SECTION III - Introduction spéciale aux Epîtres , depuis la première aux Thessaloniciens jusqu'à Jude. ( Suite)

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 § 184. Epître aux Hébreux (Rome, an 63). - Comme le Saint-Esprit n'a pas poussé l'auteur de cette épître à faire connaître son nom, ni à spécifier les personnes auxquelles il écrivait, la détermination de ces points de détail ne saurait être considérée comme essentielle quant à l'usage à faire de cette lettre. Il ne faut pas être surpris non plus qu'on ait émis à cet égard des opinions diverses. Toutefois, quoique dans les premiers temps, comme dans les derniers, plusieurs écrivains aient pensé différemment, la croyance générale a prévalu que l'apôtre Paul est l'auteur de l'épître aux Hébreux. Les observations suivantes montreront jusqu'à quel point les preuves sont en faveur de cette opinion.

Ceux auxquels l'épître était envoyée doivent avoir su de qui elle leur venait (voyez chap. X, 34 ; XIII, 18, 19, 23) ; et il est difficile de croire qu'en la lisant, en la conservant et en la faisant circuler , ils aient caché la connaissance qu'ils avaient de son auteur. Les premiers Pères des Eglises d'Orient et de l'Eglise d'Alexandrie, au second et au troisième siècles, nous apprennent que les « anciens » (c'est-à-dire tout au moins les contemporains, si ce n'est les personnes mêmes auxquelles l'original était adressé) la leur avaient transmise comme un écrit de Paul; et les plus savants d'entre eux, Clément d'Alexandrie , Origène et Eusèbe, sans ignorer les difficultés et les doutes que soulève ce point, regardaient ce témoignage comme concluant.

Ce témoignage est corroboré par la connaissance profonde que l'auteur possède du système juif, connaissance digne d'un disciple de Gamaliel, et par le sympathique intérêt qu'il montre pour le salut du peuple juif, tel qu'on le trouve déjà exprimé dans Rom. , IX , X et XI , et Philip., III.

Les allusions personnelles que nous trouvons dans l'épître n'ont rien qui ne soit parfaitement compatible avec ce que nous connaissons de l'histoire de Paul.

Il n'y a rien d'ailleurs, ni dans le style, ni dans la manière de traiter le sujet, qui ne se puisse concilier d'une manière satisfaisante avec les autres épîtres de Paul. Si elle en diffère par l'ampleur oratoire du langage et par le parfait enchaînement des sentences, on retrouve la même manière dans quelques-uns des discours de Paul que Luc nous a conservés dans les Actes.

Une composition aussi régulière devait naturellement différer, dans sa forme, de lettres ayant un caractère tout différent, et écrites dans des circonstances particulières. Du reste, le lecteur attentif peut plus d'une fois retrouver les expressions concises, les brusques transitions, les raisonnements adressés aux pensées cachées et aux objections secrètes des lecteurs, ainsi que les phrases enchevêtrées et les longues parenthèses résultant de l'ardeur et de l'exubérance de sentiment, qui caractérisent les autres écrits de l'Apôtre. Ainsi les preuves internes, comme les preuves externes, appuient l'opinion des anciens Pères, que l'épître, dans son ensemble, est de Paul; quoiqu'il puisse avoir adopté occasionnellement, comme le supposent quelques critiques, la phraséologie et le style de Lue, son compagnon. il est impossible de dire pourquoi cette épître, de même que la première de Jean , est anonyme. Peut-être l'Apôtre désirait-il que ses premiers auditeurs ou lecteurs sentissent la force de son contenu avant de connaître de qui elle venait, attendu que les Juifs avaient contre lui de grandes préventions.

L'épître s'adressait évidemment à des chrétiens hébreux ; ils paraissent avoir habité quelque ville ou contrée particulière (voyez chap. XIII, 23), et avoir formé entre eux une société ou une Eglise ayant son organisation propre, qui a subsisté pendant un certain temps ; ils avaient eu des pasteurs enlevés par la mort (XIII, 7) et ils ont maintenant des docteurs auxquels ils sont exhortés à obéir (XIII , 17). On suppose généralement qu'ils résidaient en Palestine, soit à Jérusalem, soit à Césarée.

L'épître s'adresse particulièrement à cette classe de fidèles d'entre les Juifs; par leurs souvenirs et par leur position ils étaient exposés au danger de retomber dans le judaïsme ou d'attacher une trop grande importance à l'ancienne loi. L'écrivain met devant leurs yeux la suprême autorité, les sanctions particulières et la gloire souveraine de la dispensation chrétienne comme concourant à rendre l'incrédule complètement inexcusable, et l'apostasie criminelle et fatale au plus haut degré.

Le raisonnement de l'Apôtre est admirablement approprié à l'esprit de ceux à qui l'épître était destinée. S'adressant à des Juifs, il profite avec beaucoup de tact et avec un grand à propos de tout ce qu'il y a de justement vénérable dans leur loi, leurs prophéties et leur histoire, et il puise tous ses arguments (XII, 16, 18 ; XIII, 2, 10 , 12, 14 ) et ses exemples dans ce que leurs grands hommes et leurs grands écrivains présentent de plus noble et de plus excellent (chap. XI). Lorsqu'il doit exposer une idée en désaccord avec les vues et les sentiments juifs , il prépare avec soin leurs esprits à la recevoir (V, 11 ) et il raisonne constamment d'après leurs propres principes. Les Juifs se considéraient comme tout spécialement favorisés, puisqu'ils possédaient une révélation divine qui leur donnait Moïse comme le législateur, Aaron et sa race comme les prêtres, et tous les rites du temple comme le culte de Dieu. L'Apôtre ne renverse pas directement cette idée particulariste ; mais l'acceptant pour point de départ de son argumentation , il s'attache à leur démontrer que la foi chrétienne n'est que l'accomplissement de la leur propre.

Cette épître peut se diviser en deux parties principales : La première, destinée à exposer le but et à prouver l'infériorité de la dispensation juive ; la seconde, à confirmer et à affermir les Juifs croyants dans leur nouvelle profession religieuse.

I. Après avoir établi que la dispensation mosaïque et l'économie chrétienne procèdent du même auteur divin, l'écrivain sacré prouve l'excellence supérieure de la dernière, par ce fait qu'elle a été introduite par le Messie :

1° plus grand que les prophètes, et même que les anges, nonobstant son humiliation momentanée et sa mort qui , loin de diminuer sa gloire, était le véritable moyen d'accomplir son oeuvre rédemptrice (I et II);

2° supérieur à Moïse, leur législateur vénéré, qui n'était pourtant qu'un serviteur. Ici l'Apôtre, avec solennité, presse les chrétiens hébreux de ne pas perdre par leur incrédulité ce repos actuel et cette gloire finale, dont la Canaan, dans laquelle Josué avait conduit leurs pères, n'était qu'un type (III à IV, 13) ;

3° comme les Juifs attachaient avec raison la plus haute importance à leur sacerdoce et à leurs sacrifices , l'Apôtre s'étend longuement sur la valeur souveraine et l'efficacité du sacerdoce et du sacrifice de Christ. Il montre que les conditions requises du souverain sacrificateur, qui devait tenir de Dieu son mandat et pouvoir sympathiser avec les hommes, se trouvent réunies et accomplies dans le Seigneur Jésus (IV, 16; V, 10). Puis, après avoir cité des écrits prophétiques une déclaration concernant le suprême et éternel sacerdoce du Messie, dont Melchisédec était le type, il interrompt son raisonnement pour censurer ses lecteurs au sujet de leur peu de progrès dans la connaissance chrétienne, et il y ajoute des avertissements et (les encouragements (V, 11-VI). Après cette digression il compare le sacerdoce de Christ avec celui des grands prêtres du judaïsme dans quelques points particuliers (VII, VIII); il fait ressortir d'abord la nature emblématique et temporaire des cérémonies lévitiques qui ont été réalisées en Christ ; il compare les fonctions du grand prêtre dans le sanctuaire terrestre avec l'intercession de Christ auprès de Dieu dans le ciel ; il oppose la vertu simplement typique des sacrifices continuellement répétés du judaïsme , avec l'efficace éternelle , réelle et intrinsèque de la propitiation faite une seule fois, mais parfaite et toute suffisante, de Jésus-Christ (IX à X, 18).

II. C'est sur ce raisonnement que l'Apôtre base ses applications pratiques. Après une exhortation générale à la persévérance dans la foi, l'espérance et l'encouragement mutuel, il met en saillie l'énormité et les conséquences redoutables du péché d'apostasie. Puis, rappelant aux Hébreux croyants leur fermeté et leur fidélité dans leurs précédentes épreuves, il insiste sur la nécessité absolue, au point de vue de leur persévérance et de leur salut, de conserver la vie de la foi (X, 19-25). Après avoir décrit la nature de la foi, il montre qu'elle a été le grand principe de la religion dans tous les temps, et fait ressortir son opération puissante et sa triomphante efficace, par l'exemple d'une longue suite de héros, de martyrs et de confesseurs, depuis Abel jusqu'à la fin de l'ancienne alliance, et au-dessus de tous dans Jésus-Christ lui-même , dont les tentations et les souffrances ont de beaucoup surpassé les leurs (XI, XII, 1-3). Il les encourage ensuite en leur rappelant que leurs afflictions n'étaient que la discipline de la main d'un père, infligée pour leur bien final (XII, 4-11 ). Il leur prescrit de tendres et fraternels égards les uns pour les autres; il leur recommande la vigilance et la sanctification et les avertit de ne pas changer, comme Esaü , leurs privilèges spirituels contre des avantages passagers (XII, 12-17) ; il les stimule par le contraste des splendeurs matérielles et terribles de la loi mosaïque avec les gloires spirituelles et solennelles mais joyeuses de l'Evangile; et en conclut que plus leurs privilèges sont grands, plus il y a de danger à les négliger (XII, 18-29).

Il termine par quelques préceptes sur divers devoirs pratiques par quelques salutations et par la bénédiction (XIII, 1-25).

Les leçons pratiques de cette épître sont remarquables surtout par, le choix des motifs invoqués et par leur appropriation aux circonstances de ceux auxquels s'adresse l'écrivain sacré.

Il faut être reconnaissant, ferme et obéissant , car les ténèbres et la terreur de l'ancienne loi ont disparu, et un royaume qui ne peut être ébranlé a été révélé (XII, 18-29. 1 Pierre, II, 1-10).

Il faut être content , quoiqu'un héritage terrestre ne soit pas placé devant nos yeux. La promesse de Josué et les soins du Dieu de Josué subsistent toujours (XIII, 5, 6). Remarquez la beauté, pour un Juif surtout, du motif sur lequel l'Apôtre se fonde pour recommander l'hospitalité (XIII, 1 ). Il faut s'attacher aux docteurs fidèles, retenir ferme la doctrine immuable de Christ, rejeter les vaines traditions et les observances rituelles, suivre Jésus-Christ hors du camp et regarder vers la Jérusalem nouvelle qui doit remplacer celle qui est perdue (XIII, 7-14).

La bénédiction qui termine (versets 20, 21) est d'une grandeur pleine de beauté et riche en allusions à la doctrine capitale de l'épître, la nouvelle alliance, la dignité et la grâce du Médiateur.

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§ 185. Première épître catholique de Pierre (Babylone, an 63).

Pierre, dont le nom primitif était Syméon ou Simon, était natif de Bethsaïda, sur la mer de Galilée, et fils de Jonas (d'où il est appelé Barjona. Matth., XVI, 17). La première mention qui est faite de lui dans l'histoire évangélique nous le montre marié et vivant à Capernaüm (Marc, I, 29, 30) ; comme les fils de Zébédée, il était pêcheur. Il fut présenté à Jésus par son frère André, qui avait été disciple de Jean-Baptiste, mais qui, d'après le témoignage de son maître , s'était de lui-même attaché au docteur divin. Quelque temps encore, les deux frères continuèrent à exercer leur profession, jusqu'à ce que le Seigneur les appela d'une manière définitive à son service (Matth. , IV, 18-20).

Les nombreux détails qui nous sont donnés sur l'apôtre Pierre pendant qu'il suivait le Sauveur, jettent une vive lumière sur son caractère à cette époque. Sa sincère piété , son attachement ardent pour son maître, le zèle qu'il montre pour son honneur, semblent avoir été mélangés d'une certaine mesure de précipitation et d'inconstance ; mais après sa chute et son relèvement, et lorsqu'il eut été revêtu du pouvoir d'en haut, un grand changement se manifesta en lui. C'est ainsi qu'il justifie pleinement le nom prophétique que notre Seigneur lui donna en l'appelant Céphas on Petros, deux mots, le premier syriaque, le second grec, qui signifient l'un et l'autre pierre ou rocher. Immédiatement après l'effusion du Saint-Esprit, Pierre eut l'honneur d'être choisi pour ouvrir les portes du royaume des cieux, premièrement aux Juifs, puis aux Gentils, dans le cas de Corneille et de sa famille.

Ces faits n'impliquent nullement que Pierre ait été revêtu &une dignité suprême; d'autres passages, tels que Matth., XXIII , 8. Gal., II, 2, prouvent pleinement qu'il ne l'a pas été, et cette conclusion est confirmée par le témoignage unanime de l'antiquité.

On ne connaît rien de certain sur la dernière partie de la vie de Pierre; on suppose qu'après sa visite à Antioche, mentionnée Gal., II, 11 , il demeura à Jérusalem pendant quelques années, et qu'il visita ensuite la Syrie et les contrées mentionnées dans l'inscription de sa première épître, écrite après qu'il eut visité l'empire des Parthes. Quelques-uns disent que plus tard il vint à Rome, et qu'il y subit la mort de la crucifixion, en accomplissement de la prophétie de notre Seigneur à son sujet (Jean, XXI, 18, 19). D'autres maintiennent qu'il mourut à Babylone (1). Les deux partis, du reste, s'accordent à dire qu'il fut livré à la mort de bonne heure sous le règne de Néron, probablement en l'an 64 ou 65, et dans les persécutions soulevées par cet empereur. La prétendue visite de Pierre à Rome , sous le règne de Claude , est tout-à-fait dénuée de fondement (voyez l'introduction aux Romains).

Cette épître est généralement rapportée à l'année 63, quoique quelques-uns lui assignent une date plus ancienne. Ce qui est certain, c'est que Marc, qui était en ce moment avec Pierre (V, 13), pensait à quitter Paul en 62, lorsque l'épître aux Colossiens fut écrite (Col., IV, 10), et qu'il était loin de lui en 64 (2 Tim., IV, 11). Ces faits sont en faveur de la dernière date.

Cette épître était adressée aux chrétiens juifs dispersés dans les différentes provinces de l'Asie-Mineure, sans pourtant passer complètement sous silence les nombreux Gentils convertis que contenaient ces Eglises (I, 14; IV, 3). Elle fut écrite de Babylone (V, 13); selon quelques-uns cependant il faudrait voir dans ce nom une désignation mystique de la ville de Rome. Cette opinion a été favorisée par les écrivains de l'Eglise de Rome, dans le but de prouver le point contesté du séjour de Pierre dans la cité impériale. Toutefois il n'y a pas de preuve que le nom de Babylone ait jamais été donné à Rome, surtout à une époque aussi ancienne; on ne peut pas davantage donner de motifs pour expliquer l'emploi de ce nom. Pourquoi en effet Pierre aurait-il choisi un nom figuré, qui, s'il s'adapte à un style symbolique, est complètement inopportun dans les écrits épistolaires? Il nous paraît donc qu'il faut prendre le nom de Babylone dans sa signification simple et naturelle, comme tous les autres noms mentionnés dans les épîtres apostoliques, et le rapporter soit - la contrée de la Babylonie, soit à Babylone ou à Seleucie qui avait été construite sur les ruines de l'ancienne ville de ce nom , et dans son voisinage immédiat. Les Juifs étaient très-nombreux dans ce district, et ne peuvent vraisemblablement pas avoir été délaissés par l'apôtre de la circoncision; il est probable d'ailleurs qu'une Eglise chrétienne avait été fondée au milieu d'eux.

Cette épître est très-bien caractérisée par Leighton, « un bref et très-clair résumé à la fois de consolations et d'instructions, nécessaires pour l'encouragement et la direction du chrétien dans son voyage vers le ciel, qui élève ses pensées et ses désirs vers cette félicité, et le fortifie contre toutes les difficultés de son pèlerinage : d'un côté la corruption du dedans , de l'autre les tentations et les afflictions du dehors. Les points de doctrine qu'elle contient sont nombreux ; mais les principaux et ceux sur lesquels l'apôtre insiste le plus sont ces trois : la foi, l'obéissance et la patience, dont le but est d'affermir dans la vérité, de diriger dans l'action , et de soutenir dans la souffrance. L'auteur rappelle souvent et place sous les yeux de ses lecteurs l'exemple incomparable du Seigneur Jésus, et la grandeur des motifs qui doivent les engager à le suivre. »

L'objet général de l'épître est proposé dans V, 12, et l'ensemble peut être divisé en deux parties, non comprises la salutation (I , 1, 2) , l'introduction (3-12) et la conclusion (V, 13, 14).

I. Exhortations générales à l'amour et à la sainteté (I , 13 à Il 10).

II Exhortations particulières quant à des devoirs spéciaux (II, 1 à V, 12).

Quoique l'épître ait ainsi un but pratique, elle est tout aussi évangélique que si elle était principalement un écrit de doctrine. Elle vise partout à Christ; elle rappelle son sacrifice prédit par les prophètes, contemplé par les anges dès avant la fondation du monde, sa résurrection, son ascension et le don du Saint-Esprit, son exemple comme Sauveur souffrant, et les redoutables solennités du jugement dernier. De même que Paul son frère bien-aimé, Pierre insiste sur les doctrines de l'Evangile, et fait voir en elles les grands motifs qui doivent porter à la sainteté et à la patience; comme lui il s'applique à bien établir chaque devoir de détail, en même temps qu'il nous donne les idées les plus hautes de nos privilèges comme croyants et disciples de Christ.

On retrouve dans cette épître cette même humilité de l'apôtre qu'on a déjà remarquée dans l'évangile de Marc. La mention honorable qu'il fait de Paul est un acte d'humilité bien frappant, quand on se rappelle surtout que Paul l'avait repris publiquement, et avait relaté cette censure dans son épître aux Galates, ces mêmes auxquels l'apôtre Pierre écrit en ce moment (Gal., II, 11. 1 Pierre, 1, 1. 2 Pierre, III, 4). Il met en pratique son propre précepte (I Pierre, V, 5) et n'a pas oublié les leçons des derniers jours de notre Seigneur. - Voyez Steiger, et Leighton, traduit par Bonnet.

Remarquons encore que la Parole incorruptible est le seul moyen présenté au chrétien pour son avancement dans la sainteté (1 Pierre, II, 3. Col., I, 5, 6. 2 Pierre , I, 8 ; III, 18. Jean, XVII, 17. Ps. CXIX).

Lisez et comparez I, 1, 3, 10, 17 ; II, 13, 17, 18; III, 1, 7, 8, 18; IV, 1, 7, 12; V, 1, 5, 8, 10, 11, 14.


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(1) Voyez, sur la première opinion, Hist. eccl. de Gieseler, 1, § 27, Philadelphie; et sur la seconde, Simon's mission and martyrdom of si. Peter, London, 1852, et A. Bost , Du prétendu droit des papes à la succession de saint Pierre.