Je pense à un frère avec lequel
j'ai beaucoup travaillé dans le royaume de
Dieu. Dans les dernières années de sa
vie, je crois avoir été son meilleur
ami ! Chaque fois que j'attirais son attention
sur telle chose et que je l'exhortais, il se
soumettait ; cependant, il restait intraitable
sur un seul point. Souvent il affirmait avec
force : « Les hommes nous accuseront
dans l'Éternité si nous - enfants de
Dieu - ne traversons pas toutes les épreuves
sans broncher ! » Je lui
répondais en lui affirmant que si nous
sommes sauvés, nous sommes sauvés, et
que personne ne pourra condamner les élus de
Dieu, sinon nous irions à la perdition. Une
certaine fois, nous nous rendions à
Adelboden et, comme il était fatigué,
je devais présider seul l'étude
biblique de l'après-midi, tandis que la
réunion du soir serait tenue par tous les
deux. Vers le milieu de l'étude biblique, il
vint néanmoins et demanda aux personnes
présentes de lui poser des questions.
Quelqu'un lui demanda s'il était permis dans
la Nouvelle Alliance de manger du sang ? Il
nous expliqua avec force paroles, qu'en mangeant du
sang (boudins - saucisses au sang) on recevait une
âme de porc ou de veau ; il en
condamnait sévèrement la
consommation. Quand il eut terminé, je lui
demandai comment on devait comprendre ce
verset : « Ce n'est pas ce qui entre
par la bouche qui souille
l'homme » ; et encore : « Qu'est-ce
que
Dieu
voulait faire comprendre à Pierre en faisant
descendre devant lui le drap noué aux quatre
coins et rempli d'animaux impurs en lui
disant : tue et mange ! » - en
outre : quelle est la signification de ce
verset : « Heureux celui qui ne se
condamne pas lui-même dans ce qu'il
approuve ! »
Il avait une réponse à toutes
mes remarques mais, pour finir, il se
fâcha ; alors je me tus. Je ne lui avais
opposé que la Parole de Dieu. Il
était passablement agité et, le soir,
il ne parla que brièvement. Lorsque nous
partîmes le lendemain, accompagnés
d'un autre prédicateur, il m'attaqua
à nouveau en me disant que nous avions
obtenu le pardon dans la mesure où nous
avions reconnu nos péchés. Je n'en
croyais rien, car la Bible ne dit pas cela ;
s'il en était ainsi, nous ne pourrions
être sauvés, puisqu'il ne nous est pas
possible de connaître parfaitement le fond de
toute chose. Il se défendait, et j'en
faisais de même, lui disant :
« Il n'est pas écrit que nous
sommes morts aux péchés
« connus » ; il n'est pas
dit : Il nous a lavés des
péchés
« connus », mais « de
nos péchés ». Sur ce point,
il s'obstinait à ne rien vouloir entendre,
quoique d'habitude, il acceptait tout ce que je lui
disais. Il s'adressa à l'autre
prédicateur, le priant de chercher à
me convaincre, mais ce dernier resta muet. Alors il
reprit à nouveau le sujet, et je lui citai
cette parole : « Si ton oeil est
sain, tout ton corps sera dans la lumière,
mais si ton oeil est mauvais, tout ton corps sera
dans les ténèbres. Si donc la
lumière qui est en toi est
ténèbres, combien grandes seront ces
ténèbres
(Matth.
6 : 22). Si donc tout
ton corps est éclairé, n'ayant aucune
partie dans les ténèbres, il sera
entièrement lumière, comme la lampe
éclaire de sa lumière ».
(Luc
11 : 36.) Nous sommes ou
lumière ou ténèbres, ou alors
ce passage doit avoir une signification
différente dans une autre version de la
Bible, sans quoi tu n'as plus aucune
échappatoire ! » Sur ces
entrefaites, nous arrivâmes à Frutigen
et nous nous rendîmes chez un frère.
Là, il consulta plusieurs versions de la
Bible ; les refermant brusquement, il les
replaçait sur l'étagère avec
des gestes toujours plus empreints de
nervosité ; puis il
s'éloigna.
De mon côté, je confrontai
aussi ces textes ; ils étaient
identiques dans toutes les traductions.
Ce frère réalisa une
grâce plus profonde sur son lit de
mort ; au cas contraire, j'aurais eu de
l'angoisse à son sujet et des doutes quant
à sa participation à la
première résurrection. Le
frère Binde, l'ayant visité, lui
parla de la grâce, et la lumière
l'inonda comme jamais auparavant ; c'est dans
cette lumière qu'il partit dans la Gloire.
Cela me remplit de joie et de courage. Cet homme
était un croyant, il avait encore besoin de
traverser une épreuve de purification ;
il dut passer par le feu.
Une fois, je rendis visite à une femme
qui était à nouveau devenue esclave
de la colère et du
mécontentement ; auparavant, elle avait
connu la joie divine. Elle s'enfuit à ma
vue, mais je la poursuivis et lui lus le passage
des lamentations de Jérémie où
le prophète se croyait à jamais banni
de la paix. Je lui expliquai en même temps
comment la bonté de Dieu se renouvelle
chaque matin et que Dieu ne pense donc plus
à ce qui s'est passé hier !
J'aurais pu blâmer sévèrement
cette femme et lui dire :
« Misérable créature, tu
avais trouvé la paix et maintenant tu te
comportes ainsi ? » Mais j'avais
réalisé maintes fois, chez les coeurs
les plus durs et les plus réfractaires aux
appels de Dieu, qu'ils pouvaient accepter la Parole
quand on la leur offrait comme un mets succulent.
Cette soeur se confia de nouveau en la grâce
de Dieu, et fut remplie de louanges et d'actions de
grâces, magnifiant la bonté de
Dieu.
La bonté de Dieu se renouvelle chaque
matin ! Dieu ne songe donc plus à ce
qui s'est passé hier. S'il subsiste en toi
encore une parcelle de ténèbres,
crois ceci : « Jésus m'a
aimé et m'a lavé de mes
péchés par son
sang » ; cela purifie, je l'ai
réalisé maintes fois. Dieu nous fait
passer par divers chemins, pour que nous apprenions
à nous confier en lui en tout temps. Il
s'agit bien d'un combat ; le diable assaille
les hommes par toutes sortes de sentiments pour
leur donner l'impression que tout est perdu.
Cependant, la Parole et les promesses de Dieu
restent immuables. C'est pourquoi affirme en tout
temps : « L'Éternel est ma
justice ; l'Éternel est ma
vie ».
Dans une réunion, j'avais
médité sur la « Parabole
des noces » et parlé de celui qui
était entré dans la salle du festin
sans avoir revêtu l'habit de noce. Le roi
avait ordonné : « Prenez-le,
jetez-le dans les ténèbres du dehors,
là où il y aura des pleurs et des
grincements de dents ». Lorsque la
réunion fut terminée, une jeune fille
s'approcha pour me dire qu'elle voulait se
convertir. Je lui demandai si elle avait aussi des
péchés ; elle ne pouvait pas le
dire. - Pendant la réunion, j'avais
dit : « Qui de vous peut raconter
comment il a réalisé la nouvelle
naissance ? Le roi n'a-t-il pas
demandé : Mon ami, comment es-tu
entré dans la salle sans être
revêtu de l'habit de noce ? Mais il eut
la bouche fermée. Celui qui ne peut pas
raconter comment il a passé par la nouvelle
naissance aura la bouche
fermée ! »
La jeune fille avait été
très attentive et se vit perdue, car elle
comprit qu'elle ne pouvait pas raconter sa nouvelle
naissance. Je lui lus Romains
3, les versets 10 à
18 qui décrivent le triste état
de l'homme naturel : « Il n'y en a
pas un qui cherche Dieu, tous sont
égarés, tous sont pervertis, il n'en
est aucun qui fasse le bien, pas même un
seul ; leur gosier est un sépulcre
ouvert ; ils se servent de leur langue pour
tromper ; ils ont sous leurs lèvres un
venin d'aspic ; leur bouche est pleine de
malédiction et d'amertume ; ils ont les
pieds légers pour répandre le sang ; ils ne
connaissent point le chemin de la paix ».
Ensuite, je demandai : « Te
reconnais-tu dans cette
description ? » Elle
répondit : « Je ne le vois
pas, mais j'accepte cela, si Dieu le
dit ! » Elle faisait partie d'une
famille où les enfants avaient beaucoup
d'amour les uns pour les autres. Je continuai ma
lecture, lui montrant la manière dont on
peut être justifié sans mérite
aucun, par grâce ; je lui posai la
question : « Crois-tu cela ? -
Oui, je ne le comprends pas ainsi, mais je le
crois ! »
Quelques semaines plus tard, elle
m'écrivit une lettre pour me demander si la
grâce était encore pour elle, car elle
se voyait maintenant comme la créature la
plus mauvaise. Dès ce moment, elle crut la
Parole de Dieu et fut convaincue de ses
péchés.
Je lui répondis et lui posai sept
questions :
1. Dieu était en Christ,
réconciliant le monde avec lui-même,
en n'imputant point aux hommes leurs offenses. Cela
est-il aussi pour toi ?
2. Il nous a aimés et nous a
lavés de nos péchés par son
sang. Es-tu parmi ceux-là ?
3. Voici l'Agneau de Dieu qui ôte le
péché du monde ! A-t-il aussi
ôté tes
péchés ?
4. C'est lui qui a fait la purification de
nos péchés par son sang ! Cela
est-il aussi valable pour tes
péchés ?
5. Toute transgression et toute
désobéissance a reçu une juste
rétribution. Est-ce valable pour
toi ?
Etc., etc.
Je l'invitais à me renvoyer ce
questionnaire avec les réponses. C'est une
lettre pleine de joie qui m'apporta la nouvelle
qu'elle
avait lu jusqu'à la cinquième
question et là, la lumière
s'était faite subitement en elle. Elle
comprit que son péché était
effacé, que Jésus avait porté
sa condamnation et elle reçut la paix dans
son coeur. Une de ses amies avait lu cette lettre
et trouva également la paix. Les
ténèbres se dissipent quand on vient
à Jésus. Il nous montre qui nous
sommes, mais aussi qui il est.
Un frère avait l'intention d'épouser une jeune fille mais, bien qu'elle fût très pieuse, il n'était pas certain qu'elle fut régénérée. Avant les fiançailles, il l'engagea à passer quelques jours de vacances chez nous ; à cette occasion, elle réalisa la paix de Dieu. Elle s'en retourna chez elle, confessant qu'elle avait été lavée de ses péchés. Le prédicateur de l'assemblée qu'elle fréquentait lui rendit visite et lui exposa que tout cela était une grande erreur, prétendant que l'on ne pouvait être libéré du péché, et que M. Berger méprisait le sang de Jésus ! La jeune fille fut dépouillée de ce qu'elle avait reçu et m'écrivit ce qui en était. Je pus réfuter chaque phrase avec la Parole de Dieu, et fis publier cette lettre dans notre journal « Friedensbotschaft » ; quelques personnes réalisèrent encore le salut par ce moyen ! On n'a pas besoin du sang de Christ pour demeurer dans ses péchés, mais il est indispensable pour être libéré du péché et pour en être préservé. Celui qui demeure dans le péché outrage l'Esprit de la grâce. Comment pourrions-nous encore vivre dans le péché, puisque nous sommes morts au péché ? C'est ainsi que s'est écrié l'apôtre Paul.
Combien de pères et de mères sont
morts prématurément à cause
des douleurs et des souffrances causées par
les désobéissances de leurs
enfants ! La Bible parle même de
meurtriers de pères et de mères,
d'enfants qui abrègent la vie de leurs
parents. Mais Dieu fait miséricorde à
ceux qui se repentent véritablement.
À B., une jeune fille pleurait en
avouant qu'elle avait désobéi
à sa mère :
« Maintenant, il n'y a plus de
grâce pour moi, je ne peux plus demander
pardon à ma mère, elle est morte,
elle est partie ! » disait-elle.
J'eus beaucoup de peine à convaincre cette
jeune fille de se confier dans la grâce. Elle
s'était humiliée à cause de
ses désobéissances et, si une
personne se repent, la grâce est là,
quel que soit le passé.
Quelle ne fut pas ma joie lorsqu'une jeune fille, une impie, se convertit. Voici de quelle façon : Cette jeune fille arriva chez nous avec une très mauvaise réputation ; elle passa quelques jours dans notre maison et, dès le premier jour, se comporta très correctement. Elle trouva bientôt la paix de Dieu et fut remplie de zèle, de louanges et d'actions de grâces ; c'était une fille heureuse ; nous n'avions rien à lui reprocher. Elle était venue chez nous complètement pervertie, mais une merveilleuse transformation s'était opérée en elle ; elle suivait sa route joyeusement et entra en place chez un instituteur croyant. Peu de temps après eut lieu la noce d'un de ses frères, mais elle refusa d'y assister, en indiquant les motifs. Sa mère, qui se disait pourtant aussi croyante, et qui avait eu bien des angoisses à son sujet, s'irrita à tel point qu'elle l'avisa de revenir à la maison et de retourner à l'église. La jeune fille me demanda alors ce qu'il y avait lieu de faire. Je lui répondis : « Si ce n'est pas absolument nécessaire, et que ta mère n'a pas vraiment besoin de toi, reste où tu es ! » Habituellement, je ne dis jamais à un enfant de ne pas obéir, mais quand je remarque que le diable est dans l'affaire, les enfants n'ont pas à se soumettre.
Il y a beaucoup d'angoisse sur toute la terre.
J'ai tenu une assemblée à Berne et,
à cette occasion, j'ai parlé du Psaume
23, disant que l'on pouvait
croire dans toutes les circonstances de la
vie : « Je ne manquerai de
rien », pourvu qu'on ait, vis-à-vis de Dieu,
l'attitude qui convient. Une femme m'écrivit
alors de lui aider à obtenir cette attitude,
car il lui manquait beaucoup de choses ; son
mari était malade depuis longtemps,
elle-même avait été
obligée de reprendre un emploi, de liquider
son ménage puis de mettre son enfant en
pension. Son intérieur lui manquait et elle
souffrait beaucoup de la séparation. Je lui
écrivis que je pouvais parfaitement bien
comprendre sa situation, mais qu'il y avait
néanmoins un remède à son
état ; je lui expliquai quelques
versets de la Bible. Un jour, elle vint me dire
avec une grande joie que plus rien ne lui manquait.
Un miracle se produisit alors, et peu de temps
après tous les trois furent de nouveau
réunis.
Dieu délivre de toutes
détresses et de nos diverses
épreuves ; toutes choses concourent au
bien de ceux qui aiment Dieu.
Lorsque je me suis installé à
Wydibühl, j'étais souffrant, et pas
disposé à louer et à
dire : « Je ne manque de
rien » puisqu'il me manquait la
santé. Il était donc opportun de lire
le Psaume 23 et de le commenter. Il est dit que le
laboureur jouit le premier des fruits de son
travail. Bien que la maladie ne m'ait pas
quitté, cela produisit en moi le repos et le
contentement. Ce Psaume est bienfaisant :
L'Éternel est mon berger ; car la
souffrance signifie :
« Gloire » pour ceux qui se
maintiennent fermement sur le terrain divin.
Une femme allemande, qui habitait la Suisse, n'avait pas déclaré sa fortune au fisc ; repentante, elle voulut me remettre l'argent, afin que je le fasse parvenir à l'État. Je lui déclarai : « C'est à toi de mettre cette affaire en ordre ». Cette femme ne pouvait pas se décider et je lui répondis : « Si tu ne veux pas obéir, va-t-en ». Elle ne partit point, mais le jour suivant, elle était prête à mettre cette chose en ordre. Cinq jours après, elle m'écrivit qu'elle avait été jusqu'à la porte du bureau des impôts, mais qu'elle n'avait pas osé entrer ; c'est seulement le quatrième jour qu'elle céda. Alors elle réalisa la paix de Dieu. Nous devons renoncer à notre résistance, si nous voulons que Dieu nous accorde son salut. Nous ne devons pas avoir honte d'obéir aux commandements de Dieu.
Quand le Sauveur peut entrer dans un coeur et y manifester sa puissance, il en est comme de cette femme qui avait une maladie de coeur et qui, non seulement reçut la paix de Dieu par la foi au Seigneur Jésus, mais fut guérie au même moment. Elle déclara ensuite : « Maintenant, c'est comme si je n'avais plus de coeur, je ne le sens plus ». Il en est de même quand on réalise le salut et la paix. Les lourdes pierres tombent et le fardeau disparaît. Là où règnent les ténèbres, il y a des fardeaux, de l'oppression, mais la Parole de Dieu est la lumière qui dissipe les ténèbres. Nous devons être des hommes dont le coeur est comblé de choses qui nous attirent en haut, et non en bas. La Parole de Dieu nous montre ce que nous avons à faire, et ce que nous devons abandonner.
Nous avons encore un vaste pays à conquérir. Dieu veuille accorder sa grâce à beaucoup d'âmes, afin qu'elles se décident à lire la Parole de Dieu et à s'y conformer. Une jeune fille était au service d'une femme catholique, pieuse et très aimable, qui avait sur elle une certaine influence ; elle lui dit qu'elle ne possédait pas la vraie foi et ne pourrait être sauvée si elle ne priait pas les saints. La jeune fille m'écrivit pour me demander si cela était exact. Je lui envoyai un Nouveau Testament, lui disant de pratiquer tout ce qu'elle y lirait. « Agis exactement selon les Écritures ! » Huit jours plus tard, pendant lesquels elle avait lu tout le Nouveau Testament, cette fille m'écrivait : « Nous avons la vraie foi ; j'ai trouvé la paix de Dieu et j'ai restitué ce que j'avais dérobé ! »
Un jour, je présidais une assemblée à Ried. Dans l'auditoire se trouvait une petite femme, neurasthénique, âgée de soixante-dix ans. Mon texte était : Romains 6, verset 11: « Ainsi, vous-mêmes regardez-vous comme morts au péché, et comme vivants pour Dieu en Jésus-Christ. » Pendant que je commentais ce passage, cette petite femme s'écria : « M'est-il permis de croire cela, alors qu'il me semble que je mens ? - Oui ! » lui répondis-je. Dès ce moment, elle fut guérie et reçut la paix de Dieu dans son coeur.
Plus tard, je présidai une série de réunions d'évangélisation à Frutigen. Cette petite vieille fit deux heures et demie de marche pour y assister ; elle vint chaque soir, malgré la neige. Ah ! quel bonheur est la part de celui qui a été délivré de la neurasthénie ! Cette femme avait pensé que c'était mentir que de croire ainsi ; mais non, ce n'est pas mentir, c'est simplement croire conformément à l'Écriture qui dit : « Car il est mort, et c'est pour le péché qu'il est mort une fois pour toutes ; il est revenu à la vie et c'est pour Dieu qu'il vit. Ainsi vous-mêmes, regardez-vous comme morts au péché et comme vivants pour Dieu en Jésus-Christ. Si un seul est mort pour tous, tous donc sont morts ».
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