Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Si ton oeil est en bon état, tout ton corps sera éclairé.

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Je pense à un frère avec lequel j'ai beaucoup travaillé dans le royaume de Dieu. Dans les dernières années de sa vie, je crois avoir été son meilleur ami ! Chaque fois que j'attirais son attention sur telle chose et que je l'exhortais, il se soumettait ; cependant, il restait intraitable sur un seul point. Souvent il affirmait avec force : « Les hommes nous accuseront dans l'Éternité si nous - enfants de Dieu - ne traversons pas toutes les épreuves sans broncher ! » Je lui répondais en lui affirmant que si nous sommes sauvés, nous sommes sauvés, et que personne ne pourra condamner les élus de Dieu, sinon nous irions à la perdition. Une certaine fois, nous nous rendions à Adelboden et, comme il était fatigué, je devais présider seul l'étude biblique de l'après-midi, tandis que la réunion du soir serait tenue par tous les deux. Vers le milieu de l'étude biblique, il vint néanmoins et demanda aux personnes présentes de lui poser des questions. Quelqu'un lui demanda s'il était permis dans la Nouvelle Alliance de manger du sang ? Il nous expliqua avec force paroles, qu'en mangeant du sang (boudins - saucisses au sang) on recevait une âme de porc ou de veau ; il en condamnait sévèrement la consommation. Quand il eut terminé, je lui demandai comment on devait comprendre ce verset : « Ce n'est pas ce qui entre par la bouche qui souille l'homme » ; et encore : « Qu'est-ce que Dieu voulait faire comprendre à Pierre en faisant descendre devant lui le drap noué aux quatre coins et rempli d'animaux impurs en lui disant : tue et mange ! » - en outre : quelle est la signification de ce verset : « Heureux celui qui ne se condamne pas lui-même dans ce qu'il approuve ! »

Il avait une réponse à toutes mes remarques mais, pour finir, il se fâcha ; alors je me tus. Je ne lui avais opposé que la Parole de Dieu. Il était passablement agité et, le soir, il ne parla que brièvement. Lorsque nous partîmes le lendemain, accompagnés d'un autre prédicateur, il m'attaqua à nouveau en me disant que nous avions obtenu le pardon dans la mesure où nous avions reconnu nos péchés. Je n'en croyais rien, car la Bible ne dit pas cela ; s'il en était ainsi, nous ne pourrions être sauvés, puisqu'il ne nous est pas possible de connaître parfaitement le fond de toute chose. Il se défendait, et j'en faisais de même, lui disant : « Il n'est pas écrit que nous sommes morts aux péchés « connus » ; il n'est pas dit : Il nous a lavés des péchés « connus », mais « de nos péchés ». Sur ce point, il s'obstinait à ne rien vouloir entendre, quoique d'habitude, il acceptait tout ce que je lui disais. Il s'adressa à l'autre prédicateur, le priant de chercher à me convaincre, mais ce dernier resta muet. Alors il reprit à nouveau le sujet, et je lui citai cette parole : « Si ton oeil est sain, tout ton corps sera dans la lumière, mais si ton oeil est mauvais, tout ton corps sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien grandes seront ces ténèbres (Matth. 6 : 22). Si donc tout ton corps est éclairé, n'ayant aucune partie dans les ténèbres, il sera entièrement lumière, comme la lampe éclaire de sa lumière ». (Luc 11 : 36.) Nous sommes ou lumière ou ténèbres, ou alors ce passage doit avoir une signification différente dans une autre version de la Bible, sans quoi tu n'as plus aucune échappatoire ! » Sur ces entrefaites, nous arrivâmes à Frutigen et nous nous rendîmes chez un frère. Là, il consulta plusieurs versions de la Bible ; les refermant brusquement, il les replaçait sur l'étagère avec des gestes toujours plus empreints de nervosité ; puis il s'éloigna.
De mon côté, je confrontai aussi ces textes ; ils étaient identiques dans toutes les traductions.

Ce frère réalisa une grâce plus profonde sur son lit de mort ; au cas contraire, j'aurais eu de l'angoisse à son sujet et des doutes quant à sa participation à la première résurrection. Le frère Binde, l'ayant visité, lui parla de la grâce, et la lumière l'inonda comme jamais auparavant ; c'est dans cette lumière qu'il partit dans la Gloire. Cela me remplit de joie et de courage. Cet homme était un croyant, il avait encore besoin de traverser une épreuve de purification ; il dut passer par le feu.


Une soeur déchue retrouve la grâce.

Une fois, je rendis visite à une femme qui était à nouveau devenue esclave de la colère et du mécontentement ; auparavant, elle avait connu la joie divine. Elle s'enfuit à ma vue, mais je la poursuivis et lui lus le passage des lamentations de Jérémie où le prophète se croyait à jamais banni de la paix. Je lui expliquai en même temps comment la bonté de Dieu se renouvelle chaque matin et que Dieu ne pense donc plus à ce qui s'est passé hier ! J'aurais pu blâmer sévèrement cette femme et lui dire : « Misérable créature, tu avais trouvé la paix et maintenant tu te comportes ainsi ? » Mais j'avais réalisé maintes fois, chez les coeurs les plus durs et les plus réfractaires aux appels de Dieu, qu'ils pouvaient accepter la Parole quand on la leur offrait comme un mets succulent. Cette soeur se confia de nouveau en la grâce de Dieu, et fut remplie de louanges et d'actions de grâces, magnifiant la bonté de Dieu.

La bonté de Dieu se renouvelle chaque matin ! Dieu ne songe donc plus à ce qui s'est passé hier. S'il subsiste en toi encore une parcelle de ténèbres, crois ceci : « Jésus m'a aimé et m'a lavé de mes péchés par son sang » ; cela purifie, je l'ai réalisé maintes fois. Dieu nous fait passer par divers chemins, pour que nous apprenions à nous confier en lui en tout temps. Il s'agit bien d'un combat ; le diable assaille les hommes par toutes sortes de sentiments pour leur donner l'impression que tout est perdu. Cependant, la Parole et les promesses de Dieu restent immuables. C'est pourquoi affirme en tout temps : « L'Éternel est ma justice ; l'Éternel est ma vie ».


La repentance véritable consiste à donner raison à la Parole de Dieu.

Dans une réunion, j'avais médité sur la « Parabole des noces » et parlé de celui qui était entré dans la salle du festin sans avoir revêtu l'habit de noce. Le roi avait ordonné : « Prenez-le, jetez-le dans les ténèbres du dehors, là où il y aura des pleurs et des grincements de dents ». Lorsque la réunion fut terminée, une jeune fille s'approcha pour me dire qu'elle voulait se convertir. Je lui demandai si elle avait aussi des péchés ; elle ne pouvait pas le dire. - Pendant la réunion, j'avais dit : « Qui de vous peut raconter comment il a réalisé la nouvelle naissance ? Le roi n'a-t-il pas demandé : Mon ami, comment es-tu entré dans la salle sans être revêtu de l'habit de noce ? Mais il eut la bouche fermée. Celui qui ne peut pas raconter comment il a passé par la nouvelle naissance aura la bouche fermée ! »
La jeune fille avait été très attentive et se vit perdue, car elle comprit qu'elle ne pouvait pas raconter sa nouvelle naissance. Je lui lus Romains 3, les versets 10 à 18 qui décrivent le triste état de l'homme naturel : « Il n'y en a pas un qui cherche Dieu, tous sont égarés, tous sont pervertis, il n'en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul ; leur gosier est un sépulcre ouvert ; ils se servent de leur langue pour tromper ; ils ont sous leurs lèvres un venin d'aspic ; leur bouche est pleine de malédiction et d'amertume ; ils ont les pieds légers pour répandre le sang ; ils ne connaissent point le chemin de la paix ». Ensuite, je demandai : « Te reconnais-tu dans cette description ? » Elle répondit : « Je ne le vois pas, mais j'accepte cela, si Dieu le dit ! » Elle faisait partie d'une famille où les enfants avaient beaucoup d'amour les uns pour les autres. Je continuai ma lecture, lui montrant la manière dont on peut être justifié sans mérite aucun, par grâce ; je lui posai la question : « Crois-tu cela ? - Oui, je ne le comprends pas ainsi, mais je le crois ! »

Quelques semaines plus tard, elle m'écrivit une lettre pour me demander si la grâce était encore pour elle, car elle se voyait maintenant comme la créature la plus mauvaise. Dès ce moment, elle crut la Parole de Dieu et fut convaincue de ses péchés.
Je lui répondis et lui posai sept questions :
1. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses. Cela est-il aussi pour toi ?
2. Il nous a aimés et nous a lavés de nos péchés par son sang. Es-tu parmi ceux-là ?
3. Voici l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde ! A-t-il aussi ôté tes péchés ?
4. C'est lui qui a fait la purification de nos péchés par son sang ! Cela est-il aussi valable pour tes péchés ?
5. Toute transgression et toute désobéissance a reçu une juste rétribution. Est-ce valable pour toi ?
Etc., etc.

Je l'invitais à me renvoyer ce questionnaire avec les réponses. C'est une lettre pleine de joie qui m'apporta la nouvelle qu'elle avait lu jusqu'à la cinquième question et là, la lumière s'était faite subitement en elle. Elle comprit que son péché était effacé, que Jésus avait porté sa condamnation et elle reçut la paix dans son coeur. Une de ses amies avait lu cette lettre et trouva également la paix. Les ténèbres se dissipent quand on vient à Jésus. Il nous montre qui nous sommes, mais aussi qui il est.


Comment le salut peut-il nous être ravi ?

Un frère avait l'intention d'épouser une jeune fille mais, bien qu'elle fût très pieuse, il n'était pas certain qu'elle fut régénérée. Avant les fiançailles, il l'engagea à passer quelques jours de vacances chez nous ; à cette occasion, elle réalisa la paix de Dieu. Elle s'en retourna chez elle, confessant qu'elle avait été lavée de ses péchés. Le prédicateur de l'assemblée qu'elle fréquentait lui rendit visite et lui exposa que tout cela était une grande erreur, prétendant que l'on ne pouvait être libéré du péché, et que M. Berger méprisait le sang de Jésus ! La jeune fille fut dépouillée de ce qu'elle avait reçu et m'écrivit ce qui en était. Je pus réfuter chaque phrase avec la Parole de Dieu, et fis publier cette lettre dans notre journal « Friedensbotschaft » ; quelques personnes réalisèrent encore le salut par ce moyen ! On n'a pas besoin du sang de Christ pour demeurer dans ses péchés, mais il est indispensable pour être libéré du péché et pour en être préservé. Celui qui demeure dans le péché outrage l'Esprit de la grâce. Comment pourrions-nous encore vivre dans le péché, puisque nous sommes morts au péché ? C'est ainsi que s'est écrié l'apôtre Paul.


Honore ton père et ta mère.

Combien de pères et de mères sont morts prématurément à cause des douleurs et des souffrances causées par les désobéissances de leurs enfants ! La Bible parle même de meurtriers de pères et de mères, d'enfants qui abrègent la vie de leurs parents. Mais Dieu fait miséricorde à ceux qui se repentent véritablement.

À B., une jeune fille pleurait en avouant qu'elle avait désobéi à sa mère : « Maintenant, il n'y a plus de grâce pour moi, je ne peux plus demander pardon à ma mère, elle est morte, elle est partie ! » disait-elle. J'eus beaucoup de peine à convaincre cette jeune fille de se confier dans la grâce. Elle s'était humiliée à cause de ses désobéissances et, si une personne se repent, la grâce est là, quel que soit le passé.


Le salut pour tous.

Quelle ne fut pas ma joie lorsqu'une jeune fille, une impie, se convertit. Voici de quelle façon : Cette jeune fille arriva chez nous avec une très mauvaise réputation ; elle passa quelques jours dans notre maison et, dès le premier jour, se comporta très correctement. Elle trouva bientôt la paix de Dieu et fut remplie de zèle, de louanges et d'actions de grâces ; c'était une fille heureuse ; nous n'avions rien à lui reprocher. Elle était venue chez nous complètement pervertie, mais une merveilleuse transformation s'était opérée en elle ; elle suivait sa route joyeusement et entra en place chez un instituteur croyant. Peu de temps après eut lieu la noce d'un de ses frères, mais elle refusa d'y assister, en indiquant les motifs. Sa mère, qui se disait pourtant aussi croyante, et qui avait eu bien des angoisses à son sujet, s'irrita à tel point qu'elle l'avisa de revenir à la maison et de retourner à l'église. La jeune fille me demanda alors ce qu'il y avait lieu de faire. Je lui répondis : « Si ce n'est pas absolument nécessaire, et que ta mère n'a pas vraiment besoin de toi, reste où tu es ! » Habituellement, je ne dis jamais à un enfant de ne pas obéir, mais quand je remarque que le diable est dans l'affaire, les enfants n'ont pas à se soumettre.


Qui est ton berger ?

Il y a beaucoup d'angoisse sur toute la terre. J'ai tenu une assemblée à Berne et, à cette occasion, j'ai parlé du Psaume 23, disant que l'on pouvait croire dans toutes les circonstances de la vie : « Je ne manquerai de rien », pourvu qu'on ait, vis-à-vis de Dieu, l'attitude qui convient. Une femme m'écrivit alors de lui aider à obtenir cette attitude, car il lui manquait beaucoup de choses ; son mari était malade depuis longtemps, elle-même avait été obligée de reprendre un emploi, de liquider son ménage puis de mettre son enfant en pension. Son intérieur lui manquait et elle souffrait beaucoup de la séparation. Je lui écrivis que je pouvais parfaitement bien comprendre sa situation, mais qu'il y avait néanmoins un remède à son état ; je lui expliquai quelques versets de la Bible. Un jour, elle vint me dire avec une grande joie que plus rien ne lui manquait. Un miracle se produisit alors, et peu de temps après tous les trois furent de nouveau réunis.

Dieu délivre de toutes détresses et de nos diverses épreuves ; toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu.

Lorsque je me suis installé à Wydibühl, j'étais souffrant, et pas disposé à louer et à dire : « Je ne manque de rien » puisqu'il me manquait la santé. Il était donc opportun de lire le Psaume 23 et de le commenter. Il est dit que le laboureur jouit le premier des fruits de son travail. Bien que la maladie ne m'ait pas quitté, cela produisit en moi le repos et le contentement. Ce Psaume est bienfaisant : L'Éternel est mon berger ; car la souffrance signifie : « Gloire » pour ceux qui se maintiennent fermement sur le terrain divin.


Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.

Une femme allemande, qui habitait la Suisse, n'avait pas déclaré sa fortune au fisc ; repentante, elle voulut me remettre l'argent, afin que je le fasse parvenir à l'État. Je lui déclarai : « C'est à toi de mettre cette affaire en ordre ». Cette femme ne pouvait pas se décider et je lui répondis : « Si tu ne veux pas obéir, va-t-en ». Elle ne partit point, mais le jour suivant, elle était prête à mettre cette chose en ordre. Cinq jours après, elle m'écrivit qu'elle avait été jusqu'à la porte du bureau des impôts, mais qu'elle n'avait pas osé entrer ; c'est seulement le quatrième jour qu'elle céda. Alors elle réalisa la paix de Dieu. Nous devons renoncer à notre résistance, si nous voulons que Dieu nous accorde son salut. Nous ne devons pas avoir honte d'obéir aux commandements de Dieu.


La lumière dissipe les ténèbres.

Quand le Sauveur peut entrer dans un coeur et y manifester sa puissance, il en est comme de cette femme qui avait une maladie de coeur et qui, non seulement reçut la paix de Dieu par la foi au Seigneur Jésus, mais fut guérie au même moment. Elle déclara ensuite : « Maintenant, c'est comme si je n'avais plus de coeur, je ne le sens plus ». Il en est de même quand on réalise le salut et la paix. Les lourdes pierres tombent et le fardeau disparaît. Là où règnent les ténèbres, il y a des fardeaux, de l'oppression, mais la Parole de Dieu est la lumière qui dissipe les ténèbres. Nous devons être des hommes dont le coeur est comblé de choses qui nous attirent en haut, et non en bas. La Parole de Dieu nous montre ce que nous avons à faire, et ce que nous devons abandonner.


La vraie foi et ses effets.

Nous avons encore un vaste pays à conquérir. Dieu veuille accorder sa grâce à beaucoup d'âmes, afin qu'elles se décident à lire la Parole de Dieu et à s'y conformer. Une jeune fille était au service d'une femme catholique, pieuse et très aimable, qui avait sur elle une certaine influence ; elle lui dit qu'elle ne possédait pas la vraie foi et ne pourrait être sauvée si elle ne priait pas les saints. La jeune fille m'écrivit pour me demander si cela était exact. Je lui envoyai un Nouveau Testament, lui disant de pratiquer tout ce qu'elle y lirait. « Agis exactement selon les Écritures ! » Huit jours plus tard, pendant lesquels elle avait lu tout le Nouveau Testament, cette fille m'écrivait : « Nous avons la vraie foi ; j'ai trouvé la paix de Dieu et j'ai restitué ce que j'avais dérobé ! »


M'est-il permis de croire, alors qu'il me semble que je mens ?

Un jour, je présidais une assemblée à Ried. Dans l'auditoire se trouvait une petite femme, neurasthénique, âgée de soixante-dix ans. Mon texte était : Romains 6, verset 11: « Ainsi, vous-mêmes regardez-vous comme morts au péché, et comme vivants pour Dieu en Jésus-Christ. » Pendant que je commentais ce passage, cette petite femme s'écria : « M'est-il permis de croire cela, alors qu'il me semble que je mens ? - Oui ! » lui répondis-je. Dès ce moment, elle fut guérie et reçut la paix de Dieu dans son coeur.

Plus tard, je présidai une série de réunions d'évangélisation à Frutigen. Cette petite vieille fit deux heures et demie de marche pour y assister ; elle vint chaque soir, malgré la neige. Ah ! quel bonheur est la part de celui qui a été délivré de la neurasthénie ! Cette femme avait pensé que c'était mentir que de croire ainsi ; mais non, ce n'est pas mentir, c'est simplement croire conformément à l'Écriture qui dit : « Car il est mort, et c'est pour le péché qu'il est mort une fois pour toutes ; il est revenu à la vie et c'est pour Dieu qu'il vit. Ainsi vous-mêmes, regardez-vous comme morts au péché et comme vivants pour Dieu en Jésus-Christ. Si un seul est mort pour tous, tous donc sont morts ».

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