et de travailler de toutes nos forces à amener les autres à la foi et à la piété, par nos lumières et par nos bons exemples.

CHAPITRE XV. -

Les pharisiens se scandalisant de ce que Jésus-Christ mangeait avec les pêcheurs,

il propose trois paraboles : celle de la brebis égarée,
celle de la drachme perdue,
et celle du fils prodigue et débauché. Son dessein dans ces trois paraboles est de montrer que Dieu appelle les pécheurs à la repentance, et qu'ainsi les pharisiens avaient tort de trouver mauvais qu'il fût dans la compagnie de ces gens-là.

I. 1-7; II. 8-10; III. 11-32.

RÉFLEXIONS.
LES trois similitudes que ce chapitre contient tendent au même but, qui est, premièrement, de nous mettre devant les yeux la grande miséricorde de Dieu envers les pécheurs, et les soins qu'il prend pour les amener à la repentance; et en second lieu de montrer que comme leur conversion est très-agréable à Dieu, et qu'elle réjouit les saints anges, tous ceux qui aiment Dieu doivent aussi s'en réjouir et y contribuer de tout leur pouvoir, et non pas en avoir de la jalousie et du chagrin, comme les pharisiens, qui s'offensaient de voir Jésus dans la compagnie des gens de mauvaise vie.
C'est ce que marque surtout la parabole du fils débauché. Par ce fils, Notre Seigneur représente ceux qui étaient de grands pécheurs, ou que l'on regardait comme tels. Le retour de ce fils à la maison paternelle marque la conversion de ces pécheurs-là. La tendresse avec laquelle son père le reçut, montre que Dieu prend plaisir au retour des pécheurs qui s'amendent, et qu'il est plein de bonté envers eux.
La jalousie et le chagrin, que le fils aîné de la maison témoigna de ce que son frère avait été reçu avec tant de bonté et de joie, représente les sentimens de ces pharisiens qui se croyaient meilleurs que les autres, et qui se scandalisaient de ce que Notre Seigneur mangeait et conversait avec les péagers et les gens de mauvaise vie. C'est là le sens de cette belle parabole.

Elle nous fournit plusieurs réflexions très-utiles. Nous y voyons l'égarement des pécheurs et l'abus criminel qu'ils font des grâces de Dieu, la bonté que Dieu a de les châtier pour les rappeler à leur devoir, le retour de ceux qui reviennent à Dieu par la repentance, le pardon que Dieu accorde toujours à ceux qui recourent à lui, en confessant et en détestant leurs fautes, et enfin la joie que leur conversion doit donner à tous ceux qui ont de la piété et de la charité. Chacun doit faire les réflexions les plus sérieuses sur cette parabole, en la relisant, et en en méditant attentivement toutes les parties; mais les pécheurs surtout doivent s'en faire l'application, afin de s'encourager par là à retourner à Dieu par un prompt repentir et par une sincère conversion.

CHAPITRE XVI.-

Jésus-Christ

montre, par la parabole du dispensateur infidèle, l'usage qu'on doit faire des biens du monde.
Il fait voir ensuite que l'amour des richesses est très-dangereux, et il censure les pharisiens qui étaient avares, et qui, dès le temps de Jean-Baptiste, s'étaient opposés à l'établissement du règne de Dieu.
Enfin, pour éclaircir et pour confirmer ce qu'il avait dit de l'usage qu'il faut l'aire des richesses, il ajoute la parabole dut mauvais riche.

I. 1-12; II. 13-18; III. 19-31.

RÉFLEXIONS.
TOUT ce chapitre tend à nous apprendre comment il faut se servir des biens de ce monde. Ce qui est dit du maître d'hôtel infidèle qui, pour se faire des amis, quitta aux débiteurs de son maître une partie de leur dette, ne doit pas être entendu comme si Jésus-Christ louait le procédé de cet homme, puisqu'une telle action serait une infidélité et une injustice manifeste.

Il a voulu simplement nous apprendre que, comme ce maître d'hôtel se procura des amis avec le bien de son maître, avant que de sortir de son service, nous devons nous assurer l'entrée dans une meilleure vie, en employant nos biens à des usages pieux et charitables. C'est pour nous porter à ce devoir, que Jésus-Christ a dit que ceux qui ne savent pas faire un bon usage des biens périssables de cette vie montrent par là qu'ils sont indignes de posséder les biens du ciel.

C'est dans la même vue qu'il déclare que l'on ne peut servir Dieu et aimer les richesses en même temps; et c'est ce qu'il prouve par l'exemple des pharisiens qui étaient avares, et auxquels il dit que, quoiqu'ils eussent une haute opinion d'eux-mêmes, ils étaient en abomination à Dieu et les ennemis déclarés de son règne. Mais c'est surtout à quoi tend la parabole du mauvais riche et de Lazare, par laquelle Notre Seigneur représente ce qui arrive à ceux qui, au lieu d'assister les misérables, se servent de leurs biens pour satisfaire leur luxe et leur sensualité.
Le Seigneur marque clairement ici que le faste, la vie molle, l'amour des plaisirs et le manque de charité, conduisent en enfer, quand même on ne commettrait pas de grands crimes.

Cette parabole nous présente outre cela diverses réflexions importantes. Nous y voyons que, si l'état des hommes en cette vie est bien différent, il le sera aussi après la mort, et que ce n'est point par ce qui arrive aux hommes en ce monde qu'il faut juger de leur bonheur on de leur malheur. Nous y découvrons que les justes jouissent après leur mort d'un doux repos, que les méchans sont dans les tourmens, et que l'état des uns et des autres est immuable et sans retour.
Ce que le patriarche Abraham répondit au mauvais riche, qui le priait d'envoyer Lazare à ses frères, nous enseigne que Dieu nous donne, pendant cette vie, dans sa parole, des moyens suffisans pour éviter la perdition; que ceux qui ne profitent pas de ces moyens n'ont aucune excuse, qu'ils ne doivent pas s'attendre que Dieu fasse des miracles pour les convertir, et que quand même il en ferait, ces miracles ne les persuaderaient pas.

Toutes ces instructions sont de la dernière importance, et nous ne saurions rien faire de plus utile que de les bien méditer.

CHAPITRE XVII.-

Jésus-Christ

parle des scandales, du pardon des offenses, de l'efficace de la foi, et de l'obligation où nous sommes de faire ce que Dieu nous commande, sans prétendre rien mériter par là.
2. Il guérit dix lépreux.
3. Il répond aux pharisiens qui lui avaient demandé quand le règne de Dieu viendrait, et il leur dit qu'ils avaient déjà ce règne au milieu d'eux, quoiqu'ils ne le remarquassent pas.
4. De là il prend occasion d'avertir ceux qui l'écoutaient de ne pas suivre les faux messies; et il leur dit qu'ils regretteraient un jour l'avantage dont ils jouissaient alors, et qu'ils se trouveraient surpris par le jugement de Dieu, comme les hommes le furent autrefois par le déluge, et les habitans de Sodome par l'embrasement de cette ville.

I. 1-10; II. 11-19;. III. 20-22; IV. 23-37.

RÉFLEXIONS.
LES instructions que ce chapitre renferme sont les suivantes:

1.
que les scandales sont un grand mal; que de la manière dont les hommes sont disposés, c'est une chose inévitable qu'il arrivera des scandales, mais que ceux qui en sont les auteurs en porteront la peine;

2.
que nous ne devons avoir aucun ressentiment contre ceux qui nous offensent, qu'il faut leur pardonner, et leur pardonner toujours, quand même ils reviendraient très-souvent à nous offenser;

3.
que la foi étant aussi nécessaire pour plaire à Dieu et pour être sauvé, qu'elle l'était autrefois pour faire des miracles, nous devons nous y affermir de plus en plus, et prier le Seigneur, avec les apôtres, qu'il nous l'augmente;

4.
qu'étant les serviteurs de Dieu, nous devons faire avec zèle tout ce qu'il nous commande, et en même temps avec une profonde humilité, nous souvenant que nous ne sommes que d'indignes et d'inutiles serviteurs, que nous ne faisons qu'une partie de notre devoir, qu'ainsi nous ne méritons rien, et que si Dieu veut bien récompenser notre obéissance, c'est de sa pure grâce.

 

5. La principale réflexion qu'il faut faire sur la guérison des dix lépreux, c'est qu'il n'y en eut qu'un qui vint remercier Jésus-Christ, et qu'encore c'était un samaritain qui eut plus de piété et de reconnaissance que les autres qui étaient Juifs.
Les hommes désirent d'être délivrés, quand ils sont dans la souffrance; mais la plupart oublient bientôt les délivrances que Dieu leur a accordées, et ils tombent dans l'ingratitude; tandis que ceux qui sont véritablement touchés des faveurs que Dieu leur accorde, en conservent le souvenir et lui marquent leur reconnaissance, non-seulement par des actions de grâces continuelles, mais surtout par leur obéissance et par le bon usage qu'ils font de ses bienfaits.

Ce que Jésus-Christ disait aux Juifs, que le règne de Dieu ne viendrait pas avec éclat, que ce règne était déjà venu et qu'il était même parmi eux, nous oblige à considérer que le règne de Notre Seigneur est spirituel et céleste, et que ceux qui, comme nous, ont l'avantage d'avoir ce règne au milieu d'eux, doivent prendre garde qu'il ne leur arrive, comme aux Juifs, de ne pas reconnaître leur bonheur et de ne s'en pas prévaloir; ce qui n'est pourtant que trop ordinaire. Jésus-Christ disait aux Juifs que bientôt ils se repentiraient de n'avoir pas profité de sa présence, et que la vengeance divine les surprendrait, comme le déluge avait surpris les habitans du premier monde, et comme le feu du ciel surprit les habitans de Sodome.

Cet avertissement nous regarde aussi bien que les Juifs. Ceux qui auront négligé les précieux avantages dont nous jouissons, et le temps de la miséricorde de Dieu, seront ainsi surpris dans leur aveuglément et dans leur sécurité, et ils périront dans leur impénitence. Puisque Notre Seigneur nous a avertis de ces choses, c'est à nous à y penser continuellement et à vivre, en attendant sa venue, dans la vigilance, dans la prière, et dans la pratique de toutes sortes de bonnes oeuvres, selon qu'il nous y exhorte.


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