Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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(Notre confession de foi: ici)
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TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
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PROMENADES À TRAVERS LE PARIS DES MARTYRS
1523 - 1559



CHAPITRE VI

 La Place de Grève (Suite 2)

Notre ami Du Mont, (13) écrivait-il le 1er juillet 1529, à un jeune flamand compatriote et ami de Berquin, Charles Utenhove, notre ami Du Mont, dont tu connais la véracité scrupuleuse, n'a rien voulu écrire d'autre sur ce sujet que ce qu'il a vu lui-même et de tout près. Il était donc présent et très voisin d'un endroit par où la charrette le menait au supplice. Ni par son visage, ni par aucun geste de son corps, il ne donnait le moindre signe d'un esprit troublé. On eût dit qu'il était dans son cabinet, songeant à ses études, ou à l'église, pensant aux choses célestes. Même, pendant que, le bourreau proclamait d'une voix farouche le crime et le châtiment on ne vit rien changer dans la fermeté de son visage. Sur l'ordre de descendre du char, il descendit sans hésiter, lestement. Il n'y avait non plus en lui rien qui ressemblât soit à de l'audace, soit à de la dureté qu'une grandeur malsaine produit parfois chez les méchants. C'était la tranquillité d'une âme se rendant bon témoignage à elle-même qui reluisait en lui. »

« Aille qui voudra harceler ces Phormions (14) » s'écriait Érasme en terminant le récit d'une mort si injuste. Enfin, faisant allusion au bruit qui avait couru d'une prétendue rétractation de Berquin, il disait : « Pour moi, je n'ai pas la moindre confiance dans les paroles du franciscain ; car c'est la coutume de ses pareils, après la mort d'un supplicié, de faire, courir le bruit qu'au milieu des flammes, il a chanté la palinodie, afin de recueillir l'honneur de la religion vengée en même temps qu'ils évitent la haine de la multitude et le soupçon d'imposture. »

La mort de Berquin fit une impression énorme. Elle terrorisa les timides. Elle exaspéra contre l'Eglise persécutrice les coeurs plus hardis, elle augmenta, le nombre des ennemis secrets d'une institution qui tentait de se sauver par de pareils moyens. Plus que jamais, les luthériens » pullulèrent dans Paris.

Clément Marot, « luthérien » lui-même, et que le retour de François 1er, en 1526, avait tiré de prison, célébra la mort de son ami dans des vers où il rendait hommage à la piété et à la foi du martyr. La pièce est habile. Clément prend ses précautions, il ne veut pas que son chant, funèbre le mène lui-même en place, de Grève. Berquin est mort : « Plein toutefois de la foi catholique ».

Comme les premiers réformateurs, le poète réclame pour les partisans des idées nouvelles le titre de vrai chrétien et de vrai catholique. Mais le lecteur ne se laissera pas tromper par quelques vers qui font surtout office de paratonnerre. Au fond, c'est un luthérien bien teinté qui déplore la mort d'un frère condamné à mourir

D'infâne, dur et publique trépas.

On aimera retrouver ici cet hommage du poète au martyr : (15)

Puys tellement ton cas on démena,
Que ton appel à la mort te mena ;
Et quand tu suz, tu fléchiz les genoulx,
Disant ainsi : « Jhesus, sauveur de nous,
Tu as pour moy souffert la mort très dure,
C'est bien raison que pour toy je l'endure » -
Et là-dessus prononças maint beau traiet
Consolatif, de l'Evangille extraict,
Qui tant de foy et d'espoir lors te livre
Que, allant mourir, tu semblois aller vivre. -
Lors le bourreau, la main sur toy boutée,
A de ton col la chesne d'or ostée,
Et, en son lieu, subit, sa propre main
Mit le cordeau cruel et inhumain,
Non pas cruel, mais plutost gracieulx,
Car, par luy es hors du val soucieulx
De ce vil monde. Adonc en te desplace
De la prison, et t'en vas en la place
Où ce dur peuple on voit souvent courir,
Pour voir son frère estrangler et mourir.
Et en est aise et si ne sçut pourquoy ;
Et se on actaint quelqu'un qui ayt de quoy,
Tous font tel chère à sa mort qui approche,
Comme allans veoir un jeu de la bazoche.
Dames y vont, hommes chambres leur louent,
Et là Dieu sait les beaulx jeulx qui s'y jouent
Le temp,s pendant que confesser on faict
Le pauvre corps que on va rendre deffaict.
Croy, cher amy, qu'on ne fit pas telle feste
Quand tu nasquis que quand ta mort fut preste.
Las ! tu mourras (16) comme hérèse en publique,
Plain toutesfoys de la foy catholicque,
Sans soustenir contre la loy de Dieu
Ung seul propos. Qu'ainsi soit, sur le lieu,
Après ta mort, Merlin, ton confesseur,
Crya tout hault : « Peuple, je te fays seur
Que, cent ans a, ainsi je le maintien,
Il ne mourut homme meilleur chestien ».
Et, sans cella, mon frère en Jhesu-Crist,
N'eusse voulu t'envoier cest escript.
Car il n'affiert chestienne poesye
Louer aucun qui meurt en hérésie.
Si rendz à Dieu louanges immortelles
De ta grand mort. On blasme les mortz telles,
Mais je supply ceulx de ton parentaige
Ne le voulloir prendre au désavantaige
De leur honneur, et penser en eulx mesmes
Que ceulx qui ont éternelz dyadesmes
Lassus au ciel, ont bien passé le pas
D'infâme, dur et publicque trespas
Infâme, dis-je, quant au monde esgaré,
Auquel tel homme en son lict bien paré
Pourra mourir et avoir couverture
En terre saincte et riche sépulture,
En grand danger, peult estre, de descendre
Plus bas que (ceulx) par bourreaulx mys en cendre.

Quant à Marguerite de Valois, après la mort de Berquin, elle composa le cantique des martyrs

Réveille-toi, Seigneur Dieu,
Fais ton effort,
Et viens venger en tout lieu
Des tiens la mort.
Tu veux que ton Evangile
Soit preschée par les tiens
En chasteau, bourgade et ville,
Sans que l'on en cele rien.
 
Donne à tes servans,
Coeur ferme et fort
Et que d'amour tous fervens
Ayment la mort...

La cour de François 1er ne fut pas seule à regretter Louis de Berquin. Le peuple n'était pas tout entier perdu de superstition et de bigotisme. L'attitude du martyr avait frappé plus d'un coeur et, à Amiens, où il était fort connu, il y avait beaucoup de gens pour dire que Berquin était mort pour la foi, en martyr comme St-Laurent (17).

Quelques mois après le supplice de Berquin, le Parlement poursuivant ses sévérités sous l'autorité du pape, faisait brûler sur la même place de Grève un nommé Milles Regnault, dit Milliaut pour « ses exécrables et détestables blasphèmes contre l'honneur de Dieu et de la glorieuse Vierge Marie (18). Le 19 mars 1534, c'était encore au même endroit le tour d'un hérétique anonyme qui, d'après Pierre Driart, « mourut obstiné » sans avoir voulu ni se confesser, ni se convertir. On lui avait préalablement coupé la langue à cause des « gros blasphèmes » qu'il disait. Nous savons ce qu'étaient ces gros blasphèmes. C'était tout simplement l'exposé de la foi évangélique.

La place de Grève avait vu, en 1530, une exécution plus juste, celle d'un prêtre meurtrier, Pierre du Ponat, vicaire de Méru, qui de passage à Paris avec son curé, l'avait égorgé la nuit, ainsi que son valet, dans une chambre du collège d'Autun devant St-André des Ares. Le meurtre est du 29 avril 1530, l'exécution fut faite cinq jours après. On était expéditif alors ! Le 4 mai, le prêtre fut mené, devant le parvis de Notre-Dame. Là il fut dégradé, dépouillé de ses habits, habillé en habits de « fol ». On le conduisit sur un tombereau devant la porte du collège d'Autun. Là, sa main criminelle fut coupée, le malheureux, ramené en Grève, y fut brûlé. « Ce qui ne cesse de nous étonner, conclut Fournier, c'est l'étrange disparate des choses, qui, tour à tour, avaient cette place de Grève pour théâtre, et les mêmes gens pour spectateurs ; c'est le contraste inouï d'un bûcher d'hérésie avec le feu de joie de la St-Jean qu'il y remplace. » (19)
Mais le supplice qui eut le plus grand retentissement et qui eut pour la France d'alors les plus graves conséquences, fut celui d'Anne Dubourg.

Né à Riom en 1520, Anne Du Bourg, neveu d'un chancelier de France, était conseiller au parlement de Paris depuis 1557. C'était un homme paisible, savant, pieux, d'une vie exemplaire. Il appartenait à ce groupe de conseillers qui commençaient à trouver excessives et scandaleuses les mesures draconiennes prises contre ceux qui ne commettaient d'autre crime que de vouloir réformer une église qui en avait grand besoin. Ces conseillers tolérants formaient la majorité à la Chambre dite de la Tournelle. Au contraire ceux de la Grand'Chambre étaient en majorité d'énergiques brûleurs. Les uns renvoyaient les « luthériens » en les condamnant à une amende, les autres les envoyaient au bûcher. Pour faire cesser cette situation anormale, on résolut de convoquer une mercuriale pour le dernier mercredi d'avril 1559.

La discussion parut d'abord se dérouler librement. Le président du Ferrier demanda la convocation d'un concile pour réformer l'église, le conseiller Le Goïeu opina qu'il fallait laisser un délai de six mois aux Luthériens pour se dédire. Si après ce temps, ils s'obstinaient, il fallait les bannir du royaume en leur laissant leurs biens. Le conseiller Fumée signala les abus existants que seul un Concile pourrait extirper. Les plus doctes et les mieux famés des conseillers partageaient ces opinions. Mais le président le Maistre, médiocre et astucieux et le président Minard, intrigant et voluptueux, pour faire leur cour au roi, lui signalèrent le dangereux état d'esprit de leurs collègues. Ils les dénoncèrent comme étant en majorité luthériens et désireux d'attenter à la puissance royale. Il fallait arrêter cette mercuriale ou bien c'en serait fait de l'Eglise.

Henri II, borné d'esprit et dirigé par le cardinal de Lorraine et la duchesse de Valentinois, accepta ces suggestions. Pour intimider les conseillers récalcitrants, il décida de tenir un lit de justice. Mais il se heurta - chose nouvelle à des hommes courageux qui osèrent opiner devant lui avec une noble liberté.

Claude Viole, Du Faur, osèrent parler des abus ecclésiastiques et dénoncer ceux qui vraiment troublaient l'église. Du Bourg invité à opiner à son tour, fit observer et cela, frappe en effet aujourd'hui l'historien, que les vices et adultères restaient impunis, tandis qu'on inventait tous les jours de nouveaux supplices pour des gens qu'on n'avait encore pu convaincre d'aucun crime. Il montra que l'on ne pouvait accuser les luthériens de lèse-majesté, puisqu'ils ne parlaient du roi que pour prier pour lui ; il dit enfin que leur vrai crime consistait en ce qu'ils découvraient les crimes énormes et honteux de la puissance romaine qui roulait dans la décadence et demandaient la réformation. Il conclut en disant : « Ce n'est pas chose de petite importance que de condamner à mort des gens qui invoquent au milieu des flammes le nom de Jésus-Christ. »
Le roi n'était pas habitué à un pareil langage. Le mot de du Bourg sur les adultères l'avait piqué au vif. Il entra dans une violente colère, il fit arrêter sur l'heure le conseiller courageux ; et il s'oublia au point de jurer qu'il le verrait brûler de ses yeux.

Le procès de Du Bourg commença. Il dura de longs mois, mais la victime était réservée d'avance au bourreau. À Paris, bon nombre de citoyens en suivirent les péripéties avec un intérêt passionné. La reine-mère reçut des menaces, on chercha à enlever Du Bourg, à retarder sa mort, rien n'y fit ; le courageux défenseur des droits de la conscience fut condamné à être brûlé. Du moins, son séjour en prison lui permit-il de rédiger une belle confession de foi que Read a donné entière dans la France Protestante et très probablement aussi une Oraison funèbre (20) qui faisait entendre au Parlement et au roi des avertissements que ceux-ci eurent grand tort de ne pas écouter. Le cardinal de Lorraine, ce « rouge Phalaris », y était traité comme il le méritait. C'est une chose grave pour des rois que de mériter l'apostrophe du martyr : « Vous roys de maintenant, pensez-vous échapper à la fureur de Dieu, ne portant non plus de révérence à sa parole ?.... Regardez, je vous prie, regardez avec vous, combien de feux vous avez allumés pour penser anéantir cette vérité, consumant tant de corps aux entrailles desquels était si bien engravé la connaissance d'icelle... » C'était le 21 décembre 1559, le jour où il comparut devant ses juges, que Du Bourg avait prononcé ces paroles. Tourné vers ses anciens collègues, Du Bourg, continuant sa harangue, leur avait dit avec une âpre éloquence : « Je vois pleurer quelques-uns d'entre vous. Pourquoi pleurez-vous.. Nos consciences sont poursuivies du jugement de Dieu et les condamnés se réjouissent du feu. Les rigueurs ne les épouvantent pas, les injures ne les affaiblissent pas... Quoi qu'il en soit, je suis chrétien, un chrétien mourant pour la gloire de mon Seigneur. Et puisqu'il en est ainsi, que tardé-je ? « Happe-moi, bourreau, mène-moi au gibet. »

LA MERCURIALE TENUE AUX AUGUSTINS LE 10 JUIN 1559.
G - Anne Du Bourg opinant en présence du roi Henri Il.
K - Anne Du Bourg conduit à la Bastille.
(en haut à droite)

Du Bourg cessa un moment de parler. Mais bientôt reprenant la parole, il dit à ses juges avec un accent qui les émut jusqu'aux larmes, qu'ils l'envoyaient au supplice pour n'avoir voulu placer qu'en Jésus-Christ, la justice, la grâce, la pacification, le mérite, l'intercession, la satisfaction et le salut et qu'il mourait pour la doctrine de l'Évangile. Enfin, il termina son discours par ces mots :

« Cessez, cessez vos bruslemens et retournez au Seigneur en amendement de vie, afin que vos péchés soient effacez ; que le méchant délaisse sa voye et ses pensées perverses et qu'il se retourne au Seigneur, et il aura pitié de lui. Vivez donc et méditez en icelui ô sénateurs et moy je m'en vay à la mort. » (21)

Des ordres furent aussitôt donnés, dit la Chronique de Crottet, pour rassembler deux cents cavaliers et quatre cents hommes de pied, afin d'accompagner le condamné au supplice. Afin de mieux déjouer encore les entreprises que ses amis pourraient tenter pour sa délivrance, on eut soin d'élever un bûcher et une potence sur toutes les places destinées aux exécutions.

Deux jours après, c'était le jour de Noël, on fit monter Du Bourg sur la fatale charrette, on lui lia les mains selon l'usage, puis on le conduisit sur la place de Saint-Jean-en-Grève où devait se terminer sa vie. Arrivé au lieu du supplice, il conserva toute son assurance et se dépouilla lui-même de ses vêtements. Alors seulement, quoiqu'il eut promis de s'abstenir de haranguer les assistants, il ne put s'empêcher de s'écrier en poussant de profonds soupirs : 0 Dieu ! mes amis, je ne suis point ici comme un larron ou un meurtrier : mais c'est pour l'Évangile. Mon Dieu, dit-il encore au moment où on l'élevait au-dessus du bûcher pour le pendre, ne m'abandonne point, afin que je ne t'abandonne. Il ne resta bientôt de ce généreux martyr qu'un cadavre, qui devint à son tour la proie des flammes. Les autres conseillers échappèrent à la mort, par le moyen d'amis ou de rétractations.

Le supplice de cet homme, victime de sa fidélité à l'Évangile, produisit une grande sensation à Paris et dans le reste de la France, et un écrivain contemporain, témoin oculaire de la fin courageuse de Du Bourg, nous rapporte que cette mort fut loin de nuire à la Réforme. « Il me souvient, dit-il, que quand Anne du Bourg, conseiller au Parlement de Paris, fut bruslé, tout Paris s'estonna de la constance de cet homme. Nous fondions en larmes dans nos collèges, au retour de ce supplice et plaidions sa cause après son décèz, maudissant ses juges injustes qui l'avaient injustement condamné. Son presche à la potence et sur le bûcher, fit plus de mal que cent ministres n'eussent sceu faire » (22).

En effet, les persécutions dirigées depuis près de quarante ans, avec une fureur toujours croissante, contre ceux qui abandonnaient l'Eglise romaine pour s'attacher aux doctrines de l'Évangile n'avaient pas arrêté les triomphes de la Réforme. La fin glorieuse de tant de confesseurs de Jésus-Christ ne fit qu'affermir et consolider le grand oeuvre entrepris par Lefèvre d'Etaples, Farel et Calvin. On peut considérer avec raison, l'année 1559 et le commencement de 1560 comme l'époque où la réformation pacifique atteignit son apogée en France et dans le Béarn, car elle comptait déjà près de deux millions de sectateurs (23), nombre considérable, si on le compare au chiffre total des Français d'alors.

« Il n'y avait, dit Mézeray (24) ni ville, ni province, ni profession où les nouvelles doctrines n'eussent pris pied : les gens de robe, les gens de lettres et les ecclésiastiques mêmes, contre leur propre intérêt, s'en laissaient charmer. Les supplices ne faisaient que les répandre davantage. »

« Il est certain, dit ailleurs le même auteur, (25) que sans eux (le Duc de Guise et le cardinal de Lorraine) la religion ancienne eût fait place aux nouvelles sectes.

LE CONSEILLER ANNE DU BOURG EST BRÛLÉ EN PLACE DE GRÈVE, LE 21 DÉCEMBRE 1559.

L'EGLISE SAINTE-CATHERINE
ET LE PRIEURÉ SAINTE-CATHERINE DU VAL DES ÉCOLIERS
AU XVIIE SIÈCLE.


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(13) Philippe Du Mont, ancien procureur d'Henri VIII à la Cour de Bruxelles.

(14) Un ridicule rhéteur grec. Mais les rhéteurs ne brûlaient personne.

(15) Cf. Bull. 1862, p. 129, et ibid., 1903, P, 97.

(16) Tu mourus ?

(17) N. Weiss et Bourilly, Jean du Bellay, 1904, p. 7.

(18) Ibid. p. 70.

(19) Paris à travers les âges. Hôtel de Ville, p. 19.

(20) Cf. Matthieu Lelièvre, Anne Du Bourg, Bull., 1888, p. 518 et 519.

(21) Crespin. Martyrologe, livre VII, p. 475,

(22) Florimond de Raemond, liv. VII, p. 866.

(23) De Thou, Hist. Liv. XXII et XXIII, an 1559, Emile de Bonnechose, Hist. de France, tom. I, p. 346.

(24) Vie de Henri II, à l'an 1559.

(25) Vie de François II, à l'an 1560.

 

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