SECTION Ve. - Les livres poétiques ( Psaumes, Cantique des cantiques, Ecclésiaste).

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§ 58. Règles d'interprétation. - Quand on étudie les Psaumes, il faut faire attention à deux choses :

Chercher d'abord à reconnaître l'auteur du psaume, son origine historique et son but réel. Les tableaux B et C seront utiles à consulter pour les deux premiers points, le tableau A pour le dernier.

Examiner soigneusement le sens historique des mots et des allusions, et tâcher de reconnaître, par les citations du Nouveau-Testament ou par l'esprit général de l'Evangile , dans quel sens il doit s'appliquer, soit à Christ , soit à l'Eglise chrétienne. Quoique peut-être chaque psaume se rattache par son origine et par ses allusions à une économie qui a dû disparaître, ils ne s'en rattachent pas moins tous, et d'une manière intime, à l'économie qui doit demeurer éternellement ; étudié dans un esprit de sagesse, à la lumière de l'Evangile, ce livre devient notre livre, et il devient pour nous l'expression la plus sainte de nos sentiments les plus saints. - Voyez le Commentaire de A. de Mestral.

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§ 59. Le Cantique de Salomon (1001 avant Christ). - Le témoignage unanime de l'antiquité fait de Salomon l'auteur du Cantique. Il en avait composé mille et cinq (non pas cinq mille, comme le portent par erreur quelques-unes de nos éditions : 1 Rois, IV , 32) , et celui dont nous nous occupons porte en hébreu le nom de Cantique des cantiques, ce qui, dans les usages de la langue, signifie le plus excellent de tous.

Le Cantique a toujours été compté parmi les livres canoniques de l'Ancien-Testament. Il n'est cité nulle part dans le Nouveau, mais il faisait partie des saints écrits des Hébreux (Josèphe, Antiq. , VIII, 2-5. Cont. Ap. , 1, 8). Il fut traduit par les Septante; il est nommé dans tous les anciens catalogues , et il possède le témoignage exprès et explicite de Méliton au deuxième siècle, d'Origène au troisième (en 253) , de Jérôme au cinquième, du Talmud juif, et de Théodoret de Chypre (450 après Christ).

On ne saurait dire au juste à quelle occasion il a été composé; peut-être fut-ce lors du mariage de Salomon, soit avec la fille de Pharaon (I Rois, III, 1 ; VII, 8; IX, 24. Cf. Cant., I, 9 ; VI, 12), soit avec une femme de la Palestine qu'il aurait épousée plus tard (II, 1), d'une noble origine (VII , 4), quoique inférieure à celle de son époux (I, 6).

Quoi qu'il en soit de l'occasion du Cantique, on y distingue clairement deux caractères , deux personnages qui s'entretiennent ensemble et restent en scène jusqu'à la fin; l'un s'appelle Salomon, le pacifique; l'autre porte le même nom , mais avec une terminaison féminine: Salomith, Sulamith, Salomé (comme on dirait Jules et Julie) (I , 6; III, 11; VI, 13 ; VIII, 12). Il y a aussi un choeur, composé de jeunes filles de Jérusalem (II, 7; III, 5 ; V, 8, 9). Vers la fin paraissent deux frères de Sulamith (VIII, 8, 9. Cf. I, 6). Comme dans les anciens poèmes, il n'y a point de coupures, ni rien qui indique un changement de scène ou l'entrée &un nouvel interlocuteur. Pour déterminer ces changements, il faut avoir égard non-seulement au sens, mais encore à remploi du masculin ou du féminin de la seconde et de la troisième personne, ce qui est plus facile dans l'original que dans notre langue. C'est pour avoir négligé cette distinction qu'on a rencontré parfois dans nos versions des obscurités qu'un examen plus attentif eût fait disparaître. Voici, parmi les nombreux essais qui ont été faits, celui qui nous paraît le plus heureux et le mieux justifié.

Ire scène. Discours de Sulamith, I, 1-5; dialogue avec Salomon; Sulamith, I, 6; Salomon, I, 7-10; Sulamith, 11-13; Salomon, 14 ; Sulamith, 1, 15-II, 1 ; Salomon, Il , 2; Sulamith , II, 3.

IIe. Repos de Sulamith; elle dort, elle rêve (Salomon s'adresse aux filles de Jérusalem et leur recommande de ne pas la réveiller, II, 7 ; Ill, 5), II, 4-6, 8-III, 4.

IIIe. Les filles de Jérusalem voient un cortège nuptial qui s'avance, III, 6-11.

IVe. Dialogue entre Salomon et Sulamith; Salomon parle, IV, 12-16 (jusqu'à distillent); Sulamith répond, IV, 16, fin.

Ve scène de nuit. Sulamith à la recherche de Salomon; elle rencontre les filles de Jérusalem et s'entretient avec elles. Sulamith, V, 2-8; les filles de Jérusalem, V, 9; Sulamith, V, 10-16; les filles de Jérusalem, VI , 1 ; Sulamith , VI, 2, 3.

VIe scène du matin. Salomon visite ses jardins et rencontre Sulamith. Salomon, VI, 4-10 ; Sulamith, VI, 11, 12; le dialogue continue jusqu'à VIII, 8.

VIIe. Les frères de Sulamith sont introduits, ils parlent, VIII, 8, 9 ; réponse de Sulamith, VIII, 10-12; paroles de Salomon, VIII, 13 ; réponse de Sulamith et fin, VIII, 14.

Pris dans le sens littéral, ce poème est une description de l'amour dans le sens ordinaire du mot , de l'amour, l'une des plus nobles de nos affections, de l'amour d'un époux pour son épouse, dont notre Seigneur a fait en quelque sorte le type de son amour pour nous. Sous ce rapport, le Cantique est une admirable peinture des sentiments et des coutumes de la vie domestique et conjugale des Israélites. Mais il est évident qu'on doit y chercher aussi un sens plus élevé. Les noms des deux principaux personnages sont aussi allégoriques que tous ceux du Voyage du chrétien, de Bunyan. Le changement du pronom singulier au pronom pluriel (1, 3) semble indiquer que Sulamith doit être entendue d'une manière collective. Elle apparaît d'ailleurs , ainsi que Salomon, dans des situations qui , dans le sens littéral , sont tout-à-fait improbables , dans les fentes des rochers, sur le Liban et sur d'autres montagnes, courant les rues et battue par le guet (V, 7 ; II, 14-16; IV, 8).

Depuis les temps les plus anciens, du reste , les Juifs et les chrétiens ont rapporté toute cette allégorie à Dieu et au peuple de son adoption, interprétation qui est confirmée par le fait que, dans toute la Bible, l'union de Dieu et de son peuple , ou celle de Christ et de son Eglise, sont représentées sous la même figure et par la même image que dans le Cantique (voyez Ps. XLV. Esaïe, LIV, 5, 6; LXII, 5. Jér., II, 2; III, 1. Ezéch., XVI, 10, 13. Osée, II, 14-23. Matth., IX, 15; XXII, 2; XXV, 1-11. Jean, III, 29. 2 Cor., XI, 2. Ephés. , V, 23-27. Apoc.,XIX, 7-9; XXI, 2-9; XXII, 17).

Les premiers commentateurs ont commis dans l'interprétation du Cantique, il faut le reconnaître, de nombreuses et grossières erreurs. Les uns, par un spiritualisme trop exagéré, par un excès d'imagination , ont voulu expliquer jusqu'aux détails les plus étrangers à l'idée générale du poème; ils sont tombés dans des puérilités. D'autres , au contraire, peu au fait de tout ce qu'il y a de riche et de luxuriant dans la poésie orientale , ont été choqués par certains passages qui leur ont paru trop peu voilés ; cette doctrine serait , du reste, plus applicable à nos traductions qu'au texte original, et ils ont fait contre le livre même du Cantique des objections qu'ils auraient pu élever avec plus de force contre d'autres ouvrages anciens, tels qu'Hésiode et Homère, et même contre quelques de nos écrivains les plus purs et les plus estimés. Si l'on se rappelle que l'image du Cantique est une de celles qui reviennent le plus souvent dans l'Ecriture, que dans les poèmes orientaux cette image est encore souvent employée pour exprimer des sentiments religieux (voyez Lowth, Clarke, Rosenmuller, Kitto, etc.), que beaucoup d'expressions que nos versions rapportent à la personne devraient se rapporter au costume , au vêtement (V, 10, 14 ; VII, 2), que chaque âge et chaque pays a ses notions. particulières sur la délicatesse du langage, le plus délicat dans ce sens n'étant pas toujours le plus vertueux, qu'il s'agit dans tout le Cantique d'une affection légitime, que Sulamith représente moins une personne qu'une réunion de personnes, et que l'allégorie doit être considérée dans son idée générale et non dans ses détails, si l'on se rappelle toutes ces observations , on comprendra que ce sublime poème est bien l'une des allégories les plus frappantes de l'union de Christ avec les croyants de tous les temps.

Bien compris, le Cantique peut être un puissant moyen de sanctification. Nous ne craignons pas d'avouer, du reste, qu'il est facile de le mal comprendre, et les Hébreux avaient l'habitude de n'en permettre la lecture à leurs enfants que lorsque leur jugement était suffisamment formé.

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§ 60. Le livre des Proverbes (avant Christ 1000). Auteur, objet et plan du livre. - Le livre des Proverbes de Salomon renferme plus que le titre n'indique. Un proverbe est en général une sentence courte, donnant sous une forme vive et concise, parfois énigmatique, une leçon morale, une direction pratique. Il y en a de semblables, en effet, dans le livre des Proverbes; mais on y rencontre aussi des explications, des exhortations à la prudence et à la vertu, et l'éloge de la vraie sagesse. Les neuf premiers chapitres sont même consacrés en entier à cet éloge. Les deux derniers chapitres du livre ne sont pas de Salomon. Il est probable que ceux qui sont de lui faisaient partie des trois mille proverbes qui lui sont attribués (1 Rois, IV, 32) , et qu'ils formaient, avec le Cantique et l'Ecclésiaste , ses seuls ouvrages véritablement inspirés. Il rechercha la sagesse plus que toute autre faveur, et Dieu lui en accorda en effet plus qu'à aucun autre de ses contemporains. Conserver à l'Eglise quelques-uns des fruits, quelques-unes des maximes de cette sagesse, fut évidemment le but que se proposèrent ceux qui recueillirent cette collection de pensées. Les chapitres XXV à XXIX furent conservés, copiés et ajoutés par « les gens d'Ezéchias, » parmi lesquels figuraient Osée et Esaïe.

La forme proverbiale a toujours été commune parmi les peuples anciens; elle l'était surtout en Orient. Cette condensation de la pensée fixe l'attention, exerce l'esprit, porte à la réflexion et grave une vérité dans la mémoire d'une manière à la fois attrayante et facile. L'élégance et la force des Proverbes de Salomon est rehaussée par le parallélisme poétique de la rédaction : presque tous renferment une antithèse ou un développement, et si l'un des membres de la phrase est obscur, il est presque toujours expliqué par l'autre.

Le but principal de l'auteur, c'était, comme il l'explique lui-même (I, 4), de donner du discernement aux simples (c'est-à-dire à tout le monde), de la connaissance et de l'adresse aux jeunes gens. Il ne veut pas que la sagesse soit un mystère ou une spécialité. Ce livre est dans son genre, pour la vie pratique, ce que sont les Psaumes pour la vie religieuse. Il contient des leçons pour tous les âges , pour toutes les conditions. Chacun peut y puiser d'excellents conseils, et l'homme qui, animé des principes d'une vraie piété, conformerait sa vie à ces maximes, ne pourrait manquer d'être aimé et respecté. Les sages qui sont venus plus tard n'ont guère pu faire autre chose que délayer ou commenter les préceptes de la sagesse de Salomon.

Quoique la plupart des directions de conduite contenues dans les Proverbes semblent fondées sur des considérations de simple prudence humaine, les motifs strictement religieux sont toujours supposés quand ils ne sont pas expressément indiqués. Le sage nous dit en effet que « le commencement de la sagesse, c'est la crainte de l'Eternel ( I, 7 ; IX, 10 ). » Sa morale repose sur la religion. Le vice est condamné, la vertu est recommandée par les raisons les plus relevées, les motifs les plus saints, tels que l'autorité de Dieu (XVI, 6), sa parfaite connaissance du coeur de l'homme (V, 21 ; XV, 11), la perspective des récompenses réservées aux justes et des peines aux méchants (XIX, 29 ; XXIII , 17-19 ). La sagesse pratique, provenant du caractère religieux et reposant sur lui , tel est donc le but particulier de cette portion du saint volume. Qu'on en pèse les leçons, qu'on juge les hommes et les choses à sa lumière, et l'on sera sûr de ne pas s'égarer.

Le livre des Proverbes peut se diviser en cinq parties.

I. Discours sur la valeur et l'importance de la vraie sagesse (chap. I à IX).

II. Proverbes proprement dits (X à XXII, 16).

Ill. Exhortations à l'étude de la sagesse comme dans la première partie mentionnées ci-dessus (XXII, 17 à XXIV).

IV. Proverbes recueillis par les gens d'Ezéchias, c'est-à-dire par ceux qui furent choisis pour réformer le culte public au sein de l'Eglise juive (XXV à XXIX).

V. Conseils adressés par Agur à ses disciples Ithiel et Ucal, et leçons données au roi Lemuel par sa mère (XXX et XXXI). Ces différents personnages sont inconnus (voyez du reste les dictionnaires). Les proverbes du chapitre XXX sont énigmatiques et difficiles à comprendre; le chapitre XXXI donne le modèle de la femme par excellence, à cette époque et dans cette contrée.

La description de la sagesse, telle qu'elle est tracée I, 20-23, et dans les chapitres VIII et IX, s'applique d'une manière spéciale à la sagesse de Dieu qui s'est révélée et incarnée dans son Fils; elle s'applique au Fils lui-même, la Parole éternelle (cf. Jean, I, 1 ; XIV, 10 avec Prov., VIII). Il semble que l'idée de l'immortalité se fasse jour en plusieurs passages, tels que IV, 18 ; XII, 28; XIV, 32; XV, 24. La nature et les conséquences du péché sont impliquées dans les termes mêmes qui caractérisent la sainteté ( I, 20 et suiv. ; cf. aussi I, 24 ; XVI, 5 ; XXI, 4 ; XXIV, 9. Enfin la doctrine de la grâce souveraine de Dieu se trouve indiquée I, 23 ; la sagesse est un don de Dieu.

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§ 61. Règles d'application. - On peut poser pour l'exposition et l'application des maximes contenues dans les Proverbes, deux règles principales qu'on a eu raison d'appeler deux règles d'or.

La première c'est que, dans la pratique, les vérités générales exprimées par Salomon peuvent, comme toutes les autres règles, souffrir des exceptions de détail ; elles ne sont ni universelles, ni illimitées ; par exemple, Prov., X, 27. « La crainte de l'Eternel accroît le nombre des jours, mais les ans des méchants seront retranchés. » Il y a bien là une réalité; mais les exceptions abondent, elles commencent avec le monde, avec Abel et Caïn. Saül et Jonathan , l'ami de David et l'apostat, périssent dans la même bataille ; le blé est retranché avec l'ivraie, mais pour une meilleure fin. Il est peu probable en général que les hommes soient disposés à nous faire du mal et à nous persécuter si nous sommes les imitateurs de celui qui est bon ( 1 Pierre, III, 13 ) , et cependant l'Ecriture suppose et annonce maintes fois des persécutions à cause de la justice et de l'Evangile. En fait, Dieu veut nous enseigner deux vérités, il veut nous faire une double leçon, il veut nous apprendre, - que certainement il punira, - et qu'il punira ensuite, plus tard, après. Quand il abrège les jours du méchant, il nous enseigne la première de ces vérités; quand il les laisse se prolonger, il nous rappelle la seconde. Il y a la règle et l'exception. - De même encore, Prov. , XVI, 7, « quand l'Eternel prend plaisir aux voies d'un homme, il apaise envers lui ses ennemis mêmes. » Ce fut vrai d'Abraham , ce fut vrai encore des Israélites sous Salomon et sous Josaphat ; ce ne fut pas vrai, dans le même sens , ni de David , ni de Paul.

La force, l'importance et la valeur des maximes de Salomon ressortiront surtout de leur comparaison avec des exemples de l'Ecriture. Ce sont des lois générales qui se comprennent mieux par les applications particulières. Voici , d'après le remarquable traité de Nichol sur les Proverbes, quelques exemples que nous choisissons, en les abrégeant. C'est une étude à faire.

Prov. , 1, 7. - Roboam (1 Rois, XII, 13). Les fils d'Héli (1 Sam., II, 25). Les philosophes d'Athènes (Actes, XVII, 18).

Prov. , I, 10. - Adam ( Gen. , III, 6). Balaam (Nomb., XXII). Josaphat (1 Rois, XXII, 4). Le prophète de Juda (1 Rois, XIII, 15-19, 24). La fermeté de Michée (1 Rois, XXII, 13, 14).

Prov. , I, 32. - Les Israélites (Deut. , XXXII, 15-25. Osée, XIII, 6). Tyr (Ezéch. , XXVIII, 2, 16, 17). Sodome (Ezéch. , XVI, 49).

Prov. , III, 5 , 6. - Asa (2 Chron., XIV, 9-15). Ezéchias (2 Rois, XIX, 14). Le serviteur d'Abraham (Gen. , XXIV, 12-27). Néhémie (Néh., II, 4. Esdras, VIII, 21-23). David (1 Sam., XXX, 6-8).

Prov. , IV, 14. - Lot (Gen. , XIII, 10-13). David (1 Sam. , XXVII, 1).

Prov., IV, 18, 19. - Les sages d'Orient (Matth., II, 1-13). Nathanaël (Jean, I, 46-51). L'eunuque d'Ethiopie (Actes, VIII, 27-40). Corneille (Actes, X). Paul (2 Cor., III, 18). - Cf. Achab (1 Rois, XVIII, 17). Les Juifs (Ezéch., XVIII, 29. Jér. , V, 19, 25) et leur ignorance en rejetant le Messie (Deut., XXVIII, 29).

Prov., V, 22. - Hagag (1 Sam. , XV, 33). Adoni-Bézek (Juges, I, 7). Haman (Ester, VII, 10). Judas (Matth., XXVII, 3-5).

Prov., IX , 8. - David aima Nathan, Pierre aima notre Seigneur (Jean, XXI , 17), et les deux disciples d'Emmaüs contraignirent à demeurer chez eux celui qui venait de les censurer (Luc, XXIV, 25, 29).

Prov. , X, 2. - Tyr (Ezéch., XXVI, 15; XXVII et XXVIII). L'homme riche (Luc, XVI, 23). - Cf. Noé (Gen., VII, 1, et Héb., XI , 7. Dan. , V, 6).

Prov. , X, 7. - Elisée (2 Rois, XIII, 21). Jéhojadah (2 Chron., XXIV, 15). Dorcas (Actes, IX, 36). Marie (Marc, XIV, 9). - Cf. Absalon (2 Sam. , XVIII, 17). Jéhojakim (Jér. , XXII, 18, 19). Jésabel (2 Rois, IX, 37). Jéroboam, fils de Nébat (2 Rois, XIII, 11).

Prov. , X, 24. - Les Cananéens (Josué, V). Belsatsar (Dan., V). Achab ( 1 Rois, XXII). Haman (Ester, VII, 7-10). - Cf. Anne (1 Sam., I. Ester, IV, 16 ; VIII, 15-17). Siméon (Luc, II, 29, 30. - Voyez Ps. XXXVII, 4. Jean, XVI, 23, 24).

Prov. , XI, 5, 6. - Haman (Ester, VII, 10; VIII , 7). Daniel et ses accusateurs (Dan. , VI, 24). La mort d'Achitophel (2 Sam. , XVII, 23).

Prov. , XI, 21. - La tour de Babel (Gen., XI, 4). Les rois cananéens (Josué , IX , 1, 2). - Cf. Méphiboseth (2 Sam., XXI, 7). Salomon (1 Rois, XI, 12, 34). Abijam (1 Rois, XV, 4). Les Israélites souvent (Exode, III , 15, 17. 2 Rois, VIII, 19).

Prov. , XIII, 7. - Haman (Ester, V, 13). L'Eglise de Laodicée comparée à celle de Smyrne (Apoc., III, 17; II 9). Achab (1 Rois, XXI, 4; XVI, 22). Matthieu (Luc, V, 27, 28). Paul (2 Cor., VI, 10. Philip., III, 8).

Prov. XV, 1. - Les Rubénites (Josué, XXII, 15, 21-30). Gédéon (Juges, VIII, 1-3). Abigaïl (1 Sam., XXV, 22). - Cf. Roboam (2 Chron. , X, 13). Paul et Barnabas (Actes, XV, 39). Saül et Jonathan (1 Sam., XX, 30-34 ).


Table des matières

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