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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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- 1Thess. 5: 21 -
(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Y a-t-il un intercesseur dans la salle ?

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Je pense que plusieurs d'entre vous ont déjà entendu parler de ce film : « y a-t-il un pilote dans l'avion ? ».
Question surprenante, mais compréhensible lorsque les passagers apprennent que le pilote n'est plus à même de mener son appareil suite à une intoxication alimentaire.
Être dans un avion en perdition n'a rien de rassurant !

Est-ce plus rassurant d'être dans un monde qui est en perdition ?
Oui..., il est en perdition, car lui aussi souffre d'une grave intoxication qui empoisonne tout ce qu'elle touche. La fin de ce monde est connue des « spécialistes » ; ils savent déjà que la Terre ne pourra plus se relever d'elle-même tandis que d'autres sont au courant que ce monde est réservé pour le feu (2 Pierre 3 : 7).
S'il n'y avait que lui seul qui soit réservé pour le feu, on pourrait presque se tranquilliser, la fin n'étant pas forcément pour demain ! Mais voilà..., il y a aussi des hommes et des femmes qui sont réservés pour le feu ! Le feu éternel, là où il y aura - continuellement - des pleurs et des grincements de dents.

Si, aujourd'hui, plusieurs d'entre nous ont l'assurance d'échapper à ce lieu de tourments, nous comprenons aisément qu'ils soient vigilants, qu'ils veillent et qu'ils prient tout en travaillant continuellement à leur salut (Philippiens 2 : 12).
Une recommandation faite par l'apôtre Paul ; une recommandation qui n'aurait pas lieu d'être si le salut ressemblait à un passeport acquis définitivement.

Si nous avons l'assurance d'être sauvés, si nous avons la certitude d'échapper à la catastrophe finale dont les effets se font déjà sentir par le fait que la Terre vacille : « La terre chancelle comme un homme ivre, Elle vacille comme une cabane ; Son péché pèse sur elle, Elle tombe, et ne se relève plus. (Esaïe 24 : 20) », à plus forte raison devrions-nous tout faire pour en sauver quelques-uns.
C'est en tout cas la parfaite volonté de notre Dieu qui s'attend à ce que ses rachetés se préoccupent de leurs contemporains ; particulièrement de ceux qui vivent dans leur entourage.

Si un homme devait soulager un âne qui succombe sous sa charge (Exode 23 : 5), s'il nous est ordonné de prendre soin les uns des autres - particulièrement de ceux de notre famille (1 Timothée 5 : 8) - nous n'avons pas à rester indifférents lorsqu'il est question de nos proches qui vont à la perdition éternelle.

Une petite question :
Sous votre toit, là, à votre table..., n'y a-t-il pas des personnes qui n'ont aucune assurance de leur salut ? Des personnes avec qui vous trinquez en levant votre verre pour faire « santé » alors qu'ils sont en route vers la mort éternelle, vers l'enfer !

Jamais nous n'oserions lever notre verre en disant « santé..., et bon voyage en enfer ! » Non ! Nous sommes trop bien éduqués pour cela, mais le résultat est quand même là : nous souhaitons une bonne santé pour le corps mortel, et nous ne souhaitons rien pour l'âme immortelle de cette personne !

« Que donnerait un homme en échange de son âme ? » (Matthieu 16 : 26)
Nous donnons beaucoup pour la santé de notre corps, pour notre bien-être. Dès qu'il y a un petit bobo, on réagit. Par contre, il est à craindre que nous soyons beaucoup moins regardants pour la santé de notre âme et encore moins pour celle de ceux que nous côtoyons plus ou moins régulièrement.

Quand un bateau coule et que des naufragés ont trouvé une planche de salut - nous avons été ces naufragés en perdition - quand des naufragés ont trouvé une planche de salut, en règle générale, ils essaient de tendre la main pour en secourir d'autres ; qu'ils fassent partie de leur famille ou non !
Ils le font d'autant plus facilement s'ils sont en sécurité et qu'ils n'ont plus rien à craindre pour leur vie.

Rares sont les personnes qui s'emploieraient à écarter du salut leurs compagnons d'infortune. (Excepté dans l'Église de Laodicée peut-être ?)

Il faudrait avoir un coeur foncièrement mauvais ou être égoïstes, ou être sourds et aveugles pour ne pas vouloir sauver son prochain alors que nous-mêmes nous venons à peine d'être sauvés.

Quel est l'état de notre coeur aujourd'hui ?
Il est à craindre qu'il ne soit pas comme il devrait être vu le manque d'intérêt qu'il y a à désirer le salut de nos proches et à nous mettre au travail pour semer la Parole de Dieu.
Je ne dis pas que personne ne prie pour personne ; j'essaie de faire comprendre que nous devrions être solidaires les uns des autres pour nous unir dans la prière.
Que nous devrions être UNIS, d'un SEUL coeur, afin d'intercéder en faveur de nos proches..., pour autant que nous les aimions et que nous aimions Dieu.

Aimer Dieu n'est pas une simple formalité !
Aimer Dieu, aimer le Seigneur Jésus, c'est PRIORITAIREMENT GARDER SES COMMANDEMENTS ! Celui qui dit qu'il les garde, laisse sous-entendre qu'il les met en pratique (Jean 14 : 21 ; 15 : 14 ; Jacques 1 : 22) !

Si l'enfant de Dieu est exhorté à prier pour tous les hommes (1 Timothée 2: 1), à combien plus forte raison doit-il intercéder en faveur des siens et leur apporter cette Parole de Vie.

Pourquoi avons-nous tant de difficultés à nous mettre au travail, à manifester l'amour de Dieu déposé dans nos coeurs (Romains 5 : 5) ?
Serait-ce que le Seigneur Jésus n'est pas le centre de notre vie ?
Serait-ce que nous avons perdu :

- le goût des choses de Dieu ;
- l'amour de la Vérité ;
- l'amour de SA parole ;
- que nous avons perdu de vue le Ciel qui est promis à ceux et celles qui marchent en vainqueurs jusqu'à la fin de leur pèlerinage terrestre ?

Esaïe, un prophète de l'ancien Testament, a dépeint la situation spirituelle de son époque. Étrangement, nous constatons que ce qu'il disait nous concerne aussi, car le tableau est identique :

La vérité a disparu, Et celui qui s’éloigne du mal est dépouillé. L’Éternel voit, d’un regard indigné, Qu’il n’y a plus de droiture.
Il voit qu’il n’y a pas un homme,
Il s’étonne de ce que PERSONNE N'INTERCÈDE... Esaïe 59: 15-16

En regardant notre société, en regardant notre famille, en regardant notre rassemblement, il n'est pas improbable que l'Éternel soit profondément attristé :

- d'abord à cause du péché ;
- ensuite en raison de ce qu'il n'y a personne qui intercède en faveur des perdus.

La crainte de Dieu n'est plus devant les yeux de beaucoup, il faut le reconnaître (Romains 3 : 18) ! Ne cherchons pas à contester et reconnaissons que nous n'avons pas beaucoup d'empressement pour obéir à SA Parole, que nous nous excusons souvent d'avoir beaucoup à faire pour ne pas faire ce que nous savons être juste.

Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché. Jacques 4 : 17

L'inaction est donc un péché, un péché dont il est facile de se débarrasser ; il suffit de se mettre au travail. Ce n'est pas la mer à boire de témoigner de la grâce de Dieu dans notre entourage ! Ce n'est pas la mer à boire que de commencer à prier ENSEMBLE pour notre famille !

Certes..., il faut reconnaître qu'il peut y avoir certaines difficultés à un moment ou un autre, quand il est question de savoir qui fait partie de la famille et qui n'en fait pas partie !
En effet, lorsque les liens du mariage ne sont pas là pour unir deux êtres (comme Dieu le demande), la personne non mariée qui est entrée dans la famille en question peut-elle faire partie d'elle puisqu'elle n'a pas voulu y entrer d'une façon habituelle ?

Un peu partout ce genre de vie a tendance à se développer, y compris dans des Églises où les mots « mari et femme » n'ont plus aucune signification.
Quand il n'y a plus de « mari et de femme » dans un couple, il est évident que tous les textes bibliques qui indiquent comment des époux doivent se comporter l'un vis-à-vis de l'autre, n'ont plus de raison d'être.

Si dans les couples - dits chrétiens - il n'y a plus de « mari et de femme » que deviennent les enfants qui naissent de ces unions : sont-ils purs ou impurs ?

... le mari non-croyant est sanctifié par la femme, et la femme non-croyante est sanctifiée par le frère (en Christ) ; autrement, vos enfants seraient impurs, tandis que maintenant ils sont saints. 1 Corinthiens 7 : 14

Le mari est sanctifié par la femme ou vice-versa, mais quand ces fonctions ne sont pas établies, quand elles sont remplacées par « mon compagnon, ma compagne, mon copain, ma copine », pour bien souligner qu'ils ne sont pas mariés...

... il devient INDISPENSABLE d'intercéder de tout notre coeur pour que ces couples (dans nos familles ou dans l'Église) se tournent vers Dieu qui ne se lasse pas de pardonner (Ésaïe 55 : 7) et qu'ensuite ils régularisent leur situation pour qu'ils deviennent « mari et femme » et que nous les reconnaissions comme membres de notre famille à part entière.

L'Éternel voit tous ces désordres dans nos milieux et dans nos familles ; il s'étonne de ce que personne n'intercède, comme le fait comprendre le texte d'Ésaïe que nous avons lu il y a un instant.

Y a-t-il un intercesseur dans la salle ?
Le fait de se poser la question et de réfléchir avant de donner une réponse met en évidence que nous n'en sommes pas un ! Si nous en étions un, nous aurions levé la main ou nous nous serions manifestés par un mouvement d'approbation !

Depuis quelques semaines - pratiquement depuis deux mois - nous avons mis en avant que de nombreux membres de notre famille vont aller en enfer.
Avez-vous commencé à vous réunir ensemble pour intercéder en faveur de vos proches ?

Je crains que la réponse soit majoritairement négative !
Sans doute dois-je avoir ma part de responsabilité dans le sens où je ne vous aurais pas exhortés suffisamment.
S'il en est ainsi, je réclame au Seigneur son assistance afin que nous comprenions la nécessité ABSOLUE d'entrer dans l'oeuvre de Dieu en devenant les témoins et les ambassadeurs ou ambassadrices qu'il demande que nous soyons.
Néanmoins, je me réjouis de ce que quelqu'un parmi vous s'est approché de moi pour me demander d'agender un temps de prière sur ce sujet. Dieu touche encore des coeurs aujourd'hui, vous laisserez-vous toucher par lui ?

Je frémis quand même à l'idée que vous n'êtes pas plus sensibles à l'écoute de la Parole de Dieu.
Que vous n'êtes pas très sensibles aux différentes paraboles que le Seigneur Jésus nous a laissées ; des paraboles dont la conclusion d'un grand nombre mettent en évidence la perdition éternelle.

L'Évangile de Matthieu est l'Évangile qui nous présente le maximum de paraboles au travers desquelles nous devrions être interpellés par les divers avertissements qu'elles contiennent ; c'est aussi celui qui décrit le plus de miracles. Pourquoi ?
Ne serait-ce pas pour montrer que :

Les d'avertissements du Seigneur Jésus, au travers des paraboles,
sont autant la vérité que celles qu'ils emploient pour guérir et délivrer ?

L'Évangile de Jean, quant à lui, insiste sur l'amour de Dieu envers les hommes. C'est un Évangile plus « agréable » à lire quoiqu'il parle beaucoup moins de miracles et de délivrances.

(Pour une récapitulation des paraboles et des miracles de Jésus, je vous invite à aller à l'adresse internet en fin de document.
Pour ceux qui n'ont pas cette possibilité, je reste disposé à leur envoyer une copie de cette liste. Elle référence aussi les miracles de Jésus, les six procès qu'il a subi, les événements chronologiques lors de sa crucifixion et relève tout ce qui s'est passé durant les quarante jours qui ont suivi sa résurrection [4 pages].)


L'amour de Dieu à notre égard ne consiste pas uniquement à nous faire du bien, à nous nourrir, mais il consiste aussi à nous mettre en garde.
Vous le comprendrez facilement si vous êtes des parents responsables qui ne vous contentez pas de remplir les assiettes de vos enfants.
En règle générale, nous avertissons les nôtres des dangers qu'ils seraient à même de rencontrer ; nous savons les mettre en garde contre les divers poisons qui détruiraient leur vie.

Dès lors, il est aisé de comprendre que, ce Dieu - qui nous a tant aimés - agisse comme nous savons le faire et même mieux que nous le faisons !
De même, il est compréhensible que ceux qui sont chargés d'annoncer la Parole du Seigneur agissent comme leur Maître et vous rappellent continuellement que vous devez veiller attentivement sur votre âme TOUS LES JOURS DE VOTRE VIE (Deutéronome 4 : 9) !

Je (Pierre) regarde comme un devoir, aussi longtemps que je suis dans cette tente, de vous tenir en éveil par des avertissements... 2 Pierre 1 : 13

Voici déjà, bien-aimés, la seconde lettre que je vous écris. Dans l’une et dans l’autre je cherche à éveiller par des avertissements votre saine intelligence, que vous vous souveniez des choses annoncées d’avance par les saints prophètes, et du commandement du Seigneur et Sauveur, enseigné par vos apôtres... 2 Pierre 3 : 1-2

Y a-t-il un intercesseur dans la salle ?
Comme nous ne pouvons par répondre par un oui catégorique et qu'il est aisé de voir que nous ne sommes pas des gens de prières lorsque nous nous rassemblons, je vous invite à revoir l'ensemble des paraboles que le Seigneur nous a données.
Nous ne nous y attarderons pas en détails ; nous mettrons plutôt l'accent sur les conclusions qui sont données.

C'est d'ailleurs en relisant trois de ces paraboles, prononcées les unes derrières les autres, que je réalisais soudain comment le Seigneur se donnait de la peine pour nous faire comprendre que notre salut et notre marche chrétienne doivent faire l'objet de toute notre attention.
Vous verrez qu'il n'est pas très tendre avec certaines catégories de personnes !

Rendez hommage au fils, de peur qu’il ne s’indigne, et que vous n’alliez à votre perte ; car bien vite sa colère prend feu : heureux tous ceux qui s’abritent en lui ! Psaume 2 : 12 (v. Sefarim, Bible du Rabbinat français)

Baisez le fils, de peur qu’il ne s’irrite, Et que vous ne périssiez dans votre voie, Car sa colère est prompte à s’enflammer.
Heureux tous ceux qui se confient en lui ! (v. S.)

(En Orient, on embrasse la main des monarques ou le bord de leur vêtement. Le baiser était un signe de soumission, parfois même d'adoration. Bible annotée)

Nous sommes en route vers l'autre bord, ne l'oublions pas !
Si donc nous croyons de tout notre coeur que le Royaume de Dieu nous ouvrira ses portes et que ce sera un royaume où il n'y aura plus de larmes ni de souffrances, si nous le croyons sincèrement et que nous attendons ce jour merveilleux, rien ne devrait nous empêcher de partager cette joie pour que d'autres en bénéficient aussi.

À l'heure actuelle :
Il est difficile de dire que nous avons de la joie à servir le Seigneur, nos prières sont là pour le prouver !
Il est difficile de dire que nous avons du plaisir à partager ensemble ce que nous avons reçu de la Parole de Dieu. Force est de constater qu'il est plus facile de partager ce que nous avons reçu au travers de nos médias favoris que ce que nous avons lu ou entendu de la Parole de Dieu !
C'est bien dommage, car la foi vient de ce qu'on entend DE LA PAROLE DE DIEU (Romains 10 : 17) et non des médias.
Ne retenant pas et ne partageant pas l'essentiel, ne nous étonnons pas s'il y a si peu d'entrain parmi nous ! « Ayez du zèle, et non de la paresse. Soyez fervents d’esprit. Servez le Seigneur » (Romains 12 : 11) !

Nous pourrions prolonger l'examen de notre état général, mais ces deux points sont suffisants pour nous faire comprendre pourquoi il y a cette absence de motivation quant au salut de nos proches.

Si nous n'avons pas d'ardeur pour entretenir notre propre vie spirituelle, si nous n'avons pas faim et soif de la Parole de Dieu...
... si nous n'avons pas le désir de soutenir ceux qui faiblissent dans leur marche avec le Seigneur et qui auraient simplement besoin d'être accompagnés dans la prière...

... alors, oui..., il ne saurait être question d'user nos forces pour aller chercher ceux qui se perdent dans notre entourage !

Néanmoins, que vous le vouliez ou non :

VOUS ÊTES la lumière du monde.
Une ville située sur une montagne ne peut être cachée...
Matthieu 5: 14

Voilà ce que vous êtes si vous avez donné votre vie au Seigneur ! Vous êtes une lumière ! Pas «vous SEREZ...», mais «VOUS ÊTES !»
Que vous le vouliez ou non..., vous êtes la lumière du monde !

Vous avez la responsabilité d'éclairer, raison pour laquelle vous ne devez pas cacher votre témoignage.

Cette première parabole que nous mettons en avant, ne contient aucune menace. Elle définit ce que nous sommes, ce que vous êtes.

Tout comme Jean-Baptiste, nous avons une mission à accomplir : « Jean était la lampe qui brûle et qui luit » (Jean 5 : 35).
Vous êtes la lumière, vous devez donc luire dans les ténèbres ! Une lumière ne peut pas faire autre chose que de luire, que de briller !

Si l'instant d'avant, le Fils de Dieu venait de dire que nous étions le sel de la Terre, une expression que nous pourrions avoir du mal à comprendre et à mettre en pratique, nous ne pouvons pas en dire autant pour ce qui concerne la lumière.
Jamais il ne vous viendrait à l'idée d'allumer une lampe de poche pour la mettre ensuite dans un tiroir !
De la même façon Dieu ne nous a pas « allumés » pour que nous restions cachés : « Que votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu’ils voient vos bonnes oeuvres, et qu’ils glorifient votre Père qui est dans les cieux » (Matthieu 5 : 16).

Maintenant, il est possible que votre lumière ne brille plus !
Il est possible que vous ne soyez plus qu'un lumignon qui fume et que la fumée que vous dégagez indispose votre entourage ! Une fumée qui symboliserait une vie chrétienne où la religiosité a remplacé les élans du coeur.
Qu'à cela ne tienne ! Dieu n'est pas sans ressource !

Un coup de vent, une tempête, des épreuves, l'inattention, l'inobservation de certains enseignements du Seigneur, l'indiscipline et que sais-je encore... Tant de choses peuvent souffler la flamme de notre zèle, de notre amour pour le Seigneur !

Mais, si nous fumons..., si vous fumez...,

... c'est qu'il fut un temps où vous avez été allumés,
un temps où vous avez brillé pour la gloire de Dieu !

Alors..., ne faites pas triste mine, vous pouvez briller de nouveau ! (Matthieu 12 : 20 ; Esaïe 42 : 3)

Il n’éteindra point le lumignon qui fume !

Il n’éteindra point la mèche qui brûle encore !

J'ai été ce lumignon qui fume, c'est pourquoi je me rends compte qu'il y a de la « fumée » au milieu de nous.
J'ai été ce lumignon qui fume, mais tandis que je fumais et que mon coeur soupirait encore après le Seigneur - et aussi parce qu'un intercesseur priait en ma faveur - le Seigneur s'est penché vers moi et il m'a rallumé !

(Faites cet essai : allumez une bougie, laissez-la briller quelques minutes puis soufflez dessus. Tandis que la fumée monte, craquez vite une allumette et mettez la flamme dans la fumée à cinq ou six cm au-dessus de la mèche. La flamme descendra vers la mèche et rallumera la bougie qui brillera de nouveau !)

J’avais mis en l’Éternel mon espérance ; Et il s’est incliné vers moi, il a écouté mes cris.
Il m’a retiré de la fosse de destruction, Du fond de la boue ; Et il a dressé mes pieds sur le roc, Il a affermi mes pas.
Il a mis dans ma bouche un cantique nouveau... Psaume 40

J’ai péché, j’ai violé la justice, Et
je n’ai pas été puni comme je le méritais ; Dieu a délivré mon âme pour qu’elle n’entrât pas dans la fosse, Et ma vie s’épanouit à la lumière !
Voilà tout ce que Dieu fait, Deux fois, trois fois, avec l’homme, Pour ramener son âme de la fosse...
Job 33 : 27-30

Ces versets..., même s'ils me sont particulièrement chers, ne sont pas ma propriété exclusive.
Vous pouvez aussi vous les approprier afin que votre lumière luise de nouveau devant les hommes et que vous deveniez utilisables par le Seigneur au sein de votre famille et partout où il placera sur votre chemin des naufragés en perdition.

Y a-t-il un intercesseur dans la salle ?

Qui enverrai-je, et qui marchera pour nous ? (Dit l'Éternel)
Je répondis : Me voici, envoie-moi. Esaïe 6 : 8

Jacob répondit : me voici !
Moïse répondit : me voici !
Samuel répondit : me voici !
Ananias répondit : me voici, Seigneur !

Qu'avez-vous à répondre au Seigneur qui vous appelle ?

VOULEZ-VOUS ÊTRE RALLUMÉS ?

***

site à visiter :
http://www.bible-ouverte.ch/questions-reponses/qr-la-bible-origine-transmission/2123-reponse-38.html

J-M Ravé le 29 octobre 2011 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds – Suisse

C301211


Les textes bibliques, sans indication particulière, sont tirés de la Bible Segond.





 

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