Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

(16 JUILLET.)

L'homme que Dieu aime.


Psaume 15

Cantiques N° 56 et 66.


Si nous pensons au cérémonial et aux rites qui distinguaient le culte juif, si nous considérons les idées prédominantes de ce temps sur les sacrifices sanglants et les oeuvres extérieures, si nous nous rappelons la mentalité orgueilleuse des pharisiens, ce psaume nous paraîtra étonnant de spiritualité ; il met l'accent sur les dispositions du coeur et sur les conséquences qui découlent d'une vraie piété.

À la demande : Qui peut légitimement demeurer dans la maison de l'Éternel ? la réponse n'est pas : Celui qui accomplit tel rite, qui fait tel sacrifice ! Pas davantage : Celui-là seul qui a le privilège d'une naissance sacrée, le lévite, le sacrificateur, le descendant d'Aaron, l'enfant d'Abraham. Mais bien plutôt : celui qui réalise la justice en son coeur !

Dieu est esprit, et il faut l'adorer en esprit ; cet enseignement que Jésus donnait à la Samaritaine a pour ainsi dire sa préface dans notre psaume. La maison de l'Éternel sera la demeure de tous les fidèles qui servent Dieu, et non pas d'une caste sacerdotale quelconque.

La question
(v. 1). - Éternel, qui séjournera dans Ion tabernacle ? Le mot séjourner évoque l'idée d'un voyage suivi d'un séjour limité. Le mot habiter qui se présente dans la seconde phrase indique quelque chose de plus : une habitation définitive. C'est donc une gradation qui correspond aux lois de l'âme. On demande d'abord le moins, puis le plus, comme Abraham dans son intercession. Évidemment le psalmiste ne sera pleinement heureux que s'il peut avoir l'assurance d'habiter toujours sur la montagne de l'Éternel et de vivre toujours avec Dieu.

Ce séjour et cette habitation ne sont pas nécessairement un fait extérieur et physique. Le tabernacle est le lieu de la présence divine, autour duquel se meut le peuple d'Israël. Mais cette présence est spirituelle, elle déborde le sanctuaire matériel, elle devient une communion offerte à tout fidèle et dans ce sens spirituel, le psalmiste désirera non seulement habiter dans la maison de l'Éternel, mais encore la visiter soigneusement. (Ps. 27 : 4-5.) On sent que cette préoccupation est d'ordre religieux et moral avant tout.

Cette question : Qui séjournera, qui habitera ? n'est pas manière de parler, tournure littéraire ! C'est l'expression d'une véritable recherche, d'une véritable consultation de l'Éternel. Comme aujourd'hui quelqu'un méditant sur la vie et l'éternité se dirait : Qui peut aller au ciel ? ainsi le psalmiste se dit : Oui pourra demeurer sur la montagne sainte ?

La réponse se trouve dans la révélation de Dieu, dans sa Parole, dans le sanctuaire de la prière. Elle nous est donnée ici sous une forme positive et générale (v. 2) et sous une forme négative et analytique (v. 3-5).

La réponse
(v. 2-5). - D'abord les conditions positives à remplir : marcher dans l'intégrité, voilà le sommaire de tout ce qui suit. L'intégrité est cet état d'une chose qui a toutes ses parties, qui n'est pas entamée, qui n'a subi aucune altération.
Cette intégrité apparaît déjà dans l'union des deux verbe, qui suivent : faire et dire. Il ne serait pas intègre (lat. integer = entier) celui qui se contenterait de dire de belles paroles et qui ne ferait pas le bien, qui se contenterait de certains actes religieux et qui ne rendrait pas témoignage de sa bouche ou qui parlerait autrement qu'il ne sent dans son coeur. Être intègre, c'est donc se donner tout entier à Dieu ; bien plus, le psaume ne dit pas être, mais marcher dans l'intégrité. Ce dernier terme est beaucoup plus vivant ; seul, il embrasse toute la vie et correspond à l'idée d'intégrité. Être n'indiquerait qu'un état à un moment donné, marcher indique l'orientation de toute l'existence, c'est complet.
Cette intégrité consiste en deux choses : justice et vérité !

Programme admirable. L'Évangile y ajoutera (Eph. 5 : 9) bonté ; l'ancienne Alliance sait bien entrevoir cet idéal-là ; elle dit d'aimer le prochain comme soi-même ; mais ce sont des horizons lointains, des réalités auxquelles on n'atteint pas encore, et le programme pratique demeure plutôt : justice et vérité.

Pratiquer la Justice est une notion qui embrasse toute la conduite extérieure, et la justice consiste à rendre à chacun ce qui lui est dû à commencer par Dieu. Quelle tâche énorme !

Dire la vérité telle qu'elle est dans son coeur, c'est le témoignage de la vie intérieure qui s'ajoute à la conduite visible. On peut voir ici le devoir de la sincérité, de la véracité, de la loyauté ; on peut y voir également, pour celui qui connaît la vérité religieuse et la possède en son coeur, le devoir d'en rendre témoignage.

On ne pourra jamais trop insister auprès des enfants sur chacun de ces devoirs : être intègre par l'accord des paroles et des actions ; être juste envers les autres comme on réclame la justice pour soi ; vérité en toutes choses, horreur du mensonge, noblesse du coeur !

L'analyse de l'intégrité
(v. 3-5). - Cette partie est négative, elle représente les premiers degrés de la morale religieuse ; mais si élémentaires que ces recommandations puissent être, lequel se flattera de les avoir mises toujours et complètement en pratique ? N'ont-elles pas en particulier pour les enfants toute leur actualité ? L'ancienne Alliance a été une préparation de bien des siècles pour l'âme israélite ; aujourd'hui cette période qui précède le salut est bien diminuée. Nous bénéficions de ce long travail des âges et en quelques années à peine nous pouvons franchir le stage préparatoire et passer de la loi à la grâce. Mais les premières expériences, imparfaites et provisoires, n'en restent pas moins nécessaires, et l'enfant a besoin de s'appliquer à l'observation de la loi pour comprendre ce qu'est le péché, ce que vaut le pardon, et combien la grâce l'emporte sur la loi.

Probité sans tache
(v. 3). - Le fidèle ne peut habiter sur la montagne sainte, ni vivre en la présence de Dieu, s'il y a chez lui des souillures du genre que ce verset signale. Comment celui qui calomnie pourrait-il demeurer dans le sanctuaire ? Comment pourrait-il avoir le moindre désir d'y séjourner ? On ne peut rechercher à la fois la vérité et le mensonge, la lumière et les ténèbres. Ce serait au prix d'une nouvelle fourberie qui exclurait totalement de toute communion avec Dieu et de toute prétention ait salut.
De même celui qui fait du mal, qui outrage le prochain a-t-il quelque ressemblance avec le Dieu saint, juste, bienveillant, père de tous les hommes ? Voilà tout autant d'impossibilités morales !

Attitude franche
(v. 4). - Pour être admis dans les parvis de l'Éternel, il faut avoir choisi l'Éternel en face des hommes ; il faut avoir pris nettement position et s'être détaché des méprisables et des réprouvés, non pour les dédaigner comme notre verset semble le dire, mais pour condamner hardiment leurs mauvaises oeuvres et pour leur dire sérieusement la vérité. Il faut d'autre part se joindre courageusement à ceux qui servent le Seigneur, qui craignent l'Éternel !
Cette attitude ne doit laisser aucun doute dans notre esprit ou dans celui des autres. La preuve de cette franche position, c'est que le fidèle condamne le mal non seulement chez autrui, mais encore et surtout chez lui-même. S'il a juré, c'est-à-dire s'il s'est engagé solennellement, s'il a accepté des responsabilités, rien au monde ne le fera reculer. Il subira plutôt un dommage que de manquer à sa parole. Quel noble témoignage de piété !

Loyauté dans les affaires
(v. 5). - Trop facilement on se laisse entraîner dans ce domaine à faire comme tout le monde. Aujourd'hui on dit : Les affaires sont les affaires ! comme on dit : La guerre, c'est la guerre ! Et le monde se grise ainsi de paroles. Accepterait-on que les païens se justifient en disant : Le paganisme, c'est le paganisme ! ou que le jeune homme excuse tout. en disant : La jeunesse c'est la jeunesse ; le corps, c'est le corps ! Quelle absurdité ! Rien ne doit, rien ne peut-être soustrait à la loi morale ; et sa sentence est souveraine : C'est bien ou c'est mal ! Sans cette lumière, l'homme est perdu.

Nul ne peut espérer être admis auprès de Dieu, s'il prête son argent à usure. Le texte peut signifier simplement contre intérêt, car c'était la défense faite à Israël (Ex. 22: 25). Évidemment, les conditions sociales ont changé dés lors, tout autrement que dans un peuple aux moeurs primitives, nomades ou agricoles, l'argent d'aujourd'hui est une valeur productive au premier chef. Ce qui est à condamner de nos jours, pour rester dans l'esprit de notre texte, ce n'est pas l'intérêt raisonnable, c'est l'usure, l'exploitation du pauvre et du malheureux, des arrangements tels que le débiteur ou l'ouvrier ne peut d'aucune façon se relever, se procurer une meilleure situation. Pour rester dans l'esprit de notre psaume, il faudra en plus d'un cas prêter avec les plus grandes facilités pour le débiteur malheureux et, à l'occasion, prêter sans intérêt.

La question d'argent joue également un rôle dans l'exercice de la justice, dans le témoignage à rendre sur quelqu'un. On peut se laisser corrompre par des cadeaux et tordre la vérité pour une récompense. Ce trafic abominable sépare l'homme du Dieu juste, le coupable sera emporté par le courant du péché et marchera à sa perdition. Mais le fidèle qui met en pratique les principes du psalmiste ne sera jamais ébranlé. La pratique de la justice donne à la vie une assise qui ne chancelle pas. L'homme de bien habite une forteresse que rien ne peut renverser.

Ici nous rejoignons le discours sur la montagne. Jésus a aussi examiné la question de savoir qui entrera dans le royaume des cieux (Mat. 7: 21) « Ce n'est pas celui qui dît... c'est celui qui fait... L'homme prudent qui bâtit sa maison sur le roc, c'est celui qui entend les paroles que je dis et les met en pratique. » Ainsi l'intégrité dans l'ancienne Alliance rejoint l'intégrité dans la nouvelle Alliance. La disposition du coeur est la même, c'est seulement la révélation qui change ; la main tendue reste la même, le don reçu devient simplement plus précieux. « La loi a été donnée par Moïse ; la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ » (Jean 1 : 17). Mais pour recevoir, il faut demander, il faut que se pose dans le coeur de nos enfants une question semblable à celle du psalmiste : « Qui sera reçu dans la maison de Dieu, qui pourra être sauvé ? »

ILLUSTRATIONS

Qui est juste ? - Il y a quelques années, un missionnaire juif, de La Roi, accompagné de son ami Flad, faisait une tournée missionnaire en Autriche. Un soir, il s'arrêtèrent devant une synagogue et lurent à haute voix l'inscription sculptée au-dessus de l'entrée : « C'est ici la porte de l'Éternel, les justes y entreront. » Le concierge de la synagogue, surpris de les entendre lire l'hébreu, les engagea à entrer. De La Roi répondit :
- Je crois que je n'ai pas le droit d'entrer ici.
- Pourquoi donc ?
- Parce que je ne suis pas un Juste.

Pendant qu'ils s'entretenaient sur la justice d'après l'Ancien Testament, ils entrèrent dans l'édifice. Les fidèles arrivèrent, quelques rabbins aussi ; on s'apprêtait à dire les prières du soir. La conversation s'engagea promptement :
- Vous êtes aussi peu justes que nous-mêmes, leur dit de La Roi, car nous n'observons qu'imparfaitement les commandements de Dieu.
- Mais la loi n'est pas pour les gentils, observa quelqu'un.
- Les chrétiens, dit Flad, observent aussi cette loi.

On parla ensuite du dixième commandement : Tu ne convoiteras pas.
- Vous abstenez-vous vraiment de toute convoitise ? demanda de La Roi.

Alors l'un des Juifs baissant la tête, dit:
- Si la loi de Dieu est aussi stricte que cela, je ne suis pas juste, je dois en convenir.
- Il est pourtant écrit, reprit l'un des missionnaires
« Maudit celui qui ne persévère pas à faire toutes les choses qui sont écrites dans la loi ; mais nous connaissons Celui qui justifie les injustes, c'est l'Éternel notre justice ! »

Que ferai-je ? - Richard Weaver était un ouvrier bouilleur adonné à la boisson, perdu de moeurs et devenu la terreur de ses propres camarades. Il logeait chez son frère, un surveillant de houillère.
« Un mercredi soir, dit-il, j'étais couché et je combinais en moi les moyens de vaincre un homme avec lequel je devais me battre le samedi suivant. Mon frère rentra d'une réunion religieuse et J'entendis sa femme lui demander
- Quel était le texte ?

Il répondit :
- Que ferai-je donc ?...
De mon lit, j'écoutais et je me dis : Quel drôle de texte. Il doit y avoir autre chose. Puis je songeai : Oui, que ferai-je donc quand Dieu s'élèvera en jugement contre moi ? Je me retournai dans mon lit en soupirant : Ah ! je serai damné.
Dieu planta ce texte dans mon coeur comme un clou. Je ne pouvais ni dormir ni prier ; une lutte furieuse s'engageait entre la puissance de Satan et celle de Dieu. Le lendemain matin, mon frère m'appela pour aller au travail ; je répondis que j'étais malade et incapable. J'avais peur de mourir dans la mine et d'aller droit en enfer. Je ne pus rien faire de tout le jour et je passai la nuit suivante en gémissant.
Le vendredi je dépensai 8 francs en boisson. La terre semblait s'entr'ouvrir pour m'engloutir. Je suppliai Dieu de m'épargner encore et promis d'aller le lendemain prier à l'endroit ou je devais me battre. Là, de bonne heure, je me jetai à genoux : « Jésus, je veux fermer les yeux et ne les rouvrir » que lorsque tu m'auras pardonné mes péchés. » Satan chercha à me troubler, mais j'entendis comme la voix de ma mère me dire : « Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. » Le monde, j'en fais partie ; donc il m'aime aussi ! Quiconque, c'est aussi Richard Weaver. À cette heure même la paix entra dans mon coeur ! »

G. P. -G.




Pour les petits.

Les enfants aiment à interroger. Ça leur est permis, pourvu que leurs questions ne soient pas intempestives (parents occupés à un travail attachant, s'entretenant avec grandes personnes) ou indiscrètes (choses que les enfants doivent ignorer). Vous pouvez aussi interroger le Seigneur, comme le fit Saul (Act. 9 : 6). Si c'est avec le même désir sincère d'obéir, il répondra à votre prière d'une manière ou d'une autre, par une bonne pensée de votre coeur, un conseil de papa ou maman, un devoir à remplir, un service à rendre.

1.
Voici une question très utile adressée à Dieu par l'auteur du Psaume 15 : Éternel, quels sont ceux que tu aimes ? Mais comme il est poète, il le dit autrement, dans un beau langage ; écoutez : - citer le v. 1. - La montagne sainte, c'était Jérusalem ; il l'appelait montagne, parce qu'elle était sur la hauteur, et sainte, parce que là était le temple. Il donne au temple le nom de tente (épeler le mot), parce qu'il avait la forme de celle qui servait de temple aux Israélites dans le désert (tabernacle). - Dieu aimait ceux qui allaient sincèrement, avec plaisir, le prier et écouter sa parole dans le temple, comme le fit Jésus à l'âge de douze ans. Oh ! si les enfants avaient le même plaisir à venir à l'école du dimanche ! - On ne peut-être toujours dans le temple où Dieu aime ses enfants pieux, mais il est nécessaire d'être toujours aimé de Dieu, c'est pourquoi le psalmiste dit : Éternel, qui demeurera dans ta tente, c'est-à-dire Qui sera toujours aimé de toi, comme quand il est dans ton temple, priant de tout son coeur et écoutant ta parole ?

2.
Réponse : C'est celui qui s'applique sincèrement à être juste ; car l'Éternel est Juste, il aime la Justice. Il faut l'être avant tout envers Dieu : puisqu'il est notre Créateur, notre Père céleste, qui nous aime et nous comble de ses bienfaits (rappeler leçon du 9 juillet), nous devons l'aimer et lui obéir. Il faut l'être aussi envers tous les hommes, qui sont nos frères, étant comme nous les enfants du Père céleste. - Mais il faut l'être dans ce que l'on fait, dans ce que l'on dit, dans ce que l'on pense ; ainsi seulement on est sincère. L'hypocrite fait seulement semblant d'être juste (Mat. 6: 1-18), et Jésus condamne les hypocrites et leur dit : Malheur à vous ! (Mat. 23 : 13-33.) Mais l'homme sincère, qui reconnaît ses péchés et cherche à se corriger, à être réellement juste, est loué par le Seigneur. C'était le cas de Nathanaël (Jean 1 : 47).

3.
Voici quelques exemples de la conduite de l'enfant qui s'applique sincèrement à être juste : (v. 3) il ne calomnie pas, ne dit pas, sachant que ce n'est pas vrai : Jules m'a pris ma plume, est allé « marauder », a dit ne grossièreté ; Louise s'est mal conduite à l'école. - Il ne fait point de mal à son frère ou à sa soeur, ne lance pas des pierres à un autre enfant, ne lui prend pas son bien, ne lui gâte pas ses vêtements, ne se moque pas de lui et ne l'injurie pas - (v. 4). Il ne juge pas les autres enfants d'après leurs vêtements, leur taille, leur figure, et recherche de préférence celui qui est honnête et bon. Il tient ses promesses, même si elles lui coûtent : il a promis d'aller voir son ami ou son amie malade ; il ira, même s'il doit se priver d'une promenade plus agréable - (v. 5). Quand il prête, il n'exige pas qu'on lui rende le double ; il ne dit pas : Je te laisse mon sifflet, si tu me donnes ton livre d'images, quand il sait que son sifflet ne vaut se deux sous. - Et surtout il se gardera d'accepter l'offre du méchant qui veut l'entraîner par des promesses à nuire à Pierre ou à Sophie.

Si vous vous appliquez ainsi à être sincèrement justes à l'égard de Dieu et des hommes, comme Jésus en a donné l'exemple, vous serez aimés de Dieu ; rien ne vous séparera de lui, sur la terre et dans le ciel.

L. N.

Partie de l'élève.

SUJET : L'homme que Dieu aime.
Psaume 15.
Versets à apprendre :
O Éternel ! qui séjournera dans ta tente ? qui demeurera sur ta montagne sainte ? Celui qui marche dans l'intégrité, qui pratique la justice, et qui dit la vérité selon son coeur. (Ps. 15: 1-2.)
L'Éternel est juste, il aime la justice. (Ps. 11: 7.)

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