Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Réponses à la Prière
ou les voies de Dieu
envers Georges Müller


CHAPITRE IV

Encore des épreuves de foi et de patience

L'oeuvre ayant pris de l'extension, il fallait pourvoir aux besoins de 330 personnes, et l'épreuve de la foi continuant M. Muller écrit :
« Si nous n'avons jamais eu de revenu assuré, à l'heure actuelle, nous en avons encore moins. Il nous faut tout attendre du Seigneur, et quelquefois les nécessités pécuniaires sont parmi les moindres choses, mais nous regardons vers Lui, c'est pourquoi, nous ne sommes pas désappointés. »

7 octobre 1852. - « Il n'y avait que 200 francs ce matin pour les dépenses courantes des orphelins. Jusqu'ici nous avions été dans l'abondance ; mais les dons qui étaient rentrés étant presque tous pour le fonds de construction, nous nous sommes trouvés dans la disette relativement aux autres dépenses. Ainsi, balance en main le 26 mai 1852, malgré tout ce qui était rentré depuis lors il ne nous restait que 200 francs. Je me suis donc de nouveau adonné à la prière afin de demander au Seigneur qu'Il voulût bien augmenter cette somme. »

9 octobre. - « Au cours de ma lecture ce matin, avant déjeuner, mes yeux se sont arrêtés sur Luc VII. En parcourant le récit du centenier et de la résurrection du fils de la veuve de Naïn, j'ai élevé mon âme vers le Seigneur Jésus, lui disant : « Seigneur Jésus, Tu as la même puissance aujourd'hui, Tu peux pourvoir à tous les besoins de l'oeuvre confiée à mes mains. S'il te plaît, fais-le ! » Une demi-heure s'était à peine écoulée que je recevais 5,768 fr. 75 »

« Comment décrire ma joie, en face de cette délivrance ? J'étais décidé à m'attendre à Dieu seul, au lieu de chercher une délivrance anti-scripturaire. J'ai des centaines de mille francs pour le fonds de construction, mais je ne voudrais pas y toucher, parce que cette somme a été donnée pour cet objet. Il y a aussi un legs de 2,500 francs, pour les orphelins, dû déjà depuis deux mois. En perspective de ce paiement, le coeur, naturellement, aurait pu être enclin à employer une certaine somme du fonds de construction puis la rendre lorsque l'argent du legs arriverait ; mais je ne voulais pas sortir du chemin où Dieu m'avait placé pour chercher du secours ailleurs. Au jour même où je reçus le legs, j'avais déjà mis sous enveloppe 2,500 francs qui m'étaient parvenus pour la construction, afin de les porter à la banque, car j'étais bien déterminé à ne pas en faire usage. Je voulais m'attendre à Dieu seul. Mon âme magnifie le Seigneur pour toutes ses bontés. »

13 juin 1853. - « Nous sommes encore dans une grande pauvreté. Non pas que nous soyons dans les dettes, ni même que nous soyons sans le sou, puisque nous avons en main 300 francs ; mais il nous faut de la farine, 10 sacs à la fois, une bonne quantité de farine d'avoine, du savon, et aussi quelques petites réparations à faire dans la maison ; enfin il y a un certain nombre d'ouvriers à rétribuer à part les dépenses courantes de la semaine, qui s'élèvent à environ 1,750 francs. De plus, je me suis aperçu, samedi, avant-hier, que l'appareil de chauffage avait aussi besoin d'être réparé, ce qui coûtera probablement 600 fr. Humainement parlant, il nous faudrait 2,500 fr. pour ces dépenses extra, sans parler des autres dépenses courantes. »

« Mais je n'avais aucune perspective d'avoir seulement un franc et encore moins 2,500 fr. Puis c'était lundi, où généralement il y a peu. En me rendant ce matin à l'Orphelinat et en priant le long de la route, je disais au Seigneur que, quoique ce fût lundi, Il pouvait m'envoyer beaucoup. Il en fut ainsi. Ce matin même, il y avait 7,525 fr. à mon adresse pour l'oeuvre du Seigneur, à employer comme je le jugerais bon ! Oh ! la joie qui inonda mon coeur ! J'arpentais ma chambre de long en large, des larmes de joie et de gratitude coulaient abondamment le long de mes joues ; je louais, je magnifiais le Seigneur, du fond de mon âme. Je m'abandonnais tout de nouveau à Lui pour le servir. Je n'avais peut-être jamais senti autant la bonté du Seigneur, que dans cette délivrance. »

9 novembre. - « Nous sommes encore dans l'épreuve. Dieu exerce notre foi et notre patience. Cet après-midi, un frère et une soeur du Gloucestershire sont venus me rendre une visite au nouvel Orphelinat, avant de visiter l'Établissement. Peu de minutes après, cette soeur me remet 26 fr. qui lui avaient été donnés pour les constructions ; elle me remet pour mes dépenses personnelles 25 fr., et la même somme pour le fonds de construction. Son mari fait don de 125 fr. pour les Orphelins et 125 fr. pour les Missions étrangères.
Ainsi le Seigneur m'a encouragé, mais j'attends davantage. »

Êtes-vous préparés pour l'éternité ?

« En repassant mon livre de comptes, je rencontre ici et là les noms de plusieurs amis qui ont terminé leur course ici-bas. Bientôt, cher Lecteur, votre tour viendra. Êtes-vous prêt pour l'Éternité ? Je presse cette question sur votre conscience, et je vous prie, avec affection, de ne pas la renvoyer. Rien ne dépasse, en importance, ce sujet capital. Vous demandez - comment puis-je me préparer pour l'Éternité, comment être sauvé, comment obtenir le pardon de mes péchés ? La réponse est : Croyez au Seigneur Jésus, confiez-vous en Lui seul pour le salut de votre âme. Il a porté, à notre place, la malédiction de Dieu sur le péché, afin que nous, coupables pécheurs, si nous croyons en Lui, nous ne venions jamais en jugement. Il a accompli la loi de Dieu, Il a été obéissant jusqu'à la mort, afin que nous, pécheurs désobéissants, coupables, si nous nous reposons sur Lui, nous soyons reconnus justes à cause de Lui et par Lui.

Examinez ces choses, cher Lecteur, si vous ne l'avez déjà fait. Par la foi au Seigneur Jésus seul, nous obtenons le pardon de nos péchés, la paix avec Dieu ; nous devenons enfants de Dieu ; nous avons Dieu pour Père et nous pouvons venir à Lui, en toute assurance, pour lui confier tous nos besoins spirituels et temporels. Ainsi, chacun de mes Lecteurs, peut obtenir des réponses à ses prières, non seulement autant que nous, mais même en plus grande abondance. »

« Il se peut qu'un très petit nombre d'enfants de Dieu soit appelé à servir le Seigneur dans l'Établissement d'Orphelinats, etc., mais tous sont appelés à se confier en Dieu, à se reposer sur Lui, dans leurs diverses circonstances, à exercer leur foi, à s'adonner à la prière pour leurs occupations terrestres, leurs afflictions et tous leurs besoins. Éprouvez en cela le Dieu vivant, et vous verrez quelle vie heureuse vous aurez... »

« En vérité, je préfère cette vie d'épreuves presque continuelles, si seulement je suis rendu capable de déposer tous mes soucis aux pieds de mon Père céleste, et ainsi entrer toujours plus en communion avec Lui, à une vie de paix et de tranquillité extérieures, sans les preuves constantes de sa fidélité, de sa sagesse, de sa puissance et de sa miséricordieuse providence à mon égard. »

En 1859, M. Muller écrit : « Tous les mercredis soir, nous nous rencontrons, mes aides et moi pour la prière en commun. Chaque jour également, je mets à part des moments spéciaux pour apporter au Seigneur tous les besoins spirituels et temporels de l'oeuvre. J'ai 50 sujets de prière, et même plus, à déposer devant Lui, chaque jour, et par là, je suis grandement béni. Je ne fais savoir à aucun être humain ce qui nous est nécessaire dans l'oeuvre. Que dis-je ! Si même, je pouvais, à chaque demande, obtenir 250,000 fr. par la grâce de Dieu, je ne le ferais pas. Et pourquoi ? Parce que j'ai offert, joyeusement, ma vie tout entière à ce précieux service, qui est de donner au monde et à l'Eglise une démonstration indéniable que c'est une chose bénie que de se confier en Dieu ; qu'Il est maintenant, qu'Il a été toujours le Dieu vivant, le même, qui nous a été révélé dans les Saintes-Écritures. Si nous le connaissons, si nous sommes réconciliés avec Lui par la foi en Jésus et si nous lui demandons, en son nom, de nous accorder ce qui est selon sa volonté, Il nous le donnera sûrement, en son temps, pourvu que nous croyions qu'Il le fera...
Dieu n'a jamais failli à mon égard, depuis quarante ans que j'ai mis à l'épreuve sa fidélité, dans l'oeuvre qu'Il m'a donnée à faire. »

En l'Éternel se trouve la force éternelle

« À la date du 9 novembre 1861, M. Muller écrit : 9 novembre, samedi soir. Au commencement de cette semaine, j'ai seulement reçu la somme de 98 fr. 75 par la première distribution. Bientôt après, en faisant la lecture de la Parole, j'ai été spécialement attiré vers le passage d'Esaïe XXVI, 4 ; « Confiez-vous en l'Éternel à perpétuité, car l'Éternel est le rocher des siècles. » - Ayant déposé ma Bible à mes côtés, je me suis jeté à genoux et j'ai prié ainsi : Je crois qu'il y a en Jéhova, l'Éternel, la force éternelle, car Il est le rocher des siècles, et je me confie en Lui : O Seigneur, aide-moi à me confier en Toi, toujours. Qu'il te plaise de m'envoyer aujourd'hui tous les fonds nécessaires, et même je t'en demande beaucoup pour cette semaine, quoiqu'il en soit rentré si peu jusqu'à maintenant. - Aujourd'hui même, 3 novembre, j'ai reçu 250 francs de Surbiton, 125 francs de Clifton, 50 francs de Bristol, et dans le courant de la semaine le total a été de 11,425 fr. Une fois de plus, le Seigneur, l'Éternel s'est montré digne de ma confiance et Il s'est révélé également comme le rocher des siècles.

Cher lecteur croyant, si vous n'avez pas l'habitude de parler au Seigneur de tous les détails de votre vie, commencez à vous confier en Lui de cette manière et vous verrez quelles grandes bénédictions vous en retirerez. »

Jésus-Christ est le même, hier, aujourd'hui et éternellement

26 mai 1861. - À la fin de cette présente période je trouve que le total des dépenses diverses est de 617,520 fr. 40 ou de 1,690 fr. 60 par jour. Je suppose que les dépenses de l'année prochaine seront encore plus élevées. Mais le même Dieu qui m'a aidé dans le passé, m'aidera encore à l'avenir. »

« Vous voyez bien, cher Lecteur, comment le Seigneur dans sa fidélité est venu à mon secours, année après année. Avec l'agrandissement successif de nos établissements, il est évident que les dépenses augmentaient toujours en proportions, mais le Seigneur n'a jamais failli à ses promesses, et nous avons été secourus. Vous pourriez peut-être me poser la question suivante : Que feriez-vous s'Il venait à vous faire défaut ? Ma réponse est celle-ci : Cela ne se peut pas, aussi longtemps que nous nous confions en Lui, et que nous ne vivons pas dans le péché. Mais si nous venions à le laisser de côté, Lui, la fontaine des eaux-vives, pour nous creuser des citernes crevassées qui ne contiennent pas d'eau, en nous confiant au bras de la chair ; ou si nous allions vivre dans le péché d'une manière ou d'une autre, alors nous crierions à Lui en vain. Au Psaume LXVI, 18, il y a cette parole solennelle : « Si j'avais conçu de l'iniquité dans mon coeur, le Seigneur ne m'aurait point exaucé. »

« Jusqu'ici, par la grâce de Dieu, quoique dans la faiblesse, et faillible en bien des manières, j'ai pu me confier en Lui seul, et marcher dans l'intégrité, haïssant le péché, aimant la sainteté et recherchant toujours plus à ressembler au Seigneur Jésus. »

21 octobre 1868. - « A mesure que les jours s'écoulent, nous faisons connaître nos requêtes à notre Dieu, car depuis plusieurs années nos sorties se sont élevées à plus de 2,500 francs par jour. Toutefois, quoique nos dépenses aient été si grandes, le Seigneur n'a jamais manqué de nous venir en aide. Nous avons été, vraiment, d'après les apparences extérieures, comme le « Buisson ardent au désert », et cependant, nous n'avons pas été consumés. De plus, nous sommes remplis de courage et de confiance dans le Seigneur, quoique nous ayons devant nous la perspective de plus grandes charges. Oh ! si tous les ouvriers du Seigneur connaissaient par expérience toutes les bénédictions qui découlent d'une vie de dépendance, de confiance en Dieu seul ! En Lui, on ne connaît pas le désappointement. Les amis terrestres peuvent changer de manière de voir, en ce qui concerne notre oeuvre ; perdre la capacité de nous venir en aide, même en le désirant beaucoup, mais Lui, Il reste, à perpétuité, le Dieu riche. Les amis terrestres peuvent, à un certain moment, transférer leurs dons à d'autres oeuvres ; et, comme ils se trouveraient surchargés, ils se voient obligés de nous abandonner ; mais Lui, Il peut pourvoir à tous nos besoins et à tous ceux de millions d'autres qui travaillent dans son champ et qui se confient en Lui. Son bonheur est de donner. Les amis terrestres peuvent nous être enlevés par la mort, et nous perdons ainsi leurs secours, mais Lui, Il vit aux siècles des siècles ; Il ne peut mourir. Pendant les quarante dernières années, j'ai surtout expérimenté ce dernier point de vue en ce qui concerne cette Institution. Non seulement un, ni deux, ni même cinq ou dix amis, mais un grand nombre, qui m'aidaient autrefois de leurs offrandes, sont partis de ce monde. Et notre oeuvre s'est-elle arrêtée à cause de cela ? Non, certes. Et pourquoi ? Parce que je me suis confié en Dieu et en Lui seul. »

28 juillet 1881. - « Nous avons eu ces derniers temps juste pour payer le tiers de nos dépenses. En conséquence, tout ce que nous avons actuellement pour les orphelins se réduit à presque rien. Si on regardait seulement aux apparences, on pourrait se dire : Comment continuer cette oeuvre ? Mais je crois que le Seigneur nous viendra en aide, soit pour les orphelins, soit pour les divers besoins de l'Institution. Je dis ceci également pour les chers enfants de Dieu, afin qu'ils soient fortifiés dans la foi et que Dieu soit glorifié. »

Cette confiance permanente dans le Dieu vivant a été vraiment récompensée à la vue de tous. Il a tellement secouru et protégé cette oeuvre que M. Wright pouvait écrire en mai 1902 qu'il avait en main une balance de quelques milliers de Livres sterling, et depuis le 28 juillet 1881, M. Wright constate dans son journal qu'il est rentré et qu'il s'est dépensé plus de 12,500,000 francs.

Pendant ces vingt années, Sa foi et Sa patience ont été, grandement mises à l'épreuve, car au 15 août 1881, il écrit de nouveau.

« Nous sommes maintenant réduits à la somme de 7,315 fr. 70. Depuis 25 ans, nos fonds n'ont pas été aussi bas, et nous avons chaque jour à pourvoir aux besoins de 2,100 personnes. Nous n'avons donc une réserve que pour quatre jours et demi, mais nos yeux sont sur le Seigneur. Il est mon céleste pourvoyeur. Reçu aujourd'hui environ 700 francs. »

22 août. - « Une partie d'un legs a été payée (legs qui nous avait été donné, il y a bien des années) et nous avons reçu vingt-cinq mille francs. »

26 février 1882. - « Il y a eu aujourd'hui pour les orphelins la somme de 2,438 fr. 25, à peu près 600 fr. de plus qu'il ne nous faut pour les dépenses d'un jour. »

2 mars. - « Notre situation actuelle vis-à-vis des orphelins se traduit par cette prière : Donne-nous chaque jour notre pain quotidien. Jusqu'ici, Dieu est venu à notre aide. »

20 avril 1882. - « Au milieu de la disette, nous avons reçu d'Edimbourg 2,500 francs avec cette clause : « Cette somme devait vous être remise comme legs, mais je vous l'envoie maintenant. »

3 juin. - « De W... 12,500 francs. Quelle merveilleuse délivrance pour nous que ce don, et quelle preuve de ce que Dieu fera encore pour nous ! »

21 octobre. - « De W... 25,000 francs. En réponse à nos prières, Dieu a parlé à son cher enfant et il a incliné son coeur à nous envoyer une seconde offrande, plus élevée que toutes les autres. Nous avons donc une nouvelle preuve que notre Dieu faisait seulement passer notre foi dans le creuset pendant l'année écoulée, et non pas qu'Il nous châtiait, en jugement. J'ai attendu, je me suis confié en Lui, et je n'ai pas été confus. »

« Dieu se plaît, dans ses relations avec nous, à varier sa manière d'agir, afin que nous ne soyons pas tentés de nous confier dans les dons et dans les circonstances, mais en Lui seul. Par sa grâce, nous sommes rendus capables de regarder vers Lui seul et nos coeurs sont gardés en paix. »

 



Appendice

Cinq conditions pour la prière efficace

Une confiance pleine et entière dans les mérites et dans la médiation du Seigneur Jésus-Christ, comme seul terrain sur lequel nous nous puissions réclamer quelque bénédiction. (Voyez Jean XIV, 13 ; XV, 16, etc.)

Délaisser tout péché connu ; si nous conservons quelque iniquité dans notre coeur, le Seigneur ne nous écoutera pas, car alors ce serait sanctionner le péché. (Ps. LXVI, 18.)

Une foi implicite en la parole de Dieu, parole de la promesse que Dieu a confirmée avec serment. Or, ne pas croire ce qu'Il dit, c'est le faire menteur et parjure (Hébreux XI, 6 ; VI, 13-20.)

Ne Lui demander que ce qui est selon sa volonté. Nos motifs doivent être purs ; nous ne devons rechercher aucun don de Dieu pour satisfaire nos convoitises (I Jean V, 14 ; Jacques IV, 3.)

Qu'il y ait de l'importunité dans la supplication. Il faut savoir s'attendre à Dieu, et savoir L'attendre patiemment. Tel le laboureur qui attend avec patience le précieux fruit de la terre (Jacques V, 7 ; Luc XVIII, 1-8.)


Table des matières


Pour plus d'informations sur la vie de ce serviteur de Dieu, vous pouvez aussi consulter cet ouvrage:

G. MULLER - SA VIE ET SON OEUVRE - 1805-1898 (427 pages)

 

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