Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

(6 AOÛT.)

Dieu est notre protecteur.


Psaume 27

Cantiques N° 69 et 70.


Le psalmiste paraît être séparé du sanctuaire, abandonné de ses proches, accusé faussement, en danger de guerre et cependant toujours confiant en Dieu ! On a pensé que cette caractéristique convenait au temps où David devait résister à Absalom. Mais il est impossible de rien affirmer à cet égard ; la situation décrite s'est retrouvée évidemment maintes fois dans la vie de David et bien souvent aussi dans l'existence d'autres fidèles.

Notre psaume se divise nettement en deux parties ; l'une (v. 1-6) est l'expression d'une confiance en Dieu que rien ne peut ébranler ; elle peut se subdiviser en deux strophes (v. 1-3, et v. 4-6). L'autre partie (v. 7-14) exprime la supplication d'une âme pleine d'angoisse ; elle peut aussi se subdiviser en deux strophes (v. 7-10, et v. 11-14).

La différence de ton entre la première partie et la seconde, ou plutôt l'ordre des pensées (supplication après chant de triomphe) a surpris bien des commentateurs. On s'attendrait d'abord à la prière ardente, puis au cri de victoire, et, pour cette raison, on s'est demandé s'il n'y avait pas là deux psaumes différents. Mais c'est aller trop loin dans les exigences théoriques et dans l'application des règles de doctrine.

La vie est multiple, fertile en surprises, parfois déconcertante, échappant à tous les calculs, déchirant tous les programmes. Une prière peut commencer par la détresse et finir par la victoire, et cela semble la marche normale. Mais il peut tout aussi bien arriver que l'on bénisse en pensant à tout un passé d'expériences réconfortantes, au moment même où il s'agit d'affronter des événements graves et pour lesquels on élève vers Dieu de ferventes supplications. La prière peut préparer la victoire à venir, comme la victoire passée peut inspirer une supplication nouvelle ; la vie est remplie d'enchaînements inattendus.

1. L'assurance du fidèle (v. 1-6). - Ces vers ont une ampleur frappante ; ils marchent d'un pas redoublé, traduisant magnifiquement les sentiments joyeux et forts du psalmiste.
Vers. 1-3. Il y a pleine sécurité en l'Éternel. Il est ma lumière ! Cette image de la lumière est une des plus belles (Es. 42 : 6 ; Jean 8 : 12 ; 12 : 36-46). La lumière, source de vie, de connaissance, de beauté, était chez les anciens tout particulièrement appréciés, loués, souhaités. Dans un temps où on logeait fréquemment en pleine campagne, où durant la nuit on était exposé aux attaques des hommes et des fauves, avec quelle anxiété n'attendait-on pas le matin ? « Le soleil se lève : Les animaux sauvages se retirent, ils se cachent dans leurs lanières. L'homme sort pour se rendre à son ouvrage. » (Ps. 104 : 22.)

Merveilleuse et glorieuse en elle-même, la lumière est donc encore infiniment précieuse par ses effets bienfaisants. Mais voici le progrès : il ne s'agit plus d'une réalité impersonnelle ; c'est une lumière qui, pour ainsi dire, est douée de personnalité ; c'est Dieu lui-même qui agit comme la lumière, mais avec cet avantage inouï, qu'il connaît le fidèle, l'enveloppe, l'aime et use de sa puissance pour le protéger et le délivrer.

Aussi quelle confiance magnifique dans ce cri : L'Éternel est ma lumière ! Et comme on comprend les conséquences qui en découlent : ma délivrance, le rempart de ma vie. Il y a comme un défi jeté aux ennemis dans ce mot : De qui' aurai-je peur ? Le psalmiste passe en revue ceux qui lui sont hostiles. Les méchants qui marchent contre lui, semblables à des bêtes fauves, afin de le détruire, voilà les attaques diverses, disséminées, d'initiative privée. Une armée, une guerre qui s'élèverait contre lui, voilà l'entreprise hostile plus large, plus organisée, plus terrible. Mais le psalmiste garde pleine confiance ; comme l'apôtre Paul, il peut dire : Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? (Rom. 8 : 31.) Un homme avec Dieu, a-t-on dit, constitue une majorité.

Vers. 4-6. Le souhait du psalmiste : s'il jouit de l'assurance de la victoire sur toutes les forces ennemies, ce n'est pas pour en tirer gloire et chercher tout son plaisir dans cette belle situation. Il a un désir beaucoup plus élevé et qui l'occupe tout entier : habiter dans le palais de l'Éternel, le visiter soigneusement, l'admirer dans toute sa beauté, s'y tenir tous les jours de sa vie. C'est en s'unissant à Dieu, en se cachant en lui qu'il aura pleine victoire. Et la victoire, alors, est remportée par Dieu elle est à la gloire de Dieu !

Aussi le psalmiste n'a-t-il qu'une préoccupation, c'est d'offrir à Dieu, en retour de ses bienfaits, des sacrifices de réjouissance ; non pas précisément des bêtes immolées, mais des sacrifices plus spirituels et plus dignes de Dieu, des chants d'allégresse, des actions de grâce.

La maison de l'Éternel est ici la demeure de sa miséricorde, de sa sainteté. C'est pour ces perfections adorables qu'un culte est rendu à Dieu ; c'est dans un sentiment semblable que Jésus à douze ans s'oubliait dans le temple, étudiant les Écritures et contemplant la beauté de l'Éternel. Et nous avons le même devoir, comme nous pouvons avoir la même joie. Le temps viendra où nous reconnaîtrons qu'« un jour passé dans les parvis de l'Éternel en vaut mille passés ailleurs » (Ps. 84 : 11).

Il. La supplication dans l'angoisse. - Le ton change tout à coup. Le psalmiste prend conscience du danger qui le menace ; il faut toute la confiance qu'il vient d'exprimer pour affronter le nouveau péril et pour être capable de supplier Dieu comme il va le faire.
Des changements de ce genre dans le ton et la prière sont choses parfaitement humaines. On pourrait en citer des exemples encore plus frappants dans la vie de Jésus (Jean 12 : 20-27).

Vers. 7-10. Éternel, écoute ma voix ! C'est comme l'introduction à la demande formelle de délivrance qui viendra tôt après. Avant tout le psalmiste sent le besoin de resserrer le lien qui l'unit à Dieu ; il veut avoir l'assurance d'être écouté. À quoi servirait-il de prier si on n'est pas entendu ?

L'Éternel aurait bien le droit de se détourner et de ne rien vouloir entendre, s'il prenait garde aux iniquités (Ps. 130 : 3). Aussi le premier besoin ressenti par l'âme fidèle, c'est que Dieu fasse grâce (v. 8) ; alors, certes, il répondra. Et le psalmiste sait bien qu'il peut compter sur la bienveillance de l'Éternel, car il a au-dedans de lui un témoignage d'en haut. Son coeur lui parle de la part de Dieu, et cette voix divine lui dit : Cherchez ma face !

Quelle admirable connaissance du coeur humain ! Car il n'est pas nécessaire de voir ici une révélation spéciale accordée au psalmiste. Tout au plus peut-on dire que ses aspirations naturelles ont été réveillées et stimulées par les influences de l'ancienne Alliance et par les épreuves qu'il a personnellement traversées. Mais c'est un fait largement et profondément humain que, d'une part, la conscience impose la loi de Dieu et que, d'autre part, le coeur aspire de lui même à rencontrer Dieu. Il n'y aurait aucune possibilité de piété, si l'homme n'éprouvait quelque besoin de la vie divine.

À cet appel intérieur, le psalmiste répond avec une parfaite résolution : Je chercherai ta face, ô Éternel ! Et les paroles qui suivent indiquent bien une recherche, presque laborieuse ; autant d'appels énergiques, brefs, suppliants. Dieu ne se dérobe pas, mais c'est nous qui avons élevé des murailles entre lui et nous par notre ingratitude, notre péché, notre endurcissement ; et c'est nous qui devons abattre ces murs de séparation par nos supplications, afin que l'homme reconnaisse bien ce qu'il a été : mauvais et résistant ; afin que Dieu paraisse également ce qu'il est : secourable et miséricordieux. De là cette lutte de Jacob et cette lutte du psalmiste : Ne cache pas, ne rejette pas, ne repousse pas !

La victoire est remportée ; l'assurance est revenue ! La pire chose n'a qu'à venir ici-bas : être abandonné de son père et de sa mère ; l'Éternel, lui, reste fidèle ; en lui, le passé garantit l'avenir ; son amour demeure : l'Éternel me recueillera. Où la nature humaine défaille, même dans les devoirs les plus sacrés, ceux des parents, Dieu, lui, reste inébranlable en sa fidélité. Comme ce sentiment de confiance dépasse tout ce que l'antiquité a connu en dehors de la révélation !

Vers. 11-14. La prière de la délivrance peut venir à présent que le lien le plus étroit, le plus solide a été établi entre Dieu et le fidèle.
Le psalmiste demande à l'Éternel d'être guidé sur la bonne voie, à cause de ses ennemis, c'est-à-dire évidemment pour leur échapper. C'est là quelque chose de mieux qu'une délivrance magique. Le psalmiste sent sa propre responsabilité ; il faut qu'il connaisse la voie de l'Éternel, qu'il fasse la volonté de Dieu, qu'il pratique la droiture en toutes choses pour oser espérer la délivrance.

Quand il s'est ainsi placé sur la voie morale, il peut demander hardiment d'être délivré des adversaires, des faux témoins, des gens violents. À lui tout seul, il ne pourrait rien espérer ; il connaît trop bien la puissance du mal, l'habileté des méchants. Sa seule espérance est en Dieu !

« Oh ! si je n'étais pas sûr de voir la bonté de l'Éternel sur la terre des vivants... » La phrase n'est pas achevée, la pensée est trop terrible pour l'exprimer jusqu'au bout. Il peut nous arriver également de nous écrier : Ah ! s'il n'y avait pas Dieu !... Tout espoir serait anéanti, tout courage brisé, tout effort vain. Il ne vaudrait plus la peine de vivre.

La foi en Dieu est, malgré tout, et même chez les moins croyants, ce qui donne encore la force de vivre, de souffrir, de travailler, d'espérer. Ôtez Dieu, et toute l'existence humaine s'écroule. Voilà pourquoi le psalmiste s'exhorte lui-même à s'appuyer sur l'Éternel.

Cette exhortation que le fidèle s'adresse à lui-même est digne de remarque. Il faut savoir lutter contre soi-même, s'entraîner soi-même, se convaincre soi-même, se consacrer. L'attitude vraiment salutaire n'est pas l'attitude passive ; l'inertie ne produit rien. La foi sous sa forme la plus simple paraît au premier abord être le contraire de l'effort ; oui, le contraire de l'effort où l'homme lutte seul et compte sur lui-même, mais non le contraire de l'effort qu'on fait pour sortir de soi-même et compter sur Dieu.

Le proverbe qui dit : « Aide-toi, et le ciel t'aidera, » devient précieux, une fois pénétré de l'esprit chrétien. L'Évangile recommande l'effort, l'acte de volonté, le mouvement de l'âme qui s'entraîne elle-même vers Dieu et prend contact avec les puissances divines.

Conclusions. - Ce psaume met en lumière les luttes de la foi. Il nous montre que la piété n'est pas un système d'immobilisme, et qu'il ne faut pas se flatter, après avoir saisi le secours divin, de pouvoir demeurer dans une quiétude que rien ne pourra troubler ; il y aura encore à combattre. Les disciples sur la montagne de la transfiguration ont joui d'une joie triomphante, comme le psalmiste quand il dit : L'Éternel est ma lumière ! Puis ils ont dû redescendre dans la plaine sombre et sur le champ de bataille ; ils ont retrouvé les pharisiens, l'enfant démoniaque et toutes les luttes de la vie ; de même le psalmiste termine en prenant le ton de la supplication ; il s'exhorte lui-même à la vie forte, fidèle, triomphante au milieu de tous les périls.

Ce n'est pas une expérience de joie, de victoire qui dispensera nos chers enfants de toute difficulté dans l'avenir et de toute lutte pénible. Mais cette expérience deviendra pour eux un point de départ béni, une source de réconfort, une raison toujours nouvelle de lutter fidèlement et de triompher. Ils seront soutenus par cette assurance que Dieu a été leur lumière dès leur enfance, et dans leur coeur restera le son de cette voix qui plus d'une fois leur a dit - Cherchez ma face !

ILLUSTRATIONS

Vers. 1-3. Ma délivrance. - Félix de Nola, pour échapper à ses persécuteurs, se cacha dans une cave profonde et sombre. Ses ennemis arrivèrent à cet endroit et l'examinèrent ; mais voyant une toile d'araignée à l'ouverture, ils conclurent que leur proie n'était pas là ; autrement la toile aurait été déchirée. Félix, lui, entendit leurs remarques et conclut : « Avec Dieu, une toile d'araignée devient un rempart de pierre, et sans Dieu un rempart de pierre devient une toile d'araignée. »

On raconte la même histoire du célèbre protestant du Moulin, qui, lors des persécutions de Paris, se réfugia dans un four. Une araignée vint aussitôt tisser sa toile à l'ouverture ; et les ennemis, un instant après, passaient outre, persuadés que personne n'était là-dedans, vu la présence de la toile d'araignée.

Vers. 8. Mon coeur me dit de ta part : Cherchez ma face. -Un exemple pris chez les païens. Les missionnaires racontent qu'avant leur arrivée au pays, un Mossouto sortait souvent de son village et, seul sur un monticule, la tête penchée sur ses jambes, accroupi, il pleurait. Il attendait quelque chose, sans bien savoir quoi, mais son coeur soupirait après quelque chose qui pût le satisfaire. Quand les missionnaires vinrent, il reconnut dans l'Évangile ce après quoi il avait tant soupiré.

Un exemple pris dans le monde civilisé : Dans une petite ville industrielle mourut à l'hôpital, des suites de l'intempérance, un homme jeune encore et qui passait pour un gai compagnon, surtout pour un esprit débarrassé de toute préoccupation religieuse. On le tenait pour un véritable incrédule. Cependant, après sa mort, on trouva dans son calepin ces mots, datés de neuf ans auparavant et accompagnés de sa signature : « Je te promets, ô mon Dieu ! de ne plus boire, parce que je souffre trop ! » Il n'avait pas cessé de boire et de fréquenter de gais compagnons, tout en portant continuellement sur lui cette aspiration secrète.

G. P. G.




Pour les petits.

La plus belle des prières est celle que Jésus enseigna à ses disciples. Mais il y en a beaucoup d'autres dans la Bible qui sont très utiles et qui nous enseignent comment nous devons prier. En voici une admirable écrite probablement par David, dans le psaume 27. Il nous y apprend ce qu'il fit pour se préparer à prier, ce qu'il demanda dans sa prière, et quel en fut le résultat.

1. Avant la prière (v. 1-6). - Quand vous voulez aller chez une personne que vous respectez beaucoup, vous vous y préparez : maman vous lave, vous peigne, vous fait peut-être changer de chaussures, vous met des vêtements propres et non déchirés. Pour prier, il n'est pas nécessaire de changer de vêtement ; Dieu regarde au coeur et non aux vêtements. Mais au lieu de vous hâter de réciter étourdiment votre prière afin d'en être plus vite débarrassés, il est sage de penser d'abord à des choses qui lui plaisent.

- Voyez David : il pense à la bonté que Dieu a déployée envers lui en l'instruisant par sa Parole, en le protégeant contre les ennemis, ce qui lui fait écrire : L'Éternel est le soutien de ma vie ; de qui aurais-je peur ? Réfléchissez, vous aussi, que Dieu auquel vous allez parler est celui qui vous aime, vous protège et vous bénit. Ne vous a-t-il pas donné une multitude de preuves depuis votre naissance (lesquelles ?). - En outre David prend la résolution de fréquenter assidûment la maison de Dieu, d'y offrir comme un Israélite pieux qu'il était des sacrifices à l'Éternel, son protecteur, de chanter les cantiques en son honneur. En attendant que vos parents vous y conduisent, souvenez-vous de votre école du dimanche ; dites : « Je ne veux pas manquer d'y aller, pour « y écouter attentivement, pour prier et chanter de tout mon coeur. »

2. La prière (v. 7-13). - Après avoir fait ces réflexions et pris cette résolution, David demande à Dieu de ne pas s'irriter contre lui, de ne pas le rejeter et l'abandonner. Il reconnaît donc qu'il a péché, que Dieu, dont il n'a pas toujours été un fidèle serviteur, aurait sujet de détourner de lui sa face, comme le soleil lorsqu'il se cache derrière les nuages et nous prive de ses chauds rayons ; d'être courroucé contre lui, comme le sont vos parents quand vous avez désobéi. Vous avez tous besoin de demander pardon à Dieu dans votre prière, même pour les plus petites fautes ; elles ne sont jamais petites à ses yeux ; il les hait, car il sait tout le mal qu'elles peuvent causer à vous et à d'autres. - David demande ensuite à Dieu de continuer à le protéger ainsi qu'il l'a fait dans le passé ; de lui enseigner sa voie et de le conduire dans le droit chemin, c. à. d. de lui donner la sagesse. Vous savez que ce fut aussi ce que, plus tard, quand il devint roi, demanda son fils Salomon, qui fut magnifiquement exaucé ; - raconter le fait (1 Rois 3 : 1-15). - Demandez à Dieu qu'il vous protège et vous préserve, non pas seulement des méchants enfants, des accidents ou des maladies, mais aussi, mais surtout du péché, votre ennemi le plus dangereux, et qu'il vous fasse marcher dans le droit chemin de la sagesse. Les insensés seuls la méprisent (Prov. 1 : 7) ; elle est ce qu'il y a de plus précieux au monde. Mais c'est l'Éternel qui la donne à ceux qui la lui demandent (Prov 2 : 6 ; Jacques 1 : 5).

3. Après la prière (v. 11). - Quand on a prié Dieu comme il le faut et comme il le veut, on peut-être tout à fait tranquille. Si c'est le soir, avant de vous endormir, quand même la nuit serait très sombre, quand même il ferait des éclairs et du tonnerre, vous n'avez rien à craindre, car Dieu prendra soin de vous. C'est ce qu'éprouva David après avoir prié (citer le v.14). Oh ! que les enfants de Dieu sont heureux de pouvoir ainsi compter sur la protection de leur Père céleste !

L. N.

Partie de l'élève.

SUJET : Dieu est notre protecteur.
Psaume 27.
Versets à apprendre :
Mon coeur dit de ta part : Cherchez ma face ! Je cherche ta face, ô Éternel ! (Ps. 27: 8.)
Si une armée se campait contre moi, mon coeur n'aurait aucune crainte ; si une guerre s'élevait contre moi, je serais malgré cela plein de confiance. (Ps. 27: 3.)
L'Éternel est le soutien de ma vie : de qui aurais-je peur ? (Ps. 2

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