Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

CHAPITRE V

L'Église d'Orient du IXe au XIe siècle

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 (1) L'histoire de l'Église d'Orient au IXe siècle peut se résumer en trois conflits : la querelle des images, la lutte contre les Pauliciens, la rivalité entre Rome et Constantinople.

Longtemps proscrit par l'empereur byzantin Léon III l'Isaurien et son fils Constantin Copronyme, le culte des images avait été rétabli, comme nous l'avons déjà vu (T. II, p. 278), par l'impératrice Irène en 787. Un concile, réuni cette année-là à Constantinople, sur l'initiative du pape Hadrien 1er, et du patriarche Tarasius, puis transféré à Nicée - d'où son nom : IIe concile de Nicée (VIIe concile oecuménique) - annula les décisions de celui d'Héria, sur le Bosphore (754).
Il déclara que toute image du Christ, de Marie, des anges ou des saints, mérite, en souvenir d'eux, tout comme la croix, non pas sans doute « le culte (latreia) véritable qui convient à la seule nature divine », mais « la salutation (aspasmos) et l'adoration (proskunésis) respectueuse », et qu'on peut leur offrir de l'encens et allumer des flambeaux en leur honneur. Ajoutons que cette grande assemblée confirma toits les canons des six premiers conciles oecuméniques, établissant ainsi un code de législation ecclésiastique pour l'Orient. Parmi ses décisions, on doit noter celles qui visent à réformer les moeurs du clergé, et celle qui déclare nul le choix d'un ecclésiastique par le pouvoir séculier.

Après l'expulsion d'Irène (802), Nicéphore 1er toléra les deux attitudes de son peuple à l'égard de la vénération des images, mais Léon V l'Arménien (813-820) reprit la lutte contre elle, malgré le patriarche Nicéphore qui fut contraint de se retirer, et le synode de Constantinople (815) remit en vigueur les décrets de celui d'Héria. Michel Il le Bègue (820-829), qui remplaça Léon V assassiné le jour de Noël, montra quelque tolérance, mais Théophile (829-842) renouvela la proscription. Enfin, Théodora, régente de son fils Michel III l'Ivrogne (842-867), fit rétablir par un synode le culte des images, et le 11 mars 848 fut célébré « le Triomphe de l'Orthodoxie », solennité que l'Église d'Orient a conservée.

Une autre cause de trouble pour l'empire byzantin fut la lutte contre les Pauliciens. Cette secte de chrétiens radicaux, admirateurs de saint Paul, hostiles au culte des images et aux sacrements et adonnés au manichéisme (2), après une période de décadence, avait été réorganisée par le réformateur Serge, surnommé Tychique, qui fut assassiné en 835. Les persécutions l'amenèrent à se réfugier dans la partie de l'Arménie soumise aux Musulmans, avec lesquels elle s'allia contre l'empire grec. Une forteresse fut élevée à Tephrique sur les frontières, et la guerre éclata. Basile 1er fondateur de la dynastie macédonienne (867), vainquit en 871 le chef paulicien Chrysochéir, et, après le meurtre de ce dernier et la prise de la forteresse, la puissance politique de cette secte fut anéantie (3).

Un troisième motif d'agitation fut la rivalité entre Rome et Constantinople, qui se ralluma avec le conflit d'Ignace et de Photius.

Le patriarche Ignace, de race impériale, fut déposé en novembre 857 à cause de son énergique réprobation d'un inceste commis par Bardas, oncle et principal conseiller du jeune empereur Michel III. Il en appela aussitôt à Rome. Le secrétaire d'État Photius, le plus grand savant de son temps, le remplaça (4). Simple laïque, il reçut en six jours les ordres ecclésiastiques exigés par ses hautes fonctions. Au bout d'un an de lutte contre les moines, il fit part de sa nomination à Nicolas 1er, que l'empereur pria, de son côté, de reconnaître le nouveau patriarche. Le pape, s'appuyant sur le Pseudo-Isidore qui le proclamait chef absolu de toutes les Églises, et bien conseillé pour sa politique grecque par son bibliothécaire Anastase, envoya deux évêques pour faire une enquête (septembre, 860). Au synode réuni dans l'église des Apôtres, à Constantinople, en mai 861, les légats, peut-être achetés, se prononcèrent pour Photius contre Ignace, mais Nicolas 1er, perçant à jour la duplicité du nouvel élu, désavoua ses légats et s'efforça de rétablir dans ses fonctions le patriarche révoqué (encyclique du 18 mars 862). Il fit ensuite déposer son rival par un synode romain, et il multiplia les lettres contre lui sans s'inquiéter des menaces de l'empereur.

Sur ces entrefaites, les efforts des légats pour soustraire la Bulgarie chrétienne à l'influence de Constantinople amenèrent Photius à dénoncer, dans son encyclique de 867 aux Orientaux, les erreurs de l'Église latine. Il lui reprochait, entre autres griefs, d'avoir interdit le mariage des prêtres et altéré le Symbole en y ajoutant le filioque, et il convoquait un synode à Constantinople.

Nicolas 1er, qui y fut excommunié, répliqua en poussant plusieurs théologiens latins à prendre la plume. Ratramne écrivit un traité Contre les critiques des Grecs qui diffament l'Église romaine (Contra Groecorum opposita), et l'évêque de Paris, Enée, fit un Liber adversus Groecos. Peu après, Basile le Macédonien, qui avait fait assassiner Michel Il (23 septembre 867) et pris sa place, irrité contre Photius assez hardi pour lui reprocher ouvertement son crime et lui refuser la communion l'exila dans un monastère de l'île de Chypre et rétablit Ignace.

Deux ans après, un synode romain, réuni par Hadrien II, prononça la condamnation de Photius. Elle fut renouvelée à celui de Constantinople, convoqué par Ignace 5 octobre 869 - 28 février 870) - le VIIIe concile oecuménique, d'après les Latins - qui reconnut le pape comme maître absolu de l'Église. Pourtant, il repoussa ses prétentions sur l'Église bulgare qui s'était rattachée de nouveau à l'Église d'Orient.

Après la mort d'Ignace (878), Basile 1er, qui estimait Photius, le rétablit. Le patriarche convoqua en 879 un concile - le VIIIe oecuménique, d'après les Grecs - qui le reconnut et cassa les décisions du synode de 869. Ce concile n'admit la primauté du pape que sur l'Occident. Le pape Jean VIII refusa de l'approuver et le schisme commença. En 886, Photius fut déposé par Léon le Philosophe, fils de Basile 1er, et enfermé dans un monastère arménien où il mourut en 891.




Avec Basile 1er, fondateur de la dynastie macédonienne, qui dura de 867 à 1057, date où elle fut remplacée par celle des Comnène, s'ouvre une période brillante. Ces empereurs, bien différents de ceux qui les ont précédés, sont des soldats énergiques et de bons administrateurs. Leur premier soin est d'endiguer les invasions. Basile 1er fait une série de campagnes en Asie contre les Arabes (873-879). Ses successeurs reprennent le pays jusqu'à l'Euphrate et au Tigre, s'emparent d'Antioche (968) et d'Alep (995). Romain Lécapène contient Siméon, le tsar des Bulgares, impuissant à enlever Constantinople (924) ; Nicéphore II Phocas refuse à ces envahisseurs le tribut annuel (967), et après les longues guerres de Basile II, surnommé « le tueur de Bulgares », le tsar Samuel est vaincu sur la Stroumitza (1015), et dans sa fuite, en voyant venir à lui quinze mille de ses soldats auxquels le vainqueur a fait crever les yeux, il meurt de saisissement. Quatre ans après, son royaume disparut de la carte d'Europe, annexé à l'empire d'Orient.

Ces monarques, despotes intelligents, réussirent, par une législation heureuse qui compléta celle de Justinien (5), à fondre en un tout homogène les races diverses qu'ils gouvernaient et à donner l'essor, au Xe siècle, à une civilisation pleine d'éclat. Les étoffes de soie, les bijoux et les ivoires sculptés acquièrent une vogue extraordinaire. On construit des basiliques à coupoles. Églises et palais reçoivent une décoration somptueuse, où les sculptures s'inspirent de motifs arabes. De cette époque datent la mosaïque de Sainte-Sophie de Kiev, ainsi que celle de Sainte-Sophie de Constantinople qui représente un empereur prosterné aux pieds du Christ. Les manuscrits enluminés se multiplient. L'Université de la capitale a des savants renommés. Constantin VII Porphyrogénète fait des travaux historiques et politiques.

À ce rayonnement artistique, littéraire et commercial, l'empire d'Orient ajouta une large mainmise politique sur l'Occident rongé par l'anarchie. Dans l'Italie méridionale, où il possédait la Calabre et la Sicile, il arracha aux Sarrasins Bari et Tarente, puis la Campanie, et il étendit son influence sur les républiques voisines, celles de Naples et de Gaète, et jusque sur Venise qui reconnut sa suzeraineté. Mais l'arrivée des Normands vint briser sa domination en Italie. Vers 1040, les trois fils de Tancrède de Hauteville prirent une grande partie de la Pouille. Le plus jeune, Robert dit Guiscard (le rusé), acheva la conquête de la Campanie, de la Pouille et de la Calabre (1047-1071), tandis que son frère Roger s'emparait de la Sicile (1062-1072).




L'Église d'Orient fut assez prospère à cette époque.
Signalons, au Xe siècle, les homélies et les traités dogmatiques de Léon le Philosophe, toute une littérature de controverse contre les Musulmans, les Latins et les Juifs, un Recueil des Vies des Saints dû à Siméon le Métaphraste (« paraphraseur »), secrétaire, semble-t-il, de Léon le Philosophe, auquel l'hagiographie byzantine doit sa forme classique, de réputation d'ailleurs douteuse, le Lexique de Suidas, auteur inconnu, vaste compilation où l'on trouve des données précieuses pour de l'Église. Insistons davantage sur l'essor de l'ascétisme, favorisé en Orient par le mode de recrutement des évêques, sortis en général des couvents. Sous l'influence de l'abbé du couvent de Studion, à Constantinople, Théodore Studite (mort en 826), de nouveaux monastères avaient été fondés. Leurs possessions s'accrurent jusqu'à constituer un danger pour l'État, et le synode de Constantinople (861) dut les limiter.

Au Xe siècle, le mouvement monastique s'accentua, soutenu par les empereurs. Il revêtit parfois la forme anachorétique et produisit des phénomènes ascétiques fort étranges. Les fondations les plus importantes furent celles des montagnes de Latros, au bord du Méandre, près de Milet, de l'Olympe, en Bithynie, et de l'Athos (Hagion Oros, sainte montagne), dans la Chalcidique (6). Le premier couvent de ce dernier mont, bâti en 963, fut entouré peu à peu par d'autres établissements.

Les moines confessaient le peuple, au grand déplaisir du clergé séculier, et certains l'émerveillaient par leurs prouesses ascétiques, tel Lazare le Stylite, sur le mont Galésius, près d'Éphèse. Ils étaient durs pour les hérétiques (7). Ils le furent aussi pour eux-mêmes et plusieurs d'entre eux travaillèrent à la réforme de leur institution, en particulier Christodule (8), qui fonda le couvent de saint Jean à Patmos en 1079. Le principal mystique de l'Église grecque fut Siméon « le nouveau théologien », moine an couvent de Studion, puis dans celui de Mania, à Constantinople.
Indifférent au dogme et à l'Église il s'en tenait à l'expérience intime, ouvrant ainsi la porte aux hérésies.

L'activité missionnaire de l'Église d'Orient, dont nous avons déjà signalé les rapports, parfois hostiles, avec celle des évangélistes allemands et latins dans l'Europe centrale, se déploya efficacement parmi les Russes (Rhos), qui avaient fait leur apparition devant Byzance en 860. D'après l'encyclique de Photius, ils avaient accepté un évêque et suivaient avec zèle le culte chrétien. Basile le Macédonien leur fit adopter le baptême, et ils eurent un archevêque, consacré par Ignace. Plus tard, il y eut à Kiev, vers 945, une Église de nobles normands, nombreux dans cette ville. Olga, veuve du roi Igor venue en 957 à Constantinople, y fut baptisée et reçut le nom d'Hélène. Pourtant, elle ne resta pas en relations avec l'Église byzantine, et elle s'adressa à Otton 1er, pour avoir un évêque et des prêtres. Adalbert, moine de Saint-Maximin à Trèves (plus tard pourvu du siège de Magdebourg), fut nommé évêque missionnaire pour la Russie (961), mais son oeuvre échoua. D'autre part, Wladimir l'Apostolique, petit-fils d'Olga, qui épousa la princesse Anna de Byzance, resta en rapports suivis avec l'empire d'Orient. Il se fit baptiser en 988, et le baptême de ses sujets s'ajouta au sien. Huit évêchés furent fondés. Quatre autres devaient s'y ajouter avant la conquête mongole. La liturgie slave, importée par les Bulgares, s'implanta dans ce pays.

À partir de 991, l'Église russe fut dirigée par un métropolitain nommé par le patriarche de Constantinople, avec résidence à Kiev (9). Presque tous ces métropolitains furent des Grecs. Le grand couvent (Höhlenkloster) de Kiev, fondé en 1051, devint pour la Russie un centre ecclésiastique imprégné de culture grecque, où des évêques vinrent se former. D'ailleurs le christianisme russe fut surtout monastique. Les moines étaient fort considérés, et ils exerçaient une grande influence sur les princes, dans le sens de la paix.

Malgré son caractère byzantin, l'Église russe ne resta pas sans relations avec la papauté. Un délégué romain, Brun de Querfurt, moine à Rome, puis missionnaire en Hongrie, obtint la protection du prince Wladimir dans son essai d'évangélisation (vers la fin de 1007) des Petschenègues, fixés sur les rives du Bas-Dnieper et de la mer Noire. Mais, après le Schisme de 1054, l'Église russe suivit celle de Bysance, et l'on y vit éclore une vaste littérature polémique dirigée contre les Latins. Au reste, elle conserva un caractère national, comme le montre la stricte dépendance des évêques à l'égard des princes.




Venons-en au récit du grave événement qui, au milieu du XIe siècle, marqua l'histoire de l'Église d'Orient, la rupture de ses relations avec l'Église d'Occident.

Elles s'étaient améliorées au début du Xe siècle. En 900, Léon le Philosophe avait fait légitimer son quatrième mariage par le pape Serge III et obtenu de lui la déposition du patriarche Nicolas Mystique qui y avait refusé son assentiment. Ce dignitaire avait été, d'ailleurs, rétabli dans sa charge en 912 et reconnu par Jean X en 920. Sous Romain Lécapène (920-944), des relations se nouèrent entre Byzance et certains papes, désireux de trouver en elle un appui contre l'hégémonie des souverains allemands. Un esprit différent prévalut sous Nicéphore Il Phocas (963-969). Ce souverain prescrivit à son patriarche, Polyeucte, d'ériger à Otrante un archevêché soumis à Constantinople, et il interdit l'observation du rite latin dans les provinces grecques d'Apulie et de Calabre (968).

Le mariage d'Otton Il avec la princesse Théophano avait été impuissant à changer ces dispositions. Sous Basile II, le patriarche Serge Il fit effacer le nom du pape des diptyques (registres sacrés) de l'empire, probablement parce qu'Henri Il d'Allemagne avait contraint le pontife à faire chanter désormais à Rome le symbole muni du filioque.

Les rapports entre les deux Églises se tendirent de nouveau avec la prétention du pape Léon IX d'exercer sa juridiction sur les anciens territoires byzantins de l'Italie méridionale, qu'Henri III venait de reconquérir sur les Normands (10). Il se rendit en Apulie (1050) et nomma un archevêque pour la Sicile. Il chercha bien à s'entendre avec l'empereur Constantin IX Monomaque (1042-1054), mais le patriarche Michel Cérulaire, prélat austère et très orgueilleux, répondit en faisant fermer les églises et les couvents du rite latin à Constantinople, et en écrivant, d'accord avec Léon d'Ochride, métropolitain de l'Église bulgare autonome, une lettre violente destinée à exposer le différend au clergé d'Apulie. Il y reprochait aux Latins de fâcheuses innovations, telles que l'usage du pain azyme dans la Cène. Il en résulta une dispute, que l'empereur s'efforça d'apaiser. À sa prière, le pape lui envoya une députation constituée par le cardinal Humbert, l'évêque Pierre d'Amalfi et Frédéric, diacre et chancelier de l'Église romaine.

Invité à désavouer un pamphlet (libellus) dirigé contre les Latins par un moine de Studion, Constantin leur céda, mais le patriarche Michel, traité par eux avec désinvolture, se montra inflexible. Alors les délégués pontificaux déposèrent le 6 juillet 1054, sur l'autel de Sainte-Sophie, la célèbre bulle d'excommunication qui condamnait avec énergie Michel et ses partisans, coupables de nombreuses hérésies, en particulier le mariage des prêtres et le rejet du filioque. Puis ils sortirent en disant : « Que Dieu le voie et qu'il juge! »

Quelques jours plus tard, dans un synode tenu à Constantinople, Michel anathématise le pape. Tous les patriarches d'Orient se rattachèrent à la capitale, même celui d'Antioche, Pierre, peu passionné pour ce conflit. Le souverain dut céder à la pression des masses populaires. Le Schisme était consommé. Rupture grave, car elle allait séparer non seulement deux Églises, mais deux Empires.

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(1) Charles Diehl, Hist. de l'Empire byzantin, Paris 1919 ; Gustave Schlumberger, L'Épopée byzantine à la fin du XI siècle (T. Il, : Jean Tzimiscès (969-989) ; T. Il : Basile II (989-1025), Paris 1896-1900), et Nicéphore Phocas, 21 éd. Paris 1923. 
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(2) Sources : Historia Manichwaeorum qui Pauliciani dicuntur, par Petrus Siculus, ambassadeur de Basile 1er chez les Pauliciens. 
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(3) En 970, l'empereur Jean Tzimiscès devait la transplanter en Thrace et lui confier la défense du nord de l'empire.
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(4) il fut un compilateur acharné. Sa Bibliothèque (Myriobiblon) donne des extraits de près de cinq cents ouvrages dont la plupart sont perdus (éditée à Augsbourg, 1601). Il écrivit un traité contre les Pauliciens (éd. Hambourg, 1722), des lettres pleines d'érudition et d'éloquence (éd. lat. de 248 lettres, Epistolae, Londres 1651), et d'autres livres. Quant au Nomocanon, recueil de lois et de canons orientaux, il est, semble-t-il, antérieur à Photius. 
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(5) Rééditée sous Léon le Philosophe (886-911) dans les soixante livres des Basilika. 
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(6) La vie des moines sur l'Olympe nous est connue par les deux biographies, dues à deux religieux, de Joanniquios, contemporain de Théodore Studite. 
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(7) Les monophysites de Syrie (sur cette tendance, voir notre T. II, p. 204) furent condamnés à Constantinople.
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(8) Le barbier, Saint Christodule et la Réforme des couvents grecs au XIe siècle, Paris 1863 ; art. de Renaudin dans la Revue de l'orient chrétien, 1900.
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(9) Cette résidence devait être transférée à Vladimir, en 1299, et en 1325 à Moscou. 
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(10) Gay, L'Italie méridionale et l'Empire byzantin, de 867 à 1071 (École française de Rome), 1904. 
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