Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
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LA PALESTINE AU TEMPS DE JÉSUS-CHRIST


CHAPITRE IX
LA VIE PRIVÉE

LA MAISON



La maison du pauvre. - La maison du riche. - La terrasse. - La chambre haute. - Le mobilier. - L'intérieur d'une maison de village, - Le chandelier. - Le boisseau. - Le moulin.
La nourriture. - Les pains. - Les gâteaux. - La cuisine. - Le repas principal.
Les ablutions. - Les actions de grâces. - Un repas du temps du roi David. -
La nourriture des pauvres au premier siècle. - Les sauterelles. - Les boissons. - Le vin. - Les coupes. - Le repas de midi a Jérusalem à l'époque de Jésus-Christ


On se représente ordinairement là maison antique comme occupant un grand espace; on y place un atrium, une cour entourée de portiques avec une fontaine au milieu, un jardin, de vastes salles de réception. Elle serait assez exactement reproduite par la maison mauresque de nos jours. Il est certain que des habitations semblables se voyaient à Rome et dans toutes les grandes villes de l'empire ; à Jérusalem il y en avait certainement ; mais ces maisons étaient celles des riches, elles étaient ce que nous appellerions aujourd'hui des hôtels particuliers. Les auteurs anciens nous les ont décrites précisément à cause de leur luxe et de leur confort. Les privilégiés qui habitaient ces demeures étaient peu nombreux. La foule, l'immense majorité, composée de gens de condition moyenne ou inférieure habitait, à Rome par exemple, de grandes maisons à étages dont celles de nos grandes villes peuvent donner une idée. Chaque famille y occupait un appartement séparé; les artisans étaient sous les toits (1). Il n'est-pas probable qu'à Jérusalem même il y eût de ces grandes maisons si élevées. En Orient, les constructions ont toujours été basses et, saut les monuments, les villes devaient avoir le même aspect qu'aujourd'hui. En tout cas, dans les villages, et c'est des villages que nous allons parler d'abord, les maisons étaient des plus simples, des plus primitives. Transportons-nous à Nazareth et représentons-nous la maison habitée par Joseph et Marie lorsque Jésus était enfant.

Qu'on se figure un gros cube de forme régulière et blanchi à la chaux. A l'intérieur une seule pièce; point de fenêtre, le jour entre par la porte et la femme qui cherche une drachme perdue, doit allumer sa lampe (2). Aujourd'hui le logement de toute une famille arabe se compose, en Palestine, d'une grande chambre voûtée sans fenêtre, Il en était ainsi au premier siècle. L'établi, la cuisine, la chambre à coucher, tout devait être réuni dans cette unique pièce de la maison du charpentier de Nazareth. La maçonner le était fort grossière; on peut en juger par les ruines nombreuses dont le pays est aujourd'hui couvert. Il était rare que la pierre y fût employée; les plus luxueuses maisons étaient en briques du pays. On fabriquait ces briques en foulant la terre grasse ou l'argile avec les pieds (3) ; on y mêlait de la paille (4), puis on les cuisait au four (5). Ces maisons de briques étaient très communes dans les villes (6), mais n'étaient habitées dans les campagnes que par les personnes dans l'aisance (7). Quant aux maisons de terre, elles donnaient asile aux agriculteurs et aux gens des basses classes (8). Leurs murs n'étaient qu'un grossier clayonnage revêtu d'argile pétrie et séchée au soleil. Sur cette terre poussait çà et là une chétive végétation et, à l'intérieur le salpêtre, appelé par les habitants la lèpre (9), faisait souvent invasion. Il est probable que la maison de Joseph était une de ces pauvres demeures bâties en terre et blanchies.

Les maisons des riches personnages étaient différentes. La Palestine abonde en pierres calcaires propres aux plus somptueuses constructions, et leurs demeures s'étendaient souvent sur un grand espace; une cour intérieure le long de laquelle régnait un portique, semblable au cloître d'un couvent ou au patio espagnol, était au centre. Le milieu de la cour formait un impluvium (10) ; il y avait là un bassin où l'on pouvait se baigner (11). Autour et en dehors du carré formé par le portique, se voyait une sorte d'avant-cour, ce qu'on appelle en style de caserne un chemin de ronde fermé par un mur d'enceinte. On pénétrait dans la maison par une porte en bois d'une seule pièce ou à deux battants et qui tournait sur deux gonds (12). Les verrous, la serrure et les clefs étaient en bois (13). Les portes des villes avaient seules des verrous en Métal (14). La fermeture était souvent plus simple encore, et au lieu d'une serrure, on se contentait d'une simple courroie (15).

La maison, élevée sur les colonnes du portique, pouvait avoir plusieurs étages. Le palais de Salomon en avait trois ; mais on ne devait guère dépasser ce nombre. En tout cas, elle renfermait plusieurs pièces. Elles étaient parfois très vastes (16), certaines salles étaient exclusivement consacrées aux festins (17); d'autres étaient des chambres de repos (18). Le splendide palais qu'Hérode le Grand se fit bâtir à Jérusalem (19), était plus luxueux encore; mais de si somptueuses demeures étaient l'exception. La plupart des maisons, même dans les villes, avaient une chétive apparence (20). Les fenêtres, absentes, nous l'avons dit, de la maison du pauvre, étaient, dans les maisons les plus riches, petites et peu nombreuses. Celles qui donnaient sur la rue étaient garnies d'épais grillages (21) que l'on ouvrait à volonté (22).
Les pièces, sauf celle de l'entrée, étaient très petites. Les habitants ne s'y retiraient que pour la nuit, et, sous ces climats brûlants, l'homme vivait le plus souvent hors de chez lui, dans les rues, sur la place publique. Le visiteur de Pompéï est frappé de l'exiguïté des chambres des maisons. Aucune n'offrait de pièce où l'on pût se retirer pour se recueillir. Il fallait pour cela monter à l'étage supérieur et jusque sur le toit. Celui ci, presque plat, n'avait que juste l'inclinaison suffisante à l'écoulement de l'eau de pluie (23). Il était entouré d'une balustrade prescrite déjà par la Loi (24). Il formait donc une terrasse qui servait de refuge (25). Le sol était en briques (26) ou en chaux mêlée de sable et de petits cailloux battus avec de la cendre. Le toit de la maison du pauvre était fait de terre, et sur cette couche de terre solide et durcie, l'herbe poussait quelquefois (27). L'escalier qui menait à la terrasse était extérieur, et lorsqu'on était sur le, toit, on pouvait sortir de la maison sans rentrer d'abord dans l'intérieur (28).
Sur ces terrasses, on exposait à l'air certains objets de travail (29), on prenait le frais, on dormait parfois dans la belle saison (30), sans doute pour éviter les insectes ; ce qui se fait encore aujourd'hui.

L'habitude de loger en été sous des tentes est toujours très répandue. Les voyageurs y sont même obligés dans la saison chaude à cause des moustiques, et cet usage était certainement le même autrefois. Pendant quatre mois de l'année, des tentes étaient dressées sur les terrasses des maisons. On traitait aussi sur ces terrasses les affaires secrètes; on s'y retirait dans les moments de tristesse (31) ; et « être assis dans un coin du toit » signifiait mener une vie triste (32). Dans les émeutes, on montait sur le toit pour voir ce qui se passait (33) pour se sauver ou pour se défendre (34); à la fête des Tabernacles, on dressait encore des tentes sur les toits (35). Jésus-Christ parle de « prêcher sur les toits » et nous verrons que le Hazzan annonçait du haut d'un toit, chaque vendredi soir, que le sabbat commençait. Quand la maison n'avait qu'un seul étage, la terrasse, entourée d'une balustrade se trouvait former une chaire du haut de laquelle il était facile de haranguer la foule réunie devant la maison. On se représente aussi ce qu'était la solitude sur cette terrasse quand, le soir, sous le ciel splendide de l'Orient, Jésus, fatigué des bruits du jour, s'y retirait pour prier. Là, plus de Scribes, plus de Pharisiens, plus de disputes ni de haine, mais la présence du Dieu vivant et la communion avec lui aussi certaine, aussi sensible que sur la colline et les hauts lieux.

Souvent la terrasse était couverte; elle formait alors une grande salle spacieuse, commode les jours de pluie, et que l'on appelait la chambre haute (36) ou chambre d'en haut (37). Quand Jésus n'enseignait pas en plein air, le seul endroit où il pût se tenir était la chambre haute, et c'est là qu'il se trouvait certainement le jour où on lui amena un paralytique, et que la foule, qui se pressait autour de lui, empêchait les porteurs du brancard de passer (38). On comprend fort bien ce qui arriva ; le malade fut monté par l'escalier extérieur de la maison jusque sur le toit de la chambre haute, d'une construction légère et facile à percer. Un des Talmuds nous rapporte un fait presque semblable (39) : « Quand Rabbi Honna mourut, la civière ne put « passer par la porte qui était trop étroite, et on dut découvrir « le toit et le sortir par là. »
On se réunissait souvent dans la chambre haute pour enseigner : « Rabbi Jochanan et ses disciples montèrent dans la chambre haute, et ils lurent et ils commentèrent (40). »

Cet usage de couvrir au moins une partie de la terrasse et de s'en faire une chambre était très général. Quand elle était entièrement découverte, on ne pouvait s'y tenir que le soir à cause du soleil, et c'est le désir de s'y réunir en tout temps qui y faisait construire cette sorte de pavillon ajouté à la maison, élevé sur le toit et ou on se retirait pour se reposer, pour prier ou pour être seul. On y logeait aussi les étrangers auxquels on donnait l'hospitalité (41). La chambre haute donne encore aujourd'hui son caractère distinctif à la maison syrienne (42). C'est la chambre à donner, la chambre d'ami ; la vie privée étant murée, l'hôte se trouve ainsi logé en dehors de la partie de la maison habitée par le maître et par les siens. Le pauvre se contentait d'ordinaire de laisser sa terrasse découverte, mais le premier luxe que l'on se donnait était celui d'une chambre haute. La riche Sunamite en fit une pour Elisée (43). C'était la pièce la plus commode de la maison, parce qu'elle était grande, comparée aux chambres de l'intérieur et parce qu'elle était entièrement indépendante du reste de la construction, aussi le nombre des usages auxquels elle servait était-il varié à l'infini. On y déposait les corps avant l'ensevelissement (44). C'est dans une chambre haute que Jésus se réunit avec ses apôtres pour leur faire ses adieux, manger la Pâque juive une dernière fois avec eux et instituer la sainte Cène. Quant aux repas ordinaires, il les prenait, sans doute, comme cela se fait encore aujourd'hui, dans la cour de la maison et en public. Après la mort de Jésus, les apôtres logeaient dans une chambre haute prêtée ou louée par des amis (45). la même peut-être que celle où Jésus-Christ avait institué la Cène, car ils étaient étrangers à Jérusalem.

Le mobilier de la maison était d'une extrême simplicité. Le confort moderne était absolument inconnu des orientaux. En général, celui-ci est d'autant plus grand que le climat est plus rigoureux; la nécessité de se garantir du froid et de la pluie oblige l'homme à construire des maisons solides; et comme il doit les habiter souvent, il cherche à s'y rendre la vie agréable.

Les peuples du Nord sont beaucoup plus confortablement logés que ceux du Midi. En Palestine, on vit en plein air et la maison de l'homme du peuple était, au premier siècle, aussi vide, aussi nue, que celle du plus misérable Arabe de nos jours. Elle se composait, avons-nous dit, d'une seule pièce où tout était réuni : la cuisine, les tapis sur lesquels on s'étendait pour dormir, ou le lit, simple couchette portative (46), les instruments de travail du père, sans parler des bestiaux, qui, parfois, partageaient la chambre commune. Des nattes et des coussins sur lesquels on s'asseyait à la mode orientale, quelques vases d'argile pour les besoins du ménage et un coffre ou grande armoire complétaient le mobilier. Dans cette armoire on mettait, durant la saison chaude. les couvertures et le.; tapis qui étaient toujours en laine et qu'il fallait garantir des insectes. « Les vers et la teigne gâtaient tout » pendant l'été (47). En hiver, c'était à la rouille (48) » qui se développait facilement dans ces maisons sans cave et rongeait les outils du père de famille. Enfin il fallait se garder des voleurs qui pouvaient facilement venir « la nuit », à. l'heure « où on ne les attendait pas » et qui « perçaient » sans difficultés les minces murailles d'argile séchée (49). La maison n'avait point de cheminée, et, quand il faisait froid, on se bornait à allumer au milieu de la chambre un grand brasier (50).

Outre ces objets, chaque maison avait une lampe, un boisseau, des outres pour le vin, un balai et un moulin. Il est à remarquer que ces ustensiles divers sont toujours nommés dans l'Evangile avec l'article : le chandelier, dit le Christ, le boisseau (51). Il n'y en avait qu'un seul par demeure. Ce chandelier ou plutôt cette lampe était très élevée et on la posait à terre.

Quelquefois on se servait, comme aujourd'hui, d'une pierre faisant saillie dans le mur et sur laquelle on la plaçait. La lampe portait un ou plusieurs becs dans lesquels on brûlait de l'huile. Celle du pauvre était d'argile. Le boisseau était aussi un objet essentiel dans l'humble demeure du villageois. Il servait de mesure comme son nom l'indique, mais aussi de tiroir et de sac. Placé à terre et retourné, il remplaçait la table absente, et on posait la lampe « sur le boisseau et non pas dessous (52). » Les habitants, assis autour à l'orientale, voyaient la lumière et « toute la chambre était éclairée (53). » Aujourd'hui encore, le boisseau sert de table et même de plat, car on y apporte le lait caillé (54). Le balai servait à la femme qui « balayait toute la maison (55) », c'est-à-dire l'unique chambre dont elle se composait, et les outres (56) de peau de chèvre servaient à conserver le vin en lui communiquant ce goût affreux, mais très apprécié des Orientaux, et qu'elles lui donnent toujours partout où on les emploie encore aujourd'hui.

Chaque maison avait un moulin à bras (57). La meule intérieure (Pelack) était immobile et très dure (58). La supérieure (Pelach-Récheb) (59) était mise en mouvement par une manivelle assez semblable à celle des moulins à café de nos jours. Deux vases en pierre servaient à conserver le grain. Ces usages n'ont point varié; le moulin à bras et les deux vases pour le grain font encore aujourd'hui partie essentielle du mobilier chez l'Arabe de Palestine.

Tourner la meule était fort pénible. Parfois on avait une « meule d'âne (60) », mais, d'ordinaire, la meule était à la main. Le soin de la tourner était laissé aux femmes esclaves de la dernière condition (61) ou aux prisonniers (62). Les femmes étaient toujours deux ensemble à la meule, et travaillaient tour à tour (63). Souvent, dans la journée, le bruit du moulin se faisait entendre; il égayait la maison, et son interruption prolongée était l'image de la désolation et de la mort (64).

Il nous reste, pour terminer ce que nous avons à dire du mobilier, à nommer la mésusa, que nous décrirons en détail en parlant de la prière (65); c'était une petite boîte allongée suspendue aux portes des maisons et des chambres contenant un rouleau de parchemin sur lequel étaient écrits, en vingt-deux lignes, deux fragments de la Loi (Deut., VI, 4-9, et XI, 13-21),

Nous n'avons point à parler ici des maisons luxueuses habitées à Jérusalem par les classes aisées. L'inférieur de l'habitation du grand-prêtre, par exemple, ressemblait sans doute à la maison d'un patricien romain et de telles demeures ont été souvent décrites dans des ouvrages spéciaux. Là il y avait des meubles magnifiques, de splendides candélabres, des tapis d'Orient plus beaux encore que ceux de nos jours, des lits garnis de couvertures, de matelas, de coussins (66). Ils étaient en bois de cèdre (67), et parfumés (68). Les sofas sur lesquels on s'étendait pour les repas étaient déjà employés du temps des prophètes (69). Au premier siècle, on s'en servait partout à Jérusalem ; nous allons les décrire en traitant des repas chez les juifs du premier siècle.


Table des matières

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LA VIE PRIVÉE (LA MORT ET LES FUNÉRAILLES)
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1 Voir la description de Rome dans le savant ouvrage de Friedloender Mœurs romaines d'Auguste aux Antonin.
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2 Ev. de Luc, XV, 8.
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3 Nahum, III, 14.
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4 Exode, V, 7.
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5 Nahum, III, 14. II Samuel XII, 31.
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6 Esaïe, IX, 9, 10.
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7 Sous David et sous Salomon, on revêtait de marbres certains édifices, 1 Rois, VII, 9, 10, 11; I chron., XXIX, 2.
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8 Job, IV, 19.
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9 Lévitique, XIV, 33 et suiv.
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10 II Sam., XVII, 18.
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11 II Sam., XI, 2.
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12 Proverbes, XXVI. 14. 1 Rois, Vll, 50.
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13 Cant., V, 5. Juges, III, 24, 25.
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14 Juges, XVI 3. Amos, 1, 5.
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15 Voilà, pourquoi Jésus après avoir dit à Pierre : « Je te donnerai les clefs du Royaume des cieux », ajoute : « ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux et ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux ». Ev. de Matth., XVI, 19.
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16 Jérémie, XXII, 14.
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17 1 Samuel, IX, 22.
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18 2 Samuel , IV. 7.
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19 Voir notre chapitre sur Jérusalem, page 67.
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20 La Mischna donne le prix approximatif de l'achat et du loyer de certaines maisons. Une habitation modeste aurait coûté 250 deniers (225 francs environ). Le loyer d'un logement ordinaire pouvait varier entre une dizaine de francs au minimum, une cinquantaine au maximum. Quant à celui d'une vaste maison il pouvait s'élever à plus de deux cents francs.
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21 Juge,. V, 28, Cant., II, 9.
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22 II Rois, XIII, 17.
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23 Proverbes, XIX, 13 ; XXVII, 15.
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24 Deutéronome, XXII, 8. Elle devait avoir un mètre environ au
minimum.
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25 Pierre s'y retire pour prier. Actes des Apôtres, X, 9. Les terrasses sont semblables aujourd'hui en Orient.
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26 Esaïe, LXV, 3.
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27 Psaume CXXIX, 6.
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28 De là viennent les expressions de Jésus-Christ: « Que celui qui est sur le toit ne rentre pas.... etc. » Ev. de Matth, XXIV, 16, 17 ; de Marc. XIII, 15, etc., etc.
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29 Josué, II, 6.
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30 I Samuel, IX, 26
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31 Esaïe, XV, 3.
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32 Proverbes; XXI, 9 et XXV, 24.
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33 Esaïe, XXII. 1.
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34 Juges, IX, 51.
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35 Néhémie, VIII, 16.
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36 Nous avons deux termes dans le Nouveau Testament pour désigner la chambre haute : (Actes des Ap., I, 13) littéralement ce qui est en haut, et (Ev. de Luc, XXII, 12) littéralement ce qui est au-dessus de terre. En hébreu Alijah.
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37 Nous avons dans la Mischna l'indication de quelques mesures qui permettent de se rendre compte de la dimension des chambres hautes. Elles pouvaient avoir jusqu'à 4 mètres sur 5; mais d'habitude étaient plus petites : 3 m. sur 4.
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38 Ev. de Luc, V. 18, 19 et Ev. de Marc, II, 4
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39 BabyI., Moed Katon fol. 25, 1.
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40 Schabbath, ch. 1, halac., 7, Juchasin, fol. 23, 2, Cf., Ev. de Marc, XlV, 15. Actes des apôtres, I, 13 et XX, 8.
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41 I Rois, XVII, 19,
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42 Bovet, Voyage en Terre Sainte, p. 121.
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43 Il Rois, IV, 8 et suiv.
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44 Actes des Ap., IX. 37.
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45 Actes des Apôtres, I, 13, 14.
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46 dans le Nouveau Testament, en hébreu Mittah ou Erès, Prends ton lit, dit le Christ, et marche », Ev. de Marc, II 9
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47 Ev. de Matth. VI, 19, Ev. de Luc, XII, 33,
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48 id. Id, id.
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49 Ev. de Matth.. VI, 20.
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50 Jérémie, XXXVI. 22.
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51 Ev. de Matth., V, 15.
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52 Ev. de Matth., V, 15; de Marc, IV, 21; de Luc, XI, 33.
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53 Id. id. id.
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54 Les petites tables turques, que l'on voit à Paris chez les marchands de curiosités orientales, étaient, à l'origine, des boisseaux retournés.
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55 Ev. de Luc, XV, 8.
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56 Ev. de Matth., IX, 17 ; de Marc, II. 22; de Luc, V, 38.
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57 Nombres, XI, 8. Deut., XXIV, 6.
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58 Job; XLI, 15. ( 24 (41:15) Son coeur est dur comme la pierre, Dur comme la meule inférieure.)
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59 Juges, lX. 53, II Sam., XI, 21.
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60 Les Talmuds distinguent la meule d'âne et la meule à la main; voir aussi Ev. de Luc, XVII, 2.
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61 Exode, XI. 5. Esaïe, XLVII, 2.
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62 Juges, XVI, 21. Lam. de Jérém., V. 13.
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63 Ev. de Luc, XVII, 35.
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64 Jérémie, XXV, 10.
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65 Voir livre II, chapitre X, la Prière.
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66 Prov. VII, 16. Ezéchiel XIII, 18, 20.
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67 Cant. des cant., III, 9, 10.
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68 Proverbes VII, 17.
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69 Ezéchiel, XXIII, 41; Amos VI, 4.

 

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