Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
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LA CROIX DU CALVAIRE ET SON MESSAGE


CHAPITRE VI

CHRIST EN NOUS

Il viendra pour être glorifie dans ses saints, et admire au milieu de tous ceux qui croient. (2 Thess. I, 10).

Je suis crucifié avec Christ, et je vis non plus moi, mais c'est Christ qui vit en moi. (Gal. II, 20).

Dans la partie de sa lettre aux Galates où Paul résume les débuts de son apostolat, il écrit ces paroles qui semblent rester incomprises de beaucoup; « Lorsqu'il plût à Dieu de révéler son Fils en moi... » Aux Colossiens, il annonce le mystère caché durant tous les siècles passés, que Dieu a maintenant manifesté à Ses enfants ; pour faire connaître parmi les nations les richesses de la gloire de ce mystère qui est: Christ en nous, l'espérance de la gloire (Col. I, 26, 27).

Christ en nous ! Nous touchons ici aux résultats ultimes de la Croix. Si nous sommes crucifiés avec Christ, c'est pour que Celui qui est ressuscité, vive en nous ; c'est pour qu'il habite en nos coeurs par la foi. Cette habitation du Christ en nous est nommée par l'Apôtre, un mystère ; mot qui veut dire : secret. Le mystère est une chose cachée à l'intelligence, jusqu'à ce qu'il y ait eu révélation.

Ce mystère ne fut pas dévoilé sous la Loi. Alors, à quelques exceptions près, les hommes suivaient chacun son propre chemin, sans se soucier de Dieu. Ils furent peu nombreux ceux qui, comme Abraham, virent de loin Son Jour et s'en réjouirent ; ceux qui, par la foi, s'emparèrent des promesses et en saluèrent l'accomplissement. Dieu ne révéla Ses Desseins qu'au temps de la Grâce pour amener les hommes à l'obéissance de la foi (Rom. XVI, 25, 26) ; et les rendre participants de Sa Gloire.

L'Apôtre souhaite ardemment que s.es auditeurs soient aussi enrichis d'une pleine certitude de l'intelligence, pour connaître le mystère (Col. II, 2) qui lui a été révélé (Eph. III, 3) : C'est que Dieu appelle toutes les nations à participer aux richesses qui sont en Christ ; et lui, Paul, a été choisi pour le leur annoncer. C'est par un effet de la Grâce qu'il a été appelé pour porter la lumière, afin que chacun comprenant à son tour le mystère, devienne aussi, l'un de Ses messagers ; et que la Sagesse de Dieu, infiniment diverse, soit manifestée par l'Église aux dominations et aux puissances qui, dans les lieux célestes, surveillent les interventions de Dieu en faveur d'une création déchue.

L'Apôtre a reçu cette révélation de Christ en lui, pour qu'il l'annonce, écrit-il aux Galates. Et il fait précéder sa déclaration : Christ vit en moi, de cette autre : J'ai été crucifié avec Christ. Montrant par là que la révélation du mystère: Christ en nous, est liée à notre union avec Lui en sa mort.

Dès que nous avons compris cet ultime message du Calvaire, et ses répercussions dans notre vie quotidienne, toute la Pensée de Dieu à notre égard se déroule à nos yeux dans son harmonieuse beauté.

Quel idéal serait trop élevé désormais ; puisque je n'ai plus qu'à faire place au Seigneur, pour qu'il atteigne cet idéal, en se servant de moi. Quel ordre pourrait être au-dessus des forces du serviteur, puisque le Christ lui communique sagesse, puissance, et toutes les forces nécessaires, aussi longtemps qu'il reste crucifié avec Son Sauveur. C'est la puissance même de Dieu qui maintenant anime sa vie. Et, tandis qu'il fait quotidiennement l'expérience joyeuse de la vie de Christ en lui, toutes choses lui paraissent autres ; son horizon se déplace. Avec l'apôtre Paul, le disciple extasié et triomphant, s'écrie alors : - J'ai compris le secret ; je suis initié au mystère... Je puis toutes choses par Lui (Phil. IV, 12, 13). Mon sujet de joie, d'une joie plus intense chaque jour, c'est que désormais, pour moi, vivre, c'est Christ (Phil. I, 21). Mon témoignage, c'est que je n'oserais parler de quoi que ce soit que Christ n'ait pas accompli en moi (Rom. XV, 18). La source de mon énergie, c'est le secours de Sa Force, qui agit puissamment en moi (Col. I, 29).

Vie bénie où le racheté marche par la foi au Fils de Dieu. Parfait repos, bonheur sans mélange, liberté absolue ! L'âme a toutes choses, lorsqu'elle a compris le secret de son Roi.

Quelqu'un pensera peut-être : L'aboutissement de toutes ces expériences successives semble être un état de non-être. Il semble que Paul soit devenu un automate sans volonté, sans individualité... - Non pas ! L'apôtre nous dit qu'il est crucifié et ajoute aussitôt : Et cependant, je vis. Il ne s'est pas mué en cadavre. Il vit. Il a toujours ses sentiments, ses désirs, ses espérances. Il vit d'autant plus intensément qu'il est mort à l'esclavage du péché ; lequel émousse et atrophie l'être tout entier. Maintenant, toutes ses facultés sont affranchies, vibrantes, vivantes, ultra-sensibles ; non pour transmettre comme autrefois les émotions égoïstes, tout ce qui a trait à la recherche du moi, et à l'amour du moi, mais pour manifester l'amour et la vie de Christ, Lequel, maintenant, vit en lui.

- Christ vit en moi, Paul, qui ne suis pas digne d'être apôtre parce que j'ai persécuté l'Église de Christ. En moi, avec mes tendances, mon tempérament, mes goûts, tout ce qui constitue la personnalité, le moi ! Christ vit en moi. »

Et cependant, je sais que ce n'est plus le moi qui est au centre de ma vie. Son ressort, son moteur, ce n'est plus le moi, mais la grâce de Dieu ; laquelle m'a rendu capable de travailler beaucoup plus que les autres apôtres. Et ce n'est pas ma vie, mais celle de Christ, qui remplit mon coeur ; et se manifeste aux autres, par moi. »

Cette vie de Christ en lui, l'apôtre la saisit-il de façon consciente ? Et quant à la sienne, eut-il la sensation qu'elle était morte ? Cette vie de Christ en lui provoqua-t-elle une joie délirante, des extases célestes, mystiques ? Il ne le semble pas. - La vie que je vis maintenant dans la chair [dans mon corps], écrit-il, je la vis par la foi. - Quelle sorte de foi ? La foi en une expérience ? L'expérience de la mort avec Christ ? S'agit-il d'une foi qui exige un effort, une tension de tous les instants ? - Non, non ! Mais la foi au Fils de Dieu qui m'a aimé, et s'est donné Lui-même pour moi.»

Preuve bénie de la crucifixion du moi ! Le moi, le je, disparaissent de l'horizon de l'âme ; et le Fils de Dieu, sa mort sur la Croix et son grand Amour, remplissent tout le coeur, toute la pensée.

Il s'est donné pour moi, devient la pensée dominante ; et toutes choses apparaissent désormais à la lumière du Calvaire, sous les rayons de l'Amour divin. S'abandonner aux mains percées de Celui qui est mort, cela seul apporte à l'âme le parfait repos et la plus sainte des joies. Absorbée désormais dans son objet, la foi jaillit spontanément ; elle devient une habitude inconsciente de l'âme qui ne s'occupe plus d'expériences passées, ou de quoi que ce soit ici-bas qui la concerne elle seule. Son grand désir, ce qu'elle recherche avec ardeur, ce qu'elle ambitionne par-dessus tout, c'est que Celui qui est mort, voie les fruits de son travail et soit satisfait.

LE CHEMIN DE LA FOI

Je vis dans la foi au Fils de Dieu. (Gal. II, 20).

...O vous aux yeux desquels Jésus-Christ crucifié a été dépeint, ...avez-vous reçu l'Esprit par les oeuvres ...ou par la foi? (Galates III, 1-2).

La vie que je vis encore dans la chair, dit l'apôtre Paul, ma vie extérieure, je la vis dans la foi au Fils de Dieu (Gal. II, 20). Il a une si complète assurance de cette vie du Christ agissant en lui et par lui, qu'il ne semble même plus en être conscient ; l'acte de foi par quoi il se l 'est appropriée n'est plus une chose consciente, ne demande pas un effort incessant. Cette vie de Christ, elle est maintenant la sienne. Lorsqu'il prend possession du croyant, le Seigneur ressuscité apporte avec Soi un esprit de foi, de sorte que l'acte de foi initial devient bientôt quelque chose d'aussi simple, d'aussi spontané que la respiration. Normalement, nous respirons sans y penser.

Mais il y a, dans la vie spirituelle, des époques de transition, des époques de difficultés, d'épreuves, que Dieu permet ; où l'âme est appelée à se connaître plus complètement, à constater son impuissance absolue ; et aussi, à découvrir de nouvelles richesses en Christ. Il arrive alors que sous l'aiguillon de la tentation ou de l'épreuve qui menacent de l'entraîner, de l'arracher à Son Sauveur, il ne lui reste plus qu'à se cramponner aux promesses de Dieu, à Sa Parole. Et celle-ci affirme que le racheté est crucifié avec Christ. En de telles circonstances, quelque puissance que déploie l'ennemi, quels que soient ses instruments ou ses moyens, que le croyant se consacre à nouveau à Dieu et à son Service, pour que Dieu accomplisse en lui, et parfaitement, tous ses desseins. Lorsqu'il s'est ainsi réfugié en la fidélité divine, il se trouve que c'est en Dieu uniquement que repose l'entière responsabilité de le délivrer ; et par ces épreuves mêmes, de l'amener à un degré supérieur de vie en Christ.

Dans toutes nos relations avec Dieu, veillons à ce que notre foi ne soit pas au passé, mais au présent. Par là, nous voulons dire que lorsque nous nous approprions Sa Parole concernant notre mort avec Christ, nous devons croire que Celui qui ressuscite les morts, et appelle les choses qui ne sont pas comme si elles étaient (Romains IV, 17), peut, par sa parole créatrice, nous communiquer à l'instant même la vie de Christ, ou la maintenir en nous. Pour Jéhova, dire, c'est créer. Le monde fut créé par Sa Parole ; Il dit, et la chose fut.

La prédication de la Croix, la parole de la Croix, émane de Dieu ; et comme la Parole créatrice qui fit le monde, elle est omnipotente, toute-puissante. Par Sa Parole, par les ambassadeurs de Sa Parole, prophètes et apôtres, Dieu nous montrant Son Fils bien-aimé sur la Croix nous dit : Tu es là, crucifié avec Lui. Et si de toute notre âme nous répondons : qu'il en soit ainsi, Amen, la prédication de la Croix devient aussitôt en nous la puissance de Dieu. ELLE EST LA PUISSANCE DE DIEU EN TOUS CEUX QUI CROIENT.

Il arrive qu'aux époques de transition, de crise, le croyant est enclin à se détourner du chemin de la foi pour retourner aux oeuvres de la Loi, et retomber sur lui-même. Ce fut là l'écueil où la foi des Galates menaça de sombrer. Peut-être avaient-ils perdu la joie qui avait accompagné leur conversion ? Peut-être n'avaient-ils pas compris toute la signification du Calvaire ? De sorte qu'ils se trouvaient dans un état de dépression, favorable aux entreprises de ceux qui voulaient les ramener aux oeuvres de la Loi.

L'Apôtre Paul leur reproche de s'être détournés du Calvaire ; et ses paroles nous prouvent qu'aussi longtemps que nous sommes ici-bas, notre unique sûreté, notre seule ancre de salut, c'est le Sacrifice du Christ pour nous, en Golgotha.

« O Galates insensés ! Vous aux yeux de qui j'ai si vivement dépeint Jésus-Christ crucifié (Galates III, 1). Qui vous a ensorcelés, s'écrie l'Apôtre ? » Ne leur avait-il pas annoncé tout l'Evangile comme aux Corinthiens et aux Romains ? Comment avaient-ils pu oublier si rapidement une telle démonstration de la mort de Christ, pour retourner en arrière !

- Qui a détourné vos regards du Calvaire ? Qui vous a fascinés, séduits ? (Galates III, 1, 2) Seriez-vous assez insensés pour revenir aux oeuvres mortes ? Lorsqu'ils avaient regardé au Crucifié, ils avaient reçu l'Esprit en croyant simplement au message de la foi. Ils avaient alors fait l'expérience que la prédication de la Croix était bien la puissance de Dieu. Dieu avait répandu son Esprit sur eux en abondance, et accompli des miracles en eux, en réponse à la prédication de la foi (III, 5).

Le Christ crucifié leur ayant été dépeint avec une telle puissance, comment se faisait-il qu'ils n'eussent pas compris la signification de sa mort ? Avant que le chemin de la foi leur eût été révélé, ils étaient emprisonnés,... sous la Loi (Galates III, 23), parce qu'ils ne pouvaient pas accomplir la Loi. Mais Christ les avait rachetés, avait été fait malédiction pour eux, de sorte qu'ils pouvaient par un acte de foi recevoir le Saint-Esprit (III, 13, 14) ; et par Sa Puissance en eux, marcher en nouveauté de vie. Avaient-ils oublié que c'était par la foi en Jésus-Christ qu'ils étaient devenus enfants de Dieu ; et que tous ceux qui avaient été baptisés en Christ, avaient revêtu Christ (III, 27) ?

Était-ce en vain qu'ils avaient tant souffert ? Allaient-ils retourner à la prison où leurs âmes avaient été enchaînées, et se remettre sous l'esclavage de la loi, au lieu d'entrer dans tous leurs privilèges d'enfants de Dieu ? Et l'Apôtre leur dit son angoisse ; il souffre à nouveau pour eux les douleurs de l'enfantement jusqu'à ce que Christ soit formé en eux. Combien insensé de leur part de se détourner de la simplicité de la foi en Christ, pour mettre leur confiance en eux-mêmes ! Et, derrière les instruments, les hommes dont il se sert, Paul discerne à l'oeuvre le grand ennemi des âmes, qui cherche incessamment à prendre dans ses filets les enfants de Dieu ; et à les éloigner du Calvaire.

Oeuvre néfaste, à laquelle il travaille sans relâche pour séparer les rachetés de leur Sauveur.

L'Adversaire, celui que le Seigneur a nommé le père du mensonge, sait comment séduire, comment fasciner les âmes ; comment les détourner insensiblement de la Croix du Calvaire. Ses ressources sont innombrables. A chaque nouvelle étape de la vie chrétienne et du développement spirituel, il est là avec quelque nouveau piège approprié à chaque état d'âme. Partout où sont nées et se sont propagées quelque doctrine d'erreur, quelque déformation de la Vérité, nous retrouvons à leur origine cet oubli du Calvaire [sous son double aspect, pardon et sanctification] comme base essentielle de vie chrétienne ; comme Centre de Vie d'où rayonnent tous autres éléments de Vérité. Aucun élément de vérité ne doit jamais être poussé jusqu'en ses limites extrêmes, au détriment des autres, mais rester sous le rayonnement de la Croix.

Suivre le chemin de là foi, c'est regarder constamment à Jésus-Christ crucifié, en comptant sur l'Esprit de Dieu pour que s'exercent en nous, la puissance de séparation de Sa Mort, d'abord ; puis, celle de Sa Vie. Alors seulement, Christ sera « formé en nous » ; et nous pourrons croître jusqu'en la mesure de la stature parfaite de Christ.

Que toute âme rachetée par le précieux Sang de Christ, qui croit que la prédication de la Croix est la puissance de Dieu, qui a décidé de mourir avec Christ, et s'est unie au Seigneur ressuscité, veille à recourir incessamment à la Croix, bénissant Dieu de s'y trouver crucifiée, avec son Sauveur.

Là, par la foi en l'action de Dieu, condamnons à la mort de la Croix toutes les manifestations de vie charnelle et d'égoïsme, que nous remarquons en nous; comptant que le Saint-Esprit rendra témoignage à la mort de Christ en nous délivrant de tout péché. Agissons avec promptitude. Selon sa promesse, Dieu fera briller la Lumière sur notre chemin. Rejetons impitoyablement ce qu'il nous montre comme ne venant pas de Lui. Alors, en sa Sainte Présence, à la lumière de Sa Face, nous ne tarderons pas à découvrir la corruption, là où nous ne voyions autrefois que pureté et beauté.

Par la foi en la fidélité de Dieu, vivons dans l'instant présent ; comptant que le Saint-Esprit nous communiquera l'Esprit de Jésus. Comptons sur Sa Force pour l'accomplissement de ce qui se présente à faire dans le chemin du devoir, croyant que c'est Dieu qui opère en nous; le vouloir et le faire selon son bon plaisir. Si, en quelque chose, nous nous sommes fourvoyés, si nous n'avons pas suivi les pas de Jésus, comptons sur sa puissance et sa bonté pour nous remettre dans le droit chemin. Ne nous abandonnons pas à de vains regrets. Mais, comptant sur Son Amour, confions-nous parfaitement en Lui.

Par la foi au Christ ressuscité, marchons avec Lui, résistant à toutes tentations de regarder en nous-mêmes, ou de retomber sur nous d'aucune manière. Que Sa Parole demeure en nous richement : ce sont les Écritures qui nous enseignent Sa Volonté. Disons au Seigneur l'ardent désir de nos coeurs, qui est qu'il nous emploie à Son Service pour la conversion des âmes ; qu'il se serve de nous pour se révéler à ceux qui nous entourent.

Et par la foi, demeurons debout ! Ne t'élève pas, mais crains, nous dit l'Apôtre. De quoi te servirait aucune expérience de Sa Grâce dans le passé, si tu te détournais de Lui. Tu n'as que ce qu’il te donne instant après instant. L'ennemi est là ; il veille, prêt à te prendre au piège si tu lui en fournis l'occasion. Ta seule sécurité, c'est de rester cachée en Christ qui intercède pour toi devant le Trône de Dieu. Marche dans la Lumière ; soumets toutes tes» actions à la Lumière, pour t'assurer qu'elles ont bien leur source en Dieu (Jean III, 21). Le Sang de Jésus-Christ son Fils te purifiera de tout péché, et tu marcheras en une communion bénie avec ton Seigneur.

« Retenons fermement la profession de notre espérance pour qu'elle ne chancelle pas. Il est fidèle Celui qui a promis (Heb. X, 23). Si nous sommes infidèles, Il demeure fidèle ; Il ne peut se renier Lui-même (2 Tim. II, 13). »


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