Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
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LA CROIX DU CALVAIRE ET SON MESSAGE


 

APPENDICE

EXTRAITS DE DIVERS AUTEURS SUR LA CROIX

I - La Croix de Christ

...Comment se fait-il que les chrétiens dans leur vie, l'Église dans son activité générale, connaissent si peu la puissance et la joie du Saint-Esprit ? Ne serait-ce pas parce que la croix leur est si peu connue ? Et je n'entends pas par là la Croix du Christ en Golgotha, mais cette croix que tout enfant de Dieu doit expérimenter dans sa vie journalière ; cette croix qui est une puissance de séparation, de crucifiement.

L'Église actuelle a le plus grand besoin d'entendre prêcher le crucifiement de la chair. Il est urgent que la Croix de Christ reprenne une place prépondérante. C'est à l'Église de Christ qu'il revient de dresser la Croix, de l'honorer et la prêcher, en la portant et en la vivant.

Nulle part, l'Evangile n'enseigne que l'homme naturel puisse être amené à accepter la Croix. Au contraire, il démontre hardiment par la prédication même de la Croix que le coeur de l'homme est naturellement l'ennemi de Dieu.

Si les serviteurs du Maître essaient seulement de comprendre les pensées de Dieu concernant la Croix,... ils seront vite persuadés qu'elle est suffisante pour s'ouvrir un chemin dans les coeurs... et que Dieu seul peut, par une vie crucifiée, guider l'homme, et lui révéler les mystères de la Croix.

La Croix, la Croix seule, la Croix et sa puissance de séparation et de destruction acceptée dans la vie quotidienne, voilà l'unique chemin jusqu'au Trône de Dieu.

Tout enfant de Dieu a l'Esprit du Dieu vivant demeurant en lui. En annonçant la Croix, la vie crucifiée, le crucifiement de la chair, nous ne prétendons pas lui dicter ce qu'il doit faire, mais ce qu'il peut attendre du Saint-Esprit qui demeure en lui.

La croix est le plus grand de tous les mystères. Il renferme tous les autres, et il est au centre de tous les autres. Mystères de la mort et de la vie : la mort qui règne, et la mort vaincue qui devient le chemin de la Vie éternelle. Le mystère de la Rédemption ! La croix d'infamie devenant pour le pécheur la puissance victorieuse.

La croix, c'est le jugement que Dieu prononce sur le péché. La chair et le monde doivent être crucifiés, mis à mort. Uni à Christ, j'accepte cette sentence de condamnation ; et avec le secours de la vie de Christ, je vis comme étant crucifié avec Lui.

C'est parce que Christ a souffert la Croix, que sa puissance pour sauver nous a été révélée. Cet esprit de sacrifice et cette puissance salvatrice étaient en Lui, à l'état de disposition, de principe de vie. Et maintenant qu'il est retourné au ciel, c'est encore de façon identique que s'exerce sa puissance de salut : un principe de vie déposé en ses rachetés, et qui devient agissant par eux.

La Croix et l'Esprit sont tous deux la puissance de Dieu ; mais la croix est l'endroit secret où demeure cette puissance ; c'est pourquoi elle est appelée : faiblesse de Dieu et folie de Dieu. Car quel homme eût jamais songé à chercher la puissance dans la Croix !

Nous devons être rendus participants de tout ce que la Croix et la mort de la Croix impliquent. Notre vie manifeste si, oui ou non, nous sommes en communion avec la Croix ; «lie manifeste si nous faisons nos délices de partager, avec le Christ, ce même esprit de sacrifice, d'abnégation qui le conduisirent au Calvaire.

Il est facile d'amener les hommes à accepter une croix tout extérieure, qui ne pénètre pas la vie et ne la transforme pas... Ce n'est pas là la Croix de Christ...

Pasteur Andrew Murray.

II - Les deux Aspects de la Croix

Le Christ crucifié est le Christ vivant. Le Christ qui vit est Celui qui fut crucifié. Ces deux aspects de la vérité doivent à jamais rester unis. Sans la mort, la vie de Résurrection n'eût jamais existé. Sans la Croix infamante, il n'y eût point eu de trône ni de gloire. En Christ, la mort et la vie, l'ignominie et la gloire furent réunies ; il en va de même pour nous. Si nous manquons à comprendre quelle puissance réside en la Croix, et que nous ne nous y soumettions pas, nous ne pouvons non plus expérimenter la vie de Résurrection. Il est inutile d'essayer de croire en la Croix, de la porter, de connaître sa merveilleuse puissance de salut et de délivrance si l'on n'a pas la foi en un Sauveur vivant ; ni la joie qui résulte d'une communion personnelle avec Lui.

C'est, il y a quelques années seulement, que l'exhortation à vivre de la vie de résurrection, surprit la plupart d'entre nous, comme l'eût fait une nouvelle révélation. Le message d'un Christ vivant, toujours avec nous, toujours agissant pour nous, Lui-même notre salut ; la certitude de tout ce que Sa Croix nous avait conquis, remplissaient notre coeur d'une joie et d'une espérance inconnues jusque-là. Cependant cette espérance ne fut pas toujours confirmée. Et nous nous sommes alors demandé pourquoi ? Quel obstacle s'était élevé qui avait empêché que notre foi en Celui qui est le Vivant, eût son accomplissement ? - Nous dûmes reconnaître qu'ici ou là, l'esprit du monde s'était glissé, affirmé ; d'où l'échec. Mais alors n'était-ce pas que nous avions oublié l'unique chemin tracé par Dieu Lui-même, où nous pouvons être victorieux du monde ; le chemin de la Croix ? La Croix par quoi je suis crucifié au monde, et le monde est crucifié pour moi (Galates VI, 14).

 

Christ crucifié, Puissance de Dieu. Quand nous, les disciples, nous irons au monde en lui disant : Voyez en

nous des gens crucifiés avec leur Seigneur, qui à votre égard sont crucifiés, et dont la gloire est d'être crucifiés avec Christ... ; alors la puissance qui agit autrefois en Paul, se manifestera sûrement en nous. Le Calvaire est le sanctuaire caché où réside la vie de Christ. Sa mort est la porte de la Gloire.

Donnons-nous donc à nouveau à Celui qui est mort et vit éternellement, afin qu'il nous accorde abondamment la double bénédiction : une vie où agit constamment la puissance de mort au péché et au monde ; une mort qui nous donne accès à la Vie. Une vie plus profonde, plus riche, plus complète : la Vie de Christ.

Andrew Murray.

III - Comment être délivré de la vie propre

En nous basant sur notre expérience personnelle, nous dirons que la délivrance dont nous nous occupons en cet instant comprend trois phases et en même temps trois facteurs : la Croix, l'Esprit, la contemplation du Christ glorifié. Veuille l'Esprit de Dieu illuminer notre témoignage.

Sur la Croix, le Christ s'offrit en sacrifice pour le péché du monde. Il y a là un acte de substitution, d'amour, de pardon. Mais j'y trouve encore davantage, j'y découvre en puissance, les arrhes de ma sanctification. Relisons attentivement Romains VIII, 3, 4: « Ce qui était impossible à la Loi à cause qu'elle était faible dans la chair, Dieu Va fait en envoyant son propre Fils dans une chair semblable à celle des hommes pécheurs ; et pour le péché, Il a condamné le péché dans la chair afin que la justice de la Loi fût accomplie, en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'Esprit. » L'oeuvre de substitution d'abord : Dieu a envoyé son propre Fils... pour le péché ; puis celle de ma sanctification : dans une chair semblable à celle des hommes pécheurs. Sur la Croix et dans la personne de Christ, la chair, la mienne a été crucifiée. Comment m'exprimerai-je pour faire comprendre combien cette pensée a pénétré et transformé ma vie ! Après la découverte de Jésus, mon Sacrifice, ce qui influença le plus mon existence, fut de discerner dans le Sauveur sans péché mourant sur la Croix, l'effigie de mon moi pécheur, y mourant avec Lui.

Voici à peu près ce que furent mes pensées pour autant que je puisse rendre la profonde impression reçue alors : Dieu a cloué au bois la ressemblance de mon moi pécheur. La croix est symbole de dégradation, d'infamie. « Maudit est quiconque est pendu au bois ! » Si Dieu a passé un décret de malédiction sur une chair semblable à la mienne bien qu'elle fût sans péché, combien plus doit-il Lui sembler odieux que je chérisse ce moi pécheur, que je le développe et en fasse le centre de ma vie.

O Croix ! Croix bénie ! Au pied de la Croix de mon Sauveur, je compris que Christ et moi nous sommes Un. En Lui, je suis pendu au bois. Désormais, j'en ai fini avec le moi ; et me prosternant au pied de la Croix, je m'unis à Christ en Sa Mort, par la foi. Je consignai ma vie propre à la Croix. Ce fut comme si je prenais le moi, avec ses ambitions, ses désirs, ses aspirations vers la perfection, sa corruption, sa versatilité, son esprit de critique, son manque de charité, et que je l'y clouais vraiment. Je pris le misérable et lui dit : - Tu es maudit ; tu mourras ! Mon Dieu t'a cloué au bois. Viens ! Tu viendras. J'ai décidé la chose de toute la force de ma volonté, de toute la puissance de ma foi. Tu mourras sur la Croix... »

Cet instant de ma vie fut décisif. Depuis, j'ai constamment crucifié le moi. La mort du Christ m'en sépare à jamais. Souvenez-vous de ce passage de l'épître aux Galates : Ceux qui sont à Christ ont crucifié la chair et ses convoitises. Le temps employé dans l'original est l'aoriste: l'action continue ; ils ont crucifié, ils crucifient.

Vous me direz peut-être : « Pardon, Monsieur, mais vraiment, il me serait impossible de vivre de la sorte ! A tout instant, je me demanderais si le moi ne se glisse pas ici ou là... Cette constante analyse de mes sentiments, cette crainte du moi me paralyseraient. Ce que vous dites est loin d'être simple.

- Je vous attendais là, mon ami. Autrefois, je pensais comme vous. Mais ici, l'Esprit de Dieu intervient en nous. Et j'arrive à mon second point : Si par l'Esprit vous faites mourir les oeuvres de la chair, vous vivrez. L'Esprit a des désirs opposés à ceux de la chair. Ce fut par l'Esprit éternel que le Christ s'offrit à Dieu, sans péché ; et c'est l'Esprit éternel en vous et moi qui s'oppose à la vie propre et la crucifie.

- Mais, protestez-vous encore, crucifier le moi me fera souffrir... Je me ferais l'effet de monter la garde auprès d'un cercueil, et de surveiller l'oeuvre de mort sur un cadavre.

- Oui, c'est cela en un sens ; et cependant, c'est tout autre chose ; et j'arrive à mon troisième point : Jésus ! La contemplation du Seigneur ressuscité ! Alors que tout au fond de votre coeur, l'Esprit de Dieu lutte contre la vie propre, contre le moi et ses convoitises, Il révèle en même temps Jésus-Christ. Le Seigneur vous est tout proche ; Il vous devient une Réalité. Le Saint-Esprit conduit les regards sur Jésus. De sorte que vous ne pensez pas à l'Esprit, et c'est à peine si vous pensez au moi ; mais votre coeur, votre pensée sont remplis du Seigneur. »

O mes amis, pardonnez-moi d'exprimer de façon si imparfaite le plus sublime des mystères. Mais je prie que le Saint-Esprit vous révèle ce que c'est que d'avoir comme centre et comme source de vie : Jésus. Jusque-là, le centre, le mobile, le principe directeur, c'avait été le moi. Ah ! qu'il soit maudit ce moi ! Qu'il soit crucifié, ce malfaiteur, ce Barrabas ! A l'inverse de ceux qui demandaient à Hérode l'élargissement de Barrabas, nous disons:

A mort le malfaiteur ! à mort le moi ! Et que vive le Christ ! Non pas Barrabas, non plus moi, mais Christ. »

Que le Seigneur illumine ces pensées dans vos coeurs, pour l'amour de Son Nom.

F.-B. Meyer.

IV - Semblables à Lui dans la mort

L'enfant de Dieu doit dépouiller le moi, il doit s'approprier la mort de Christ ; c'est là la part qui lui incombe. Alors seulement l'action correspondante est possible ; et le Christ manifestera Sa Vie en lui, comme une source jaillissante. Alors seulement le disciple comprend les paroles de l'Apôtre Paul : « Christ vit en moi ! » Là où Christ peut ainsi manifester librement Sa Vie, il y a une croissance, une activité continues, un constant rafraîchissement, et des fruits abondants. La vie est spontanée, sans heurt, elle est naturelle.

Il est donc extrêmement important de comprendre ce que signifie : mourir avec Christ.

Examinons-nous nous-mêmes pour nous assurer que nous n'essayons pas d'avoir part à Sa Vie avant que d'avoir partagé Sa Mort. Nos fautes, dans le passé, notre manque de vigueur spirituelle dans le présent ne viendraient-ils pas de ce que nous n'avons pas su discerner la Croix comme puissance de sanctification ? Peut-être avons-nous cru que Sa Mort s'appliquait à notre seule justification, et que notre sanctification relevait de Sa Vie ? Bien des chrétiens s'imaginent qu'ayant déjà expérimenté la puissance d'expiation et de justification qui réside en la Croix, ils ont maintenant laissé celle-ci à l'arrière-plan pour vivre de la vie de résurrection en Christ.

Il arrive que lorsque l'enfant de Dieu saisit son identification avec Christ sur la Croix dans la mort au péché,

il entre instantanément dans une glorieuse libération de tout esclavage. Il se trouve séparé du passé, affranchi du mal et de sa puissance. Mais, même cette expérience décisive doit être prolongée par une action progressive, continue ; une action en profondeur, une union, une assimilation toujours plus parfaite du coeur et de la pensée avec le Crucifié.

Dans la mesure où la communion avec le Christ mourant gagne en profondeur, la vie augmente et se manifeste davantage ; le Ressuscité manifeste sa puissance et inonde l'âme de sa plénitude... La vie du chrétien, la vie véritable - c'est-à-dire la vie de Christ en son racheté - ne peut s'élever que de la mort.

Pasteur Evan H. Hopkins.

V - L'Oeuvre de Réconciliation, par Christ

Le mot traduit avec exactitude réconciliés, dans Romains V, 11, ne se trouve que là dans le Nouveau Testament. Par contre, nous le trouvons fréquemment dans le Lévitique au sujet des sacrifices ; où il est traduit de diverses manières. Ainsi dans Lévitique IV, 35, nous avons expiation, propitiation. Ces mots ne rendent pas exactement le sens de l'original qui signifie : couvrir, ou ce qui couvre. Ils ont été créés par les théologiens, et sont employés pour exprimer la valeur totale du Sacrifice de Christ, au double point de vue substitutif et rédempteur.

L'original signifie « une couverture; ce qui couvre ». Les sacrifices couvraient les péchés d'Israël et annonçaient le grand sacrifice du Calvaire. Ces péchés étaient couverts par les sacrifices qu'ordonnait la Loi, jusqu'à ce que, en Christ, notre Propitiation, ils fussent effacés. Ce sont là ces péchés restés impunis, commis auparavant, auxquels l'apôtre Paul fait allusion dans son épître aux Romains (III, 25). Les mots employés dans l'original expliquent très clairement la pensée de Dieu sur ce point. Selon un hébraïsant distingué, il n'existe en hébreu que trois mots qui puissent s'employer indifféremment, et ceux-ci ont été traduits par 8 mots et plus dans notre langue : racheter, Rédempteur, rédemption, rançon, expiation, propitiation, délivrance, réconciliation, etc.. Selon Gésénius, ces trois mots hébreux pourraient être rendus comme suit :

GOEL (ou Gaal) signifie : 1° Racheter, acheter à nouveau ; 2° Venger le Sang ; 3° Proche parent... etc.

PADAH, relâcher, signifie : 1° Racheter en payant un prix ; 2° Laisser aller ; 3° Affranchir, etc..

COPHER (ou Kaphar) signifie : 1° Couvrir, recouvrir ; 2" Qui recouvre par-dessus ; 3° Couvrir les péchés, avec le sens d'expiation.

Chaque fois que le premier mot GOEL est employé dans l'Ancien Testament, il éveille l'idée de parenté ; du parent rapproché qui a droit de rachat. Ainsi dans Esaïe 43. 14-15, et 45. 22, les mots traduits Rédempteur et sauvés sont GOEL dans l'original. En se donnant ce nom, Jéhova nous dit qu'étant notre proche parent (relire Genèse I, 26, 27), Il a le droit d'intervenir en notre faveur, malgré que nos premiers parents, et nous après eux, nous nous soyons vendus au péché. Dieu devient donc le GOEL de l'humanité ; Celui qui a droit de rachat. Il se nomme le Rédempteur ; Celui qui, lorsque l'heure en aura sonné, paiera le prix du rachat, et effacera le péché et la transgression.

Le mot PADAH signifie aussi racheter en payant le prix. Mais il comporte en plus la pensée de libération, d'affranchissement ; nos versions, lorsqu'il s'agit de ceux pour qui le prix a été payé, traduisent généralement rachetés ou affranchis.

GOEL convie la pensée du droit de rachat, mais il y a plus dans PADAH ; c'est en même temps que le droit, la volonté et la puissance de délivrer.

Le troisième mot COPHER (ou Kaphar) est celui que nos versions traduisent généralement par rachat ou rançon (Exode XXX, 1, 12; Job XXXIII, 24), par expiation (Lévitique VI, 30 ; VIII, 15 ; IX, 24 ; Ezéchiel XLV, 15-17, Daniel IX, 24). Parfois aussi il est traduit réconciliation Ce mot comporte l'idée de couverture, d'expiation, de réconciliation. Il explique comment le Rédempteur (GOEL) paya le prix du rachat pour affranchir ceux qui s'étaient vendus au péché. Les sacrifices commandés aux enfants d Israël annonçaient le Sacrifice du Calvaire ; où le Proche Parent (1), Jéhova-Jésus, Dieu manifesté en chair, racheta i humanité de la domination du péché par Son Sang précieux, devenant ainsi notre Propitiation. Dès lors, le message de la bonne nouvelle pouvait être prêché à tout membre de l'humanité : «Repentez-vous et convertissez-vous, afin que vos péchés soient pardonnes. » (Actes III, 19).


Table des matières

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(1) Relire attentivement au sujet de notre parenté divine, Genèse I, 26, 27 ; V,1 ; IX, 6; Luc III, 38; Colossiens III, 10; Eph. IV, 24.
Et Pour l'acte de vente au péché : Esaïe LII, 3 ; Rom. VII, 14 ; I Pierre I, 18,19.

 

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