Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

( 9 AVRIL.)

Jésus en Géthsémané. « Que ta volonté soit faite. »


Mat. 26 : 35-36.

Cantiques proposés :
N° 62. Mon Dieu, mon Père... - N° 79. Demeure par ta grâce...


Introduction. - Plusieurs personnages s'agitent dans cette nuit funèbre. On pourrait faire une étude utile sur chacun d'eux : les douze, les trois intimes, Judas. On pourrait aussi, il semble que le sous-titre y invite, chercher les leçons pratiques relatives à l'acceptation de la volonté de Dieu. 'Nous renonçons à ces divers sujets, sans imposer notre manière de voir, du reste. Nous désirons ne voir que Jésus, Jésus seul, Jésus souffrant. Sa figure doit dominer tous nos services de Passion, les enfants doivent nous sentir comme obsédés par cette souffrance immense et imméritée. Comparée à l'attitude de Jésus, celle des autres acteurs, et la nôtre, se jugent d'elles-mêmes, et les applications du sujet à notre vie personnelle, pour autant que nous osons confronter nos luttes avec celles du Maître, ne font pas de doute.

La dernière nuit de Jésus. - À l'heure où les enfants reposent paisiblement dans leurs lits et où les grandes personnes vont aussi trouver le repos, Jésus quitte la maison où nous l'avons laissé dimanche passé en tête à tête avec ses disciples. C'est le jeudi soir, et la lune est pleine. (Les Juifs célébraient la Pâque, quinze jours après la nouvelle lune. Aujourd'hui nous célébrons la fête de Pâques le premier dimanche qui suit la première pleine lune du printemps. Il en résulte que la lune est toujours pleine un des jours de la semaine sainte.) Jésus ne va pas chercher le repos ni faire une promenade de plaisir. Il souffre. Depuis quatre jours, il a fourni un grand effort et a eu beaucoup de chagrins : le dimanche, il a fait une suprême tentative pour appeler au salut Jérusalem, il a échoué et il a pleuré ; le lundi, il a assisté à la profanation du temple par les vendeurs et les changeurs, et lui, si doux d'ordinaire, a été saisi d'indignation ; le mardi, il a été épié, interrogé, traqué par ses ennemis, auxquels il a toujours répondu avec calme, mais avec énergie, il a dû encourager ses amis qui ne savent plus que penser en voyant qu'il ne réussit pas dans son oeuvre, et qui pressentent une catastrophe ; le mercredi, à Béthanie, il s'est aperçu que Judas n'était pas là et a senti la trahison. Il a compris qu'il était perdu, et en se mettant à table le jeudi soir avec ses disciples, il leur a dit ouvertement qu'il allait mourir.

À mesure que la soirée avance, son angoisse augmente. Lui qui avait l'habitude d'encourager les autres, il leur dit maintenant : « Mon âme est triste jusqu'à la mort. » Lui qui ne craignait jamais de rester seul, il demande à ses trois meilleurs amis de l'accompagner et de le soutenir dans son angoisse. Ils ont traversé le torrent du Cédron, sont remontés sur la montagne des Oliviers et se sont arrêtés dans le jardin de Géthsémané, où ils avaient déjà passé quelques nuits. (Beaucoup de pèlerins venus à Jérusalem pour la Pâque couchaient dehors à cause du manque de place.) Jésus savait qu'en restant dans la ville, ses ennemis pouvaient le surprendre, tandis que sur le mont on ne savait pas où le trouver. Il a fallu qu'un de ceux qui connaissaient l'endroit le trahît pour qu'on puisse l'arrêter. De jour, cette arrestation aurait fait trop de bruit. Les chefs désiraient se débarrasser de lui sans trop éveiller l'attention. Le crime est toujours lâche.

À quelques pas de ses trois amis, Jésus s'est jeté par terre et il prie. Eux ont tellement sommeil et sont si découragés qu'ils ne résistent pas à la fatigue. Et Jésus se trouve tout seul pour souffrir. Approchons-nous avec respect de cette immense douleur. Il faut toujours respecter un homme qui souffre, même si C'est par sa faute. Mais surtout un homme qui souffre injustement, qui est innocent, et qui doit mourir par la faute des autres hommes. Et surtout eu pensant que c'est à cause de nous que Jésus doit tant souffrir.

D'abord il est fatigué, harassé, à bout de forces physiques. Les dernières semaines ont été particulièrement éprouvantes, le voyage à Jérusalem, les attaques de ses ennemis, la fatigue de ses amis, le danger qu'il court. Tout le jour dans le temple, usant ses dernières forces à appeler les pécheurs et à faire du bien, il n'a pas même un abri pour la nuit. Il ne peut pas dormir à cause de son chagrin. Les grandes personnes savent que l'insomnie est une des épreuves les plus fatigantes à supporter. Mais Jésus ne murmure pas contre la fatigue, il prie.

Puis il est isolé. S'il est une chose qui puisse adoucir les épreuves, c'est de rencontrer la sympathie, c'est d'avoir un coeur ami, une mère, où l'on peut verser son chagrin. Quand une famille est frappée par le deuil, on lui rend visite, on pleure avec elle, et cela fait du bien. Jésus ne reçoit point de visites bienfaisantes. Sa mère n'est pas là, elle ne le comprend pas. Ses amis semblent en avoir assez, ils voudraient s'en aller avec leur maître, échapper au danger et le sauver ; ils ne comprennent pas pourquoi il s'obstine à rester et à mourir. Il est seul, et c'est d'autant plus triste que Jésus avait une âme tendre et aimante, un grand besoin d'affection. Aussi il n'en peut plus de rester seul et il revient vers ses trois amis. Ils dorment. Pauvre Jésus ! il faut qu'il retourne tout seul dans la nuit sombre.

Fatigue, isolement. Et cela au milieu d'un échec complet. En repassant sa vie dans cette heure d'angoisse, Jésus peut se dire qu'il a tout manqué : sa mère a eu le coeur brisé à cause de lui, il a dû la quitter et bientôt elle le verra mourir. Ses amis, qui sont venus à lui tout joyeux, pour trouver le bonheur, il les a entraînés dans le danger ; ils ont quitté leur famille pour lui, et il doit les laisser seuls maintenant, et si faibles. Ils ont trompé sa confiance : Judas qu'il a aimé, est en train de se perdre ; Pierre, qu'il a aimé, n'aura pas le courage de le suivre. Son peuple est resté sourd à ses appels et restera sourd à ses gémissements sur la croix ; il apportait un beau message de paix et de bonheur, et les hommes n'en ont pas voulu, ils préfèrent rester dans le péché et le malheur ; on le tuera, et on s'acharnera contre ses amis. À cause de lui, Prince de la paix, Hérode a fait massacrer les petits enfants de Bethléem. À cause de lui, des familles ont été divisées ; on veut tuer Lazare parce qu'il l'a ressuscité. À cause de lui, Judas va se pendre. Il a tout le monde contre lui, le gouvernement romain, les gens religieux, les riches et les pauvres, il est comme un danger public. Était-ce bien cela que son Père lui prédisait quand il lui avait dit : « Tu es mon fils bien-aimé ! » Pourquoi doit-il souffrir, lui innocent ? Pourquoi les hommes le détestent-ils, lui si bon ? Pourquoi ne veut-on pas de lui ? Pourquoi s'obstine-t-on à rester dans le mal et la tristesse, quand il aurait suffi de le suivre, pour être bon et heureux ? Pourquoi doit-il mourir ?

C'est encore une des souffrances de Jésus à Géthsémané, la pensée de la mort et d'une mort atroce. Sans doute, Jésus n'avait pas peur de mourir, il connaissait son Père et se réjouissait d'aller à lui. Mais quelle mort lui était réservée : des coups, des clous, des épines, jusqu'à ce que son pauvre corps martyrisé ne puisse plus supporter la douleur  ! la mort d'un malfaiteur, exposé aux regards et aux blasphème s ! Il doit mourir à trente ans, en pleine vigueur, alors qu'il y aurait encore tant de bien à faire, tant de misères à soulager, et des amis à aider. Il doit mourir d'une façon qui fera croire que Dieu n'est pas fidèle à ses Promesses, que Dieu abandonne son fils, d'une façon qui poussera les hommes à se détourner encore plus de Dieu. Voilà ce qui l'attend, et quand il y pense, la transpiration de son corps devient comme du sang.

Est-il possible que cela ne soit p as ? Ici nous sommes au fond de cette agonie. Jésus n'a jamais douté de Dieu, il sait que toutes choses lui sont possibles. Dieu peut le délivrer, envoyer des anges à son secours, lui permettre de s'en aller. Car, c'est ce qui fait pour moi l'héroïsme suprême de Jésus, il pouvait s'en aller. Rien ne l'obligeait à attendre ses ennemis é Géthsémané. Quelques pas seulement, et Judas ne le trouvait pas à la place habituelle. Quelques heures à marcher dans la nuit, et il atteignait le Jourdain, la frontière, hors de portée de ses ennemis. Je suis sûr que les disciples ne pensaient qu'à c la : se sauver, et sauver leur maître, c'était si facile ! On ne les aurait pas poursuivis. Les chefs auraient été trop heureux d'être débarrassés de Jésus sans avoir besoin de commettre un crime. Sauvé, il pourra reprendre son oeuvre, redire de belles paraboles, guérir encore les malades, aimer encore les siens, vivre longtemps, et parler de son Père. Si seulement Dieu lui donnait un signe, un mot, la permission de partir, n'est-ce pas possible ? N'a-t-il pas fait tout ce qu'il  a pu ? Est-ce que vraiment c'est nécessaire de mourir ? Trois fois Jésus s'est jeté par terre pour supplier Dieu de lui montrer la route. Dieu ne répond pas. Donc il doit rester. La troisième fois, Jésus accepte, et se redresse : « Que ta volonté soit faite ! »

Voilà un héros : il est resté, quand il pouvait partir. Il s'est offert à la mort, quand il n'avait qu'un pas à faire pour se sauver. Nous trouvons légitime que ceux qui sont poursuivis injustement fassent leur possible pour s'échapper. On montre encore dans les Cévennes les cachettes de Roland le Camisard, où ses ennemis n'ont jamais pu le trouver. Les huguenots célébraient leur culte en secret, pour ne pas être surpris. Nous trouvons cela très juste et pensons qu'il leur fallait déjà beaucoup de courage pour faire ce qu'ils ont fait. Jésus a fait plus que cela : il est resté à Géthsémané, quand rien ne l'y obligeait. Personne ne le forçait à rester. Il n'a pas bougé. Quand je pense qu'il aurait pu s'en aller, qu'il aurait pu perdre courage, ou croire que Dieu le laissait partir, et qu'ainsi je n'aurais plus un Sauveur qui est mort sur la croix, je frissonne, et j'adore Celui qui a eu le courage de rester là.

La volonté de Dieu, c'était que Jésus portât jusqu'au bout le châtiment de nos péchés. Là il a compris que ce qui lui restait encore à souffrir, c'était le plus terrible, être laissé par Dieu. Savoir que Dieu pouvait le délivrer, et ne pas être délivré. Savoir que Dieu pouvait répondre à ses cris d'angoisse et confondre ses adversaires, et ne recevoir aucune réponse. Savoir que Dieu n'abandonne pas ceux qu'il aime, et se sentir abandonné par lui, comme s'il ne l'avait pas aimé, comme s'il ne l'avait pas servi, comme s'il était un pécheur. La plus atroce souffrance de Jésus en Géthsémané fut cette perspective de l'abandon de Dieu, ce sentiment que le Père lui-même se détournait de celui qui allait devenir un maudit. « Pendant les dernières heures de sa vie, si Jésus a souffert sans être compris, il a souffert aussi sans comprendre. D'abandon en abandon, de solitude en solitude, d'obscurité en obscurité, il s'est laissé conduire, pas à pas, jusqu'au terme fatal ; et s'il ressemblait à la brebis qui tremble sous les ciseaux du tondeur, ce n'est point seulement parce qu'il restait muet, c'est parce que ses yeux, pleins de questions sur son sort, imploraient en vain une réponse obstinément refusée. » (W. Monod.) À Géthsémané, Jésus a accepté la volonté de Dieu sans la comprendre, il a accepté de souffrir de la main même du Père qu'il aimait, qui pouvait le délivrer, et qui n'a pas voulu le faire.

Ces dernières réflexions sont un peu difficiles pour les enfants. Elles étaient nécessaires pour que le sujet fût complet. Nos préparations ne doivent-elles pas aussi servir à nous, les grands ? Mais les enfants comprendront ceci : c'est que le salaire du péché, c'est la mort, la mort sans Dieu. Jésus a accepté de mourir, et de mourir comme si Dieu n'était pas près de lui. C'est ce que nous entendons en disant qu'il a expié nos péchés. « Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et nous sommes guéris par ses meurtrissures. Il a été frappé pour nos péchés, et brisé pour nos iniquités. » (Ésaïe 53.) Une légende romaine raconte qu'un gouffre profond s'ouvrit un jour au milieu de la ville et menaçait d'engloutir toute la population. Un devin annonça que le gouffre se refermerait si l'on y jetait ce que Rome avait de plus précieux. Alors un jeune homme, Marcus Curtius, pensant que le trésor de Rome, c'était son armée, revêtit sa cuirasse, prit ses armes, monta à cheval, et se précipita volontairement dans l'abîme, qui se referma aussitôt sur lui. (Il y a deux ans la Feuille de Tempérance a donné un dessin de cette scène.)

Voilà ce que Jésus a fait. Les hommes étaient séparés de Dieu par le gouffre du péché. Alors Jésus, si bon, si saint, le meilleur des hommes, a dit à Dieu : Frappe-moi à leur place, et il s'est jeté dans le gouffre. Son cadavre a rétabli les communications entre Dieu et nous, par sa mort il nous a sauvés de la mort sans Dieu.

Jésus n'est resté sur la croix que quelques heures. Il a expiré plus vite que les crucifiés d'ordinaire. Cette mort rapide s'explique par la souffrance de Géthsémané. Il avait tellement souffert pour nous dans cette nuit d'angoisse, que là déjà son agonie avait commencé, et que son corps et son coeur brisés ne purent pas longtemps supporter les souffrances physiques du supplice.

P. Vz.




Pour les petits.

Récapituler leçon du 2 avril. - Après avoir institué la sainte cène, Jésus donna beaucoup de bons conseils à ses disciples, leur parla des dangers auxquels ils seraient exposés quand il ne serait plus avec eux ; puis il pria, non seulement pour lui-même, mais aussi pour eux (Jean 1 7 : 9-15 ; Luc 22 : 31-32). Mais les apôtres, surtout Pierre, étaient encore comme des enfants orgueilleux qui se croient forts, quoique très faibles. Au lieu de craindre et de demander le secours de Dieu, ils prétendirent qu'ils étaient prêts à mourir plutôt que d'abandonner le Sauveur ; vous verrez ce qui en résulta.

1. Agonie de Jésus et sommeil des disciples. (Mat. 26: 36-44.) - Ils allèrent ensemble à la montagne des Oliviers. Au pied de la montagne était un jardin appelé Géthsémané. Jésus prit avec lui Pierre, Jacques et Jean pour l'accompagner à l'intérieur. Alors il commença à être dans une grande angoisse à cause de ses souffrances et de sa mort prochaines. Mais pour calmer son âme, que faisait-il ? (v. 39). (Expliquer l'expression « cette coupe », c'est-à-dire ses souffrances et sa mort comparées à un breuvage amer que le Père céleste lui donnait à boire.) Si vous pensez à cette coupe, à ce breuvage amer que devait accepter le Sauveur, vous ne refuserez pas, quand vous serez malades, de prendre le remède que maman vous a préparé pour vous guérir. Il ne pria pas seulement une fois, pendant un instant, mais longtemps, au milieu de la nuit, chaque fois disant à Dieu : « Mon Père, mon Père » comme quand vous êtes malades et que vous soufrez, vous dites : Maman maman. La seconde fois, quelle fut sa prière ? (v.42) Une troisième fois, il dit encore à Dieu : « Que ta volonté soit faite ; » si tu veux que je souffre et que je meure sur la croix, je ne veux pas te dire non, car je préfère ta volonté à toutes choses, même à la vie. C'est ainsi, mes enfants, que nous devons prier et nous soumettre à la volonté de Dieu. - Que faisaient les disciples pendant que Jésus était dans l'angoisse et priait avec de grands cris et avec larmes ? (Héb. 5 : 7.) Trois fois il vint vers eux et les trouva endormis ; tandis qu'ils auraient dû rester éveillés, assister le Sauveur angoissé et prier avec lui, ils dormaient. Que leur dit le Sauveur ? (v. 41) ; mais ils s'endormirent de nouveau. Ils s'étaient crus forts, c'est pourquoi ils étaient faibles.

2. Arrestation de Jésus et fuite des disciples. (Mat. 26 45-56.) - Fortifié par la prière, par un ange envoyé du ciel (Luc 22 : 43), Jésus revint une troisième fois vers les disciples et que leur dit-il ? (v. 45, 46). Alors arrive Judas avec une foule nombreuse armée d'épées et de bâtons, Loin d'être effrayé, Jésus s'avance au-devant d'eux, leur dit : Qui cherchez-vous ? Et ce sont les soldats qui ont peur. (Jean 18 : 4-6.) Judas s'approche et lui dit en le baisant : « Maître, je te salue ; » pourquoi fit-il cela ? (v. 48). Comme c'était indigne ! Mais au lieu de s'irriter, que répond Jésus ? (v.50). Et que dit-il, lorsqu'un des disciples veut se servir d'une épée ? (v. 52-54). Vous le voyez, jusqu'à la fin il fut soumis à la volonté de son Père céleste et se livra courageusement à ses ennemis. - Combien différente fut la conduite des apôtres qui s'étaient crus forts et avaient négligé de prier ! D'abord ils voulurent résister à la volonté de Dieu en empêchant les soldats de saisir Jésus ; ensuite, voyant que c'était inutile, au lieu de l'accompagner et de l'encourager par leur présence, ils s'enfuirent comme des lâches, et bientôt après l'un d'eux, Pierre, fit même semblant de ne pas le connaître, il le renia.

Ne soyez pas orgueilleux et présomptueux comme le furent alors les apôtres. Souvenez-vous toujours que vous êtes faible et priez avec persévérance afin que Dieu vous donne le courage de vous soumettre à sa volonté quand vous aurez à souffrir.

Partie de l'élève.

SUJET : Jésus en Géthsémané. Que ta volonté soit faite...
( Mat. 26 : 35-36.)
Versets à apprendre :
Mon père, s'il est possible que cette coupe s'éloigne de moi ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que je veux. (Mat 26:39.)
Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas dans la tentation. (Mat. 26:41.)
Que ta volonté soit faite ! (Mat. 26:42.)

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