Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

(23 JUILLET.)

Comment Dieu parle à l'homme.


Psaume 19

Cantiques N° 72 et 63.


Dieu n'a pas laissé l'humanité sans témoignage ; nul homme ne pourra dire qu'il ne savait rien, ne pouvait rien ; toute âme a possédé les premières lueurs de la révélation et a été mise dans la possibilité de travailler à son propre salut, non dans le sens de la justice propre, mais dans le sens du salut en Jésus-Christ ; car c'est travailler à son salut que d'apprendre à craindre le Dieu des cieux, et que de se constituer coupable en face de la loi révélée : alors Christ peut entrer dans les coeurs.
Ce psaume nous parle de cette préparation sous deux formes, ou dans deux livres différents : la nature et la loi.

Le premier livre est ouvert depuis les premiers âges et chaque homme peut voir le nom de Dieu écrit comme en traits de feu dans le ciel, dans les astres, et entendre la voix de Dieu comme un son « subtil et doux » à travers les espaces. Le philosophe Platon a dit que le monde est une épître de Dieu à l'humanité.

A ce premier livre, Dieu en a ajouté un second pour le peuple d'Israël : la loi, non pas précisément les ordres rituels, les commandements qui visent les cérémonies du culte, les prescriptions sur le manger et le boire ; mais bien la loi morale, celle qui parle à la conscience de tous les temps et dont le résumé se trouve dans les dix commandements, et encore plus particulièrement dans les deux grands commandements : aimer Dieu de tout son coeur ; aimer son prochain comme soi-même.

Le Psaume 19 se divise très nettement en deux parties :

La première (v. 1-7) présente le témoignage des cieux à la gloire du Créateur. À, ce point de vue de la révélation universelle et naturelle, le psalmiste emploie le mot Dieu, nom consacré pour désigner l'Auteur du monde.

La deuxième partie (v. 8-15) apporte le témoignage de la loi donnée à Israël. Ici, c'est le mot Éternel qui est employé, nom qui désigne Dieu dans ses relations directes avec Israël en vue du salut des hommes.
Ajoutons que ce Psaume a été inspiré par un beau lever de soleil (v. 6). Si le psaume 8 est un chant de nuit, celui-ci est un chant du jour.

1. Les cieux racontent la gloire de Dieu. - Voilà l'impression première et générale que tout homme non prévenu éprouvera toujours dans la contemplation d'un lever de soleil. Si la gloire est le rayonnement des perfections divines, qu'y a-t-il dans l'univers pour nous en donner une image, de plus parlant, de plus triomphant que le soleil, source de lumière, de chaleur, de vie ! le soleil lorsqu'il monte à l'horizon « comme un roi qui reconquiert son empire et qui, secouant son manteau de flammes sur le monde, l'anime de sa vie et l'illumine de sa splendeur » (A. Dumas).

On ne peut trop recommander aux enfants d'aller voir un lever de soleil ; il en reste des impressions ineffaçables et, chez beaucoup, ineffables ! On dit que Voltaire, l'homme au sourire sceptique, fut piqué dans son amour-propre d'écrivain en lisant les descriptions magnifiques du lever de soleil que faisait son rival J. -J. Rousseau. Il voulut en avoir le coeur net et se rendit sur une montagne à l'heure favorable. Il fut tellement subjugué qu'il tomba à genoux et s'écria : Oui, je crois en Dieu, le Père ! - Mais comme il haïssait le christianisme sous sa forme authentique comme sous sa forme catholique, il se releva, se frotta les genoux et dit : « Mais je ne crois ni à la Mère, ni au Fils ! » Cependant la gloire de Dieu dans la nature lui était apparue et, normalement, cette révélation introduit dans la conscience celle de la loi et, plus tard, celle du Fils aussi !

L'étendue donne à connaître l'ouvrage de ses mains.
La première impression était générale, directe, elle saisissait toute l'âme ; la gloire de Dieu apparaissait dans les cieux comme la lumière qui frappe directement tout objet et remplit l'espace en un clin d'oeil. Maintenant l'impression est celle du détail, de chaque oeuvre et de la multitude d'oeuvres à étudier. La première impression touchait l'imagination et par elle ébranlait l'âme tout entière ; la deuxième met en oeuvre l'intelligence ; et chaque étude de détail, chaque nouvelle acquisition de connaissance. ramène au même sentiment d'adoration. Les anciens avaient une science limitée, parfois enfantine ; la nôtre est plus vaste, plus sûre. Mais l'important n'est pas l'étendue des connaissances, c'est l'usage qu'on en fait ; c'est qu'au travers des connaissances rudimentaires, comme au travers des connaissances les plus profondes, le coeur sente Dieu et l'âme le glorifie. Là est la science suprême et le secret de la vie féconde.

Vers. 3. Un jour en instruit un autre jour. - Il y a une prédication continuelle qui se fait, jour après jour, année après année, siècle après siècle. « Ayant des yeux, ne voyez-vous pas, disait Jésus ; ayant des oreilles, n'entendez-vous pas ? » Les cieux nous parlent de Dieu et leur voix est entendue jusqu'aux extrémités de la terre. L'apôtre Paul exprime la même pensée non sous l'image du son, mais sous celle de la vision : « Les perfections invisibles de Dieu se voient depuis la création.... » (Rom. 1 : 20).

Ce témoignage est continu, coordonné, passant d'une bouche à l'autre. Le jour en instruit un autre jour, la nuit une autre nuit. C'est une chaîne, ininterrompue. L'esprit humain n'échappe à l'un de ces témoins que pour en entendre un autre. C'est comme dans la poésie de Victor Hugo intitulée Extase. Chaque étoile d'or, chaque flot bleu redit à son tour : C'est le Seigneur, le Seigneur Dieu.

Le psalmiste a relevé non seulement la clarté de cette prédication, mais encore son étendue. Et cette double idée se retrouve dans la mention du soleil : la lumière éclate, et nul ne peut s'y dérober. Quelle magnifique peinture que celle de cet astre ! La fraîcheur et les grâces de l'aurore symbolisées par le charme du fiancé, par la beauté de l'époux ! La course à travers le ciel présentée comme l'élan du héros, qui soumet à sa puissance tout ce qu'il rencontre !

II. Le témoignage de la loi (v. 8-15). - La transition n'est pas exprimée entre les deux parties. Mais on la sent immédiatement dans l'emploi dit mot Éternel. Si la contemplation des cieux est liée à la gloire de Dieu, la loi, elle, fait connaître la volonté du Seigneur. À la lumière extérieure succède la lumière intérieure, et le premier don n'est qu'une image du second, infiniment plus précieux.

La loi de l'Éternel est parfaite. - Le psalmiste décrit la parole révélée en six phrases, dont chacune renferme d'abord une détermination spéciale : loi, témoignage, ordonnances, commandements, crainte de l'Éternel, jugements ; puis, l'indication des bienfaits spirituels qui en découlent. Si donc la première partie du psaume a le caractère d'un tableau général, d'une magnifique synthèse (gloire de Dieu dans la nature), la seconde partie est comme une analyse étincelante de la lumière spirituelle à travers le prisme de la conscience.

La loi, c'est l'expression de la volonté divine dans son essence et sa généralité. La loi peut-être considérée comme un programme de vie ; si l'homme cherche à le réaliser par ses propres forces, si le fidèle ne s'appuie que sur lui-même, la loi devient un joug terrible, et c'est ce que le pharisaïsme en a fait. Loi, confiance en soi-même, amour-propre, propre justice, fardeau écrasant : voilà tout autant d'anneaux de la même chaîne, et c'est celle-là que l'Évangile est venu rompre pour nous donner la liberté de la grâce !

Mais dans notre psaume, la loi est objet de louange et d'amour. Comment donc cela se peut-il ? C'est que le psalmiste ne la prend pas au travers de son amour-propre, avec ses seules forces et dans la prétention de manifester sa propre justice, il la prend comme un don de Dieu pour le bien de l'homme, un don qui s'enveloppe de toutes sortes de grâces coopérantes. Au lieu de l'extraire de l'ancienne alliance et de dire : « Je suis capable de l'accomplir par mes propres forces », il tient cette loi soigneusement liée à tout l'ensemble des dispensations divines qu'il saisit par la foi. Il demande et reçoit le secours pour faire la volonté de Dieu ; il s'humilie, sent sa faiblesse, aussi Dieu lui pardonne et le fortifie.

Ce point de vue de la loi-vie est bien différent du point de vue postérieur et pharisaïque de la loi-code ; aussi le psalmiste affirme-t-il que la loi est parfaite et qu'elle restaure l'âme. Tout en elle lui paraît digne d'admiration : connaissance de Dieu et de l'homme si élevée au-dessus des religions païennes ; secours divin si étranger aux nations de la terre. La loi glorifie l'Éternel, comme les cieux ! Elle provoque l'adoration.

Le témoignage de l'Éternel est sûr : en lui-même, c'est-à-dire qu'il ne subsiste aucun doute, qu'il s'impose à la conscience ; et aussi dans ses conséquences, c'est-à-dire qu'il répond aux besoins de la vie pratique. Par conséquent, ce témoignage donne au simple la vraie sagesse, celle qui consiste à penser juste et agir comme il faut. Si par la foi nous recevons ce témoignage, notre âme est restaurée ; elle est remise sur pied ; elle se fortifie ; elle bâtit son édifice sur les assises impérissables de la vérité.

Vers. 8. Les ordonnances de l'Éternel : Ce mot signifie non seulement l'ordre qui émane d'une autorité, mais encore l'ordre au sens pratique, tel qu'il règne dans les choses bien conduites. Ces ordonnances sont droites : elles maintiennent sur le bon chemin, elles rendent la vie normale. C'est un réconfort de sentir que tout va comme cela doit aller ; c'est une expérience qui réjouit le coeur.

Le commandement de l'Éternel. - Nouvelle détermination de la loi, semblable à la précédente. Ici c'est le caractère de pureté qui est relevé et par conséquent, une lumière en jaillit, les yeux en sont éclairés.

Vers. 10. La crainte de l'Éternel, dans le sens de respect et d'hommage rendu, participe à cette même pureté. Point de mélange charnel, point d'élément compromettant ! Cette crainte possède des garanties de solidité et de durée ; comme elle se moule pour ainsi dire sur la personne de Dieu, elle tire aussi de là ce précieux avantage, qu'elle subsiste à toujours.

Enfin, les Jugements de Dieu désignent les décrets promulgués, les décisions prises, les applications de la loi ; tout y est vérité, tout y est justice. Il n'y a pas de contradiction entre le principe et les conséquences tirées, ni de fissure entre l'esprit général et les réalisations particulières. En définitive, c'est un assemblage merveilleux (v. 11), une richesse plus désirable que l'or (pour celui qui ne la possède pas encore) et une douceur plus excellente que celle du miel (pour celui qui possède déjà la loi dans son coeur).

Vers. 12. Ton serviteur. - Tout ce qui précède est une analyse de la loi en elle-même et dans ses effets. Ici le psalmiste prend l'exemple concret et montre le fidèle éclairé et récompensé, comme il en fait l'expérience lui-même.
La récompense en question n'est pas, comme l'entendaient les pharisiens plus tard, un salaire mérité et réservé aux justes, mais bien plutôt les bénédictions qui se trouvent dans l'accomplissement même de la loi ; récompense morale qui remplit le coeur et non la main, qui satisfait la conscience et non l'orgueil ; joie qui encourage le fidèle à persévérer et lui fait désirer de mieux accomplir la loi que par le passé.

Vers. 13. Aussi le psalmiste s'humilie-t-il, et cela non seulement pour les fautes connues, mais encore pour les fautes cachées ou commises par égarement. Qui les connaît ? Quelle délicatesse de conscience et quelle intégrité d'âme ! Quelle soif de vraie justice et quelle salutaire défiance envers soi-même !

Vers. 14. Après la demande de pardon, après le règlement complet du passé, vient la question de l'avenir, le désir de la sanctification. Aussi vaut-il mieux traduire Préserve ton serviteur des péchés volontaires (plutôt que: des orgueilleux). Ce sens est le plus naturel dans le contexte.
Ainsi pardonné et gardé, le psalmiste fera ce qu'il est possible à un fidèle de faire : être innocent de grands péchés, ce qui signifie : réduire le péché au strict minimum ; non la perfection réalisée, mais l'effort loyal qui y tend.

La prière du psalmiste se termine par un sacrifice offert à Dieu : Ses paroles et ses sentiments, la bouche et le coeur, tout est mis sur l'autel de Celui qui est à ses yeux le Rocher : celui dont l'appui ne fait jamais défaut, - et le Libérateur : celui dont l'amour rachète et délivre.

Dans cette prière passe le souffle de la vraie piété et de la vraie consécration. Dieu est mis à la place qu'il mérite, et l'homme se tient devant lui comme un serviteur (v. 14). Puissions-nous aussi, après avoir contemplé Dieu dans les cieux et dans la loi, dans les prophètes et en Jésus-Christ, nous consacrer à lui en disant comme le psalmiste : Ton serviteur !


ILLUSTRATIONS

1° Comment le soleil manifeste la grandeur du Dieu invisible. - Glanures, p. 9. Voir Dieu ! (1)

2° Le grand philosophe Kant a dit : « Deux choses remplissent mon âme d'une admiration et d'une vénération toujours nouvelles et toujours croissantes : le ciel étoilé au-dessus de moi et la loi morale au-dedans de mol. Ces deux spectacles sont liés à la conscience même de mon être.

3° Un Français incrédule observait, en traversant le Sahara, son guide à robe, qui à certains moments laissait tout pour s'agenouiller sur le sable et prier son Dieu. Un soir, il lui dit : Comment sais-tu donc qu'il y a un Dieu ? - Le guide le regarda tranquillement un moment et lui dit d'un ton solennel : Comment sais-je que la nuit dernière, c'est un homme, non un chameau, qui a passé devant ma tente ? N'est-ce pas par l'empreinte que son pied a laissée sur le sable ? De même, - continua-t-il en levant la main vers le soleil qui se couchait, inondant le vaste ciel et le désert illimité de ses flots de lumière empourprée, - cette empreinte-là me dit qui est Celui qui a passé.

G. P. -G.




Pour les petits.

Les hommes ont divers langages ; ils parlent français, allemand, anglais, italien, russe. Ils parlent aussi avec la plume, en écrivant à leurs parents, à leurs amis, en composant des livres. Le bébé parle par ses gestes, ses cris, ses pleurs, et la maman le comprend. Vos parents vous parlent quelquefois par des punitions, et beaucoup plus souvent par leurs dons : ils vous donnent à manger, vous font des nouveaux vêtements, vous procurent des plaisirs, ainsi ils vous disent qu'ils vous aiment. On parle aussi par des dessins. des tableaux, des édifices : le drapeau rouge avec la croix blanche nous dit que nous devons nous aimer les uns les autres, comme Jésus-Christ qui, pour nous sauver, mourut sur la croix ; la flèche de l'église nous dit que nous devons prier notre Père qui est au ciel. - De même Dieu parle de diverses manières, mais surtout par ses oeuvres et par la Bible.

1. Par ses oeuvres (Ps. 19 : 1-7). - Le monde est comme une immense maison qui loge une multitude infinie d'habitants. Or toute maison a été bâtie par quelqu'un, et celui qui a fait toutes choses, c'est Dieu (Hébr. 3 : 4). - Il a fait le firmament, que nous voyons, le soir, parsemé d'étoiles. Il a établi la succession des jours, pendant lesquels on travaille, et des nuits, qui permettent de se reposer et de dormir. - Il a fait le soleil, qui brille pendant le jour pour nous éclairer, nous réchauffer, faire croître les plantes qui nous nourrissent. - Qu'est-ce que Dieu nous dit par toutes ces oeuvres ? Il nous dit : Je suis le Créateur tout-puissant et sage, le Père céleste qui aime ses enfants. C'est ce qu'écrit l'auteur du psaume 19. - Lire les v. 1-7.

2. Par la Bible (Ps. 19 : 8-12). - Ce sont des hommes qui l'ont écrite, mais c'est Dieu qui leur a mis au coeur ce qu'ils devaient écrire, c'est pourquoi elle est appelée la « Parole de Dieu », Dans la Bible il nous donne ses commandements ; les connaissez-vous ? - Réciter le Décalogue et le sommaire de la loi (Ex. 20 : 1-17 ; Mat. 22 : 35-40). - Écoutez maintenant ce que dit l'auteur du Psaume 19 au sujet de ces commandements, qu'il appelle aussi « loi, témoignage, ordonnances, jugements de l'Éternel ». - Lire les v. 8-12. - La loi de l'Éternel est parfaite, elle restaure l'âme. Elle est parfaite, il n'y manque rien ; si nous l'observions toujours complètement, nous serions bons et heureux comme les anges dans le ciel. Malheureusement le péché a rendu notre âme malade ; mais la loi de Dieu la restaure, la guérit. Quand on obéit à ses commandements, que l'on craint de les violer, alors ils donnent la sagesse, parce que nous sommes humbles et que nous nous laissons enseigner par eux (v. 8). Ils éclairent notre esprit comme le soleil les yeux ; ils conduisent dans le droit chemin ; ils nous réjouissent et nous rendent heureux. Voilà la récompense accordée à ceux qui leur obéissent. - Ces commandements sont plus précieux que l'or, qui ne sert que pour cette vie, et que tous n'ont pas, tandis que tous peuvent connaître et observer les commandements. ils sont plus doux que le miel, qui rend malade si on en mange trop, tandis qu'on n'obéit jamais trop, ni trop longtemps aux commandements de Dieu ; on ne le regrette jamais ; et leur observation est accompagnée d'une grande récompense pour cette vie et pour la vie future (1 Tim. 4 : 8). - L'auteur du Psaume 19 ne connaissait que l'Ancien Testament, mais nous avons, nous, le Nouveau Testament ; c'est là que se l'ait connaître tout l'amour de Dieu (Hébr. 1 : 1 ; Jean 3 : 16)

3. Applications (Ps. 19 : 13-15). - Avez-vous toujours obéi à la loi de Dieu ? Hélas ! qui peut compter toutes ses désobéissances ? Vous devez donc lui demander pardon. non seulement des fautes connues de vos parents, mais aussi de celles que lui seul connaît, et lui demander qu'il vous préserve des péchés dans lesquels votre présomption pourrait vous faire tomber, comme ce fut le cas de Pierre. Si vous êtes humbles et sincères dans vos prières, Dieu vous pardonnera et vous gardera du mal.

L. N.

Partie de l'élève.

SUJET : Comment Dieu parle à l'homme.
Psaume 19.
Versets à apprendre :
Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l'étendue manifeste l'oeuvre de ses mains. Le jour en instruit un autre jour, la nuit donne connaissance à une autre nuit. (Ps. 19: 2, 3 )
La loi de l'Éternel est parfaite, elle restaure l'âme. (Ps. 19: 8)

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