Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

(30 JANVIER.)

Mission de Paris.


Cantiques proposés :
N° 140. Amis, chantons... - N° 141. 0 Dieu, vois Les enfants !


La Société des Missions évangéliques de Paris aura connu, avec cette longue guerre qui nous oppresse, les jours les plus sombres, sans doute, de son histoire.

Cette histoire, de plus ; de quatre-vingt-dix ans, a eu cependant à son actif bien des épreuves !
La guerre de 1870-71 avait jeté un sombre voile de deuil et de souffrance sur nos amis ; et pourtant la Société des Missions avait triomphé de l'épreuve sans perdre aucun de ses membres directeurs, aucun de ses ouvriers. Aucun de ses missionnaires n'avait dû rentrer de son champ de travail pour prendre sa part des fatigues et des risques de la guerre. Les finances de la société avaient été en péril, mais Dieu avait pourvu merveilleusement à tous les besoins des ouvriers. Même lorsque, pendant le long siège de Paris, le directeur fut isolé et privé de moyens de communications avec la province, Dieu dans sa bonté pourvut à tout.

M. Casalis, le directeur d'alors, put envoyer, par le moyen des ballons, quatre courts billets aux amis de Hollande, de Genève, de Vaud et de Neuchâtel, leur recommandant de penser aux besoins de l'oeuvre missionnaire. Ces amis répondirent généreusement : La Hollande envoya 10 000 francs, Genève 7250 francs, le canton de Vaud 9500 francs, et enfin celui de Neuchâtel 5960 francs. Après le siège, non seulement tous les frais étaient payé, mais il restait encore un boni.

On me dira sans doute : qu'est-ce que cela en comparaison d'aujourd'hui ! L'oeuvre a sextuplé, le budget aussi, les responsabilités se sont multipliées... et j'ajouterai : la guerre aussi a sextuplé et décuplé en étendue, en horreur, en durée...

La parole de Dieu nous dit que « celui qui est fidèle dans les petites choses le sera aussi dans les grandes, » et si cette parole s'applique à nous, à combien plus forte raison s'applique-t-elle à Celui qui s'occupe de nous ! Or, la bonté et la fidélité de notre Père céleste, qui ont permis à notre Société des Missions de traverser la tourmente de 1870-71, nous permettront aussi de traverser la tourmente actuelle, si redoutable qu'elle soit !
Ah ! ce n'est pas sans souffrances !
Maison des Missions presque vide, ... où sont les jeunes pleins de joie, et de vie qui l'animaient !
Budget de guerre, ... c'est-à-dire budget diminué jusqu'à la limite du possible, et peut-être pour quelques-uns au delà du possible.
Champs de Missions où les plus anciens, - c'est-à-dire les épuisés par de longues années de travail missionnaire, - ont tâche double, les jeunes étant rentrés pour prendre leur place parmi les combattants ou parmi les infirmiers.
Ceux-ci, - messagers de paix là-bas, guerriers ici pour défendre le sol envahi, - qui dira leurs angoisses, leurs combats intérieurs, et parfois, le soir, dans la tranchée, la nostalgie de l'oeuvre abandonnée qui oppresse leur coeur.

Plusieurs sont déjà tombés, parmi les missionnaires, parmi ceux qui allaient le devenir, et elle reste ouverte, la parenthèse ! Combien tomberont encore ?
Et cependant ce n'est pas la note découragée que fait entendre le Comité directeur de la Société. Ce n'est pas la plainte angoissée, on le ressouvenir des jours meilleurs du passé. Non, c'est plutôt l'appel à l'effort présent qui permettra un avenir meilleur. « En temps de guerre, chacun doit donner son maximum, » - « nous ne perdons pas courage, » - « confiance ! » - « Ces jours d'épreuve. Ces coups redoublés, ... pourquoi, ô mon Dieu ? - afin que tu portes plus de fruits. »

Mais les morts se multiplient dans nos rangs, l'oeuvre de haine triomphe... Non, « l'amour est plus fort que la mort, » « la charité ne périt jamais. »

Il faudra, quand cette horrible guerre sera terminée, reprendre la tâche avec un nouveau courage ; il faudra l'accomplir dans un esprit de consécration, avec humilité et avec foi. La Suisse aura sa grande part dans la reconstruction mondiale de la Mission.

Comme au temps du terrible Pharaon de l'Égypte, dans toutes les familles on pleurera ses morts, - les fils, les hommes forts ne seront plus, - et les nations qui auront eu part à ces grandes tueries seront pauvres en jeunes hommes, Les sociétés de Mission se tourneront alors vers nous et nous diront : « Vos fils ont été épargnés, consacrez-les au service de Dieu et des hommes, vos frères. Donnez-nous vos enfants pour être la génération missionnaire de demain... »

Voilà l'appel que la Suisse entendra de toutes parts et auquel elle devra répondre. En outre de cela, il y aura la raison politique. Tant de ferments de haine auront été semés parmi les peuples, qu'un étroit et farouche nationalisme élèvera ses barrières autour des colonies les plus lointaines. De longtemps la pénétration des peuples, hostiles aujourd'hui, ne pourra s'accomplir ; mais la Suisse sera le trait d'union béni. Dans le domaine missionnaire, elle pourra aller et travailler chez les uns et chez les autres, reprendre la tâche interrompue ici, remplacer les autres là-bas, secourir, renforcer, et parce qu'elle n'a de colonies que celles créées par sa charité, toutes les colonies lui seront ouvertes et partout elle sera la bienvenue.

Aussi est-ce le moment de travailler parmi les jeunes ! Moniteurs et monitrices, vous avez à l'heure actuelle la plus belle et la plus urgente des tâches, et si Dieu ne vous appelle pas vous-mêmes, - vous êtes-vous posé la question ? - il appellera sans doute quelques-uns de vos élèves de l'école du dimanche. Oh, de grâce, n'allez pas répondre, comme Eli au jeune Samuel, lorsque celui-ci accourut vers lui la première fois : « Mon enfant, couche-toi et dors ! »

Malgré la guerre, l'oeuvre continue. Le règne de Dieu vient.
Je n'en veux pour preuve que cette lettre reçue de Madagascar ces jours-ci. Je la donne telle qu'elle m'a été adressée par mon frère, missionnaire à Tsiafahy. Elle est un réconfort dans les tristesses de l'heure présente, elle est la preuve vivante des nouvelles pages qui s'ajoutent au livre des Actes des apôtres, elle est l'appel vibrant qui vient à nous des plages lointaines,

« Bien que toujours pressé par le surcroît de travail que me donne l'intérim du district d'Anosibé et le soin de nombreux malades, je veux t'écrire quelques lignes, ne serait-ce que pour te donner quelques faits intéressants, pour renouveler et « actualiser », si on pouvait ainsi dire, tes conférences. Nous avons eu ces derniers temps plusieurs séries, de réunions d'évangélisation dans diverses localités qui ont été, en réelle bénédiction à beaucoup. Je ne puis parler de ces diverses campagnes. Ce serait trop long. Je voudrais te parler seulement de celles qui ont eu lieu à Antsiriribé, à environ une heure et demie d'ici. Il y avait autrefois dans, cette localité un modeste temple, mais le missionnaire du district avait alors contre signé son acte de décès par cette, note mélancolique : « Temple et Église disparus. »

» Aussi, grand fut mon étonnement lorsque je lus dans la liste des temples autorisés que l'administration m'adressait, le nom du temple d'Antsiriribé : temple et Église vraiment disparus, comme l'avait écrit un de mes prédécesseurs dans, ce district.

» Cette générosité, à laquelle le gouverneur de la colonie ne nous avait pas habitués, me parut avoir quelque chose de providentiel. Ce qui n'existait pas, pouvait devenir.

» Je réunis quatre des Églises les plus proches de cette localité, je les décide à reconstruire le temple disparu ; elles acceptent et une fois construit, elles vont de hameau en hameau, de case en case, pour presser les gens d'entrer ; il en vint une centaine, presque tous païens et païens pratiquants.

» Malgré toutes les explications, ils ne comprenaient pas ce qu'on leur voulait - Ils voulaient jouer à la petite Église - fonder des sociétés pour visiter les accouchées, les gens en deuil et pour fournir un honorable suaire aux morts, - une espèce de société de secours mutuels, quoi ! Le formalisme menaçait de les tuer dès leurs premiers pas. Une série de réunions d'évangélisation fut décidée avec mon évangéliste de Tsiafahy, Razanadrakata. Elles durèrent cinq jours et se continuèrent le dimanche suivant.

» Ce fut d'abord de l'étonnement, presque de l'ahurissement, puis peu à peu une certaine inquiétude s'empara de plusieurs, et les derniers jours furent des jours tels que je n'en ai pas encore vu à Madagascar. Nous entendîmes et nous vîmes là des choses vraiment nouvelles et extraordinaires, renouvelées du temps des apôtres. Nous eûmes des journées inoubliables. Le sentiment du péché, s'exprimait en des paroles d'angoisse. Les confessions étaient précises et saisissantes. Le désir de réparer ce qui pouvait l'être était manifeste.

» Ici. une femme se levait et montrait une couverture qu'elle avait volée à la femme du précédent missionnaire ; là, d'autres confessaient des vols d'argent, des fraudes, envers le fisc, des fausses déclarations, des adultères.
Une guérisseuse païenne, qui avait gagné beaucoup d'argent, renvoya les malades qu'elle soignait chez elle, renonçant ainsi à ses moyens d'existence. Un jour voyant l'évangéliste à genoux, en prière sous un manguier, elle l'appela comme on appelle quelqu'un au secours et lui fit part de son désir d'être sauvée, quelque sacrifice qu'elle eût à faire. D'autres prirent la résolution de régulariser leur union. Beaucoup apportèrent leurs amulettes. Elles sont là devant moi pendant que je t'écris. Il y en a de toutes sortes. Voici les amulettes qui vous permettent d'avoir beaucoup d'enfants. On suspend les unes au cou, ou sur les murs de la maison. Avec les autres on se fait frotter le dos. Voici les amulettes, espèce de philtre d'amour capable de le créer où il n'est pas et de l'augmenter et de le conserver là où il existe. En voilà contre la grêle, la foudre, contre les caïmans, etc., etc. Ces gens sont transformés maintenant. Leur visage est radieux, ils achètent des cantiques, des Bibles, des Évangiles et se sont fait inscrire comme catéchumènes. Ils sont tellement vibrants qu'on n'ose pas les rassembler en même temps que les autres catéchumènes, de peur qu'ils ne soient refroidis par leur contact. Je n'avais pas encore entendu prier comme cela à Madagascar. Il y a eu là une véritable Pentecôte. Ce mouvement étonne les incrédules de la région et ceux qui sont encore restés dans leur paganisme. Cela trouble même plusieurs des vieux habitués de nos lieux de culte. On en parle beaucoup dans toute la région. J'ai entendu des prières, des intercessions, des confessions d'une tragique grandeur ; on sentait que Dieu était là. Les entretiens dans les cases duraient jusqu'à midi. Maintenant ils se réunissent, tantôt chez les uns, tantôt chez les autres, pour des réunions de prières et d'entretiens. Le salut des leurs est devenu pour eux une véritable obsession.

» Dieu a fait pour nous de grandes choses, et nous en attendons encore de plus grandes.
» Je viens d'avoir la visite de Razafindrazaka, qui désirait me demander conseil sur une demande en mariage qu'on vient de lui faire. Le jeune homme est riche, intelligent, tout à fait bien selon le monde et déclare qu'il veut se convertir. Les parents de la jeune fille la poussent beaucoup à accepter. Ils l'ont même induite en erreur sur la piété de ce candidat. Mais dès qu'elle a appris la vérité sur son état d'esprit, elle n'a rien voulu savoir, bien que son coeur ait été déjà pris. Et elle me dit en pleurant, et avec une grande énergie :
» - Je préfère ne pas me marier, et mourir s'il le faut, plutôt que d'épouser un jeune homme qui ne soit pas réellement chrétien. Je veux rester la fiancée de Jésus-Christ.
» Cette visite m'a fait du bien, J'en ai été réconforté. Elle m'a demandé si elle pouvait venir me voir souvent, et comme je lui disais :
» - Mais certainement, mon enfant, toutes les fois que je serai ici ! elle m'a remercié en me prenant la main entre ses deux mains et en se frottant énergiquement la figure dessus, selon l'habitude malgache, en signe de reconnaissance. Mais il faut que je m'arrête...

» S. DELORD,

missionnaire du district de Tsiafahy, Madagascar. »



Il y a là-bas - à Madagascar - des milliers et des milliers de villages où une oeuvre semblable pourrait s'accomplir si nous avions les hommes et les ressources. Mais Dieu sait, Dieu connaît les besoins de son oeuvre et Il sait aussi quels sont les moments favorables.
Une seule chose importe : c'est lorsqu'Il appelle, lorsqu'Il demande, que ses serviteurs et ses servantes répondent aussitôt : Me voici !



Lire dans l'Éducation chrétienne, sept. 1913, une très intéressante et très complète étude sur Madagascar, par M. le pasteur Ed. de Perrot.

PH. D.




Voici en outre une fable malgache tout à fait « couleur locale » et non dépourvue d'esprit.

Le Caméléon et le Sanglier.

Fable racontée par les gens d'Itremo, à l'ouest du Betsileo.

Le Caméléon et le Sanglier se rencontrèrent un jour sur la grande route :
- Seigneur Caméléon, dit le Sanglier, pourquoi donc avez-vous tous, soit jeunes, soit vieux, une aussi bizarre démarche ? J'en vois de tout petits comme toi marcher drôlement, et aussi de très vieux. Serait-ce paresse à avancer ? ou bien songez-vous à revenir sur vos pas, que vous ayez cette démarche de gens affaiblis par la fièvre ?

Le Caméléon : Si telle est notre allure, c'est que nous pensons au passé et réfléchissons à l'avenir, dans la crainte que le ciel ne nous écrase une fois grands, ou que la terre ne nous Prenne encore tout jeunes ; lorsque nous allons ainsi à pas comptés, nous rendons honneur au ciel qui nous couvre et à la terre que nous foulons.
Le Sanglier : Ah ! c'est bien.

Le Caméléon : Et vous, pourquoi avancez-vous en vous précipitant et tombant sans cesse, et pourquoi dévorez-vous tout ce qui vous tombe sous la dent ?
Le Sanglier : C'est que nous n'aimons ni à songer au passé ni à réfléchir à l'avenir ; il faut s'en tenir au présent et s'en donner à coeur joie.

Le Caméléon : Ah ! voilà qui est mal.

On dit que le Sanglier comprit à peu près les réflexions du Caméléon et qu'il se mit à marcher comme lui. Mais au bout de quelque temps il n'y tint plus :
- Seigneur Caméléon, dit-il, pouvez-vous, vous autres, vous enfuir, en cas d'alerte ?

Le Caméléon : Mais oui, nous le pouvons.
Le Sanglier : Eh bien ! luttons de vitesse à qui arrivera le premier à la colline là-bas.

Le Caméléon : Oui, mais laisse-moi d'abord monter sur l'arbre que voici pour examiner la route à Parcourir, de peur que quelque obstacle ne nous blesse en chemin.

Le Sanglier : L'idée est bonne.

Le Caméléon regarda bien le cou du sanglier, puis il dit :
- En avant !

Et comme le Sanglier s'élançait, le Caméléon lui sauta sur le cou. Le Sanglier ne sentit rien, il était tout à son affaire et ne pensait qu'à arriver à temps. Au moment de toucher le but, le Caméléon de nouveau bondit en avant (le Sanglier n'y vit rien encore), et quand le but fut atteint, le Sanglier fut stupéfait : n'était-ce pas, là, devant lui, le Caméléon, déjà arrivé ?
Le Sanglier se rangea dès lors aux idées du Caméléon.
Il donna cet ordre à sa postérité : « Il faut que tous mes descendants marchent lentement et s'apprivoisent ! »
On dit que ce sanglier fut l'ancêtre des cochons domestiques.




Pour les petits.

Longtemps avant la venue de Jésus-Christ, longtemps avant les rois Saül, David et Salomon, l'Éternel fit sortir les Israélites du pays d'Égypte où Ils étaient en servitude. Arrivés à la montagne de Sinaï, sous la conduite de Moïse, ils reçurent les dix commandements (décalogue), dont voici le premier : Tu n'auras point d'autres dieux devant ma face.

1. Il y a un seul Dieu, le Tout-Puissant, créateur des cieux et de la terre et de toutes les créatures qui y habitent, anges, hommes, animaux, plantes. Il est le Père céleste et nous sommes ses enfants bien-aimés. Et ce que les Israélites ne pouvaient encore savoir, non seulement il nous aime d'un amour infini, mais pour nous le faire savoir il a envoyé dans le monde son Fils unique, Jésus-Christ, dont la naissance, la vie, les enseignements, les miracles, les souffrances, la mort et la résurrection vous sont racontés à l'école du dimanche.

2. C'est donc une folie de penser que ce qui a été créé par l'Éternel, que le soleil, la lune, les étoiles, que des montagnes, des fleuves, des hommes, des animaux utiles ou malfaisants, des statues de bois, de pierre, de métal sont des dieux que nous devons craindre et prier. Qui pense cela ? Autrefois les Égyptiens, les Cananéens, les Babyloniens, tous les peuples du monde, et aujourd'hui encore les païens auxquels on envoie des missionnaires pour leur apprendre à connaître le vrai Dieu ; ils adorent la créature au lieu du Créateur. Nous devons l'adorer lui seul, c'est-à-dire l'aimer de tout notre coeur, lui adresser nos prières, observer ses commandements comme des enfants obéissants. Mais si nous savons ces choses et que nous nous permettions de mentir, de tromper, de nous quereller comme si Dieu, qui nous le défend, n'existait pas, nous sommes aussi coupables que les païens qui ne le connaissent pas. Nous l'offensons gravement, et il ne l'ignore pas, car :

3. Nous sommes toujours devant sa face. Vous avez vu peut-être un tableau représentant une personne dont les yeux vous regardaient bien en face. Quand vous avez essayé de vous placer à droite, ils vous regardaient tout de même ; vous vous placiez à gauche, ils vous regardaient encore ; où que vous alliez, ils vous regardaient toujours. De même les regards de Dieu vous suivent partout et toujours, dans vos travaux, dans vos jeux, à la promenade, à l'école du dimanche, à la maison, dans votre lit, pendant la nuit sombre, ils sont toujours fixés sur vous. L'Éternel regarde du haut des cieux... il observe tous les habitants de la terre, dit la Bible. (Ps. 33 : 13, 14.) - Comme c'est attristant pour l'enfant fautif ! Mais comme c'est réjouissant pour l'enfant sage, qui peut dire : « Dieu me voit faisant ce qui lui est agréable, et il en éprouve du plaisir » ; et comme c'est encourageant pour l'enfant faible et craintif de pouvoir encore se dire « Dieu me voit et prend soin de moi ! »

L. N.

Partie de l'élève.

SUJET : Mission de Paris.
Versets à apprendre :
La terre sera remplie de la connaissance de l'Éternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent. (Hab. 2: 14.). -
Le Fils de l'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. (Luc 19: 10.) -
Tu n'auras point d'autres dieux devant ma face. (Ex. 20: 3.)

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