Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Soyez sur vos gardes

1 - Ne méprisons pas les avertissements: "Si vous entendez sa voix...."

L'Éternel envoya parmi eux des prophètes pour les ramener à lui, mais ils n'écoutèrent point les avertissements qu'ils en reçurent. 2 Chroniques 24. 19 (v. L. S)

Vous donc, bien-aimés, qui êtes avertis,
mettez-vous sur vos gardes, de peur qu'entraînés par l'égarement des impies, vous ne veniez à déchoir de votre fermeté. 2 Pierre 3: 17 (v. L. S)

Une maxime du monde déclare "qu'un homme averti en vaut deux", c'est-à-dire qu'un homme qui a été prévenu est responsable de la façon dont il va se conduire suite à l'avertissement qui lui a été donné. À aucun moment, il ne pourra dire "je ne savais pas" pour s'excuser de son comportement.

En lisant la Bible, nous constatons que l'Éternel a donné de nombreux avertissements à son peuple dans TOUTES et pour TOUTES les générations.
Nous faisons partie d'une génération où les avertissements divins devraient d'autant plus raisonner à nos oreilles que nous vivons une période où nous voyons, à l'oeil nu, la réalisation des prophéties concernant la fin des temps.

C'est par amour que Dieu a averti les hommes dans les siècles passés, et c'est toujours par amour qu'il le fait aujourd'hui afin que nous ne subissions pas la juste colère divine.

Cette colère sera aussi réelle que son amour.
En parlant de l'une et de l'autre, nous devons comprendre qu'il n'y a aucune raison que certaines parties de SES paroles ne s'accomplissent pas. Si Dieu n'était pas fidèle à SA parole, comment aurions-nous la certitude de rester au bénéfice de son amour ?

Sous prétexte que "Dieu a tant aimé le monde en donnant son Fils unique" (Jean 3: 16), il y en a qui pensent qu'il serait inconcevable que ce "si grand amour" ne s'étende pas, sans condition, sur tous les hommes, quelle que fut leur conduite !
Un amour aveugle en quelque sorte, un amour qui devrait être "garantie à vie", et l'être d'autant plus quand on a fait un pas dans la bonne direction ! Un amour qui ne tiendrait pas compte du comportement de l'être aimé, de sa fidélité, de son engagement !

Ce genre d'amour n'existe pas dans le coeur de Dieu même s'il est vrai que son amour est PROPOSÉ à tous !
Mais tous veulent-ils en bénéficier ?

En regardant autour de nous, nous voyons bien qu'un nombre toujours plus grand de nos contemporains veut vivre sans Dieu, sans SA loi, sans SON amour !
Dès lors nous pouvons comprendre que l'amour et la colère de Dieu doivent s'exercer selon l'attitude de l'homme face à son Créateur :

- L'amour, pour s'être mis à l'abri de la colère en acceptant de suivre Jésus.
- La colère, pour avoir méprisé l'amour, la grâce et le pardon qui étaient offerts par le Fils de Dieu.

En dehors de cette ligne de conduite générale qui trace deux routes bien distinctes, celle qui mène à la vie et celle qui mène à la mort, le peuple de Dieu - quelle que soit son identité (Israël ou l'Église de Jésus-Christ) - a toujours été encadré par divers avertissements afin qu'il ne s'écarte pas de la voie qui lui avait été tracée pour qu'il arrive là où le Seigneur désirait le mener.

Ainsi parle l'Éternel, ton rédempteur, le Saint d'Israël : Moi, l'Éternel, ton Dieu, je t'instruis pour ton bien, Je te conduis dans la voie que tu dois suivre. Esaïe 48: 17 (v. L. S)

Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l'homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne oeuvre. 2 Timothée 3: 16-17 (v. L. S)

Il est triste de constater qu'un nombre considérable des fils d'Adam et de bien des enfants du peuple de Dieu, n'ont pas voulu prêter attention aux différentes paroles qui les avertissaient en les invitant à venir ou revenir au Seigneur.

Connaissant la Loi, les commandements de Dieu, certains ont même déclaré qu'ils suivraient les penchants de leur coeur plutôt que d'obéir à la Parole du Seigneur : "ils disent : C'est en vain ! Car nous suivrons nos pensées, Nous agirons chacun selon les penchants de notre mauvais coeur" (Jérémie 18: 12).
Sans doute pourrions-nous être offusqués d'un tel comportement !
Avant de condamner les coupables, regardons si, nous aussi, nous ne sommes pas, de temps à autre, des enfants rebelles.

Regardons si nous ne préférons pas, dans certaines occasions, "suivre les pensées de notre coeur" au risque d'attrister le Saint-Esprit, plutôt que de prêter attention à la voix de Dieu qui, d'une façon ou d'une autre, nous a parlé pour que nous changions de conduite !

Regardons et réagissons en nous mettant en ordre, si besoin est, afin de ne pas recevoir le salaire de nos égarements comme l'ont reçu ceux et celles qui persévéraient volontairement dans le mal :

Alors, j'ai (l'Éternel) accompli sur eux toutes les paroles de cette alliance, Que je leur avais ordonné d'observer et qu'ils n'ont point observée. Jérémie 11: 8 (v. L. S)

(Si nous avons quelques connaissances de l'histoire du peuple Israël, comparons les malédictions qui ont été prononcées sur le Mont Ebal, et voyons si Dieu a laissé tomber Sa parole ou s'il l'a accomplie - Lire Deutéronome 27: 9-26 & 28: 15 et suivants pour ce qui concerne les malédictions et leurs conséquences, et lire Deutéronome 28: 1- 14 pour les conditions de la bénédiction.

Souvenons-nous que Dieu ne ment pas, qu'il n'a jamais menti et qu'il ne mentira jamais !
Les promesses de bénédictions ou de malédictions ne sont pas vaines. Ne croyons surtout pas que Dieu puisse être "trop" bon pour ne pas sévir si besoin est :

Parce qu'ils m'ont abandonné ... ma colère s'est enflammée contre ce lieu, et elle ne s'éteindra point. 2 Rois 22: 17 (v. L. S)
La colère de l'Éternel s'enflamma contre son peuple, Et il prit en horreur son héritage. Psaume 106: 40 (v. L. S)

... ils ont été rebelles, ils ont attristé son esprit saint ; Et
il est devenu leur ennemi, il a combattu contre eux". Esaïe 63: 10 (v. L. S)

Les avertissements qui concernaient le peuple d'Israël dans l'ancienne alliance n'ont jamais été donnés en vain. De tout temps il a été prouvé que la Parole de l'Éternel s'accomplirait à son heure et selon ce qu'il avait dit ; paroles de bénédictions comme paroles de malédictions !

Ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche : Elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins. Esaïe 55. 11 (v. L. S)

De l'ancienne Alliance à la nouvelle Alliance, du temps de la loi au temps de la grâce, le même principe reste en vigueur : la PAROLE DE DIEU S'ACCOMPLIT TOUJOURS !

La grâce ne minimise pas les commandements de Dieu.
La grâce n'atténue pas l'horreur du péché.
La grâce ne ferme pas les yeux sur nos désobéissances.
La grâce n'amoindrit pas les conséquences du péché.
La grâce n'efface pas la condamnation des pécheurs non repentants.

Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles (celles de Jésus) ne passeront point. Matthieu 24. 35 (v. L. S)

Je
(Jésus) vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. Matthieu 5: 18 (v. L. S)

.... la parole du Seigneur demeure éternellement. Et cette parole est celle qui vous a été annoncée par l'Évangile. 1 Pierre 1: 25 (v. L. S)

Ancienne ou nouvelle alliance, la Parole de Dieu reste fidèle à elle-même : la grâce n'a jamais amoindri la faute, mais elle a toujours présenté le pardon à celui qui confessait et abandonnait son péché.
La grâce n'a jamais présenté le péché comme quelque chose d'agréable à Dieu, elle n'a jamais appelé le mal "bien".
La grâce n'existe que pour pardonner des coupables qui reconnaissent leurs fautes et ont à coeur de ne plus recommencer. Sans cette attitude de coeur, la grâce ne peut être présentée. Seuls, la colère et le jugement se manifesteront alors à l'encontre du pécheur non repentant.

L'Éternel est lent à la colère et riche en bonté, il pardonne l'iniquité et la rébellion ; mais il ne tient point le coupable pour innocent... Nombres 14. 18 (v. L. S)

De tout temps l'homme a été averti des conséquences qu'il aurait à subir suite à sa rébellion contre Dieu, cet homme qui préfère suivre sa propre volonté plutôt que celle du Seigneur ; homme (ou femme) que l'on reconnaît au travers de ces paroles : "MOI, je pense que..."
Depuis Adam, depuis le commencement de l'humanité, chacun a été averti que la désobéissance avait un prix à payer. Et quel prix !

L'enfant de Dieu, le racheté, le gracié, n'échappe pas non plus aux avertissements divins. "Dieu l'a tant aimé", qu'il le protège par une suite de conseils, de commandements, de recommandations à découvrir particulièrement dans le Nouveau Testament. Tous utiles, autant les uns que les autres, pour ne pas nous perdre en retournant à la vie que nous avions abandonnée en venant à Christ.

Nous sommes donc des hommes et des femmes avertis des conséquences qu'il pourrait y avoir à marcher dans la désobéissance et surtout à y rester.

La grâce et l'absence de sanction immédiate du péché font croire à certains que Dieu oublie nos fautes ou qu'il les tolère.
Il les tolérerait parce qu'il nous aime tellement, qu'il ne saurait être aussi sévère avec ses enfants qu'avec les "sales garnements" du monde qui ne veulent pas entrer dans sa famille.
Abandonnons vite cette idée, car elle ne vient pas du Seigneur ! Elle a été suggérée par le prince des ténèbres, par Satan qui cherche toujours à endormir notre conscience.
Notre Père céleste ne manquera pas de nous sanctionner au moment qu'il le jugera utile si nous nous égarons. Il le fera parce que nous lui appartenons et qu'il nous reconnaît pour SES enfants :

Si vous êtes exempts de la correction à laquelle tous ont part, vous êtes donc des enfants illégitimes, et non des fils. Hébreux 12: 8 (v. Bible annotée)

Si vous êtes sans la discipline à laquelle tous participent, alors vous êtes des bâtards et non pas des fils. (v. D)


Notre marche dans le chemin étroit doit nous différencier d'avec la conduite de ceux et de celles qui marchent dans le chemin large de la perdition.
L'apôtre Pierre n'hésite pas à évoquer certains jugements de Dieu pour nous rappeler qu'ils ont été donnés afin de nous servir d'instruction (1 Corinthiens 10 ; 11) pour que nous ne ressemblions pas à ceux qui ont subi la juste colère du Seigneur.

- ... si Dieu n'a pas épargné les anges qui ont péché...
- ... s'il
n'a pas épargné l'ancien monde, mais s'il a sauvé Noé...
- ... s'il
a condamné à la destruction et réduit en cendres les villes de Sodome et de Gomorrhe, les donnant COMME EXEMPLE AUX IMPIES À VENIR...

- ...
le Seigneur sait délivrer de l'épreuve les hommes pieux (il a délivré Lot), et réserver les injustes pour être punis au jour du jugement... 2 Pierre 2: 4 et suivants (v. L. S)

Dieu n'épargne pas le pécheur qui ne veut pas se repentir, mais il fait grâce à celui ou à celle qui reconnaît son péché et l'abandonne !

Son amour l'a conduit à offrir son Fils bien-aimé. Jésus a pris sur lui TOUS nos péchés et la condamnation qui y était associée.
Il l'a fait pour que nous soyons au bénéfice de son amour. Non pas d'un amour qui ferme les yeux sur nos fautes, mais d'un amour qui le conduit à agir avec douceur ou sévérité, selon les circonstances. Son but étant toujours d'amener les hommes à changer de comportements afin de ne pas avoir à subir les tourments éternels de l'enfer.

Voudrions-nous réellement continuer à pécher volontairement ?
Voudrions-nous fermer nos yeux sur des péchés tellement évidents que même les païens s'en rendent compte ?

Ne croyez pas que j'accuse qui que ce soit ! Si je suis sur la liste des pécheurs pardonnés, je suis aussi sur celles des pécheurs potentiels ! La liste des croyants qui, s'ils ont trébuché, peuvent toujours être au bénéfice de la grâce en confessant et en abandonnant leurs péchés.

Aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos coeurs. Hébreux 4. 7 (v. L. S)

AVERTISSEMENT SOLENNEL que cette parole !
Avertissement qui nous interpelle tous, car la voix de Dieu ne sert pas uniquement à appeler les païens à la repentance, mais aussi à appeler les chrétiens à la même repentance lorsqu'ils ont péché.
Soyons donc sur nos gardes lorsque nous sommes repris dans notre conscience, ne passons pas à côté de l'avertissement et reconnaissons que, pareillement à l'apôtre Paul, nous pouvons dire :

Je sais qu'en moi, c'est-à-dire dans ma chair, n'habite pas le bien ; car vouloir le bien est à ma portée, mais l'accomplir, non. Car je ne fais pas le bien que je veux ; mais je fais le mal que je ne veux pas". Romains 7: 18-19 ; v. Bible annotée)

Dernièrement j'ai pu me rendre compte de la véracité de ce verset !
C'était dimanche passé !
Alors que j'avais parlé de la convoitise le matin même, voilà que l'après-midi, tandis que je visitais une serre dont l'entretien laissait à désirer, j'eus la pensée de récupérer deux petites boutures pour compléter ma collection de plantes.
Mon "forfait accompli", le lundi matin je fis mon culte personnel tout en relisant les sept points que j'avais relevés, points qui rendaient inefficace l'exaucement de la prière (voir message intitulé : "La prière inefficace du chrétien"). Ma conscience endormie ne me reprocha rien et la journée se passa comme à l'accoutumée.

Le lendemain, mardi matin, lors de mon culte personnel, je décidais de ne pas relire les sept points que j'avais relevés disant au Seigneur que j'étais en ordre de ce côté-là ! C'est alors qu'une pensée vînt à mon esprit : "Et les boutures !"
Réveillé de ma somnolence spirituelle, je ne pus que confesser mon péché et demander pardon à Dieu en m'engageant à ne plus recommencer.

Soyez sur vos gardes, disait le Seigneur Jésus !
Soyons sur nos gardes et ne méprisons pas ses avertissements lorsqu'il nous reprend. Acceptons humblement ses remarques et tenons-en compte afin que rien ne fasse obstacle à nos prières !

Ainsi, je réalisais, un peu tard, que la convoitise se cache aussi dans de petites choses qui paraissent insignifiantes aux yeux de l'homme.
Toutefois, si réellement nous avons à coeur de marcher honnêtement dans la voie de Dieu, le Saint-Esprit mettra toujours en lumière nos écarts de conduite. Il l'a fait ! Que le nom du Seigneur soit béni !

"Cet incident" déclencha toute une suite de réflexions.
Béni soit Dieu pour l'enchaînement des textes bibliques qu'il me remit en mémoire en me montrant bien que "le coeur de l'homme - le mien aussi en l'occurrence - est tortueux par-dessus tout" (Jérémie 17: 9).

Ta parole est (véritablement) une lampe à mes pieds, Et une lumière sur mon sentier.
(Psaume 119: 105).

Qu'allais-je faire de ces boutures ? Un combat allait s'engager pour que la bonne décision soit prise.
Dans un premier temps je pensais les garder comme témoignage, comme souvenir de mon inconduite. Je pensais que le Seigneur était capable de les faire sécher subitement s'il ne voulait pas que je les garde. N'avait-il pas fait sécher un figuier (Marc 11: 14 et 20) ?

Mais que se cachait-il vraiment au fond de mon coeur pour que j'en vienne à penser ainsi ? Derrière le paravent de la repentance ne restait-il pas encore une racine de convoitise qu'il fallait absolument extirper de mon coeur ?
Dieu allait s'en charger au travers de mon travail ! C'est en mettant au propre une prédication en vieux français, datant de 1761, basée sur l'épître de Jacques, que la lumière se fit en moi :

"Si vous gardez ce bien mal acquis, vous êtes semblables à cet homme, qui considère dans un miroir sa face naturelle, mais qui s'étant considéré soi-même, et s'en étant allé, a aussitôt oublié quel il était."

Vous venez dans ce Temple, pour apprendre à vous connaître vous-mêmes.
La Parole de Dieu est un miroir. Nous vous présentons ce miroir.
Nous vous produisons vous-mêmes à vous-mêmes.

Vous voyez vos difformités : vous en êtes épouvantés.
Mais, si contents d'avoir vu ce que vous êtes, vous ne travaillez à vous réformer, vous êtes semblables à cet homme, qui regarde dans un miroir sa face naturelle, qui y voit mille impuretés, mais qui s'en va, et qui oublie aussitôt quel il était..." (Jacques 1: 23-24)


Suite à cette lecture j'abandonnais "ce bien mal acquis", remerciant Dieu de m'avoir ainsi éclairé. Je reste reconnaissant de ce qu'il prête ainsi une si grande attention à mes prières lorsque je lui demande de sonder mon coeur, même s'il a fallu encore confessé mon péché aux croyants qui m'accompagnaient!

Je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi...
... Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?...
Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur...
Romains 7: 19-25 (v. L. S)

Ne méprisons donc pas les avertissements du Seigneur.
"Si nous entendons sa voix, n'endurcissons pas notre coeur", acceptons les reproches divins et agissons comme il le demande.
Le Père céleste nous a aimés, le Fils nous aime. Ensemble, ils veulent que nous avancions dans la sanctification. Ne minimisions pas nos mauvais comportements lorsqu'ils sont mis en lumière, acceptons d'appeler péché ce que Dieu appelle péché.

Comment pourrions-nous être vigilants et prêter attention aux événements qui marquent la fin des temps si nous refusons de prêter attention à la santé de notre âme ?

Ne méprisons pas les avertissements du Seigneur. SOYONS SUR NOS GARDES !
À l'horizon se profile le jour du jugement, le jour de l'éternité.
C'est en raison de cette éternité que le Seigneur Jésus nous avertit solennellement :

"PRENEZ GARDE"

Ces deux mots ne sont pas anodins. Il ne peut pas y avoir d'avertissement s'il n'y a pas un danger quelconque. Nous en parlerons la semaine prochaine.

***

Voici déjà, bien-aimés, la seconde lettre que je (l'apôtre Pierre) vous écris.
Dans l'une et dans l'autre
je cherche à éveiller par des avertissements votre saine intelligence, afin que vous vous souveniez des choses annoncées d'avance par les saints prophètes, et du commandement du Seigneur et Sauveur, enseigné par vos apôtres... 2 Pierre 3: 1 et suivants (v. L. S).


À suivre: "Des "si" pour donner le "la" afin de nous accorder avec la volonté de Dieu"

J-M Ravé 1er août 2009 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse


 

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