Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
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TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
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LA PALESTINE AU TEMPS DE JÉSUS-CHRIST


CHAPITRE VI
LA POPULATION



Le Peuple Juif. - Le Contraste des Judéens et des Galiléens. - Leurs caractères, - Leurs relations. - Les Samaritains. - Leur Origine. - La haine réciproque des Juifs et des Samaritains. - L'influence étrangère en Palestine. - La haine des Juifs pour les Païens. - Le mépris des Païens pour les Juifs. - Le Prosélytisme et les Prosélytes. - Les langues parlées en Palestine. - Le Latin. - L'Hébreu !'Araméen. - Le Syriaque, le Chaldéen. - Le Grec.


Quelle population habitait la Palestine au premier siècle? Il est impossible de répondre à cette question sans remonter jusqu'au temps de l'exil et sans connaître les migrations des peuples qui se firent à cette époque. La nation fut presque tout entière emmenée en captivité, et, pendant l'exil, la Palestine ne fut, pour ainsi dire, habitée que par des païens. Ceux des Israélites qui revinrent plus tard, appartenaient exclusivement à la caste des prêtres et des lévites et aux tribus de Judas et de Benjamin (1). Ils trouvèrent dans le pays quelques restes épars des dix tribus qui avaient échappé à l'exil et qui se joignirent immédiatement à eux, « voulant s'éloigner de l'impureté des païens » (2) Quant aux dix tribus elles-mêmes, elles restèrent à Babylone, Josèphe l'affirme en propres termes (3), et au temps d'Aquiba, on se demandait s'il ne fallait pas attendre toujours le retour des dix tribus (4).
Les habitants de la Palestine furent donc à partir d'Esdras les descendants des seules tribus de Judas et de Benjamin, aussi reçurent-ils le nom de Juifs à la place de celui d'Hébreux qui servait autrefois à les désigner, mais ces Juifs étaient inégalement répartis sur le territoire de la Terre Sainte. Le plus grand nombre d'entre eux se rencontrait à Jérusalem même et en Judée. C'est là que leurs pères avaient vécu, c'est là qu'Esdras et Néhémie avaient accompli la grande oeuvre de la restauration nationale, c'est la que l'insurrection macchabéenne avait laissé les traces les plus profondes, c'est là que les Scribes et les Docteurs de la Loi avaient leurs écoles, c'est là, enfin, qu'était le Temple, le centre de l'activité religieuse, la forteresse imprenable du Judaïsme. Plus on s'éloignait de Jérusalem plus ou rencontrait de païens, Dans la ville même et dans toute la Judée, il n'y en avait pour ainsi dire pas. En Galilée, au contraire, on en trouvait beaucoup. La population galiléenne était fort mélangée; le vieux sang hébreu ne s'y était pas conservé pur et les Galiléens différaient beaucoup des Judéens. Le contraste des deux peuples était aussi frappant que celui des deux pays. Ici, une nature tour à tour riante et grandiose et une population à la foi simple et profonde, aux idées neuves et hardies; là, un sol aride et désolé et un peuple attaché à ses traditions, ne voulant connaître que la lettre de la Loi. En Galilée les esprits s'ouvraient volontiers aux croyances nouvelles; en Judée toute innovation venait se heurter à l'absurde orgueil du « Sofer » qui savait sa « Thora » par coeur. Le paysan galiléen, moins instruit que l'habitant des villes, pouvait cependant faire preuve de beaucoup plus d'indépendance dans les idées et d'un véritable esprit de liberté. Chez les bourgeois de Jérusalem, on ne trouvait au contraire que routine et préjugés. La Galilée a été le berceau du christianisme : c'est à Nazareth que Jésus a grandi. La Judée ne pouvait donner naissance qu'à un pharisaïsme étroit et à un saducéisme sans avenir.

La foi antique s'y pétrifiait. Elle est entrée au premier siècle et à Jérusalem dans le moule que lui avaient fabriqué les Scribes et dont elle n'est pas sortie depuis. Nous l'y voyons encore enfermée aujourd'hui. Les Galiléens étaient laborieux (5) et n'étaient point rêveurs. Leur idéal messianique devait être peu élevé. Sans doute l'élément juif dominait en Galilée. Ses habitants faisaient partie du peuple élu, mais il n'était pas rare de rencontrer des Galiléens d'origine phénicienne, syriaque, arabe et même d'origine grecque. Tout ce que nous savons des Galiléens par les Talmuds est de nature à nous les faire aimer. Ils disent bien qu'ils étaient querelleurs (6); mais, dans plusieurs passages, ils nous les montrent, au contraire, charitables et bienveillants : « Dans un endroit de la Galilée supérieure, on avait soin de faire servir tous les jours à un pauvre vieillard une portion de volaille, parce qu'il avait l'habitude de prendre cette nourriture aux jours de sa prospérité » (7). Les Galiléens étaient plus soucieux de l'honneur que de l'argent (8). Ils étaient superstitieux; les Syriens leur avaient appris à craindre les démons; du reste, leurs moeurs étaient très pures et ils payaient fort exactement l'impôt. Aussi Antipas était-il fort riche. Sa tétrarchie lui rapportait deux cents talents (9).

Le caractère doux et conciliant des Galiléens, la largeur de leurs idées, leurs fréquents contacts avec les païens, les faisaient mal voir en Judée. Le Galiléen qui montait au Temple pour les fêtes était regardé de haut en bas par les fervents et orgueilleux jérusalémites. Sa dévotion ardente était tournée en ridicule par les prêtres. On se moquait de sa prononciation vicieuse (10), et puis il passait pour ignorant; il ne savait pas la Loi; il n'était pas d'une orthodoxie correcte et on l'appelait volontiers « sot Galiléen » (11). Il était convenu qu'aucun homme sérieux ne pouvait sortir de la Galilée et en particulier de Nazareth (12). Rien ne justifiait un tel mépris, car le patriotisme du Galiléen était aussi ardent que celui du Judéen. En l'an 66, la jeunesse de Galilée fût la première à se lever et à montrer sa haine de l'étranger (13). Josèphe dit (les Galiléens; ils sont belliqueux () Si les Judéens et eux s'aimaient peu, cependant ils n'éprouvaient les tins contre les autres rien qui ressemblât à de la haine. Ils étaient trop voisins pour que leur jalousie mutuelle ne s'éveillât pas, mais leur rivalité portait toujours sur des points de détail, et, dans les grandes questions religieuses et patriotiques, ils savaient être profondément unis. On pourrait comparer ces deux petits peuples aux Genevois et aux Vaudois, qui ne perdent jamais une occasion de se critiquer, de se jalouser, de se tourner réciproquement en ridicule et qui, cependant, sont absolument unis dans toute question où les intérêts généraux de la Suisse se trouvent engagés.

Entre la Judée et la Galilée se trouvait la Samarie. Elle était habitée par une population qui était, de la part de tous les autres Palestiniens, l'objet d'une haine aveugle, implacable, mortelle. On ne peut l'expliquer qu'en rappelant l'origine des Samaritains.

Après la ruine du royaume d'Israël, le roi Salmanasar avait cherché à repeupler le pays et il y avait envoyé des colons venus des provinces de Babel, de Cuthra, d'Ava, de Hamath et de ; ceux de Cuthra furent les plus nombreux et, Sapharvaïm (14) ; plus tard, les Juifs, refusant de reconnaître les Samaritains pour leurs frères, les appelaient Cuthéens (15). Ils avaient un peu raison, car les habitants de la Samarie avaient beau se faire passer pour Israélites, ils étaient, en très grande majorité, d'origine étrangère. Cependant, païens de naissance, ils ne l'étaient plus de religion. Ils avaient adopté les croyances des Israélites restés dans le pays, et avaient fait du Pentateuque leur code sacré. Mais ils en étaient restés là; ils n'avaient voulu accepter ni l'autorité des livres des prophètes, ni les traditions chères aux Pharisiens ; à Jérusalem on les considérait comme de dangereux hérétiques. Adorant le même Dieu que le reste des Juifs, lisant avec une égale vénération les mêmes Ecritures, voyant comme eux en Moïse leur législateur suprême et l'envoyé de Jéhovah,ils étaient cependant plus détestés que les païens. L'hérétique est toujours plus redouté que l'infidèle ; et, en religion, une nuance crée d'ordinaire une scission plus grave qu'une opposition tranchée.
La haine, profonde dès le premier jour, alla toujours en augmentant, envenimée par les moindres événements auxquels le préjugé et la légende donnaient des proportions formidables. Elle éclata pour la première fois quand les exilés revinrent, conduits par Zorobabel et Josué (16). Elle augmenta encore quand Esdras et Néhémie arrivèrent en Palestine (17). Rien ne devait plus l'arrêter. La tradition finit par enseigner qu'Esdras, Zorobabel et Josué avaient solennellement anathématisé et excommunié les Samaritains au nom de Jéhovah (18). Sous Alexandre le Grand, il se passa un fait très grave qui rompit définitivement les relations des deux peuples (19). Manassé, frère du grand prêtre Jaddua, avait épousé la fille du gouverneur de Samarie ; jaloux de son frère, avide de pouvoir, il obtint d'Alexandre la permission de bâtir sur le mont Garizim un temple rival de celui de Jérusalem (20). Il en fut le grand prêtre, y attira des sacrificateurs et des lévites, les laissa épouser des femmes étrangères et le scandale de ces unions illicites et de ce culte nouveau mit le comble à l'indignation des Judéens (21).

Ce mélange de judaïsme et de paganisme leur apparut comme une abomination. Les vieilles traditions de haine du royaume de Juda contre le royaume d'Israël se réveillèrent aussi vives qu'autrefois (22). Au premier siècle, les rapports des Juifs et des Samaritains étaient pires que jamais (23). Les Galiléens qui se hasardaient à traverser leur province pour se rendre à Jérusalem couraient de vrais dangers (24). Mais il ne leur était pas défendu de tenter l'aventure. « La terre samaritaine est pure, l'eau y est pure, les habitations pures et les chemins purs » dit un des Talmuds (25). On comprend cette parole: la Samarie faisait partie de la « Terre Sainte », on ne courait donc aucun risque de contracter une souillure en la traversant. Seulement il fallait se résigner d'avance à y être insulté par les habitants et on ne pouvait se permettre aucune relation avec eux. Les Juifs évitaient même de demander à manger aux Samaritains : « un morceau de pain d'un Samaritain, disait-on, est de la chair de porc (26). » Il est vrai que Jésus traversant un jour leur pays, les disciples vont acheter des vivres à Sichem (27). Mais Jésus ne traitait pas les Samaritains comme le faisaient ses compatriotes. Ceux-ci, du reste, furent quelquefois plus larges : Rabbi Jacob bar Acha disait : « La nourriture des Cuthéens est permise pourvu qu'il n'y soit mêlé ni vin ni vinaigre » (28), et ailleurs nous lisons encore ce passage : « les azymes des Cuthéens sont permis et avec eux on peut remplir ses devoirs à la Pâque (29). »
Cependant une telle tolérance ne devait guère être de mise au premier siècle. Le Pharisien de ce temps-là évitait de prononcer même le mot de Samaritain, c'était un vilain terme, une expression grossière. Il ne se la permettait que lorsqu'il voulait faire à son adversaire une mortelle injure ; appeler un homme : Samaritain ! était la dernière des insultes. Le Juif ne la disait qu'après avoir épuisé son vocabulaire de gros mots. Dans la parabole du Bon Samaritain, lorsque Jésus dit au Scribe: « Lequel des trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé entre les mains des voleurs? » Le Scribe évite de répondre : c'est le Samaritain ; il emploie une périphrase : « c'est celui qui a exercé la miséricorde envers lui ». Il faut dire qu'un fait récent avait encore monté les esprits contre les Samaritains. Sous le procurateur Coponius, un des prédécesseurs de Pilate, quelques-uns d'entre eux se glissèrent dans le Temple au milieu de la nuit pendant les fêtes de Pâque; ils y répandirent des ossements et souillèrent le Lieu Saint. Le lendemain les prêtres ne purent y entrer pour officier (30). Du reste, la haine religieuse avait éteint dans leur coeur l'amour de la patrie. Ils furent favorables aux Séleucides et plus tard aux Romains. Le grand soulèvement de l'an 66 les laissa complètement indifférents. Ils y gagnèrent de ne pas être dispersés ou détruits comme les Juifs et, après l'effroyable catastrophe de l'an 70, ils continuèrent d'habiter la Samarie, et, fait étrange, ils y ont vécu jusqu'à nos jours.
Ce petit peuple existe encore ; il a survécu plus de dix-huit cents ans aux terribles bouleversements dont la Palestine a été le constant théâtre. Les Samaritains montrent au voyageur qui les visite un vieux manuscrit du Pentateuque qu'ils conservent avec soin, et ils n'ont nullement perdu leurs coutumes religieuses, car ils possèdent sur le mont Garizim un petit édifice, un temple, où ils célèbrent la Pâque, en immolant l'agneau pascal, ainsi que la Pentecôte, les Tabernacles et la fête des Expiations. Tout cela sera bientôt fini; ils étaient encore 150 il y a trente ans ; il y en a une centaine aujourd'hui. Leur nombre décline rapidement. Le XXe siècle verra sans doute mourir le dernier des Samaritains.

Nous venons de caractériser les habitants des trois plus importantes provinces de la Palestine, la Judée, la Galilée et la Samarie. Nous avons constaté chez les Galiléens et surtout chez les Samaritains une très forte proportion de païens. Essayons, de préciser cette influence de l'élément étranger et, en particulier, de l'élément grec dans la population.

La langue grecque, nous le montrerons plus loin, était parlée dans certains milieux. On l'avait subie, tout en la détestant; il l'avait bien fallu. Or, en acceptant la langue d'un peuple, on accepte plus ou moins ses idées. La connaissance d'une langue entraîne presque forcément celle des notions philosophiques et religieuses du peuple qui la parle. Le fait s'était produit d'autant plus facilement pour la Palestine, qu'elle était entourée d'un véritable cercle de villes grecques. La Décapole, en particulier, était grecque. Les bons Juifs gémissaient d'un si déplorable état de choses. Les Macchabées ne s'étaient révoltés que pour détruire l'influence hellénique et les Pharisiens, au premier siècle, continuaient la lutte avec courage, mais la force des événements l'emportait. Aristobule I avait été l'ami des Grecs; Hérode le Grand le fut davantage encore. Il profita de ce que la Samarie était fort peu attachée au Judaïsme pour changer le nom de sa capitale en celui de Sébaste, pour y faire frapper des monnaies grecques et y faire bâtir un temple à Auguste (31). Les dieux païens étaient donc adorés en Samarie. Ils l'étaient aussi à Tibériade, capitale de la Galilée; nous savons quels cultes étaient célébrés à Gaza, à Askalon, à Césarée; on y adorait à la fois des divinités locales et les grands dieux de la Grèce (32). Entre ces villes, qui faisaient partie de la Palestine, et celles qui étaient au delà des frontières, il n'y avait, au point de vue religieux, qu'une différence : la présence dans celles-là du parti pharisien toujours remuant et dominateur, parvenant parfois à obtenir la majorité et à faire la loi. Sauf ce détail, le paganisme était aussi florissant dans certaines parties de la Palestine qu'il pouvait l'être dans le reste de la Syrie et dans toute l'Asie Mineure. On comprend alors l'inquiétude du parti pharisien, la crainte qu'il éprouvait de voir le paganisme s'étendre et on se rend mieux compte de la persistance et de l'acharnement de la haine qu'il nourrissait contre les païens.

Cette haine était profonde de part et d'autre. Le Pharisien était le type du Juif hostile, raide, intransigeant. Il voulait faire de son peuple une nation séparée, distincte de toutes les autres. Il la sentait perdue si elle pactisait avec le paganisme. En effet, elle était trop petite pour ne pas être purement et simplement anéantie dans l'immense empire. Le seul moyen de la préserver était de lui conserver son existence à part. Il avait fallu accepter le gouvernement romain, se soumettre aux mille exigences du vainqueur, mais celui-ci n'avait pas touché au culte et l'espoir du Pharisien était là. Il cherchait à fonder la perpétuité du culte de la synagogue, et, par là, à assurer la perpétuité de sa religion et même de sa nationalité. Il faut avouer qu'il y a admirablement réussi, puisque le Judaïsme subsiste encore et qu'on lui fait même l'honneur, dans certains pays, de le considérer comme dangereux.


Table des matières

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1 Esdras, I, 5; IV, 1; X, 9. Néhémie, XI, 4, etc.
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2 Esdras, VI, 21.
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3 Ant., Jud., VI, 5, 2.
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4 Mischna, Sanh., X, 3.
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5 Jos., Ant. Jud., VIII, 5, 6. D. B. J., III, 3, 1.
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6 Babyl., Nédarin, 48, a.
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7 Tosiftah Peah, ch. 8.
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8 Jérus., Kethouboth, IV, 14.
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9 Un million cinquante six mille francs.
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10 Ev. de Matth., XXVI, 73 et parall. Actes II, 7.Talm. Babyl., Erubin, 53 a et suiv. Bereschith rabba, 26 c.
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11 Talm. Babyl., Erubin, 53 b.
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12 Jean VII, 52; I, 46, 47.
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13 Jos., D. B. J., III, 1, 2.
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14 Il Rois, XVII, 24 et suiv.
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15 dans Jos., Ant. Jud., IV, 14, 3; VI, 4, 4; VIII, 9, 1.
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16 En 520 avant J.-C., Esdras, IV, 1-5 et 24.
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17 En 445 avant J.-C., Néhémie, IV, 1 à 17.
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18 Tanahim, fol. 17, 4.
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19 Il est possible que ce fait se soit passé plus anciennement encore.
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20 Jos., Ant. Jud. II, 7, 2.
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21 Jos., Ant. Jud., VII, 7. Josèphe les caractérise avec beaucoup d'esprit.
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22 L'auteur de l'Ecclésiastique, Jésus ben Sirach, attaque grossièrement les Samaritains, Eccli., L, 26 et 27.
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23 Les Samaritains instituèrent un Sanhédrin semblable à celui des Juifs dit Jos., Ant - Jud., XVIII, 4, 2.
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24 Jos.. Ant. Jud., XX, 6, 1. D. B. J., II, 52, 3. Luc IX, 52-53.
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25 Jérus., Avodah Zarah, fol. 44, 4.
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26 Mischna, Schebiith, 8, 10.
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27 Ev. de Jean, IV, 7.
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28 Jérus., Avodah Zarah, fol. 44, 4.
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29 Babyl. Kiduschin, fol. 76, 1.
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30 Plus tard, sous le procurateur Cumanus (48-52), des pèlerins Galiléens qui traversaient la Samarie furent assassinés par les habitants (JOB., Ant. Jud., VIII, 9, 1).
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31 Jos., Ant. Jud., XV, 8, 5. D. B. J., 1, 21,2.
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32 Mionnet, Description des Médailles antiques, V, 535-539, 579-585 et supplément, VIII, 371-375. Voir aussi Lebas et Waddington, Inscriptions. Ce n'est que par les médailles qu'on connaît la plupart des divinités locales. Nous avons aussi des monnaies de Tibériade avec des divinités grecques.

 

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