Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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- 1Thess. 5: 21 -
(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



La sainteté convient à TA maison
Sans la sanctification... personne ne verra le Seigneur
10) Mais qu'est-ce donc que la sanctification ? (b)

Séparation + séparation

Message de la semaine passée: Mais qu'est-ce donc que la sanctification ? (a)

... nous étions autrefois insensés, désobéissants, égarés, asservis à toute espèce de convoitises et de voluptés, vivant dans la méchanceté et dans l'envie, dignes d'être haïs, et nous haïssant les uns les autres. Tite 3: 3 (v. L. S)

Comme des enfants obéissants,
ne vous conformez pas aux convoitises que vous aviez autrefois, quand vous étiez dans l'ignorance. 1 Pierre 1: 14 (v. L. S)

L'ignorance, dont nous parle l'apôtre Pierre, ne peut plus être invoquée puisque nous sommes passés des ténèbres à la lumière, puisqu'il nous a été donné "TOUT CE QUI CONTRIBUE A LA VIE ET A LA PIÉTÉ" (2 Pierre 1: 3).

TOUT nous a été donné ! "Vous avez tout pleinement en Christ" nous rappelle l'apôtre Paul (Colossiens 2: 10). Nous avons TOUT, mais utilisons-nous ce qui a été mis à notre disposition ?
Utilisons-nous au moins la Parole de Dieu pour nous instruire afin de savoir comment plaire à Dieu ?

Nous ne sommes plus ignorants !
Pardon ! NOUS NE DEVRIONS PLUS ÊTRE IGNORANTS !

L'ignorance que nous pourrions invoquer aujourd'hui ne serait-elle pas due à notre négligence, une négligence entretenue par notre paresse à étudier les Écritures ?
Dans ce cas cette ignorance-là serait difficilement excusable puisque, par nous-mêmes, nous n'aurions pas voulu nous instruire, nous laisser instruire. "Mon peuple est détruit, parce qu'il lui manque la connaissance" (Osée 4. 6).

"Recevez mes instructions" disait le Seigneur Jésus, "et vous trouverez du repos pour vos âmes" (Matthieu 11: 29). Tout cela à condition d'être sous le joug de Christ afin d'aller dans la direction qu'il nous engage à suivre.

Nous savons maintenant que, "ce que Dieu VEUT, c'est notre sanctification" (1 Thessaloniciens 4: 3), une sanctification qui commence par une SÉPARATION.
Comment pourrions-nous nous placer sous le joug du Seigneur tout en restant sensibles aux voix d'un monde qui n'acceptera jamais l'autorité du Fils de Dieu ?
Sensibles aux voix de personnes qui, en dépit de leur gentillesse, pourraient bien devenir des instruments entre les mains de l'adversaire de nos âmes afin de nous détourner du chemin étroit. Satan est rusé, il utilisera tous les moyens à sa disposition pour nous séduire !

Cette séparation d'avec le monde, dont nous avons parlé la semaine passée, est INDISPENSABLE ! Reconsidérons les quelques versets qui ont été retenus lors de notre dernière méditation et réfléchissons sérieusement afin de savoir si Dieu parle sérieusement ou non au travers de tels textes. Pensons aux conséquences éternelles en cas de refus de prêter attention à la Parole de notre Dieu.

- Sauvez-vous de cette génération perverse... Actes 2: 40
- Vous ne devez plus marcher comme les païens...
Éphésiens 4: 17
- C'est assez d'avoir, dans le passé accompli la volonté des païens...
1 Pierre 4: 3-4

Ce rappel nécessaire va servir à mettre en avant le fait que la SÉPARATION implique une rupture, une division qui ne peut plus (ne devrait plus) reformer une association où païens et enfants de Dieu marcheraient, main dans la main, comme au temps où ils marchaient ensemble dans les ténèbres (2 Corinthiens 6. 14).

La sanctification n'est pas l'adhésion à des principes bibliques !
C'est un mode de vie à part entière où la soumission à la Parole de Dieu, au Seigneur Jésus EST la suite logique de notre engagement.

C'est un mode de vie et de penser qui DOIT être différent de celui que nous avions lorsque nous vivions sans Christ, ce temps où nous n'avions aucun intérêt pour le Royaume de Dieu et aucun égard pour SA Parole.

Il DOIT être différent, c'est impératif ! S'il ne l'est pas, notre christianisme n'est alors qu'un christianisme de nom puisque rien n'aurait véritablement changé dans notre vie. L'Écriture dit clairement que :

Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, TOUTES CHOSES sont devenues nouvelles. 2 Corinthiens 5. 17 (L. S)

Ce verset coupe l'herbe sous le pied de ceux et celles qui, pour justifier leur peu d'enthousiasme à se sanctifier, argumentent qu'ils ne sont pas dans le monde.
Ils disent qu'ils n'en font pas partie simplement parce qu'ils ne vont pas dans les boîtes de nuit, par exemple, ou ne passent pas leur temps dans les bistrots, ne s'adonnent pas à des activités que l'éducation chrétienne ne saurait approuver, etc.

En vérité, ce n'est pas parce que je ne participe pas au mal que fait autrui que je marche dans la sanctification !

De nombreux païens ont une bonne conduite ! Plusieurs ont même une conduite morale et une discipline de vie, de langage à faire pâlir d'envie certains "enfants de Dieu". Pourtant, ces païens ne suivent pas le Seigneur Jésus. Ils ne marchent pas dans la sanctification, même s'ils refusent de participer au mal qui les entoure.
Si nous leur ressemblons, c'est déjà bien, mais bien insuffisant, voire inutile, car il faut rester dans le chemin étroit et marcher de progrès en progrès en poursuivant notre sanctification "sans laquelle PERSONNE ne verra le Seigneur" (Hébreux 12. 14). Une répétition qu'il est nécessaire de rappeler, tant l'enjeu est important !

Quoique nous ne soyons pas sauvés par les oeuvres, ce salut gratuit, s'il a été accepté, conduit son bénéficiaire à devenir dépendant de la volonté de Dieu et à accomplir ce qu'il demande.

L'insoumission volontaire et continuelle à la Parole de Dieu pourrait bien démontrer que le salut en question n'a pas été pleinement accepté et, qu'en conséquence, la grâce a été méprisée au travers d'une conduite méprisante.
Peut-on véritablement dire que l'on a accepté la grâce qui nous a été proposée au travers du Fils de Dieu, et par la suite, se conduire comme auparavant ?

Des personnes qui ont été graciées par la justice des hommes ne prennent pas le risque de commettre les mêmes méfaits qui les avaient conduits à une condamnation. Et nous, nous nous moquerions de Dieu en refusant de changer de conduite, en retournant aux choses anciennes ?

Très certainement, plusieurs d'entre nous seraient jetés immédiatement dans le feu de la géhenne si le verdict prononcé par le Fils de Dieu dans Matthieu 5: 22 s'appliquait aussi rapidement que la condamnation d'Ananias et Saphira ( Actes 5. 5-7).

Mais moi (Jésus), je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère mérite d'être puni par les juges ;
que celui qui dira à son frère : Raca !
mérite d'être puni par le sanhédrin ;
et que celui qui lui dira : Insensé !
mérite d'être puni par le feu de la géhenne.

Une simple colère contre son prochain, une insulte, un simple manque de respect... nous nous reconnaissons, n'est-ce pas, comme des pratiquants (plus ou moins volontairement) de ce genre de "méfaits" ?
À nous de comprendre que la grâce et la patience de Dieu dont nous bénéficions doivent nous permettre d'être dans des dispositions de coeur qui nous conduisent à désirer ardemment, à être véritablement de nouvelles créatures pour que les choses anciennes soient définitivement passées.
La grâce n'est pas un temps qui nous est accordé pour faire ce que l'on a envie de faire sans avoir à en subir les conséquences éternelles, elle est au contraire une période où la bonté de Dieu nous pousse à la repentance. Et la repentance, elle-même nous pousse à la confession qui, si elle est sincère, nous fera abandonner ces "petits" péchés (Proverbes 28: 13).

Donc, ce que l'apôtre met en évidence, c'est que les choses anciennes sont passées ou, pour ce qui nous concerne - me concerne - sont en passe de disparaître parce que, les uns et les autres, nous avons pris conscience que certains points dans notre vie ne glorifient pas le Seigneur, aussi soupirons-nous après son secours pour qu'il y ait une véritable transformation dans notre vie.
Mais peut-être me suis-je avancé un peu vite en disant : "nous" ?

Y a-t-il déjà eu des changements visibles dans notre vie depuis que nous avons accepté Jésus comme Sauveur et Seigneur ? Des comportements qui montreraient que nous nous sommes bien engagés dans le chemin étroit et que nous avons tourné le dos aux "choses anciennes" ?

Je ne veux pas mettre en avant comme preuve le fait d'aller régulièrement à l'Église et aux réunions de prières et d'études bibliques qui ne pourraient être que des apparences extérieures ne prouvant pas que nous marchons dans la sanctification. Dieu demande autre chose !
Regardez l'Église de Laodicée. Les fidèles sont DANS l'Église, mais s'ils restent comme ils sont, ils seront vomis de la bouche du Seigneur (Apocalypse 3. 16).

La séparation d'avec le monde ne signifie pas simplement une séparation d'avec des personnes dont le contact serait malsain pour un chrétien.
La séparation d'avec le monde concerne aussi tout ce qu'il a laissé comme empreintes dans notre vie,
Toutes ces choses qui, pareils à des aimants, nous invitent à revenir en arrière en réactivant les désirs de notre vieille nature au détriment de cette nouvelle nature que Christ nous a donnée.

En relisant les deux textes qui ont servi d'introduction, nous constatons qu'il n'est pas tellement question de personnes extérieures qui nous détourneraient de la foi. Maintenant, on parle plutôt de nos désirs, de nos passions, de notre nature pécheresse héritée de nos parents !
Ces versets montrent bien que je n'ai pas besoin des gens du monde pour vivre dans le monde, pour vivre comme le monde !
Il suffit simplement que je me laisse conduire par la chair (Galates 5: 19-21) pour ne point hériter du Royaume de Dieu. C'est l'Écriture qui le dit, et, dans ce qu'elle dit, nous pouvons remarquer qu'il y a de nombreux pointsnous n'avons besoin de personne pour vivre COMME LE MONDE et (ou) selon la chair !

Or, puisque nous avons donné notre vie à Jésus-Christ, nous sommes devenus des NOUVELLES CRÉATURES ! Qui dit "nouvelles créatures" dit aussi que "toutes choses sont devenues nouvelles" (2 Corinthiens 5. 17).

Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l'esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous. Romains 8. 9 (v. L. S)

Ceux qui sont à Jésus-Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs.
Galates 5: 24 (v. L. S)

Si l'Esprit de Dieu habite en moi, je dois marcher différemment qu'avant ma conversion ! Je dois apprendre à me séparer de tout ce qui, dans mon ancienne nature, me rendait esclave de la chair, du péché.
Je dois aussi prendre conscience de tout ce qui me manque ! La douceur, la compassion..., avoir plus d'amour, plus de sagesse, de discernement et d'intelligence pour mieux comprendre la Parole de Dieu. Je ne parle que pour moi bien entendu, chacun devant être conscient de ce qui lui manque pour ressembler à Jésus-Christ.

Comme l'apôtre Paul, je ne suis pas inconscient ! Je reconnais, qu'en moi aussi, il y a deux lois qui s'opposent dont l'une me donne parfois bien du fil à retordre à cause de son insistance à vouloir me faire revenir en arrière.

... je vois dans mes membres
une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. Romains 7: 23 (v. L. S)

Deux lois qui s'opposent, d'accord ! Mais, dans ce combat, c'est moi qui suis l'arbitre !
C'est à moi qu'il appartient de choisir celui que je veux faire triompher dans ma vie.
N'ai-je pas autorité sur ma langue, sur mes yeux, mes oreilles, mes pieds ?
Ne suis-je pas capable d'un acte de volonté pour choisir ce que je veux dire, voir, écouter ou l'endroit où je veux aller ?

Nous étions autrefois insensés, désobéissants, égarés, asservis à toute espèce de convoitises et de voluptés, vivant dans la méchanceté et dans l'envie, dignes d'être haïs, et nous haïssant les uns les autres. Tite 3. 3 (v. L. S)

Autrefois nous étions esclaves (asservis). Aujourd'hui Jésus nous a libérés, mais comme le dit l'apôtre Paul : " ne faites pas de cette liberté un prétexte de vivre selon la chair" (Galates 5. 13), car : " Si vous vivez selon la chair, vous mourrez" (Romains 8: 13).

La volonté de la chair est en continuelle opposition avec la volonté de l'Esprit et elle le sera TOUJOURS !

La chair a des désirs contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit en a de contraires à ceux de la chair ; ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez point ce que vous voudriez. Galates 5. 17(v. L. S)

L'esprit de Dieu me conduit-il ?
Mon âme aspire-t-elle à quelque chose de meilleur qu'hier ou suis-je satisfait de ce que je vis, simplement parce que je ne fais pas telle ou telle chose ?

La séparation d'avec le monde
, cette première séparation, si elle a bien eu lieu, ne pourra me conduire qu'à désirer d'autres séparations, c'est-à-dire de me défaire de tout ce qui déplaît à Dieu dans ma vie personnelle, vie visible et vie secrète !

Après la séparation d'avec le monde, je suis naturellement appelé à faire mourir ce qui est en moi, ce qui appartenait à ma vie païenne et dont la chair se délectait sans forcément le savoir, trouvant normal d'être satisfaite.
"... si par l'Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez" (Romains 8. 13).
Il y a donc encore quelque chose à faire mourir ! Quelque chose qui vivait chez les chrétiens de Rome et qui se trouvent aussi dans ceux d'aujourd'hui !

Cette deuxième séparation est un autre pas qui va m'engager dans un processus de sanctification permanente.
Cette séparation ne pourra prendre toute sa signification qu'au travers d'une marche continuelle durant laquelle le Saint-Esprit aura toute liberté de mettre en lumière les choses que je dois abandonner.
C'est alors que l'on verra si Jésus est autant mon Seigneur qu'il est mon Sauveur, si ma vie lui est véritablement consacrée.

Séparation + consécration
=
SANCTIFICATION

Si nous sommes tiraillés entre deux mondes, entre l'ancienne et la nouvelle nature - et nous le sommes très certainement -, l'Écriture nous ordonne de ne pas "livrer nos membres au péché" (Romains 6: 13), mais de nous donner nous-mêmes à Dieu :

Ne livrez pas vos membres au péché, comme des instruments d'iniquité ; mais donnez-vous vous-mêmes à Dieu" Romains 6: 13 (v. L. S)

Subir les assauts de la chair, n'est pas "se livrer au péché", c'est simplement reconnaître que la vieille nature a encore des exigences qui vont à l'encontre de la loi de Dieu inscrite dans nos coeurs, une loi d'autant plus lisible que nous y prêterons de plus en plus d'attention.

Cette vieille nature, ne puis-je pas déjà la brider ? Reposons-nous la question de tout à l'heure :
N'ai-je pas autorité sur ma langue, sur mes yeux, mes oreilles, mes pieds !
Ne suis-je pas capable d'un acte de volonté pour choisir ce que je veux dire, voir, écouter ou l'endroit où je veux aller ?

Pour la langue... (Grand soupir). Mais comme Dieu ne nous a jamais demandé l'impossible je dois donc pouvoir travailler à son dressage, elle est encore bien trop sauvage (Jacques 3: 5 et suivants) !

Pour les yeux... Alors là, je peux facilement prendre des décisions, faire un pacte avec eux afin qu'ils se détournent de ce qu'ils ne doivent pas voir : " J'avais fait un pacte avec mes yeux, Et je n'aurais pas arrêté mes regards sur une vierge" (Job 31: 1), et sur... certains programmes TV, sur certains jeux d'ordinateurs, certaines revues.
En règle générale, je dois m'abstenir de regarder ce que le Seigneur Jésus ne regarderait pas en ma compagnie.
Aide-moi Seigneur à faire les bons choix : "Détourne mes yeux de la vue des choses vaines, Fais-moi vivre dans ta voie" (Psaume 119: 37).

Pour les oreilles... Il est aussi possible de "faire un pacte" avec elles et de se discipliner afin qu'elles soient toujours plus attentives à "ce que l'Esprit dit aux Églises" (Lettres aux diverses Églises de l'Apocalypse)

Pour les pieds... Qu'ils aient toujours les chaussures du "zèle que donne l'Évangile"(Éphésiens 6. 15), cela leur évitera de courir dans des chemins où le Seigneur ne pourrait ni nous suivre, ni forcément nous garder.

Je ne vois pas ces "limitations" comme des contraintes pour ma vie personnelle ! Au contraire !
Si j'aime le Seigneur et crois de tout mon coeur qu'il ne cherche que mon bien, alors j'accepte volontiers qu'il m'instruise pour que je devienne comme il le désire. J'accepte qu'il me change, qu'il me donne une nouvelle personnalité. En avant, courage! "Nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés" (Romains 8: 37)!

Non seulement je l'accepte, mais je le désire ardemment: "Sonde-moi, Éternel! éprouve-moi, Fais passer au creuset mes reins et mon coeur... - connais mon coeur... connais mes pensées ... Ne me laisse pas égarer loin de tes commandements" (Psaumes 26: 2; 139: 23; 119: 10 )

En avant! Veillons ou réveillons-nous! "Réveille-toi, toi qui dors, Relève-toi d'entre les morts, Et Christ t'éclairera" (Éphésiens 5: 14)!

Réveillons-nous! Jésus revient bientôt! Réveillons-nous, car le laisser-aller sera le pire ennemi de notre sanctification ! Il nous rendra insouciants, inconscients des dangers et nous laissera glisser vers l'endormissement spirituel.

- Veillez, demeurez fermes dans la foi... fortifiez-vous. 1 Corinthiens 16: 13 (v. L. S)

-
Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant... 1 Pierre 5: 8 (v. L. S)

-
Ne dormons donc point comme les autres, mais veillons et soyons sobres. 1 Thessaloniciens 5. 6 (v. L. S)

"Que celui qui est saint SE SANCTIFIE ENCORE"
Apocalypse 22. 11

***

SANCTIFICATION
=
Séparation d'avec le monde
Séparation d'avec ce que le monde a incrusté en nous.
Séparation d'avec la vaine manière de vivre héritée de nos pères.
+
CONSÉCRATION

À suivre: sanctification (s) + consécration

J-M Ravé 27 juin 2009 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse


 

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