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«Jésus-Super-Star» annulé!

Les chrétiens qui ont prié pour l'annulation de cette comédie musicale, et qui avaient prévu un rassemblement public à Strasbourg devant le Palais de la Musique et des Congrès, ne sont pas surpris d'un tel résultat; merci Seigneur!

Voici un aperçu de cette horreur, fourni par «Chrétiens pour la Vérité»! «Cet opéra rock est une représentation grossière et mensongère de notre Seigneur Jésus-Christ. En effet, Jésus-Christ est présenté comme un homme faible, irritable, avec beaucoup de défauts, aux moeurs douteuses, entretenant une affaire de coeur avec Marie-Madeleine.

Certaines scènes le présentent même entouré de femmes en tenue légère et provocante. À la fin Jésus-Christ meurt dans le trouble et la désillusion.»

«Par contre, Judas le traître apparaît comme un héros qui reprend Jésus, s'étonnant de la vie frivole qu'il mène, en contradiction avec son enseignement. Christ n'est point le Fils de Dieu, mais est rabaissé au même rang que Bouddha et Mahomet.»

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MUSIQUE « HOUSE »

« La musique est un don de Dieu » disait Luther. Unie au message divin, elle édifie le coeur de l'homme et fortifie l'Eglise.

Ce qui fait la force de cet art, c'est son influence subtile sur les profondeurs de l'âme humaine, influence qui ne passe pas par la raison, mais par le sentiment, l'émotion, la sensation, le sensoriel. Ainsi, parce qu'elle touche « le plaisir» de l'homme, la musique peut être porteuse de toutes sortes de messages (même diaboliques), en annihilant, s'il le faut, la raison et la conscience.

C'est ce que nous présente la fin de ce siècle, surtout depuis la prolifération des matériaux HI-FI. Nous assistons «à la mise à mort» de centaines de milliers de personnes, surtout des jeunes qui, entraînés par ces musiques sombrent dans une triste dépravation. Hélas le monde chrétien, peut-être par son insouciance et son inconscience, est également touché. Qui dira que la musique est inoffensive?

1 . Musique « HOUSE » : son histoire.

2. Caractéristiques principales de la « House Music».

Terminons par un témoignage.

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Musique rock

- "Satan est en train d'agiter ses cloches au-dessus de l'Amérique du Nord. Et, tout comme les rats, puis les enfants, dans le conte du Joueur de flûte, nos adolescents sont conduits directement en enfer. Et, ce qui est le plus effroyable, c'est que personne n'essaie de les arrêter."

Ce cri d'alarme est lancé par un jeune pasteur, John Counsell, devant 800 personnes rassemblées dans l'auditorium du carrefour Chrétien de la Capitale à Québec. C'est là que ce pasteur âgé de 22 ans, donnait une série de conférences publiques sous le titre " Le procès de la musique Rock " les 19, 20 et 21 janvier 1983....

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La musique rock indésirable

Le comité directeur du Conseil Évangélique-Chrétien-Baptiste (CECB) des églises russes non enregistrées a adressé un message urgent aux Eglises des Etats-Unis dans lequel il est dit «Beaucoup viennent avec la Bible en main et de la musique rock. Nous sommes contre les chrétiens américains qui nous apportent cette fausse image du culte dans notre pays.

Nous avons horreur de la musique rock». Ces églises qui comptent 100000 membres ont demandé à leurs jeunes de ne pas fréquenter des manifestations où se donne cette musique. le régime communiste avait utilisé cette musique pour «démolir les âmes des chrétiens». La musique rock est profane et provient de l'enfer, est-il encore dit. Les responsables de ces églises demandent aux chrétiens occidentaux de ne pas donner de l'argent aux oeuvres missionnaires qui introduisent la musique rock en Russie.

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Le nihilisme culturel et la désintégration de la MUSIQUE

La brochure et la cassette du père Jean-Paul Régimbal, consacrées aux méfaits de la musique rock (1), après avoir connu un vif succès, commencent à susciter des réactions, non seulement dans la presse profane (2), mais également dans les milieux évangéliques (3). Que les partisans de la musique rock réagissent ainsi aux nombreuses critiques contenues dans cette brochure n'est guère surprenant, mais, ce qui l'est davantage, c'est qu'ils reçoivent le soutien inespéré des chrétiens. Le travail pionnier du père Régimbal l'a certes entraîné dans certaines exagérations et contient quelques imprécisions regrettables. En particulier, toute la question des effets de messages subliminaux enregistrés à rebours dans une langue souvent inconnue de l'auditeur, prête à discussion. Ce point resterait à démontrer; cependant, en focalisant l'attention des éventuels lecteurs ou auditeurs sur le sensationnel lui-même, elle risque d'être détournée du même coup de questions bien plus essentielles relatives à la forme musicale et au contenu conceptuel d'une telle musique. L'utilisation effective de ces messages subliminaux par certains groupes pose tout de même un grave problème éthique qu'il serait extrêmement regrettable d'escamoter (4).

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LE PHENOMENE MUSIQUE

Si le titre peut surprendre, de prime abord, il n'en deviendra que plus significatif au fur et à mesure que vous avancerez dans le développement que je vous propose, pour autant qu'il soit entendu que phénomène désigne ce qui se manifeste soit à la conscience par l'intermédiaire des sens (domaine de la physique), soit à la sensibilité affective (domaine du psychisme). A la fin de notre voyage dans le royaume de la musique, vous saurez mieux apprécier à quel point la musique est une de ces "perfections invisibles de Dieu qui se voient comme à l'oeil, depuis la création du monde", pour emprunter à l'apôtre Paul ces paroles écrites aux croyants de Rome il y a près de deux millénaires ; ce qui est valable pour l'oeil l'est aussi pour l'oreille.

Je n'ai évidemment aucunement la prétention de faire, en quelques pages, le tour du problème que soulève le phénomène musique. Aussi aimerais-je solliciter l'indulgence des musicologues professionnels et des amateurs avisés qui pourraient déplorer, dans mon article, l'absence de certains faits, de certains noms qu'ils auraient jugés essentiels. On voudra bien excuser le côté vulgarisateur de mon exposé : tout le monde n'est pas versé en matière musicale.

Le problème de la musique en tant que phénomène psychique a commencé à me préoccuper lors de mon séjour en Afrique équatoriale voilà bientôt trente ans.

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Le chanteur de rock Rod Stewart

(c'est l'information fournie par un journal de boulevard) se serait tourné vers Dieu après une vie agitée. Après la séparation d'avec son épouse Rachel, il était désemparé et priait Dieu: «Aide-moi, je t'en supplie!» Il se repent de son ancienne vie: femmes, sexe et alcool. Il semble que sa nouvelle foi le rend heureux comme jamais auparavant; il déclare: «Je sais, je le ressens ainsi, parce que Dieu est entré dans ma vie. »

© Appel de Minuit

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Comment guérir l'univers?

Lu sur le dépliant du groupe de musique TALITAKOUM (Saoul-Jazz) qui veut témoigner de sa foi en Christ: «La musique est la force de guérison de l'univers» (Albert Ayler).

Mais que dit l'Écriture? «C'est par ses meurtrissures (de Christ) que nous sommes guéris» (Esaïe 53:5; 1 Pierre 2:24) et non par la musique!

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Carlos Roa ne peut plus concilier la pratique de son sport ...

Le joueur de football

professionnel argentin Carlos Roa (29 ans), un gardien de but, ne peut plus concilier la pratique de son sport le samedi avec sa foi - il appartient à l'Eglise des Adventistes du septième jour. Il se retire du football actif, où il jouait au Réal Majorque, une équipe de première ligue.

© Appel de Minuit

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Deux médailles olympiques pour Israël

Pour la première fois dans l'histoire des jeux olympiques, le drapeau israélien a été hissé lors d'une remise de médailles. Cela s'est passé cet été à Barcelone et s'est même produit à deux reprises, à la grande joie des Israéliens.

Israël a en effet obtenu deux médailles olympiques. La judoka Yael Arad a ramené chez elle une médaille d'argent. La jeune Yael a atteint la finale olympique après avoir battu avec brio son adversaire allemande, la championne du monde en titre. La finale a été retransmise en direct à la télévision israélienne. Son exploit a été, semble-t-il, regardé par la nation entière. Après avoir remporté la victoire, Yael Arad est montée sur le podium olympique, mais pas comme une championne ordinaire, puisqu'elle est la première Israélienne à être parvenue à remporter une médaille au nom de son pays. Pour la première fois, le drapeau israélien a été hissé pendant la cérémonie de remise des médailles. Quelques minutes après, Yael a reçu des télégrammes de félicitations du chef de l'Etat, du ministre-président et du ministre de la Culture ayant également le sport dans ses attributions. Dans des interviews accordées aux journalistes, Yael a déclaré que, lorsqu'elle est montée en larmes sur le podium olympique, elle n'a pensé qu'à une seule chose, au fait que sa victoire constituait une revanche, au nom de l'ensemble du peuple d'Israël, sur les terroristes arabes qui avaient assassiné, il y a 20 ans, des sportifs israéliens lors des jeux olympiques de Munich.

Quelques heures après ce moment émouvant, un autre athlète israélien, Oren Smadja, a créé la surprise en remportant une médaille de bronze, également en judo. Comme sa compatriote, Oren a également reçu de nombreux télégrammes de félicitations d'Israël.

En Israël, l'émotion suscitée par ces exploits a été très forte. Le peuple d'Israël, qui s'était habitué à être le peuple des Ecritures, avait visiblement besoin d'une nouvelle confirmation de ses capacités dans le domaine des sports. Le fait de l'avoir enfin obtenue a mis le peuple dans tous ses états. Les médailles olympiques ont également fait la une des journaux. Un de ceux-ci a même donné une dimension biblique à sa manchette en écrivant : «Il a fallu attendre 2000 ans». Cet enthousiasme a même dépassé les frontières d'Israël. Le «New York Times», un des journaux les plus importants du monde, a rapporté en première page la victoire israélienne et l'émotion qu'elle a suscitée en Israël. Le journal, qui en temps normal ne commente pas les événements olympiques en première page, a donné à l'article le titre symbolique suivant: «Vingt ans après le massacre, Israël fête sa première médaille». (ZL)

© Nouvelles d'Israël 

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Ne pas donner une fausse image

 Une manifestation religieuse officielle à caractère oecuménique aurait dû avoir lieu à l'occasion des jeux olympiques de Barcelone en 1992. On avait prévu la participation de représentants des principales religions mondiales (christianisme, judaïsme, islam, bouddhisme), mais les milieux protestants ayant décliné l'invitation, la manifestation fut purement et simplement supprimée.

Le Conseil évangélique de Catalogne déclara: «Nous ne pouvons pas, en conscience, participer à un acte de caractère religieux qui met nos croyances et nos convictions au même niveau que celles des autres " religions" . . . il serait d'ailleurs malhonnête de donner à la société une image que l'on pourrait interpréter comme celle d'une unité de pensée et de doctrine qui, en fait, n'existe pas».

(selon «Le Christianisme au XX ème siècle» No 365)

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Du paganisme olympique!

Des évêques luthériens norvégiens ont protesté contre l'invocation des divinités païennes Zeus et Apollon dans l'hymne olympique chanté lors de l'ouverture des Jeux Olympiques de Lillehammer. La flamme olympique est aussi d'origine païenne.

IDEA-Spektrum