Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

CHAPITRE V

Du Sacrement de Pénitence

§ 1 DE LA CONTRIBUTION ET DE LA CONFESSION AURICULAIRE.



M. le Curé. - Que le printemps est hâtif Cette année !
Je suis heureux de la belle journée que Dieu nous donne aujourd'hui. Nous pourrons causer à loisir. La semaine prochaine j'aurai peu de temps à moi, Pâque approche, je me tiendrai au confessionnal pour voir :
Le peuple saint en foule inonder les portiques.

M. A. - Je voulais précisément m'éclairer sur une double difficulté relative à ce sacrement, la première est relative au mot pénitence auquel nous ne donnons pas le même sens ; la seconde porte sur l'institution même.

M. le Curé. - Dans le mot pénitence l'Eglise catholique romaine implique l'idée d'un châtiment à subir ; cela sous-entend le regret d'avoir mal agi. Toutefois le châtiment domine toute la pensée de l'Eglise : On répare l'injure faite à Dieu... surtout pour la pénitence que le prêtre impose (1).

M. A. - Je pensais que par pénitence on entendait plutôt la repentance, le regret d'avoir péché.

M. le Curé. - C'est l'opinion protestante, nous la déclarons hérétique.

M. A. - Je vous avais prié d'apporter votre texte grec du Nouveau Testament, selon le manuscrit du Vatican, l'avez-vous ?

M. le Curé. - Le voici.

M. A. - Veuillez chercher les passages que je vous indiquerai (2).

M. le Curé. - J'ai rencontré vingt-cinq fois le substantif grec métanoia et trente-cinq fois le verbe grec metanoo.

M. A. - C'est exact. Comment la Bible, dite Vulgate, a-t-elle traduit ?

M. le Curé. - « Facere paenitentiam. »

M. A. - Vous souvenez-vous du sens donné par les dictionnaires latins et grecs, admis dans les séminaires et dans les lycées ?

M. le Curé. - Metanoia, paenitentia, changement d'avis, se repentir, avoir du regret, de la douleur à cause de ce que l'on a fait ...

M. A. - Donc, à l'origine l'idée de châtiment, n'était pas indiquée, En dehors de toute préoccupation dogmatique définissez-moi la pénitence d'après les données du dictionnaire.

M. le Curé. - La pénitence consisterait en un changement dans l'esprit et dans le coeur, une transformation de l'âme et de la volonté opérée avec l'aide de l'Esprit de Dieu, et capables de produire une saine orientation de la vie chrétienne. Mais j'ajoute ...

M. A. - Je vous en prie, laissez à votre définition toute sa saveur évangélique !

M. le Curé. - Mais j'ajoute que l'Eglise catholique romaine, par le Sacrement de Pénitence, a le pouvoir de remettre les péchés commis après le baptême (si énormes et en si grand nombre qu'ils soient) (3).

M. A. - C'est un pouvoir tel que je ne puis l'admettre sans avoir une connaissance approfondie du Sacrement.

M. le Curé. - Eh bien, commençons par la contrition. C'est l'acte le plus important de la pénitence, il est indispensable pour recevoir le pardon de ses péchés, même en dehors du Sacrement (4)

M. A. - Vous enseignez que la contrition est une douleur et une détestation de ses péchés, avec un ferme propos de ne plus les commettre (5). Nous sommes d'accord.

M. le Curé. - Vous le serez tout à fait aujourd'hui, car vous savez comme moi ce que disait Jésus : « Je vous dis qu'il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pêcheur qui fait pénitence que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de pénitence (6). »

M. A. - Notre foi sera à l'unisson tout autant qu'elle aura pour base l'Écriture Sainte. C'est pour cela que la contrition nous ramène sur un terrain commun. Jean-Baptiste criait au bord du Jourdain :
« Faites pénitence, le royaume des cieux est proche (7). »
Et Jésus disait à ses disciples qu'il fallait qu'on prêchât en son nom la pénitence et la rémission des péchés à toutes les nations (8)

M. le Curé. - La splendide journée printanière dont nous jouissons semble nous inspirer ! Si nous avions la même entente sur tous les sujets !

M. A. - Malheureusement, si nous faisons un pas de plus, notre harmonie s'évanouit ! L'Eglise de Rome a dépassé l'Écriture sainte lorsqu'elle a dit que la contrition parfaite ne dispensait pas de la confession auriculaire ; qu'elle justifiait avant la confession, mais qu'elle en laissait subsister l'obligation (9).

M. le Curé. - Que trouvez-vous à critiquer en cela ?

M. A. - Qu'entendez-vous par justification ?

M. le Curé. - Ce n'est pas seulement la rémission des péchés, c'est aussi la sanctification et le renouvellement de l'homme intérieur par une volontaire réception de grâce et de dons. De là, vient que l'homme, d'injuste se fait juste, et d'ennemi se fait ami, afin qu'il soit, selon l'esprit, héritier de la vie éternelle (10).

M. A. - Permettez-moi de préciser votre définition par ces paroles de saint Paul à Tite :
« Étant justifiés par la grâce de Jésus-Christ, notre Sauveur, nous devenons héritiers de la vie éternelle (11). »
En d'autres termes, la justification est un témoignage de la paix avec Dieu ; or, quel est le but de la religion ?

M. le Curé. - De nous relier, nous réconcilier avec Dieu.

M. A. - Dès lors, puisque ce but est atteint par la contrition parfaite, pourquoi l'Eglise insiste-t-elle encore pour obtenir du chrétien la confession auriculaire ?

M. le Curé. - Parce que la confession est d'ordre divin et que les protestants sont infidèles en ne la pratiquant pas.

M. A. - Vous faites erreur. La confession existe chez les Luthériens et chez les Calvinistes, seulement elle est libre, non ordonnée. Le fidèle peut se confier à son pasteur, mais il ouvre surtout son coeur à Dieu.

M. le Curé. - Cette confession faite à Dieu est d'une impuissance notoire.

M. A. - Vous préférez mettre à sa place le commandement donné par le Concile de Latran (1215) :
« Tous Les péchés confesseras,
À tout le moins une fois l'an »
Le chrétien se confesse à Dieu tous les jours, et plus sincèrement que s'il le faisait à un prêtre. Aux yeux de Dieu, « il n'y a rien de caché qui ne doive être révélé, ni rien de secret qui ne doive être connu (12) ».

M. le Curé. - Je le veux bien ; mais reconnaissez aussi que l'humiliation de l'homme devant le prêtre est un sentiment plus salutaire, parce qu'il est plus réel ...

M. A. - J'estime, au contraire, que l'humiliation est plus grande et plus sérieuse devant l'Éternel ! C'est qu'on ne s'agenouille pas devant Lui sans crainte ! Dans le confessionnal, on peut ne pas voir le prêtre, et même ne pas le connaître ! Enfin, comment voulez-vous qu'au bout d'une année écoulée on ait la mémoire de toutes ses fautes !

M. le Curé. - La confession aurait été plus fréquente, et nul n'aurait songé à l'attaquer sans ces hérétiques de Novatiens qui, dès le IIIe siècle, niaient au prêtre le pouvoir de remettre les péchés !

M. A. - C'était pour réformer un abus qui se glissait dans l'Eglise. À la suite de la persécution de Décius, en 251, quelques chrétiens, pour avoir la vie sauve, avaient renié leur foi. On s'efforça de les ramener dans le sein de l'Eglise en leur envoyant des prêtres confesseurs dont la fonction était occasionnelle et provisoire.
Nectarius, archevêque de Constantinople, abolit plus tard cette fonction (383), d'accord avec les protestations des Novatiens.

M. le Curé. - Cela n'a pas empêché saint Benoît, au VIe siècle, de mettre la confession au nombre des obligations de l'ordre qu'il fondait.

M. A. - Cela prouve donc que la confession auriculaire n'était pas en pratique. Si elle eût existé, on n'en aurait pas fait une mention spéciale, on, du moins, elle ne serait pas présentée comme une obligation particulière aux bénédictins.

M. le Curé. - Vous supposez... Je préfère les certitudes.

M. A. - Je puis vous satisfaire. Le Concile de Châlons-sur-Saône (813) n'a pas pu se prononcer définitivement. « Quelques-uns disent qu'il faut confesser ses péchés à Dieu, d'autres prétendent qu'il faut aussi les confesser au prêtre. ». (13).

M. le Curé. - Qu'a-t-on décidé ?

M. A. - On a laissé aux fidèles leur liberté. Mais le quatrième Concile de Latran (1215), obéissant à Innocent III, a déclaré que la confession faite à l'oreille du prêtre était un commandement de l'Église (14).

M. le Curé. - L'élaboration des dogmes est progressive. L'arbre ne naît pas tout formé avec branches et ombrage, il lui faut du temps ; la Confession a mis 1215 ans pour arriver à maturité... Le Concile de Trente explique clairement sur quoi l'Eglise s'appuye... (15)

M. A. Je serais curieux de connaître ces preuves ignorées pendant si longtemps !

M. le Curé. - « Notre Seigneur a institué ce Sacrement quand, étant ressuscité de mort à Vie, il souffle sur ses disciples, en leur disant : Recevez le Saint-Esprit ceux desquels vous aurez pardonné les péchés, ils leur seront pardonnés.
Par ce fait notable et par ces paroles si claires, le consentement de tous les Pères a toujours entendu que la puissance de remettre et de retenir les péchés a été communiquée aux apôtres et à leurs successeurs (16). »

M. A. - Vous parlez du consentement unanime des Pères ! Mais de Clément d'Alexandrie à Bernard de Clairvaux au XIIe siècle, je ne trouve aucune interprétation de ce passage dans le sens du Concile de Trente. Lisez par exemple Paul de Thèbes (251), saint Cyprien (IVe siècle), Grégoire de Néocésarée (270), Athanase (373), saint Basile (379), saint Ambroise (397), saint Martin de Tours (396), etc. et vous serez convaincu que ce qui manque le plus au sacrement de Pénitence c'est le consentement de tous les Pères (17).

M. le Curé. - Je vous l'accorde, non de ma propre autorité, mais en m'abritant sous la responsabilité de Thomas d'Aquin. Il avoue franchement que la confession auriculaire n'a pas été d'une pratique universelle dans l'Eglise catholique (18).

M. A. - Nous prenons donc en défaut l'infaillible Concile de Trente, sur un point important ! Cette constatation suffirait à prouver la fausseté de sa position, mais puisqu'il cite l'Écriture sainte, je désire l'étudier avec vous.

M. le Curé. - Elle nous dit par des paroles très claires, que le sacrement de Pénitence a été institué par Notre Seigneur. Le prêtre a le droit de remettre et de retenir les péchés.

M. A. - Lorsque Jésus a donné ce pouvoir les apôtres étaient-ils seuls ?

M. le Curé. - Je me souviens que vous m'avez prouvé que les deux disciples d'Emmaüs et quelques autres en nombre indéterminé se trouvaient avec eux :
Les disciples d'Emmaüs, dit, saint Luc, retournèrent à Jérusalem où ils trouvèrent les onze apôtres avec les autres disciples assemblés (19).

M. A. - Vous constatez donc que le pouvoir donné par Jésus les concernait tous puisqu'aucune distinction n'est faite en faveur des onze.
Donc un premier point demeure acquis c'est que les apôtres seuls n'avaient pas le droit de remettre ou retenir les péchés.

M. le Curé. - Je ne refuse pas de le reconnaître, mais je maintiens que pour remettre ou retenir les péchés, il faut la confession auriculaire.

M. A. - Et moi je vous dis, au nom du Seigneur, que pour exercer ce pouvoir il faut avoir reçu le Saint-Esprit. Avant toute parole, Jésus avait dit : « Recevez le Saint-Esprit. »

M. le Curé. - Le sacrement de l'Ordre en tient lieu.

M. A. - Permettez ! Ni l'ordination du prêtre, ni la consécration du ministre protestant ne donnent le Saint-Esprit, cela appartient à Dieu seul.

M. le Curé. - C'est parce que le prêtre a reçu le Saint-Esprit qu'il peut confesser.

M. A. - Confessez vous aussi aux jeunes enfants que l'évêque vient de confirmer, puisqu'il leur a donné le Saint-Esprit !

M. le Curé. - Assurément non. On ne peut se confesser validement qu'au prêtre, parce qu'il a reçu les pouvoirs d'ordre et de juridiction (20).

M. A. - Cela revient à dire que pour établir votre Sacrement vous vous permettez de modifier les paroles sacrées de Notre Seigneur. Au lieu de répéter avec assurance : Recevez le Saint-Esprit, vous faites de vos séminaristes des prêtres par ces paroles : Recevez les pouvoirs d'ordre et de juridiction !

M. le Curé. - Nul ne peut prouver qu'un prêtre n'a pas reçu le Saint-Esprit.

M. A. - Nul ne peut prouver non plus qu'il le possède. En tous cas, il nous importe de savoir si les apôtres qui ont été présents lorsque le Christ a prononcé les paroles que vous avez citées, les ont comprises dans le sens de la confession auriculaire.

M. le Curé. - Cela ne laisse aucun doute.

M. A. - Suivons auparavant Saul de Tarse chez Ananie. Après avoir reçu l'imposition des mains, le Saint-Esprit, est descendu sur lui, sans qu'il nous soit parlé de confession de ses péchés :
« Ananie s'en alla et étant entré dans la maison, il lui imposa les mains et lui dit : Saul mon frère, le Seigneur Jésus qui vous a apparu dans le chemin par où vous veniez, m'a envoyé afin que vous recouvriez la vue, et que vous soyez remplis du Saint-Esprit (21). »

M. le Curé. Le cas est tout à fait exceptionnel.

M. A. - Saint Pierre nous apporte encore son témoignage. Arrivé chez le païen Corneille, au lieu de le confesser et de l'absoudre en réponse à sa foi nouvelle, il lui dit : « C'est à Jésus que tous les prophètes rendent ce témoignage, que tous ceux qui croient en lui reçoivent, par son nom, la rémission des péchés (22). »

M. le Curé. - Vous voyez, vous voyez : il ne peut pas y avoir rémission des péchés sans confession !

M. A. - Il n'est nullement question d'une confession faite à l'oreille de saint Pierre. Le centurion Corneille s'était confessé à Dieu et c'est en réponse à sa foi que ses péchés lui sont remis.

M. le Curé. - En quoi faites-vous donc consister le pouvoir de lier et de délier ?

M. A. - À prêcher le salut des hommes en Jésus-Christ, c'est-à-dire à répandre l'Évangile.

M. le Curé. - Anathème ! Si quelqu'un dit que les paroles de Notre Seigneur : Recevez le Saint-Esprit ceux desquels vous aurez pardonné les péchés ils leur sont pardonnés, et ceux desquels vous les aurez retenus, ils leur sont retenus, ne se doivent pas entendre de la puissance de pardonner et de retenir les péchés au Sacrement de Pénitence... et les tire par force à l'autorité de prêcher l'Évangile, contre l'institution de ce Sacrement, qu'il soit maudit ! (23).

M. A. - Je prends votre paroissien et je courbe la tête, l'anathème nous atteint tous les deux.

M. le Curé. - Comment cela ?

M. A.. - J'ouvre et je lis. : « Jean et Paul... ont reçu le pouvoir de fermer et d'ouvrir les portes du ciel, car leurs langues sont devenues les clefs du royaume des cieux (24). »

M. le Curé. - Je me souviens de ce passage... On pourrait dire que « leur langue » c'est le « Je vous absous », prononcé par le prêtre... Mais saint Paul n'était pas présent quand Notre Seigneur a donné le pouvoir des clefs... Il est évident de plus en plus qu'il s'agit de la prédication de l'Évangile.

M. A. - La sainte Congrégation des rites n'a pas remarqué ce passage, sans quoi elle l'eût supprimé...

M. le Curé. - Malgré tout il est parlé de confession chez les Pères !
Jean-Baptiste ne baptisait que ceux qui avaient confessé leurs péchés (25).
À Éphèse, beaucoup d'entre les croyants venaient confessant et déclarant ce qu'ils avaient fait (26).
Saint Jacques dit en toutes lettres
« Confessez vos péchés les uns aux autres et priez les uns pour les autres afin que vous soyez sauvés, la prière persévérante du juste peut beaucoup... (27). »

M. A. - Remarquez ce trait fondamental que dans tous les cas cités il s'agit d'une confession faite publiquement et non en secret à l'oreille d'un prêtre. C'est un acte d'humilité accompli devant Dieu, entre chrétiens, suivi soit du baptême, soit de l'admission dans l''Église, soit de la prière d'intercession.

M. le Curé. - Cela est exact. Cependant ce mode de confession publique avait des inconvénients et on lui a préféré la confession auriculaire.

M. A. - Vous êtes donc obligé d'avouer que c'est l'Eglise qui a institué la confession faite à l'oreille du prêtre.
Que n'a-t-on plutôt écoulé Jean Chrysostome que Rome a canonisé :
« Mais quoi, s'écrie-t-il, peut-être t'en coûte-t-il de dire que tu as péché. Eh ! dis-le chaque jour dans ta prière. Je ne te parle point d'aller les déclarer à l'un de tes semblables qui te gourmanderait, déclare-les à Dieu qui les pardonne (28). »

M. le Curé. - Je ne sais vraiment ce qui vaut le mieux.

M. A. - Pour moi, je n'hésite pas à choisir. Entre la confession auriculaire qui n'entraîne pour moi que les pénitences imposées par le prêtre, et la confession faite à Dieu qui m'accorde le pardon complet, je préfère cette dernière !

M. le Curé. - Il est logique néanmoins de placer la confession aussitôt après l'examen de conscience !

M. A. - Quand la confession est faite à l'oreille du prêtre les deux choses se tiennent, et un temps plus ou moins long - celui de la pénitence - peut s'écouler encore avant que le fidèle puisse communier.
Celui qui se confesse à Dieu, qui met son coeur à nu devant lui, est pardonné immédiatement et peut se présenter aussitôt après à la Table Sainte.

M. le Curé. - Vous ne vous plaisez que dans les hérésies.

M. A. - M'approcher de l'Écriture Sainte est tout mon plaisir. Saint Paul a dit :
« Que chacun s'éprouve donc soi-même, et qu'après cela il mange de ce pain et boive de ce calice (29). »

M. le Curé. - Pourquoi vous obstinez-vous à repousser le secours du prêtre dans votre confession ?

M. A. - Parce qu'aucun homme ne peut prendre la place de l'Éternel. Seul Dieu peut sonder le coeur de l'homme, examiner les circonstances du péché qu'il a commis, peser les mobiles qui l'ont poussé à l'action, discerner avec justice toutes les responsabilités...

M. le Curé. - Je vous approuve jusqu'à l'absolution Comment saurez-vous que Dieu vous l'a donnée ?

M. A - Cette question appelle un entretien nouveau.

M. le Curé. - Eh bien, à demain !


(1) Exp. Cat. Clerm., P. 383. 

(2) Matth. 3-8-11, 9-13 ; Marc 1-4, 2-17 ; Luc 3-8, 5-22, 3-3, 15-7, 24-47 ; Actes 5-31, 11-18, 13-24, 19-4, 20-21 ; Rom. 2-4 ; 2 Cor. 7-9, 10 ; 2 Tim. 2.25 ; Héb. 6-1, 6 ; 2 Pier. 3-9, etc.
Math. 27-3: Luc 17-4, 5 ; Actes 8-22, 26-20 ; 2 Cor. ; Apocalypse ; passim., etc, etc.

(3) Exp. cat. Clerm., p. 329 et 331. 

(4) Exp. cat. Clerm., p. 336.

(5) Exp. cat. Clerm., p. 340.

(6) Luc 15-7, P. R. Le IIIe dimanche après la Pentecôte, p. 428.

(7) Math. 3-2, 4-17.

(8) Luc 24-47, Le Xe dimanche après la Pentecôte, p. 448.

(9) Exp. cat. Clerm., p. 341.

(10) Conc. de Trente. Session VI sous Paul III, Ch. VII.

(11) Tite 3/7. P. R. La Nativité de Notre Seigneur. Mémoire de sainte Anastasie, martyre, p. 213.

(12) Matt.10/26. P. R. Commun d'un martyr, p. 503.

(13) Concile Châlons-sur-Saône, Actes, chap. 23. 

(14
) IVe Concile de Latran. - De la Confession. Canon 21 ; Omnis utriusque Sexus.

(15) Concile de Trente - IV, Session sous Jules III, 25 novembre 1551. chap. I à IX.

(16) Sess. précitée, chap. 1, Jean 20. P. R. Le Dimanche de Quasimodo, p. 361.

(17) Jérôme, Vie de Paul de Thèbes. Ponce, diacre, Vie de saint Cyprien. - Grégoire de Nysse : Vie de Grégoire de Néocésarée, le thaumaturge. Saint Grégoire de Nazianze : Vies d'Athanase et de saint Basile. Paulin, évêque de Nola : Vie de saint Ambroise - Sévère Sulpice : Vie de saint Martin de Tours.

(18) Saint Thomas d'Aquin, in IV Sent. D. 17. 

(19) Luc 21-33. P. R. Le Lundi de Pâques. p. 356.

(20) Exp. cat. Clerm., p. 359 et 404.

(21) Actes des apôtres 9-17. P. R. Le 25 janvier. La conversion de saint Paul, p. 626.

(22) Actes 10-43. P. R. Le lundi de Pâques, p. 354. 

(23) Conc. de Trente. Session précitée. Canon 3.

(24) P. R. 26 juin, Saint Jean et saint Paul, p. 759 à Magnificat.

(25) Matthieu, 3-6.

(26) Actes 19-18. P. R. Le 5 juin. Saint Alyre, p. 737, s'arrête avant ce verset.

(27) Jacques 5-16. P. R. Les 3 jours des Rogations, p. 378.

(28) Chrysost. (347-407), Homélie sur le psaume L.

(29) 1 Cor. 11-28. P. R. Le Jeudi saint, p. 335.
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