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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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- 1Thess. 5: 21 -
(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Qu'as-tu fait de ta vie ?

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Ce matin, j'aimerais vous inviter à faire un petit voyage avant l'heure. Je vous invite à vous transporter - par la pensée - devant le Fils de Dieu au jour où vous comparaîtrez devant lui.
Imaginez pendant quelques instants que vous venez de quitter ce monde et qu'il est temps de rendre compte de votre vie. L'avantage de ne pas être dans la réalité, c'est qu'une fois sortis de notre rêve, nous aurons la possibilité de corriger notre tenue et de nous débarrasser de tout ce qui nuit à notre marche de pèlerin.

Voilà..., ça y est ! Nous sommes dans l'éternité et, tour à tour nous allons nous présenter devant le Seigneur des seigneurs, ce juste Juge, devant lequel l'apôtre Jean est tombé à ses pieds comme mort en raison de la gloire du Fils de Dieu (Apocalypse 1 : 17).

J'imagine que c'est mon tour et, oh... horreur ! Moi qui pensais être bien accueilli, j'entends le Seigneur Jésus me dire : « Jean-Michel..., en considérant ta vie et ton service...,

... c’est en vain que j’ai travaillé, c’est pour le vide et le néant que j’ai consumé ma force...» Esaïe 49 : 4

Ai-je bien entendu ? N'est-ce pas un mauvais rêve ? Est-ce que je viens vraiment devant lui les mains vides ?
Non..., non Seigneur pas moi... ! N'ai-je pas cherché à te glorifier en faisant ceci et cela pour ton nom, n'ai-je pas...

Mais..., à quoi cela sert-il de vouloir se défendre devant celui qui sonde les coeurs et les reins (Jérémie 11 : 20), celui qui connaît ma pensée avant que je ne l'exprime par des mots (Psaume 139 : 4) ?
Cela ne sert à rien... ! Le juste Juge ne fait pas d'erreur (2 Timothée 4 : 8).
S'il vient à conclure que c'est en vain qu'il a travaillé pour me sauver, que c'est en vain qu'il m'a interpellé à plusieurs reprises, et que, par ma désobéissance en faisant la sourde oreille, j'ai méprisé l'oeuvre qu'il a faite en ma faveur..., qu'aurais-je à répondre puisque ma conscience confirmera ses dires ?

Stop... ! Stop ! Revenons sur Terre... ! Mettons fin à ce mauvais rêve, à ce cauchemar et prions qu'il ne devienne jamais la réalité, ni pour moi, ni pour vous.
Aujourd'hui..., contentons-nous de prendre ce texte d'Esaïe comme un avertissement. Un sérieux avertissement qui doit nous amener à une profonde réflexion concernant la façon dont nous avons mené notre vie d'enfant de Dieu jusqu'à cette heure.

Qu'avons-nous fait de notre vie ?

Sans vouloir oublier ce qui vient d'être dit, nous pourrions reprendre les paroles du Seigneur à notre compte et nous exprimer devant lui en parlant de tout le travail que nous avons réellement fait pour amener des âmes à Christ et qui ne l'ont pas accepté comme Sauveur et Seigneur de leur vie. D'un air navré, nous pourrions lui dire :

(Seigneur Jésus, regarde...,) c’est en vain que j’ai travaillé, C’est pour le vide et le néant que j’ai consumé ma force (car je ne vois personne qui se soit approché de toi quoique j'ai fait le travail que tu m'as demandé de faire).

Mais mon droit est auprès de l’Éternel, Et ma récompense auprès de mon Dieu. Esaïe 49 : 4

Il est évident que pour la récompense en question, elle ne me sera accordée que lorsque mes oeuvres seront passées par le feu. Elle ne me sera accordée que s'il reste quelque chose !
Puisqu'il doit en être ainsi - c'est la Parole de Dieu qui le dit - il devient nécessaire que je m'applique à chercher la volonté de Dieu afin que j'accomplisse le travail qu'il a programmé pour moi.

(Nous avons) été créés en Jésus-Christ pour de bonnes oeuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions. Éphésiens 2 : 10

Dieu a préparé un travail, et parfois c'est nous qui nous préparons un travail à notre convenance pour glorifier Dieu sans lui demander son avis sur ce que nous avons envie de faire pour lui.

Alors qu'en début de semaine je me demandais ce que j'allais vous apporter ce matin pour nourrir votre âme, je priais le Seigneur qu'il me montre ce qui était bon pour moi et pour vous.
En effet, nous sommes tous en route vers l'autre bord et nous avons tous besoin des conseils de notre Seigneur pour ne pas nous égarer. J'ai autant besoin d'être instruit que vous et, de plus, je dois être le premier à expérimenter, dans ma vie, la Parole de Dieu que je vous annonce.

Personnellement j'avais pensé vous parler de Thomas et mettre en avant le fait que nous pourrions bien avoir des similitudes avec lui en raison des doutes qui ralentissent notre marche. Mais voilà, il ne semblait pas que ce soit l'heure de développer ce sujet, ma tête et mon coeur restaient vides.

Ce n'est que le jeudi matin, pendant mon culte personnel, qu'une pensée est venue s'imprimer en moi avec force : SERVITEUR INUTILE !

Alors que je réfléchissais à ces deux mots et que j'ouvrais ma concordance, des textes bibliques venaient à mon esprit ainsi que d'autres pensées. Je compris alors que je devais abandonner mes idées en ne parlant pas de Thomas et me laisser conduire par le Saint-Esprit.
Ce matin, nous allons donc nous examiner - vous, comme moi - et nous poser sérieusement cette double question :

Qu'as-tu fait de ta vie ?
Qu'ai-je fait de ma vie d'enfant de Dieu ?

Et c'est là que nous pourrions (peut-être) reprendre le texte d'Esaïe en reconnaissant la stérilité de notre vie :

C’est en vain que j’ai travaillé, c’est pour le vide et le néant que j’ai consumé ma force.

Toutes ces années passées où nous avons été stériles pour l'oeuvre de Dieu, pour notre assemblée, pour nos frères et soeurs dans la foi, quel pourcentage représentent-elles depuis que nous sommes devenues de nouvelles créatures (2 Corinthiens 5 : 17). Pour QUI et pour QUOI avons-nous vécu ?

Si nous devions faire ce triste constat - celui d'avoir travaillé en vain en n'ayant rien fait pour le Seigneur - plaise à Dieu qu'en prenant conscience de cette stérilité, de cette vie inutile pour le Seigneur, nous changions d'attitude en travaillant désormais pour la gloire de Dieu.

Mais, là aussi... ATTENTION... ! Ne faisons pas n'importe quoi pour faire quelque chose afin de dire que nous avons contribué à l'avancement du Royaume de Dieu !

Nos oeuvres passeront TOUTES par le feu ! Comment en sortiront-elles ?

... personne ne peut poser un autre fondement que celui qui a été posé, savoir Jésus-Christ.
... l’oeuvre de chacun sera manifestée;car le jour la fera connaître, parce qu’elle se révélera dans le feu, et le feu éprouvera ce qu’est l’oeuvre de chacun.

- Si l’oeuvre bâtie par quelqu’un sur le fondement subsiste, il recevra une récompense.
- Si l’oeuvre de quelqu’un est
consumée, il perdra sa récompense; pour lui, il sera sauvé, mais comme au travers du feu. 1 Corinthiens 3 : 11-15

Évidemment, avant d'en arriver à cette étape du contrôle, je dois me poser la question afin de savoir, si je suis ou non, un serviteur (une servante) utile ou inutile?
Et si j'étais un enfant de Dieu qui ne serve à rien pour le Seigneur, un enfant de Dieu qui sait néanmoins profiter de tous les avantages que la maison de Dieu offre à ceux et celles qui y entrent ?
Nous en avons déjà parlé et nous en reparlerons encore afin que les uns et les autres nous examinions notre situation pour changer de comportement si le besoin est.

Faut-il vous rappeler le sort de ce serviteur inutile qui n'a pas voulu faire fructifier ce que le Maître lui avait remis entre les mains pour vous pousser à faire cet examen ?

Et le serviteur inutile, JETEZ-LE dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Matthieu 25 : 30

Depuis combien de temps sommes-nous dans la maison du Maître ?
Qu'avons-nous fait des talents qu'il nous a donnés, des capacités qu'il a mises à notre disposition, de la santé et surtout de la vie qu'il nous a conservée jusqu'à aujourd'hui ?

Qu'as-tu fait de ta vie ; à quoi se résume-t-elle?

Si nous posions cette question autour de nous, bien des réponses iraient dans la même direction :

- J'ai gagné mon pain à la sueur de mon front.
- J'ai élevé mes enfants (le cas échéant... dans la crainte de Dieu !).
- J'ai joui des plaisirs de la vie selon les possibilités matérielles à ma disposition.
- Je suis (éventuellement) un retraité qui ne veut pas en perdre une miette de cette vie qui arrive à échéance ; un retraité qui tient à en profiter aussi longtemps qu'il le pourra.

Et voilà..., en trois ou quatre lignes... le résumé d'une vie.
Serait-ce celui de votre vie ?
J'ose espérer que non, car la question, posée il y a un instant, n'est pas complète ! En effet, nous..., nous appartenons à Jésus-Christ, au Fils de Dieu qui est venu dans ce monde pour nous racheter de la perdition éternelle.
Lui appartenant, la question doit être plus précise :

Qu'as-tu fait de ta vie ... pour le Royaume de Dieu, pour la gloire de Dieu ?

Alors que nous nous approchons insensiblement vers les portes de l'éternité, alors que les catastrophes planétaires et les événements mondiaux annoncent - à leur façon - le prochain retour du Fils de Dieu, essayons de répondre avec franchise à cette question.

Bien sûr, nous ne manquerons pas de dire que nous avons donné notre vie à Jésus-Christ.

D'accord ! Nous la lui avons donnée..., MAIS IL N'A PEUT-ÊTRE JAMAIS PU L'UTILISER POUR SA GLOIRE parce que nous étions trop occupés à faire nos petites affaires.

D'accord ! Nous pourrions dire que cela ne nous a pas empêchés de garder la foi !
Mais..., dites-moi : à quoi a servi votre foi si elle n'a pas été suivie d'oeuvres qui confirment votre conversion à Jésus-Christ ?

La VRAIE foi est un puissant moteur qui nous pousse à travailler pour l'oeuvre de Dieu !

Il en est ainsi de la foi: si elle n’a pas les oeuvres, elle est morte en elle-même.
Mais quelqu’un dira: Toi, tu as la foi; et moi, j’ai les oeuvres.
Montre-moi ta foi sans les oeuvres, et moi,
je te montrerai la foi par mes oeuvres...

Veux-tu savoir, ô homme vain, que
LA FOI SANS LES OEUVRES EST INUTILE? Jacques 2 : 17-20

Souvenons-nous de ce serviteur inutile.
- Il eut la foi pour entrer dans la maison du Maître.
- Il reçut de sa part une mission parce qu'il faisait partie de la maison du Maître.
- Son travail correspondait à ses capacités qui, quoique peu élevées, étaient suffisantes pour mettre en valeur ce qui lui avait été confié (Matthieu 25 : 14- 30).

Notre vie est peut-être insignifiante aux yeux des hommes ou même de nos proches qui ne voient que nos faiblesses, nos défauts. Néanmoins, cette vie a été rachetée à grand prix et le Seigneur entend bien à ce que cette vie porte du fruit pour la gloire de son Père (Jean 15 : 8). N'est-ce pas SA vie qui coule en nous ?

Il est évident qu'on ne gagne pas son salut au travers des oeuvres ! Ces dernières ne sont que le résultat du salut qui nous a été accordé. Comprenons encore que, dans la maison du Seigneur, il ne peut pas y avoir de chômeur.
Des paresseux OUI! Des chômeurs NON ! Car, «la moisson est grande, mais il y a peu d’ouvriers» (Matthieu 9 : 37) !

Êtes-vous sauvés ?
La réponse affirmative que vous allez donner va vous obliger à ne plus rester les bras croisés si vous avez compris qu'un serviteur inutile n'a pas sa place dans le Royaume de Dieu.

Bien sûr, il n'est pas question de viser quelqu'un en particulier, je dois déjà balayer devant la porte de mon coeur et faire place nette pour que rien ne me gêne dans le service à venir.
Je parle du service à venir, car, je ne puis changer mon passé !
Ce que je devais faire au moment voulu et qui n'a pas été fait, ne peut plus se faire. Si j'ai manqué de témoigner alors que je savais qu'il fallait que je parle, je puis avoir une part de responsabilité dans la perdition de quelqu'un qui, depuis, est peut-être mort et enterré dans son péché (Ézéchiel 33 : 6) !

Avons-nous été des serviteurs inutiles qui ont davantage pensé à leurs petites affaires qu'à celles de leur Maître ? Si c'est le cas, nous ne pouvons rien y changer !
Par contre, nous pouvons changer de mentalité et faire comme le fils prodigue, c'est-à-dire confesser notre péché et nous mettre à la disposition du Seigneur comme les moindres de ses serviteurs.

En déblayant devant ma porte, en remontant quelques dizaines d'années en arrière et en considérant les oeuvres que je pourrais présenter au Seigneur lorsqu'il faudra rendre compte de mon administration - celle de ma vie - je prends conscience que mon service pour le Roi des rois est loin d'avoir été parfait. Il a souvent été entaché par des attitudes qui ont anéanti ou affaibli le témoignage que je désirais rendre.
- Si l’oeuvre bâtie par quelqu’un sur le fondement (Jésus-Christ) subsiste, il recevra une récompense.
- Si l’oeuvre de quelqu’un est consumée, il perdra sa récompense; pour lui, il sera sauvé, mais comme au travers du feu. 1 Corinthiens 3 : 14-15

J'en suis certain, pour ce qui me concerne..., bien des oeuvres seront consumées!
- Soient parce qu'elles auront été mal faites ;
- Soient parce qu'elles auront été faites selon la chair et non selon l'Esprit.

Dans ce dernier cas de figure il est facile de relever le nombre de choses que nous avons voulu faire pour la gloire de Dieu alors qu'il ne nous avait rien demandé...
... tandis que nous avons refusé de faire ce qu'il nous commandait, choisissant nous-mêmes ce qui devait être utile pour SA gloire.

Un exemple ?
Pensons simplement au témoignage que nous devons donner à nos proches - notre famille - mission impossible aux yeux de certains !
Mission que l'on remplace soi-même par un témoignage donné à des étrangers alors que le salut doit d'abord entrer dans notre maison!

Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille.
Actes 16 : 31

Pierre... te dira des choses par lesquelles tu seras sauvé, toi et toute ta maison.
Actes 11 : 14

Non pas un salut collectif..., mais un salut individuel qui est présenté par celui qui parle à ceux qui veulent bien entendre et qui agiront en fonction de ce qu'ils ont entendu !

Lors de notre comparution devant le Seigneur, nous aurons probablement tous quelque chose à présenter, c'est à peu près certain. Si ce n'est pas le cas, nous serons catalogués dans la classe des serviteurs inutiles et... ensuite, JETÉS là où il y aura des pleurs et des grincements de dents.

Si nous avons quelque chose à présenter..., qu'aurons-nous à présenter de qualité ?
Qu'avons-nous de précieux à offrir à celui qui nous a préparé la nouvelle Jérusalem ?
Et quelle nouvelle Jérusalem !

- Son éclat était semblable à celui d’une pierre très précieuse, d’une pierre de jaspe transparente comme du cristal.
- La muraille était construite en jaspe, et la ville était d’or pur, semblable à du verre pur.
- Les douze portes étaient douze perles; chaque porte était d’une seule perle.
- etc....
Apocalypse chapitre 21

En pensant à la splendeur de cette cité, nous nous rendons vite compte que nous ne pouvons pas apporter de la pacotille, de la camelote, de la verroterie ! Raison pour laquelle tout doit passer par le feu afin qu'il ne reste que ce qui est précieux.

Si quelqu’un bâtit sur ce fondement (Jésus-Christ) avec de l’or, de l’argent, des pierres précieuses, du bois, du foin, du chaume, ’oeuvre de chacun sera manifestée; ca, nous sommes aux premières loges pour nous rendre compte que notre argent terrestre se déprécie de jour en jour. Ainsi, si l'argent terrestre perd de sa valeur à nos yeux, il vaut encore moins aux yeux du Seigneur. Ce n'est pas cet argent qui a cours dans le Royaume des Cieux !

Quant à l'or..., si aujourd'hui il prend de la valeur et devient ainsi un refuge pour certains, ils oublient que son ascension masque une chute programmée qui conduira à leur ruine.
«Il n'y a rien de nouveau sous le soleil» disait l'Ecclésiaste (1 : 9) ; les richesses terrestres ne sont que vanités et n'apportent aucune sécurité !«A vous maintenant, riches! Pleurez et gémissez, à cause des malheurs qui viendront sur vous. Vos richesses sont pourries...» (Jacques 5 : 1-2).

Sachant qu'une âme vaut plus que tout ce que contient le monde (Marc 8 : 36), il est évident que si nous avons été un instrument dans la main de Dieu pour amener quelqu'un au salut, notre «capital» passera au travers du feu sans en subir de dommage.
Une âme vaut bien plus que nous ne pouvons l'imaginer. Si nous en comprenions la valeur, nous remuerions ciel et terre pour amener ceux que nous aimons à la connaissance de Jésus-Christ.

Que va-t-il rester de toutes mes oeuvres ?
Une «tonne» d'activités dites «chrétiennes» passant par le feu, ne pourrait bien donner que de la cendre ! De la cendre si nous dépensons notre énergie à faire des choses qui ne nous ont pas été demandées !
Le volume des activités dites «chrétiennes» n'en garantit pas la valeur !

Pour trouver un kilo d'or, il faut remuer des tonnes de terre, même si l'endroit est propice. Par contre, si vous cherchez de la terre glaise au bon endroit, le rendement sera supérieur pour la même quantité de terre déplacée, mais la valeur, en dépit de la quantité, n'atteindra jamais celle de l'or !
Faire le peu que Dieu nous demande de faire, vaudra toujours plus que le beaucoup que nous décidons de faire pour lui !

En conclusion, il est temps de nous interroger et de commencer à soupeser ce que nous avons fait ou cru faire pour le Seigneur !
Si nous en arrivons à la conclusion qui m'a servi de fil conducteur pour ce message : «C’est en vain que j’ai travaillé, c’est pour le vide et le néant que j’ai consumé ma force... » (Esaïe 49 : 4)...

... il n'est pas trop tard pour se mettre à l'écoute du Seigneur afin d'entrer dans le travail qu'il a préparé à l'avance pour que nous le fassions.
Gardons en mémoire que ce n'est pas l'homme qui choisit ce qu'il doit faire pour Dieu, mais que c'est le Dieu souverain qui a choisi l'homme pour devenir ouvrier AVEC lui.

Ce n’est pas vous qui m’avez choisi;
Mais moi,
je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne. Jean 15 : 16

Qu'as-tu fait de ta vie ?
Qu'allons-nous faire maintenant de notre vie d'enfants de Dieu ?

... vous êtes (1) une race élue, (2) un sacerdoce royal, (3) une nation sainte, (4) un peuple acquis, AFIN QUE VOUS ANNONCIEZ les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière... 1 Pierre 2 : 9

... QUE VOUS ANNONCIEZ... QUE VOUS ANNONCIEZ... QUE VOUS ANNONCIEZ...QUE VOUS ANNONCIEZ...

Les textes bibliques, sans indication particulière, sont tirés de la Bible Segond.
J-M Ravé le 1er octobre 2011 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse

C031112


 

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