Appel de Minuit
07 / 1999
Texte intégral
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Le chemin
le
plus court vers la catastrophe
Retour en arrière:
la
plus grande erreur de l'histoire humaine
La persécution des
chrétiens sous le régime communiste de l'Union soviétique a été la plus
grave du genre dans l'histoire humaine. Les efforts que les maîtres du
Kremlin ont faits pour détruire les églises et la foi chrétienne ont
réclamé des millions de victimes. En même temps, l'effondrement du
système soviétique montre que le projet de créer un être humain sans
religion a complètement échoué.
Telle est la
conclusion
de Michel Bourdeaux (Oxford), le fondateur du célèbre Institut anglais
pour l'étude des églises orientales. Dans son analyse tout à fait
remarquable, il souligne que les dirigeants soviétiques n'ont rien
négligé pour faire disparaître, « région après région et un par un»,
tous les signes visibles de la foi chrétienne. Dans les années 30, ils
ont fermé presque toutes les églises; ils ont dévasté les bâtiments ou
leur ont donné une autre destination en tant que dépôts, salles de
cinéma ou toilettes publiques. Géographiquement parlant, la persécution
des chrétiens s'est étendue sur toute l'Europe centrale et orientale
dominée par les communistes.
A cet effet, on a
mis en
oeuvre des instruments d'oppression et de surveillance raffinés. La
propagande a contraint les autorités ecclésiastiques à minimaliser
l'importance de l'oppression. Les chrétiens persécutés étaient
présentés comme des «éléments antisoviétiques» et diffamés comme des
criminels. Voilà ce que l'on racontait aux délégations d'églises
étrangères et ce que l'on expliquait lors des réunions oecuméniques.
«Trop souvent», dit Bourdeaux, «ces propos étaient répétés de manière
irréfléchie par les autres, comme s'ils contenaient ne fût-ce qu'un
brin de vérité».
L'athéisme était
la
pierre d'angle de l'idéologie soviétique. Beaucoup de chrétiens
occidentaux ont naïvement cru à un avenir où le communisme serait
libéré de son contenu athée. Dans cette perspective, ils oubliaient
volontiers que Lénine en personne avait appelé l'athéisme un élément
essentiel de son régime et que lui-même avait lancé de terribles
persécutions.
Pour Bourdeaux, la
leçon
que nous devons tirer de la déconfiture du système soviétique est
claire: «l'homme soviétique» a été la plus grande erreur de l'histoire
humaine. Il est un exemple probant de l'impossibilité de façonner une
société. L'homme qui se détourne de Dieu et qui essaie de prendre son
propre sort en main, s'engage dans «le chemin le plus court vers la
catastrophe». Il faudra des dizaines d'années pour effacer les dégâts
de l'héritage soviétique. Le vide spirituel, tant au niveau de
l'éducation que de la culture, est loin d'être comblé. Beaucoup de gens
sont «sans coeur et déracinés». Pour Bourdeaux, une chose est claire:
«L'homme ne peut vivre sans Dieu».
(P.-D.
N° 10/1999)
Le système
communiste de
l'ancienne Union soviétique est un exemple bouleversant, voire une
preuve de la vérité biblique affirmant que «celui qui méprise la
parole, court à sa perte» (Prov. 13, 13). L'ancien empire communiste,
qui a méprisé la Parole de Dieu et essayé de la détruire, a lui-même
disparu dans les plus brefs délais (Prov. 6, 15). En Proverbes 13, 23,
nous lisons: «Le champ que défriche le pauvre donne une nourriture
abondante, mais tel périt par défaut de justice.» Jadis, la Russie
était un pays abondant en richesses naturelles et l'une des principales
granges à blé du monde entier. Mais les gouvernements athées en ont
fait un mendiant qui est incapable de survivre sans l'aide d'autres
pays. Combien de malheurs l'idéologie athée n'a-t-elle pas causés aux
citoyens et aux peuples d'autres pays! C'est exactement ce que dit le
Psaume 14, 1: «L'insensé dit en son coeur. 'Il n'y a point de Dieu!'.
Ils sont corrompus, ils ont commis des actions horribles ... »
Mais une autre
vérité a,
elle aussi, été mise en évidence par le communisme, à savoir que,
malgré de violentes persécutions, l'Eglise ne peut être détruite. En
s'appelant le vrai rocher (Rom. 9, 33) et la vraie fondation (1 Cor. 3,
11), le Seigneur Jésus dit: « .. sur cette pierre je bâtirai mon Eglise
et les portes de l'enfer ne prévaudront pas contre elle» (Matth. 16,
18). Ainsi, une idéologie athée a contribué à l'affirmation de la
vérité biblique.
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Appel de Minuit
N.L.
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Nouvelles d'Israël
08 / 1983
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Comment
les Britanniques bloquèrent une paix particulière au Proche-Orient
Découverte
de documents secrets de l'année 1949
Des
documents de la diplomatie secrète, découverts récemment, dévoilent
qu'il y a plus de 30 ans, quelques Etats arabes étaient prêts à
contracter une convention de paix informelle avec Israël. Pourtant, ce
projet échoua, du moins en partie, auprès des Britanniques, qui les
persuadèrent de l'abandonner. La Grande Bretagne était alors la plus
importante puissance mondiale au Proche-Orient et elle utilisait son
influence en conséquence. Cela ressort d'un article dans le «San
Francisco Chronicle».
Les
documents secrets britanniques démontrent que la Grande Bretagne qui
avait une convention militaire avec quelques Etats arabes - travaillait
sans cesse à torpiller le rétablissement des relations pacifiques entre
l'Etat d'Israël nouvellement formé, et ses voisins arabes, en
particulier la Jordanie.
Peur
d'un éloignement de l'Ouest
Au
gouvernement de Londres, il y eut aussi des «colombes»
Peur
d'initiatives indépendantes
Même
la Syrie et I'Irak étaient prêts à faire la paix
Enjeu
de la Ligue arabe
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Nouvelles d'Israël
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Nouvelles d'Israël
09 / 1992
Texte intégral
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Colomb
était-il
juif?
Simon Wiesenthal,
directeur du Centre juif de documentation à Vienne, nous rend
attentifs, dans son livre «Les voiles de l'espérance», à la coïncidence
frappante de deux événements historiques (Ullstein Verlag, Berlin; 251
pages).
Le 3 août 1492,
jour du
départ des trois caravelles de Christophe Colomb, a vu entrer en
vigueur un décret royal interdisant aux Juifs de séjourner en Espagne.
Wiesenthal a fait des recherches sur cet événement étonnant avec
beaucoup de perspicacité et de zèle.
En voici le
résultat:
Colomb était, selon toute vraisemblance, un Juif (thèse déjà défendue
par Madariaga dans sa remarquable biographie de Ch. Colomb). Parmi les
membres de son équipage se trouvaient également de nombreux Juifs.
Chose plus
frappante
encore: Contrairement à ce que l'on pense généralement, ce ne fut pas
la reine Isabelle qui finança l'expédition, mais bien le «Marrane»
(donc le Juif baptisé) Luis de Santangel.
D'où cette
pertinente
question de l'auteur: L'expédition de Ch. Colomb n'avait-elle pas, en
réalité, pour but de trouver une nouvelle terre d'habitation - une
colonie - pour les Juifs privés de leurs droits et persécutés dans la
très catholique Espagne?
Wiesenthal se
refuse à
se prononcer nettement, mais, dans son étude fouillée, il avance toute
une quantité d'arguments de poids à l'appui de sa thèse. A côté
d'intéressantes considérations historiques, son livre nous permet de
passer quelques heures d'une lecture fort agréable.
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Nouvelles d'Israël
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Nouvelles d'Israël
Février 1987
De Ludwig Schneider
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David Ben
Gourion
«Il y a cent ans,
une
étoile est sortie de Jacob. Non pas un messie ou un fils de roi. Un
simple homme, un homme juif ... ». C'est par ces paroles que Chaïm
Herzog inaugura une série de célébrations en l'honneur du centenaire de
la naissance de David Ben Gourion.
Ben Gourion, David
Gruen
de son vrai nom, est né le 16 octobre 1886 à Plonsk, près de Varsovie.
Lorsqu'il était enfant il apprit, dans un Cheder typiquement juif
oriental, l'histoire de ses pères. Le désir de se rendre au pays de ses
ancêtres s'implanta dans son jeune esprit, tendance qui trouva un
terrain particulièrement favorable au sein de l'association sioniste
naissante. Bien qu'il eût envisagé une formation d'ingénieur, ses plans
furent changés lors de la première révolution russe. C'est ainsi qu'à
l'âge de vingt ans, il partit pour Eretz Israël, en passant par Odessa,
Salonique et Beyrouth. A l'époque, la Palestine était encore sous
domination turque. Lorsque plus tard, on demandait son âge à Ben
Gourion, il rayait systématiquement les premières années de sa vie.
Lors de ses 80 ans, il déclara n'avoir que 60 ans - éliminant les vingt
ans de diaspora. Personnellement, j'ai fait connaissance de Ben Gourion
lors de la naissance de notre premier fils (Aviel) en 1966. Son
extraordinaire vitalité, en dépit de ses 80 ans, vitalité empreinte
d'une sagesse issue de l'expérience expliquait sa prétention d'être
plus jeune. En outre, malgré sa petite taille, il paraissait grand.
En dépit de ce
portrait
positif, les Israéliens étaient, à l'époque, très partagés à son sujet.
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Nouvelles d'Israël
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En ce temps-là, la Bible
No 66 pages II-III.
Werner KELLER
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Le
déclin de l'Orient ancien
L'époque
de la captivité d'Israël marquera un tournant de l'histoire dans ce
Proche Orient dont notre Occident européen sera, tardivement, peu ou
prou l'héritier. Le bouleversement qu'évoque encore Werner Keller dans
sa « Bible arrachée aux sables »I est annoncé par JÉRÉMIE, chap. 25,
vers. 32 : « Un grand ouragan se lèvera des extrémités de la terre. »
Les
aiguilles de la grande horloge de l'histoire s'approchaient alors de
l'année 500 av.J.-C. Le soleil de l'Orient ancien était à son déclin :
ses peuples s'en rendaient confusément compte.
Pourtant,
ces nations fatiguées furent encore capables de manifester leur
vitalité. De l'Égypte aux pays de l'Euphrate et du Tigre, une dernière
réaction contre la décadence se dessina. Les souverains crurent pouvoir
une fois encore éluder l'inévitable en retournant aux sources du
glorieux passé de leurs empires.
Les
pharaons essayèrent de reconquérir la Syrie et Canaan. La vingt-sixième
dynastie s'était donné pour idéal l'Ancien Empire et les « campagnes
contre l'Asie ». De puissantes flottes furent construites et l'on
s'efforça de restaurer le canal reliant le Nil à la mer Rouge.
Si
de tels sursauts d'énergie demeurèrent sans succès, il n'en est pas
moins établi que cette tentative pour ressusciter l'époque grandiose
qui avait vu construire les pyramides porta ses fruits dans d'autres
domaines. Peintres et sculpteurs se mirent à copier les oeuvres de
leurs grands ancêtres. Des noms de pharaons du troisième millénaire
furent gravés sur de nouveaux scarabées. D'anciens titres furent remis
en honneur dans l'administration.
Les
derniers « feux » d'Assur et de Babylone
© En
ce temps-là, la Bible
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Nouvelles d'Israël
10 / 1992
Texte intégral
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Découverte
d'une cachette datant de la grande insurrection contre les Romains en
Galilée
Des fouilles
archéologiques effectuées dans l'ouest de la Galilée ont mis à jour un
réseau de cachettes souterraines qui permettait aux Juifs de fuir à
l'époque de la grande insurrection en Galilée à la fin de la période du
deuxième Temple (dans les années 66-70 de notre ère).
Ce système de
repaires
se situe dans le village d'Iblin sous un bâtiment datant de l'époque
des croisés. Les autorités responsables des recherches. archéologiques
ont découvert un réseau énorme de galeries souterraines, de grandes
citernes, de passages secrets et de pièces d'habitation.
D'après les
archéologues, cette cachette servait aux Juifs de la région, qui
fuyaient les légions de Titus Flavius Vespasien. Titus, avant de
conquérir le Temple et de le réduire en cendres, se rendit d'abord en
Galilée, pour réprimer la révolte qui y avait éclaté. (ZL)
©
Nouvelles d'Israël
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Appel de Minuit
07 / 1999
Texte intégral
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Le déluge
est
un fait historique
Texte intégral
Le surgissement
d'un
massif alpin
Le massif alpin
d'Aramie
près d'Ascona, dans le Tessin (Suisse), permet aux géologues de jeter
un coup d'oeil dans les processus qui se déroulent dans les profondeurs
de la terre. Krassimir Bochilov et ses collègues de l'université de
Californie, à Riverside, ont découvert dans la roche de ce massif une
mince plaque du minéral clinostat ayant des cristaux d'une structure
particulière. Ces cristaux doivent être formés, quand la roche est
libérée d'une grande pression. Des essais en laboratoire ont montré que
ce minéral. qui ne peut exister que sous une très haute pression,
obtient la structure à présent découverte, lorsque la pression diminue.
Les chercheurs en
ont
conclu que l'ensemble du massif, qui mesure 800 mètres sur 500, a dû se
trouver à une profondeur d'au moins 250 kilomètres lors de la formation
des Alpes, voici 40 millions d'années. Jusqu'à présent, beaucoup de
géologues estimaient qu'il était impossible de trouver à la surface de
la terre des roches venues d'une telle profondeur. On ne comprend pas
comment le massif a pu descendre jusque là. Lors de la formation des
Alpes, la croûte terrestre en Europe méridionale a probablement été
pliée et enfoncée en profondeur puis a ressurgi. Le massif étant plus
léger que la roche environnante, il a remonté comme un pain de savon
dans une baignoire. Il pourrait ainsi avoir entraîné des petits débris
de la roche profonde, comme le font croire certains cristaux du minéral
ilménite qui ont également été trouvés dans la roche.
Cela permet aux
géologues de jeter un regard dans des profondeurs inaccessibles: les
roches à la surface de la terre viennent presque toutes de la couche
supérieure de 40 kilomètres de la croûte terrestre. Ce n'est qu'à
quatre endroits de la terre que l'on a trouvé des roches qui avaient
atteint une profondeur de 100 kilomètres.
(TAGES-ANZEIGER,
14.4.1999)
On ne comprend
guère
comment on ose toujours tout à nouveau avancer la théorie
évolutionniste face à de telles découvertes, et donc nier la création,
car ces découvertes scientifiques s'inscrivent en effet mieux dans les
récits bibliques. La Sainte Ecriture ne parle pas en termes de 40
millions d'années, mais elle fait par contre le récit d'un déluge. En
tenant compte de ce dernier dans les calculs, on ne doit pas avoir
recours à de telles périodes astronomiques, mais on s'émerveille devant
la vérité des propos bibliques. La structure exceptionnelle est
vraisemblablement le résultat de la diminution d'une très grande
pression.
Cette pression
n'aurait-elle pas été soulagée par le déluge, qui était tellement
violent qu'il aurait pu enfoncer la surface de la terre en profondeur
et faire remonter les couches inférieures? La Bible dit: «L'an six cent
de la vie de Noé, le second mois, le dix-septième jour du mois, en ce
jour-là toutes les sources du grand abîme jaillirent, et les écluses
des cieux s'ouvrirent ... Les eaux grossirent et s'accrurent beaucoup
sur la terre, et l'arche flotta sur la surface des eaux» (Gen. 7,
11.18). Certains scientifiques chrétiens estiment que les Alpes ont été
formées pendant le déluge et n'ont certainement pas 40 millions
d'années. A la suite de la diminution de la pression sous l'effet du
déluge, la structure de ce minéral a été formée.
Alors que les
chercheurs
sont étonnés et n'arrivent pas à comprendre comment le massif aurait pu
descendre à une telle profondeur et comment des roches ont pu monter de
cette profondeur jusqu'à la surface de la terre, les lieux bibliques
susmentionnés nous l'expliquent fort bien. En apprenant que cette roche
vient d'une profondeur de 100 kilomètres, nous pouvons nous faire une
idée de la vertigineuse violence du déluge. Vraiment, le Seigneur est
tout-puissant. Dans Sa toute-puissance, Il peut aussi bien créer
qu'anéantir. Il peut condamner, mais aussi sauver, comme Il l'a prouvé
à Golgotha. Sa puissance est tellement grande que l'apôtre Paul peut
affirmer: «Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus et si tu
crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé»
(Rom. 10, 9).
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Appel de Minuit
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Nouvelles d'Israël
02 / 1994
Texte intégral
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Les
dernières
heures des Juifs de Jéricho en l'an 65 après Jésus-Christ
Texte intégral
Des découvertes
archéologiques impressionnantes dans une grotte au-dessus de Jéricho
apportent des témoignages émouvants sur les dernières heures de la vie
des Juifs de Jéricho, qui avaient fui en l'an 65 après Jésus-Christ
devant les armées romaines.
Ces découvertes
confirment les écrits de Josèphe Flavius qui, dans le livre «La guerre
juive», relatent comment les Juifs de Jéricho se sont réfugiés dans une
caverne et y sont morts.
Cette caverne a
été
fouillée dans le cadre de l'action «Parchemins» organisée par les
autorités archéologiques, dont nous avons déjà parlé le mois dernier.
Le but de cette action était de trouver des objets antiques dans le
désert de Juda et dans la région de Jéricho avant que ces territoires
ne soient cédés aux Palestiniens. Cette caverne compte une pièce
centrale donnant accès à six chambres creusées dans le rocher, ainsi
qu'un «balcon» qui a vue sur Jéricho.
Il se trouve parmi
les
objets trouvés des vestiges d'un talith (un vêtement que la Thora
ordonnait à chaque Juif de porter), de couleur rouge, comme il était
d'usage à l'époque; une pièce de monnaie datant de la deuxième année de
la révolte; des bijoux, du nécessaire de maquillage et de la poudre de
couleur, ce qui tend à prouver que des femmes y habitaient également;
un peigne en bois avec, entre ses dents, des lentes.
Les restes de
plusieurs
grands feux allumés par les Romains à l'entrée de la caverne indiquent
de quelle manière la famille réfugiée là est décédée: étouffée par la
fumée. On a découvert près de ces feux une pièce de l'armure d'un
soldat romain. On a également trouvé dans la grotte la pointe d'une des
flèches tirées vers l'intérieur de l'habitacle par ces mêmes Romains.
Dans d'autres
cavernes
des alentours, les archéologues ont découvert des trésors de pièces de
monnaie et de bijoux datant de l'époque du premier temple, ainsi que le
squelette d'un soldat du quatrième siècle avant Jésus-Christ. Le
squelette de cet homme âgé, à sa mort, d'environ quarante ans, se
trouvait dans un sac fermé, placé sur une natte. A côté, il y avait un
arc et des flèches, ainsi qu'un couteau de silex portant des taches
rouges, vraisemblablement du sang.
©
Nouvelles d'Israël
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