Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

CHAPITRE III

De l'Eucharistie comme Sacrement.

 & 1. - DE L'INSTITUTION DU SACREMENT. - CECI EST MON CORPS.



M. A. - Vous êtes soucieux aujourd'hui, auriez-vous quelque ennui ?

M. le Curé. - Je viens de célébrer la Sainte Messe, et je ne sais quel trouble a envahi mon âme lorsque j'ai prononcé le Hanc igitur oblationem ; ce trouble s'est accru quand les paroles sacramentelles sont sorties de mes lèvres. Hoc est enim corpus meum : Ceci est mon corps ; Hic est enim calix sanguinis mei : Ceci est mon sang (1). Je me sentais une bien misérable créature humaine pour avoir le pouvoir mystérieux de changer l'hostie et le vin en corps et en sang de Notre Seigneur (2).

M. A. - J'aime à trouver en vous le prêtre qui s'émeut, qui n'a pas pris l'habitude d'officier ; vous avez accompli un acte sacré sur lequel je désirerais être éclairé ; vous l'appelez, je crois, en théologie, la transsubstantiation.

M. le Curé. Les protestants ont rejeté ce dogme ; leur communion perd de ce fait toute sa valeur...

M. A. - Vous les jugez avec une idée préconçue, Les protestants croient à la présence réelle, spirituelle, mais non matérielle de Jésus-Christ dans le pain et le vin de la communion. En cela, ils suivent la plupart des Pères de l'Eglise.

M. le Curé. - Pourriez-vous me citer une seule autorité irrévocable pour appuyer vos dires ?

M. A. - Saint Augustin qui écrivait ceci : « Le Seigneur ne craint pas de dire : Ceci est  mon corps, bien qu'il ne donnât qu'un signe de « son corps. »

« Notre Seigneur admit Judas à cette table où il donnait à ses disciples le symbole de son corps et de son sang (3). »

M. le Curé. - Je crois que l'Eglise de Rome a peu de documents décisifs sur cette question avant le IXe siècle. Le moine Paschase Radbert de Corbie a soulevé le grave problème de la présence matérielle du corps du Christ dans le pain et le vin, en disant :
« Le pain et le vin, après avoir été consacrés par le prêtre, ne sont pas autre chose que la chair de Christ et son sang, pas autre chose que celle qui est née de Marie et qui a souffert sur la croix (4). »
Cette opinion, il disait la tenir des Pères de l'Eglise.

M. A. - Le moine Ratram (Bertram) de Corbie lui prouva son erreur par des citations des mêmes Pères.

M. le Curé. Mais le concile de Vercelli brûla les livres de Ratram.

M. A. - Il n'a pas atteint le trop puissant Rhabanus Maurus (Magnentius), ni l'abbé de Reichenau Walafried Strabon, qui attaquèrent aussi Radbert.

M. le Curé. - La controverse était inévitable. Le pape Grégoire VII (1047) ordonna aux cardinaux un jeûne solennel afin d'obtenir une révélation divine qui mettrait fin au différend.

M. A. - Cela n'aboutit à rien, car l'archidiacre d'Angers, Bérenger, continuait à soutenir que, selon l'Écriture Sainte, le pain et le vin ne changent pas dans l'Eucharistie, qu'ils conservent leurs qualités essentielles telles que les sens nous les révèlent, qu'ils ne sont en réalité qu'un symbole le signe du corps et du sang du Christ (5).

M. le Curé. - Le concile de Rome (1059), a condamné Bérenger.

M. A. - Oui, et sans l'entendre...

M. le Curé. - Le pape lui a mandé aussitôt après son légat Hildebrand, et Bérenger a signé un compromis équivalent à une rétractation.

M. A. - ... Et le malheureux archidiacre d'Angers a comparé son acte au reniement de saint Pierre (6).

M. le Curé. - C'est un ancien ami de Bérenger, le docte évêque de Cantorbéry, Lanfranc, qui a tenté de mettre tout le monde d'accord. Il disait : le pain et le vin conservent leurs propriétés telles que les sens nous les révèlent (concession faite à Bérenger) ; mais leur substance est devenue la chair et le sang de Jésus-Christ (concession aux partisans de P. Radbert) (7).

M. A. - Je vous avoue bien humblement qu'il m'est impossible de comprendre...

M. le Curé. - Peu importe pourvu qu'on ne discute plus ! En fait, l'Église de Rome a préféré adopter l'opinion de Paschase Radbert.

M. A. - Vous négligez sans nul doute les longs débats du XIIe siècle entre scolastiques...

M. le Curé. - Je ne retiens que l'adoption du dogme de la transsubstantiation par le Concile de Latran en 1215 confirmé par le Concile de Trente le 11 septembre 1551 (8).

M. A. - On a mis bien longtemps à reconnaître qu'il s'agissait d'une institution divine !

M. le Curé. - Aujourd'hui, dans toute la chrétienté catholique romaine, on a sur la question une seule et même opinion. Les protestants ne sont pas encore d'accord, voyez Zwingle avec son mémorial, Luther et sa consubstantiation, les calvinistes avec la présence spirituelle...

M. A. - Il y a en réalité plus d'entente que vous ne pensez et beaucoup moins de divergences de vues que chez vos théologiens.

M. le Curé. - Vous affirmez sans preuves.

M. A. - Eh bien, étudiez le dogme de l'accroissement du corps de Christ ou epauxèse défendue par Jean Damascène ; la Saint-Cène envisagée comme mémorial par saint Thomas d'Aquin ; l'eucharistie comme représentation de l'effusion du sang de Jésus-Christ développée par le cardinal Bellarmin ; le pain conservant sa nature, opinion émise par saint Jean Chrysostome ; les symboles non changés de Théodoret ; Jésus se retirant du pain dans une communion indigne, selon saint Cyprien... (9).

M. le Curé. - Néanmoins l'institution du sacrement ne me paraît pas soulever autant de problèmes !
« Pendant qu'ils soupaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna à ses disciples en disant : Prenez et mangez, ceci est mon corps. Et prenant le calice, il rendit grâces et le leur donna en disant : Buvez-en, tous, car ceci est mon sang, le sang de la nouvelle alliance qui sera répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés. Or je vous le dis, désormais je ne boirai plus de ce fruit de la vigne, jusqu'au jour où je le boirai de nouveau avec vous dans le royaume de mon Père (10). »

M. A. - Oublions les discussions du passé et tâchons de comprendre ces paroles : Ceci est mon corps.

M. le Curé. Il faut entendre par là que le pain était changé en corps du Seigneur, de même pour le vin du calice.
M. A. - De sorte que cela revient à dire : « Ce pain que je vous donne n'est pas du pain comme vous croyez le voir, mais c'est mon corps ; ce vin que j'ai versé devant vous dans le calice, ce n'est plus le fruit de la vigne que vous avez bu avec moi pendant le souper, mais c'est mon sang. »

M. le Curé. - C'est bien cela que nous enseignons.

M. A. - Eh bien, il me paraît impossible que les disciples aient pu comprendre ainsi les paroles de Jésus, auxquelles ils n'étaient nullement préparés. Ils s'attendaient si peu à voir mourir le Messie que la crucifixion les a consternés, donc pendant le repas ils ne pouvaient pas penser comme vous le dites. Ils virent Jésus se lever, prendre du pain, le rompre et le leur donner en disant : « Prenez, mangez ceci est mon corps... » ils n'ont pu penser à autre chose qu'à du pain !

M. le Curé. - Votre raisonnement serait exact si le mot ceci n'était pas suivi du petit verbe est qui signifie : ceci n'est plus du pain, mais c'est mon corps.

M. A. - Ce petit verbe sur lequel vous appuyez tout votre échafaudage n'a jamais été prononcé. Jésus parlait l'araméen, il a donc dit : Ceci, mon corps ceci, mon sang. Ce qui signifie : ceci représente mon corps, représente mon sang.

M. le Curé. - Tant que vous voudrez pourvu que vous ne vous contentiez pas d'une fin de non recevoir.. Le texte grec et le texte latin possèdent ce verbe, il faut donc l'expliquer.
Quand je dis : « Ceci est un livre, personne ne se trompe et n'entend autre chose qu'un livre. »

M. A. - Sans doute, mais si, vous montrant un grandiose spectacle dans la nature je vous dis : Ceci est un livre, vous n'aurez pas de peine comprendre que je parle au figuré. De même, lorsque Notre Seigneur parlait ainsi « Le Royaume des cieux est semblable à un grain de sénevé, à un homme qui jette du grain », nul n'a compris que la semence ou le semeur fussent le ciel (11).

M. le Curé - Vous avez raison, mais dans la parabole la comparaison était marquée par le mot « semblable ».

M. A. - Jésus ne l'a point employé ailleurs : La semence, - dit-il - c'est la Parole de Dieu (12). Il est évident qu'un grain de blé et le royaume des cieux ne sont point une seule et même chose.

M. le Curé - C'est une parabole, elle ne prouve rien en faveur de votre opinion. Citez-moi une parole se rapportant à Jésus lui-même ...

M. A. - Notre Seigneur a dit : « Je suis la vraie vigne » ; c'est-à-dire : « Jésus est la vraie vigne », ou encore, « Je suis la voie », « Jésus est la voie » ; les disciples n'ont pas cru que leur maître était changé en vigne on en chemin ! (13)

M. le Curé. - J'en conviens, Jésus parlait au figuré. Mais au bord du lac de Tibériade il parlait au sens propre et voici ses propres paroles : « Je suis le pain de vie ... Ma chair est véritablement une nourriture et mon sang est véritablement un breuvage (14) ».

M. A. - Les disciples n'ont pas cru que le Christ les obligeait à manger sa propre chair et boire son propre sang pour avoir la vie éternelle. Cette seule pensée révolte notre sens moral. Les paroles de Jésus prononcées longtemps avant l'institution de la Cène ne pouvaient pas être prises au sens littéral.

M. le Curé. - Comment donc les entendez-vous ?

M. A. - Le Seigneur voulait faire comprendre à la foule que le pain qu'il lui avait distribué la veille, de même que la manne donnée à leurs ancêtres, ne constituait pas la nourriture nécessaire pour la vie éternelle ; mais qu'il fallait recevoir Jésus-Christ tout entier dans son coeur, c'est-à-dire faire toujours sa volonté, se maintenir dans le contact le plus intime avec lui, lui consacrer sa vie, sa pensée, son coeur, en un mot vivre de sa vie.

M. le Curé. - Votre opinion est contestable.

M. A. - Je l'appuie sur cette déclaration de Jésus qui se trouve dans le même passage :
« Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang, demeure en moi, et moi en lui (15). »

M. le Curé. - Vous voyez bien que le dogme de la Transsubstantiation est clairement établi !

M. A. - Interprétées au sens catholique romain, c'est-à-dire avec la présence matérielle du corps de Christ dans l'hostie, ces paroles seraient un contre-sens.
On ne peut pas demeurer dans ce qu'on mange et dans ce qu'on boit ! C'est l'aliment et le breuvage qui demeurent en nous.
Nous concluons donc au sens spirituel !

M. le Curé. - Je ne suis pas convaincu, je voudrais un texte décisif.

M. A. - J'ai hésité à vous le citer pour ne pas encourir le reproche de discuter en dehors du paroissien.
À la fin de tout le discours qui nous occupe, Jésus a dit, pour que nul ne se méprenne sur le sens de ses paroles :
« C'est l'esprit qui vivifie, la chair ne sert de rien ; or les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie (16). »

M. le Curé. - Reste à savoir maintenant, et c'est ma dernière objection, si le sens figuré s'applique aussi à « Ceci est mon corps », « Ceci est mon sang » ?

M. A. - Lorsque Jésus prononça ces paroles sacramentelles, j'ose croire que les disciples se sont souvenus que les paroles de leur Maître étaient « Esprit et vie ».

M. le Curé. - À la veille d'être livré. Notre Seigneur ne parlait pas au figuré.

M. A. - Et s'il avait parlé an sens propre, les disciples se seraient écriés comme le prêtre à l'autel, à l'exemple du centurion :
« Seigneur je ne suis pas digne que vous entriez chez moi (17). »

M. le Curé. - Vous vous basez sur une hypothèse et nous sur une certitude. Lorsque le Christ dit « Ceci est mon sang », le vin du calice s'était changé en sang du Seigneur, comme l'eau s'était changée en vin aux noces de Cana (18).

M. A. - Je suis très sûr et très certain, et j'affirme, par la bouche même de Jésus que le contenu du calice n'avait point changé, que c'était du vin avant que les disciples prissent la communion et que c'était du vin après.

M. le Curé. - Hérésie, hérésie, hérésie ! Anathème !

M. A. - Mais lisez donc votre Paroissien :
« Désormais - dit Jésus - je ne boirai plus de ce fruit de la vigne, jusqu'au jour où je le boirai de nouveau avec vous dans le royaume de mon Père (19). »
Notre Seigneur désignait le calice avec lequel il avait donné la communion...

M. le Curé. - Il faisait allusion à sa réunion avec les apôtres dans les cieux ...

M. A. - Mais il appelait le contenu du calice « fruit de la vigne » et non « mon sang ».

M. le Curé. - Enfin nous ne pouvons entrer dans toutes les discussions soulevées par la transsubstantiation !

M. A. - Vous avez raison, nous n'aurions pas fini de sitôt ! Il nous est permis toutefois de nous demander ceci : Après que Jésus eut rompu le pain et consacré par la bénédiction, que tenait-il entre ses mains ?

M. le Curé. - Il tenait son propre corps.

M. A. - Donc le corps de Notre Seigneur était double ! Ou bien le pain, ne représentait-il qu'une partie du corps ?

M. le Curé. - Ce sont des mystères dont personne n'a pu sonder la profondeur.

M. A. - Permettez-moi une dernière question.
Puisque Jésus revient matériellement dans l'hostie, comment se fait-il que, après l'oblation et au moment de la consécration, les fidèles n'aperçoivent pas une nuée, puis le corps du Christ pénétrant dans l'hostie ?

M. le Curé. - Vous moquez-vous ?

M. A. - Nullement, je fais allusion au texte même de l'Ascension où il est dit :
« Ce Jésus qui du milieu de vous s'est élevé dans le ciel, viendra de la même manière que vous l'y avez vu monter (20). »

M. le Curé. - Vous avez oublié votre catéchisme ! Notre Seigneur ne quitte pas le ciel pour venir dans l'Eucharistie, il se trouve en même temps au ciel et au Saint-Sacrement de l'autel (21).

M. A. - C'est d'autant plus incroyable que vous dites que c'est l'humanité de Jésus qui se trouve dans l'hostie !

M. le Curé. - C'est un grand miracle qui confond notre raison et voilà tout...

M. A. - Notre raison ne rencontrerait pas des mystères aussi impénétrables, si vous aviez gardé le sens figuré qui est le plus naturel. Votre Paroissien l'a essayé quelquefois.

M. le Curé. - Mon Paroissien ? Vous le confondez avec quelque catéchisme hérétique !

M. A. - Pas du tout. Il dit que la communion est la mémoire de la passion de Jésus (22).

M. le Curé. - Ceci n'est pas bien grave. Au reste je ne puis vous entendre plus longtemps. C'est un dogme de la foi chrétienne que le pain et le vin sont changés en corps et en sang de Jésus-Christ. Lorsque je me mets à genoux à l'autel et que j'ai prié quelque temps, je trouve, en me relevant, le lieu où repose le corps de Notre Seigneur (23).

M. A. - D'abord je n'admets pas que le dogme de la transsubstantiation soit un dogme de la foi chrétienne, dites plutôt de la foi catholique romaine.

M. le Curé. - Pourquoi cela ?

M. A. - Parce qu'il n'est pas exact de dire, en montrant le saint ciboire, que c'est le lieu où repose le corps de Notre Seigneur.

M. le Curé. - Quel hérétique incorrigible vous faites !

M. A. - Jésus a prévenu ses disciples de refuser de croire qu'il était matériellement en quelque endroit que ce fût :
« Si quelqu'un vous dit : le Christ est ici ou il est là, n'en croyez rien. Car il s'élèvera de faux christs et de faux prophètes, qui feront de grands prodiges et des choses étonnantes, jusqu'à séduire s'il était possible les élus eux-mêmes. Je vous l'ai prédit d'avance. Si donc on vous dit : le Christ est dans le désert, n'y allez pas ; le voici dans le lieu le plus retiré de la maison, ne le croyez point. Car, comme l'éclair part de l'Orient et apparaît jusqu'à l'Occident, ainsi sera l'avènement du Fils de l'homme (24). »

M. le Curé. - Il s'agit de faux prophètes et non de notre dogme.

M. A. - La seconde venue de Notre Seigneur est annoncée très nettement, comme un éclair. Jusque-là, si on nous dit, le Christ est ici dans l'hostie, ou là, dans le saint Ciboire, au nom même de Jésus, nous ne le croirons pas.

M. le Curé. - Vous condamnez par là les vénérables prélats du saint Concile de Trente à être de faux prophètes : « Si quelqu'un nie que Jésus-Christ soit contenu tout entier au vénérable Sacrement de l'Eucharistie, sous chaque espèce, et sous les parties de chaque espèce, la séparation faite, Anathème (25). »

M. A. - Si nous en croyons Ange Massarel, secrétaire du Concile, une cinquantaine de membres à peine assistaient à cette mémorable séance : cinq civils, quatre abbés, tout le reste des évêques et des archevêques... Je crois ne pas outrepasser les droits du chrétien en estimant que l'autorité de l'Évangile, augmentée de celle des Pères de l'Eglise, à laquelle est venue s'ajouter celle de quelques centaines de théologiens, a plus de poids que celle de cinquante prélats qui, somme toute, ne sont pas déclarés infaillibles !

M. le Curé. - Je pense que vous avez raison, mais je ne puis vous approuver. La nuit vient, nous reprendrons ce sujet ... adieu !


(1) P. R. L'ordinaire de la Messe. 

(2) Exp. cal. Clerm., p. 299.

(3) Pour plus, ample informé, nous renvoyons au P. Ansaldi : Proelect. theol. de re Sacram..., Venet, 1792, tome I, page 112 (de euchar., n° 38. « Les Pères, dit-il, ont appelé le Sacrement de l'Eucharistie Mémorial, image, ressemblance, figure du corps du Christ. »
Voyez encore Bailly, Theol. dog. Vesont, 1823, tome V, p. 45-46, de Euchar., par I c., 2, sect. 2, probat. 4, al. ss. Patres).
Augustin, « Cum SIGNUM daret corporis sui », contre Adimant, chap. 12, sect. 3. - « In quo corporis et sanguinis sui FIGURAM discipulis commendavit et tradidit ». Commentaire, ps. 3.

(4) Liber de corpore et sanguine domini (831) ded. ad. Carolus rex. Auct. Pasch. Radbert : « Nihil aliud quam caro Christi et sanguis ; non alia caro quam quae nata est de Maria et passa in cruce ».

(5) De Sacra Coena. Berol., 1834, p. 83, 84.

(6) Défense de Bérenger. Bible de Wolfenbüttel. Ed. Vischer, 1834.

(7) De Corpore et Sanguine Domini. C. 14, al. Sicut ergo Migne, tome 150, col. 425.

(8) Conc., Latran Sess. IV, canon 1 ; Trente Sess. 13, canon 4.

(9) Epist. ad Tachar, patrol. grec, Migne, tome 95, col. 401-403. Somma, part. 3, quest. 74, al. respondo. De Eucharistia, 1. I, c. 7. N° 9, c. 9, n° 8, c. 11, n°- 49 et passim. - Epist. ad Cesarius, patrol., tome 50, col. 753. Dialog., I et II, patrol., tome 83, col. 56 et 167. De lapsis, c. 26.

(10) Matth. 26. P. R. Le dimanche des Rameaux, p. 326.

(11) Matth. 13/31. P. R. Le Ve Dimanche après l'Épiphanie, p. 270. 

(12) Luc 8/5. P. R. Le Dimanche de la Sexagésime, p. 279.

(13) Jean 15. P. R. Commun des Apôtres et Martyrs au temps pascal, p. 520.

(14) Jean 6. P. R. La Fête du Saint-Sacrement, p. 407.

(15) Jean 6. P. R. La Fête du Saint-Sacrement, p. 410. 

(16) Jean 6/6-14

(17) Luc 7/6. P. R. Le Vendredi Saint, p. 346 et canon de la messe. 

(18) Jean 2. P. R. La Fête du saint nom de Jésus, p. 259.

(19) Matth. 26. P. R. Le Dimanche des Rameaux, p. 326.

(20) Actes I. P. R. L'Ascension de N.-S. Jésus-Christ, p. 381.

(21) Exp. cat. Clerm., p. 302.

(22) P. R. Le Lundi de la Pentecôte, secrète, p. 399. La Fête du Saint-Sacrement, prose p. 408, hymne p. 418 et passim.

(23) P. R. Le Vendredi Saint, p. 343.

(24) Matth. 24/23 à 27. P. R. Le XXVe, Dim. ap. la Pentecôte, p. 487.

(25) Conc. de Trente ; 3e session sous Jules III ; 11 octobre 1551 ; Canon 3.
Chapitre précédent Table des matières Chapitre suivant