Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

(23 JANVIER.)

Jésus et le sabbat. Que ferons-nous de nos dimanches ?


Luc 6: 1-11.

Cantiques proposés :
N° 112. Voici l'heureux jour... - NI 113. Quel bonheur, quand, faisant trêve...


Un bienfait de Dieu. - Quel est le jour de la semaine que vous aimez le mieux ? - Le dimanche, n'est-ce pas. Et pourquoi ? - C'est que c'est un jour différent de tous les autres jours, un jour de fête. On vous met vos beaux habits, votre papa ne part pas pour le travail à l'aube et ne rentre pas tout fatigué on tout préoccupé à midi ou le soir ; peut-être même qu'il s'amuse avec vous, Vous allez en promenade tous ensemble, en famille, au bord du lac, dans la campagne ou dans les bois ; vous y « goûtez » en plein air, rapportez des fleurs, des petits fruits cueillis dans les haies, de bonnes couleurs sur vos joues. Le dimanche, c'est le jour ou vous vous réunissez en bandes d'amis pour jouer, faire (les rondes, chanter ; il vient souvent des visites à la maison ou c'est vous-mêmes qui allez, en train peut-être, - quelle joie ! - trouver au loin des parents ou des connaissances que vous ne voyez que rarement. - Mais ce qui plaît certainement le plus aux aînés parmi vous c'est que ce jour-là ils n'ont pas l'école, pas de tâches à faire. Quel bonheur, un jour de vacances, et comme on s'en réjouit à l'avance ! Et puis, j'espère que vous avez du plaisir, comme nous, à vous retrouver chaque semaine avec nous pour parler du bon Sauveur Jésus, pour prier Dieu, pour chanter. Oui, le dimanche est une belle journée !

Mais il l'est bien plus encore pour des masses de pauvres gens dont vous ne connaissez heureusement pas encore le sort pénible. Il y a dans de nombreuses villes des ouvriers qui travaillent tous les jours de la semaine depuis le grand matin à la nuit et qui n'ont jamais, jamais le temps de caresser leurs enfants, de lire un livre, de faire une promenade, de voir des amis. Le dimanche, pour eux, c'est un jour où ils sortent comme de prison, c'est le seul où ils voient le ciel bleu, des fleurs, de la verdure, où Ils se sentent des hommes. En devenant grands vous comprendrez mieux ça. Quand vous verrez, au matin de ce jour, les fabriques, les magasins, les bureaux fermés ; quand vous entendrez, sous un ciel resplendissant, les cloches des temples sonner de tous les côtés ; quand vous regarderez les gens endimanchés se diriger vers les temples et les chapelles, oh ! alors vous comprendrez quel immense bienfait Dieu a donné aux hommes en leur imposant, depuis les temps les plus anciens, le jour du repos. Ce jour rend à beaucoup la santé et le plaisir à la vie ; c'est lui seul qui les empêche de devenir des machines ou des bêtes de somme. Sans dimanche, comme nous serions malheureux !

Ce que les Juifs en avaient fait. - Vous avez de la chance d'avoir d'aussi beaux dimanches ! Je suis sûr que si vous aviez été des petits Juif, du temps de Jésus, il n'y a pas de jour que vous auriez plus détesté, que le sabbat, le samedi, qui était leur dimanche à eux. Vous n'auriez pas pu aller à la promenade, car il était défendu de faire plus d'un mille (900 m.) ce jour-là. On vous aurait sévèrement défendu de grimper sur un arbre, de mettre vos souliers à clous pour aller vous luger - s'il y avait en de la neige - car porter ces clous était un travail interdit, aussi bien que de porter une aiguille ! Défense de claquer des mains, d'écrire une carte illustrée à un ami puisque mettre ce jour-là deux lettres l'une à côté de l'autre sur du papier était un crime ! Oui, un crime qu'on payait chèrement : du fouet, d'un sacrifice coûteux ou de la mort !
Vous n'y pouvez pas croire, n'est-ce pas, et vous ne comprenez pas la raison de ces défenses ridicules ? Elles partaient pourtant d'une bonne intention : ne faire aucun travail ce jour-là, selon l'ordre du quatrième commandement, pour le réserver entièrement à Dieu. Le travail absorbe et fatigue tellement que bien des gens, pendant la semaine, oublient tout à fait Dieu ou ne peuvent pas penser à lui et le prier comme ils voudraient. C'est bon, alors, d'être obligé, comme tout le monde, de s'arrêter, et d'avoir une bonne journée pour s'occuper de son âme quand on en a passé six à pourvoir aux besoins de son corps. La loi juive, si sévère, était donc excellente en soi, mais, en la poussant si loin, les rabbins, les pasteurs, de l'époque, en avaient fait quelque chose non plus de bon, mais de mauvais. Dieu avait voulu le sabbat, le dimanche, par amour pour ses enfants, et voici que les Juifs en avaient fait un supplice ! Mais oui, on n'avait pas le droit ce jour-là de soulager un malade, de remettre une jambe cassée, d'allumer du feu ou une lampe, de porter la moindre goutte de lait ! Et ces gens pensaient faire plaisir au bon Dieu en interdisant sévèrement à un pauvre infirme affligé d'une jambe de bois de faire un seul pas pendant le sabbat, parce qu'il aurait ainsi transporté... son membre artificiel !!

Comment Jésus le comprenait. - Vous pouvez bien. penser que Jésus n'avait pas les mêmes idées, lui ! Il annonce un Dieu tout différent, un Père qui ne donne des lois que pour le bien de ceux qu'il aime et non pour les tourmenter, Lin Dieu qui est esprit et amour, non pas lettre et tyran. Le sabbat a été fait pour l'homme, pour le, bonheur de son corps et de son âme, et non pas l'homme pour être gêné, opprimé par le sabbat. (Marc 2 : 27.) Oh ! sans doute, Jésus aime et respecte le sabbat. Il ne manque jamais de participer fidèlement au culte de la synagogue, d'observer humblement cette sainte, cette bonne loi du repos ; mais il ne veut pas que le jour du Seigneur se transforme pour personne en prison ou en supplice.

Il l'a bien montré dans les deux circonstances que voici : Un beau dimanche (1), comme il traversait un champ de blé, ses amis qui avaient faim cueillirent en passant quelques épis qu'ils froissèrent dans leurs mains pour en manger les grains. C'était, en général, chose permise dans cet Orient si 'généreux et si hospitalier (Deut. 23 : 24 et 25). Mais pensez donc, froisser dans ses mains des épis un jour de sabbat ! Voilà des pharisiens qui s'indignent, reprochant vivement sans doute à ce soi-disant prophète, à ce soi-disant homme de Dieu de transgresser ce qui pour eux était la loi des lois, ce qui, par excellence, distinguait les Juifs des païens. Mais Jésus n'a pas de peine à montrer combien cette pédanterie et cette religion toute formaliste étaient contraires à l'Écriture elle-même : David n'avait-il pas, un jour qu'il avait faim, mangé sans scrupule dans un sanctuaire des pains consacrés que seuls les prêtres avaient le droit de manger (I Sam. 21 : 1-6 ; Lévit. 24 : 5-9) ? Personne ne lui en avait voulu, car il est évident que, par simple respect pour un article de loi Dieu ne veut pas la mort d'un homme. Par conséquent, comment reprocher aux disciples de cueillir quelques épis pour assouvir leur faim ?

Un autre sabbat, l'attitude de Jésus fut plus significative encore. Il y avait à la synagogue un pauvre homme dont une main était paralysée, par défaut de circulation du sang ayant apparemment provoqué le « décroît ». Les pharisiens observent Jésus. Aura-t-il, l'audace, en pleine synagogue, de braver la loi ? Ce serait un peu fort ! - Jésus a pleine conscience de la situation. Il devine les pensées des assistants. Il sait que guérir ce malade, c'est s'exposer à la mort. Mais plus qu'à sa vie, il tient à ce qu'on ne déshonore pas Dieu par des cruautés révoltantes, par des ordonnances cérémonielles qui n'ont aucun rapport avec son coeur de Père. Pour bien montrer qu'il sait ce qu'il fait, il promène sur ses adversaires un regard d'indignation et de tristesse à cause de la dureté de leurs coeurs (Marc 3 : 7), il fait courageusement venir le malade au beau milieu de l'assistance et, posant la question sur son vrai terrain, il demande s'il peut-être, un jour de sabbat, un dimanche, défendu de faire du bien, et par conséquent permis de faire du mal en ne soulageant pas une infortune. Dieu ne peut pas vouloir ça ! Et, ostensiblement, il guérit la main paralysée, ce qui, comme il pouvait le prévoir, redouble l'indignation et la rage des pharisiens, furieux de voir cet homme braver leur volonté redoutable et se mettre, avec tant d'autorité, au-dessus de la loi.

Ce que sont devenus nos dimanches. - C'est pitié de voir comment les rabbins juifs avaient ainsi abîmé le bienfait de Dieu qu'est le dimanche ! Nous ne risquons pas de le gâter de la même façon, n'est-ce pas ? Dans certains milieux d'Angleterre, cependant, le dimanche est aussi devenu un jour peu aimé des enfants parce qu'on leur défend sévèrement de s'amuser, de lire autre chose que des livres de piété et qu'on les emmène deux ou trois fois à l'église. Mais chez nous nous ne courons pas ce même danger...

Nous en courons d'autres, et les dangers qui menacent notre bienfaisant dimanche, pour être l'exact opposé de ceux des Juifs ou des Anglais, n'en sont pas moins graves et ne provoqueraient pas moins l'indignation de Jésus.

Le jour de repos si nécessaire, si bienfaisant, le jour de vacances, de délassement, de délivrance voulue par notre bon Père, on tend, en bien des endroits, à le supprimer peu à peu. On y change d'habits peut-être, mais on travaille souvent comme les jours de semaine ou on fixe à ce jour-là toutes sortes de séances, de rendez-vous, d'occupations qui enlèvent à cette journée bénie le meilleur de ce qu'elle tient en réserve.

Et quand on s'abstient de travailler, au lieu de profiter, selon le but profond et divin du dimanche, de ces heures précieuses de liberté pour se restaurer l'âme aux sources vives que sont la vie de famille, le contact avec la nature, les délassements du coeur et de l'esprit, la communion de Dieu en compagnie des autres chrétiens, de plus en plus, hélas ! on fait du dimanche une journée de perdition et d'empoisonnement, pendant laquelle on s'épuise le corps et tue son âme ; ce qui fait qu'au lieu de recommencer une semaine « délassé » et « récréé » on se prépare un lundi pire que tous les autres jours. Il vaudrait bien mieux alors travailler ce jour-là que chômer. « Je vous le demande, disait Jésus avec indignation, est-il permis, le jour du sabbat, de tuer une personne ? »

Que ferons-nous de nos dimanches Nous en ferons, pour nous comme pour les autres, le bienfait que Dieu a voulu, lui qui a fait le sabbat pour l'homme.

Des Jours de repos, tout d'abord. Dans des milieux, dans des familles où, par suite de la dureté des temps, on a peut-être pris peu à peu l'habitude de travailler, à l'occasion, le dimanche comme un autre jour, même quand cela n'est pas absolument nécessaire et qu'il ne s'agit de sauver personne ni de la faim ni de la maladie, nous prendrons la défense de ce cadeau que Dieu nous a donné. Nous réclamerons de nos aînés que ce dimanche soit autre chose que les jours de semaine, qu'on y vive, qu'on s'y promène, qu'on s'y délasse en famille. Et nous témoignerons beaucoup d'affection et de douceur à nos chers parents pour les reposer et les compenser un peu des fatigues de la semaine, de sorte que pour eux aussi le dimanche soit une fête. - Et ce que nous désirons pour nous, nous ne le volerons pas à d'autres. Pensons-nous assez qu'en envoyant ce jour-là des lettres qui peuvent attendre, en allant chercher au magasin des choses qu'on aurait pu y prendre le samedi, on prive de leur dimanche des employés qui en ont souvent plus besoin encore que nous ?

Et puis, de nos dimanches nous ferons surtout de vrais Jours du Seigneur (dies Dominica). Chaque dimanche est une occasion particulière que Dieu nous donne de devenir plus heureux en le connaissant et en le servant mieux. Profitons-en. Il n'y en a que cinquante-deux dans ]'année. À quoi sert le repos ? - À nous rendre des forces pour mieux travailler. - À quoi sert le travail ? - À gagner notre pain nécessaire à la vie. - Mais à quoi sert la vie ? - Elle ne peut servir qu'à une chose si nous ne voulons pas être de simples machines qu'on mettra au vieux fer une fois leur tâche finie, ou des bêtes qui crèvent quand elles sont trop âgées : à développer, à épanouir nos âmes, à les faire servir à l'oeuvre de Dieu, à les préparer à la vie éternelle. Le dimanche n'est pas assez s'il n'est qu'un jour de repos. Il faut que chaque dimanche, par les cultes que nous aurons célébrés, les prières que nous aurons fait monter au ciel, les pensées que nous aurons eues, les livres que nous aurons lus, notre âme se rapproche un peu plus de Dieu.

Aux aînés de nos élèves qui pourraient se poser les questions délicates que la vie apporte aux consciences chrétiennes et se demander s'il est « permis » de rentrer les foins ou la moisson, de faire tel travail ou tel autre le dimanche ; à ceux qui voudraient savoir quelles sont les travaux « nécessaires » chrétiennement légitimes ce jour-là, répondons par le mot du v. 5 : C'est Jésus qui est le maître du sabbat. Pour le chrétien, il n'y a plus de loi rigide. Sa loi vivante c'est Jésus-Christ. À ceux qui vivent en communion avec lui, ce Sauveur vivant donne jour après jour les consignes voulues, souvent fort différentes pour les uns et pour les autres. Quelle douceur que de ne dépendre que de lui et non plus de rigides, de cruels pharisiens !


P. -S. - Le numéro de mars 1901 de l'Éducation chrétienne, p. 110, renferme une anecdote extrêmement bien faite pour faire sentir aux enfants l'« esprit » de l'observation du dimanche. - Inutile, sans doute, de rappeler aussi le travail de M. P. Bonnard paru dans notre journal en décembre dernier et dont je relève spécialement les pages 537 et 538

M. V.




Pour les petits.

Récapituler leçon du 16 janvier. - Dites maintenant les noms des jours de la semaine. De ces sept jours, six sont employés à travailler : papa et les frères aînés vont aux champs, à la vigne, à la forêt, à l'atelier, au bureau ; maman et les soeurs aînées s'occupent du ménage, des vêtements, du magasin ; les enfants vont à l'école ou préparent leurs leçons, ou sont occupés à la maison. C'est Dieu qui l'ordonne : « Six jours tu travailleras » (Ex. 20 : 9) ; « si quelqu'un ne veut pas travailler, il ne doit pas non plus manger. » (2Thess. 3 : 10.) - Enfin arrive le septième jour ; que fait-on ce jour-là ?

1. On se repose du travail de la semaine. C'est pourquoi les Juifs l'appelaient sabbat, c'est-à-dire repos ; c'était le samedi qui était leur sabbat. Notre jour de repos est le dimanche, appelé de ce nom qui signifie « jour du Seigneur », parce que c'est alors que le Seigneur Jésus est ressuscité des morts après avoir été crucifié. C'est donc un jour de fête, où l'on met ses plus jolis vêtements, où toute la famille est réunie ; ah ! quel beau jour !

2. On va à l'église on à l'école du dimanche. - Pourquoi le dimanche plutôt que les autres jours ? Parce qu'alors on n'est pas empêché par son travail ; on a le temps d'aller au culte. Et quel grand privilège que celui d'entendre la Parole de Dieu, de prier, de chanter ensemble ses louanges ! - Ainsi nous suivons l'exemple de Jésus, dont la Bible dit qu'il allait alors à la synagogue, que c'était sa coutume. (Luc 6 : 6.)

3. On lit des livres intéressants. - Quand vous saurez lire couramment, vous trouverez que c'est un grand plaisir, le dimanche, quand il pleut, de lire le Petit Poucet, Cadichon, les Malheurs de Sophie, Robinson Crusoé, etc., et les belles histoires de la Bible, qui est le livre le plus précieux de tous. C'est peut-être celui que préfère, le seul que lise maintenant grand-maman, dont les yeux sont affaiblis ; elle sera ravie quand vous pourrez la lui lire à haute voix, distinctement.

4. On se promène. (Luc 6 : 5) - Il est agréable alors, pendant la belle saison, d'aller en compagnie, avec papa et maman, dans les prés, en suivant de jolis sentiers, dans les bois, où l'on entend chanter le merle, où l'on cueille des mûres, des myrtilles, des framboises, des fraises. - Le Sauveur, lui aussi, se promenait le jour du repos. Une fois Il s'en allait à travers les moissons mûres avec ses disciples. Comme ils avaient faim et n'étaient pas gourmands, les disciples se mirent à arracher des épis, ce qui était permis en Israël (Deut. 23 : 95), et à les froisser entre leurs mains pour en manger les grains en guise de repas. Vous allez être surpris : des pharisiens (expliquer le mot) qui les virent les blâmèrent, prétendant qu'en arrachant et froissant ces épis ils faisaient un travail défendu le jour du repos, comme de moissonner. N'est-ce pas que c'était ridicule ? Et que leur répondit Jésus ? (v. 3, 4.) Vous voyez comme il est utile de connaître la Bible ; Jésus l'avait apprise dans son enfance.

5. On secourt les malheureux. (Luc 6 : 6-11.) - Jésus guérissait les malades le jour du repos ; il le faisait quand même les pharisiens l'en blâmaient, prétendant que c'était aussi un travail, comme d'arracher et de froisser des épis. Écoutez le récit de l'une de ces guérisons. - Raconter le fait, - Vous ne pouvez pas guérir les malades, mais vous pouvez les visiter ; ils sont heureux quand on va les voir ; quelle joie pour l'élève des écoles du dimanche, quand il est malade, qu'il s'ennuie et souffre dans son lit, de voir arriver, le dimanche, ses petits amis ou petites amies ! En outre, vous faites plaisir au Seigneur, car son commandement est : Tu aimeras ton prochain ; et que dit-il de ceux qui visitent les malades ? (Mat. 25 : 36, 39, 40.)

Dieu soit béni de nous avoir donné le dimanche où nous pouvons nous reposer, nous promener, aller au culte, lire des livres intéressants, surtout la Bible, et secourir les malheureux. C'est bien le plus beau jour de la semaine.

L. N.

Partie de l'élève.

SUJET : Jésus et le sabbat. Que ferons-nous de nos dimanches ?
Versets à apprendre :
Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. (Ex.20: 8.)
Il est permis de faire du bien les jours de sabbat. (Math. 12:12.)
Tu aimeras ton prochain. (Lév. 19 : 18.)



1 On n'a jamais pu donner une explication satisfaisante à l' expression second-premier.

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