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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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- 1Thess. 5: 21 -
(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Je t'aime, un peu, beaucoup..., mais ....

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Qui, dans son enfance, n'a pas effeuillé une marguerite ou une pâquerette afin d'avoir une indication sur l'amourette qui venait de bouleverser son coeur d'enfant ?
Sans doute vous souvenez-vous qu'au fur et à mesure de l'arrachage des pétales, l'amour ne faisait que grandir, passant de « un peu » jusqu'à « à la folie ». Arrivé au point culminant de l'amour, une interruption brutale se faisait alors sentir avant la reprise du cycle « elle (il) m'aime, un peu..., beaucoup... ».

Cette interruption brutale de l'amour ascendant, vous vous en rappelez certainement, était occasionnée par « pas du tout » et alors... quel drame s'il n'y avait plus de pétale à arracher !

Quel drame si, aujourd'hui encore nous n'avons plus que ce « PAS DU TOUT » pour qualifier les sentiments de notre coeur, car c'est avant tout de notre coeur, de notre amour qu'il va être question aujourd'hui !
Un drame qui en a mené plusieurs au divorce, à la séparation !

Un drame qui pourrait aussi avoir des conséquences éternelles pour ceux et celles qui ne se sont jamais souciés de leur Père céleste
, de ce Dieu qui leur a pourtant donné le souffle de vie !
Toute une vie passée..., parfois une longue vie (plus de 70 ans : « Les jours de nos années s’élèvent à soixante-dix ans » - Psaume 90 : 10) ; toute une longue vie passée à faire la sourde oreille aux appels réitérés du Seigneur invitant hommes et femmes à faire la paix avec lui afin de vivre dans son amour, ici-bas et pour l'éternité !

Comment seront-ils accueillis ceux qui seront obligés d'avouer qu'ils n'ont jamais aimé Dieu, qu'ils n'ont jamais désiré répondre à son amour ?

Assurément, Dieu respectera leur désir d'avoir voulu vivre sans lui durant leur séjour terrestre et il les éloignera de lui éternellement pour qu'ils n'aient pas à subir sa présence continuelle.

Un drame qui pourrait aussi avoir des conséquences éternelles pour nous - Église de Jésus-Christ -
si les sentiments que nous avions autrefois pour le Seigneur Jésus étaient devenus sans signification aujourd'hui !

Bien sûr, nous n'irions pas jusqu'à dire au Fils de Dieu que nous ne l'aimons plus du tout.
Pourtant, le reconnaître ouvertement ne pourrait qu'être salutaire et nous amener à nous poser des questions dont les réponses nous conduiraient très certainement à « retomber amoureux » du Seigneur.
Nous n'irions pas jusqu'à dire que nous ne l'aimons plus..., nous ne pourrions même pas le lui dire ! En effet, l'habitude d'un certain laisser-aller, d'un négligé dans l'entretien d'une vie spirituelle, fera qu'un manque de sensibilité s'est installé dans le coeur. À ce stade, il est évident que l'intéressé ne sera pas en mesure de ressentir cette perte de sensibilité... et pour cause !

N'étant pas (plus) capables d'évaluer notre degré d'amour pour notre Sauveur, c'est sans doute pour cette raison que le Seigneur est obligé d'avertir ceux qui lui sont chers en leur montrant qu'ils se sont éloignés de lui, parce que leur amour, autrefois brûlant, s'est attiédi au point que bien des manifestations de cet amour de jeunesse ont disparues.

Ce que j’ai (Jésus glorifié) contre toi, c’est que tu as abandonné ton premier amour.
Souviens-toi donc d’où tu es tombé, repens-toi, et PRATIQUE TES PREMIÈRES OEUVRES ;

SINON, je viendrai à toi, et j’ÔTERAI TON CHANDELIER DE SA PLACE, à moins que tu ne te repentes. Apocalypse 2 : 4-5

Cette parole, adressée à l'Église d'Éphèse, nous met en garde EN TANT QU'INDIVIDU.
L'Église étant composée de personnes qui sont responsables - à part entière - de leur propre engagement, c'est l'ensemble de la communauté, individu par individu, qui est responsable de cette perte d'amour.

S'il n'y a pas de repentance dans le coeur d'un enfant de Dieu qui aurait perdu son premier amour pour le Seigneur, la lumière ne sera plus avec lui pour l'éclairer tout comme elle ne sera plus dans le rassemblement des frères s'ils ont tous la même conduite.

Et, s'il n'a plus de lumière pour éclairer leur chemin, comment feront-ils pour ne pas tomber dans les pièges de l'ennemi ?
Et, s'il n'a plus de lumière..., comment pourront-ils être la lumière du monde (Matthieu 5 : 14) et éclairer ceux et celles qui vivent dans les ténèbres ?

Si nous ne souhaitons pas que le Seigneur nous remette en place, ce qui serait quand même une bonne chose dans le sens où nous verrions alors que Dieu use de patience à notre égard (2 Pierre 3 : 9)...
... Si nous ne voulons pas être repris par notre Seigneur, alors, c'est à nous de nous examiner, c'est à nous de reprendre la comptine enfantine en la modifiant quelque peu et en avouant : Je t'aime, un peu, beaucoup..., mais, la vérité c'est que...

JE T'AIME UN PEU..., BEAUCOUP MOINS QU'AVANT !

Si je suis capable de reconnaître qu'il y a un affaiblissement dans mon engagement, dans mon zèle, dans mes affections pour le Seigneur et les choses qui concernent Dieu, sans aucun doute, le Seigneur n'aura pas besoin de m'interpeller.
Pourquoi le ferait-il si, après avoir réfléchi sur ma conduite, mon engagement, je confesse mon laisser-aller et qu'ensuite je reprends la route avec de bonnes dispositions dans mon coeur ?

J’ai médité sur mes voies, et (ensuite j'ai) ramené mes pas vers tes statuts. Psaume 119 : 59 (v. Sefarim, Bible du Rabbinat français)

J’ai pensé à mes voies... Je réfléchis à mes voies... (Autres versions)

Une saine réflexion ne manquera pas de nous conduire à un recentrage de notre vie sur Jésus-Christ, même si nous avons un amour sincère pour le Seigneur : nous ne sommes pas encore parvenus à la perfection !

Nous sommes toujours en route vers l'autre bord...
Nous sommes passés par la porte étroite..., nous nous sommes engagés dans le chemin étroit ; pour certains, cela fait déjà de nombreuses années qu'ils sont en route, mais la question à se poser sérieusement est celle-ci : Comment marchons-nous ?

Au fur et à mesure que les années passent, il est à craindre qu'une certaine routine se soit installée dans plusieurs vies au point que l'habitude ait préparé le lit de l'insouciance.

Puis, petit à petit, cette insouciance ayant eu son effet soporifique, elle jettera dans les bras de la nonchalance ceux qui n'auront pas veillé à leur conduite.
Un état qui ne fera que préparer le coeur à UN ABANDON DISCRET DU PREMIER AMOUR.

Nonchalance : Absence d'énergie, de zèle, de soin, due à l'insouciance, l'indifférence (dictionnaire Lexilogos).

La recommandation de l'apôtre Paul : « Examinez-vous vous-mêmes, pour savoir si vous êtes (toujours) dans la foi... » (2 Corinthiens 13 : 5), si elle est mise en pratique, nous gardera de tomber dans le « désamour ».

Désamour : Cessation de l'amour, de l'intérêt pour quelqu'un ou quelque chose (Dictionnaire Petit Larousse).

C'est ainsi que nous pourrions nous retrouver dans le chemin étroit sans entrain, sans zèle, sans crainte de l'Éternel.
Une marche durant laquelle nous nous attiédirions tout en gardant les signes extérieurs de la religion, culte, lecture personnelle de la Bible... ; des formalités remplies avec un coeur vide !

Les amoureux savent parler de l'être aimé lorsqu'il est absent, ils sont toujours impatients de se rencontrer.
Jésus nous aime..., il a toujours le désir de nous rencontrer, de nous instruire, de nous montrer les endroits où nous devons poser nos pieds (l'empreinte de ses pas).
Il attend que nous entrions dans SON travail, lui étant au Ciel, nous étant sur la Terre comme ses porte-paroles, comme ses mains pour bénir, comme sa bouche pour annoncer le salut, etc..., etc...
Jésus nous aime, c'est indéniable ! Ne nous a-t-il pas aimés le premier (1 Jean 4 : 19) au point de donner sa vie pour nous ?
Et nous..., l'aimons-nous encore au point de..., je ne dis pas « lui donner notre vie », car cela devient une formule qui a perdu de sa valeur, je dirais plutôt :

L'aimons-nous encore au point de SACRIFIER NOTRE VIE POUR LUI ?

... celui qui perdra sa vie à cause de moi (Jésus) et de la bonne nouvelle la sauvera. Marc 8 : 35

Celui qui aime sa vie la perdra, et celui qui hait sa vie dans ce monde la conservera pour la vie éternelle.
Jean 12 : 25

Tous les enfants de Dieu disent qu'ils ont donné leur vie à Christ, soit ! Mais combien ont-ils sacrifié leur vie pour lui ?
Combien ont-ils fait passer le Seigneur avant toute chose ?
Qu'ai-je sacrifié pour vivre avec Christ ?
Qu'est-ce que je sacrifie encore aujourd'hui pour le suivre, pour entretenir ma foi ?

Bien des gens du monde ont sacrifié leur vie pour leur passion (égoïste) sans se soucier d'autres choses que de l'objet pour lequel ils ont tout sacrifié.
Quelle est notre véritable passion, celle pour laquelle nous sommes prêts à abandonner ce qui, à nos yeux, a moins d'importance ?

Sans vouloir noircir à tout prix le tableau il faut reconnaître qu'il n'y a pas que des personnes à réveiller dans l'Église ! Fort heureusement ! Sinon qui nous exhorterait à rester attacher au Seigneur, qui nous exhorterait à l'aimer de plus en plus ?

Très certainement, il y a plus d'un cas où les oeuvres - à la gloire de Seigneur - n'ont pas manqué d'occuper les enfants de Dieu et qu'ils se sont donnés corps et âmes à ces oeuvres-là au point de souffrir d'une boulimie d'activités qui nuit à leur âme.

Ces activités les ont tellement occupés que quelques-uns ont fini par se laisser asservir par un activisme qui leur a fait abandonner quelque chose en route.
Non pas que ce fut des oeuvres dont le résultat ne servait pas à la gloire de Dieu, bien au contraire ! « Je connais tes oeuvres, ton travail, et ta persévérance... », dira le Seigneur à son Église d'Éphèse, sans faire de reproche quant à ce travail !
MAIS..., il ajoutera :

... ce que j’ai contre toi, c’est que tu as abandonné ton premier amour. Apocalypse 2 : 2-4

Ce reproche, lourd de conséquences : « tu as abandonné ton premier amour », nous a été transmis pour nous amener à considérer les dispositions de notre coeur à l'égard du Seigneur.
Suis-je ou ne suis-je pas dans la catégorie de ceux et celles qui ont perdu leur premier amour ?

Il est à craindre que le « je t'aime un peu, beaucoup..., un peu beaucoup moins qu'avant » ne soit, en ces temps de la fin, la triste réalité d'une grande partie de l'Église de Jésus-Christ.
Je ne juge personne en disant cela ! Je tiens seulement compte de l'appréciation du Seigneur qui s'adresse à une Église particulière, À L'ENSEMBLE DE CETTE ÉGLISE puisque aucun des membres ne fait exception !

Alors..., comment savoir si nous sommes concernés ?
Comment savoir si JE suis personnellement concerné ?
Sans doute en suivant le conseil du Seigneur qui invitent ses rachetés à pratiquer leurs premières oeuvres !
Des oeuvres qui, de toute évidence, ne ressemblent pas à celles qui sont faites aujourd'hui !
Des oeuvres qui étaient de meilleure qualité puisqu'elles permettaient d'entretenir le feu du premier amour.

... ce que j’ai contre toi, c’est que tu as abandonné ton premier amour. Souviens-toi donc d’où tu es tombé, repens-toi, et PRATIQUE TES PREMIÈRES OEUVRES... Apocalypse 2 : 4-5

Étant averti, il devient donc nécessaire que je fasse une rétrospective de ma vie, que je reprenne en considération mon engagement avec le Seigneur lorsque je lui avais donné mon coeur et ma vie, et que je compare ce passé avec mon présent.

- D'abord, ai-je grandi dans la foi ? Ai-je davantage confiance en Dieu ? Ma vie le prouve-t-elle ?

- Ensuite, la Parole de Dieu a-t-elle plus d'intérêt pour moi qu'elle en avait autrefois ou, au contraire, mes lectures sont-elles devenues du réchauffé qui ne possède plus de fraîcheur ? Ai-je toujours le désir de m'instruire ? Si oui..., comment puis-je le démontrer ?

- Après cela, examinons notre vie et regardons si les sacrifices que nous faisions autrefois pour suivre le Seigneur en allant aux réunions, aux études bibliques sont toujours existants ?

- Quant à la sanctification... - sans laquelle personne ne verra le Seigneur (Hébreux 12 : 14) - où en est-elle aujourd'hui ? Suis-je toujours capable de prendre des résolutions pour me séparer du monde comme je le faisais autrefois ?

Comme vous le voyez, ce n'est pas la mer à boire de répondre à ces questions ! Néanmoins, les réponses que nous allons donner - en nous plaçant devant Dieu dans le secret de notre chambre – vont être importantes.
Elles le seront d'autant plus si nous laissons le temps au Saint-Esprit de nous parler afin qu'il nous montre l'état de notre coeur..., vu du Ciel !
À nous de persévérer pour connaître la pensée de Dieu en ce qui concerne notre santé spirituelle.

Comprenons bien qu'il n'est pas question de mettre nos oeuvres en avant.
En regard de l'Écriture nous sommes tous des serviteurs inutiles !
Non pas inutiles parce que nous ne faisons rien comme le serviteur de la parabole : « le serviteur inutile, jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents » (Matthieu 25 : 30)...
... Mais INUTILES parce que nous n'avons rien fait d'extraordinaire en obéissant à ce qui nous a été demandé !

Vous de même, quand vous avez fait tout ce qui vous a été ordonné, dites : Nous sommes des serviteurs inutiles, nous avons fait ce que nous devions faire. Luc 17 : 10

Nos oeuvres, faites dans l'obéissance, ne prouvent pas que nous avons gardé notre premier amour ; il nous suffit de relire la lettre adressée à l'Église d'Éphèse (Apocalypse 2 : 1-7) pour en être convaincu.

Foi, amour de la Parole de Dieu, sanctification, vie et coeur consacrés..., voilà un ensemble dont nous ne pouvons pas séparer les éléments les uns des autres.
Tout est lié et tout doit marcher ensemble, tout doit grandir ensemble pour que la routine ne s'installe pas dans notre vie.

Sérieusement..., pouvons-nous marcher dans le chemin étroit sans la foi alors que nous savons que, plus nous irons de l'avant, plus l'ennemi de nos âmes va nous harceler pour que nous perdions le bénéfice de notre course ?

Pouvons-nous avoir moins d'amour pour la Parole de Dieu alors qu'au fur et à mesure de sa lecture le Saint-Esprit nous donne l'intelligence pour nous la faire comprendre ?

Pouvons-nous négliger notre sanctification alors que, sans elle, personne ne verra le Seigneur ?

La route n'est pas facile en ces temps de la fin, c'est vrai ! Alors, restons vigilants quant à notre vie afin qu'ensuite nous soyons en mesure de veiller les uns sur les autres.
La paresse, quelle qu'elle soit, finit toujours par faire tomber dans l’assoupissement » (Proverbes 19 : 15)

Rendons grâce à Dieu s'il y a encore des frères et soeurs fidèles qui nous secouent (un peu trop à notre goût). S'ils le font..., c'est parce qu'ils ont certainement constaté que nous ne sommes plus en état de réagir et que, s'ils s'abstenaient de nous réveiller, nous partirions dangereusement à la dérive.

La paresse plonge dans la torpeur... Proverbes 19 : 15 (v. Bible annotée, v. Sefarim, Bible du Rabbinat français)

(Dans la torpeur ; même mot que Genèse 2: 21 (l’Éternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme...) : profond assoupissement. Il s'agit, non seulement d'excès de sommeil, mais de l'engourdissement de l'être tout entier et de l'incapacité de faire le moindre effort. - Bible annotée)

Notre paresse spirituelle - si commune au genre humain (Nul ne cherche Dieu - Romains 3 : 11) - cette paresse spirituelle, si nous ne réagissons pas, finira par nous rendre inconscients, aussi inconsciente que la personne qui se trouve sur la table d'opération et qui a été anesthésiée. Quoique le chirurgien lui fasse, elle ne sentira rien et ne sera pas même en état de se réveiller elle-même sans le secours des autres.

Réveille-toi, toi qui dors, Relève-toi d’entre les morts, Et Christ t’éclairera. Éphésiens 5 : 4

Ayez du zèle, et non de la paresse. Soyez fervents d’esprit. Servez le Seigneur. Romains 12 : 11

Soyons donc vigilants dans notre marche vers l'autre bord ; veillons à ne pas tomber dans la routine qui finirait par nous endormir et démontrerait que nous aurions abandonné notre premier amour !

Pensons que, si nous nous trouvons plonger dans une profonde torpeur, si nous nous sommes laissés endormir, l'ennemi pourra faire tout ce qu'il veut sans que nous nous en apercevions !

Pour ma part, et une fois de plus, je rends grâce au Seigneur de ce qu'un jour (il y a maintenant plus de 30 ans) un frère qui m'aimait en tant que frère en Christ, s'est démené pour me sortir de mon « coma spirituel » dans lequel j'étais tombé pour avoir négligé de crier à Dieu au moment opportun.

Sans ce frère, sans cet « ange gardien » de mon âme, je ne serais pas devant vous aujourd'hui et il est fort probable que je ne serais même plus de ce monde, l'alcool aidant à avoir une conduite qui mène à la mort et à la perdition éternelle.
Certes, ce frère m'a secoué durement en me mettant sous les yeux l'horrible image de mon âme ; mais en parlant avec franchise il a pu être un instrument béni entre les mains de Dieu et contribuer à mon sauvetage.

Béni soit Dieu de ce que le sang de Jésus nous purifie toujours de TOUS nos péchés lorsque nous les lui confessons et les abandonnons !

Béni soit Dieu de ce qu'il renouvelle les forces de ceux et celles qui se sont relevés en s'appuyant sur sa forte main !

Je chanterai l’Éternel tant que je vivrai, Je célébrerai mon Dieu tant que j’existerai. Psaume 104 : 33

Que cette parole reste vraie dans ma vie et dans la vôtre jusqu'à notre départ pour l'éternité ! Amen ?

Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée.
C’est le premier et le plus grand commandement. Matthieu 22 : 37-38

***

Je retombe amoureux de lui
Tombe amoureux de lui
Jour après jour, après jour.

Je retombe amoureux de lui
Tombe amoureux de lui
Jour après jour, après jour.

Comme il devient plus doux
Alors que les jours passent
Oh quel amour entre mon Sauveur et moi

Je retombe amoureux de lui
Tombe amoureux de lui
Jour après jour, après jour,
Après jour, après jour...



Les textes bibliques, sans indication particulière, sont tirés de la Bible Segond.

J-M Ravé le 20 août 2011 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse


 

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