L'homme
ferma son coeur
et Dieu
ferma la porte! (2)
message précédent (1) Il
y a un
temps pour tout, un temps pour toute chose sous les
cieux : un temps pour naître, et un
temps pour mourir... Ecclésiaste
3:
1-2
(v. L. S)
L'homme
né de la femme ! Sa vie est courte,
sans cesse agitée. (il
est rassasié de tracas, de
trouble - v. D. M, v. D)
Il naît, il est coupé comme une
fleur ; Il fuit et disparaît comme une
ombre. Et c'est sur lui que tu as l'oeil
ouvert ! Job
14: 1-3 (v. L. S)
Une vie courte ! Une vie durant laquelle la
souffrance, sous toutes ses formes, ne manque pas
de meurtrir l'homme ! Souffrances et tracas
consécutifs à une vie vécue
sans Dieu ou bien discipline provenant d'un
Père céleste qui, parfois, est
obligé de corriger ses enfants
rebelles !
Quoique Job ait été fortement
éprouvé, sa fidélité
envers l'Éternel ne fut pas sans porter de
fruits ! La Bible nous dit qu'il "mourut
âgé et rassasié de jours"
(Job
42: 17) !
Rassasié de jours alors qu'auparavant il
maudissait le jour de sa naissance (Job
3: 1)
et qu'il relevait ensuite que la vie de l'homme est
courte. Comme plusieurs, comme Abraham, David,
Jéhojada (sacrificateur au temps du roi
Joas), il mourut rassasié de jours suite
à une vie bien remplie dans la crainte et le
service de Dieu.
L'apôtre Paul, quant à lui,
était pressé de "déloger" pour
être avec Christ tout en désirant
rester pour servir afin d'en fortifier plusieurs
dans la foi. Notre coeur est-il aussi
partagé entre le désir d'être
pour toujours avec Christ et celui de rester encore
pour continuer l'oeuvre que Dieu a mise entre nos
mains ?
Car
pour
moi, vivre c'est Christ ; et mourir, un
gain ; mais si [je dois] vivre dans la chair,
il en vaut bien la peine ; et ce que je dois
choisir, je n'en sais rien ; mais
je
suis pressé des deux
côtés,
ayant le désir de
déloger et d'être avec Christ, [car]
cela est de beaucoup meilleur...
Philippiens 1: 21-23 (v. D)
Peut-être désirons-nous une longue
vie ? Peut-être demandons-nous à
ce que nos forces soient renouvelées
pour
continuer
à servir le Seigneur
(et non pour servir le monde ou se
servir du monde) ?
Il y a toujours peu d'ouvriers et la moisson est
aussi grande qu'au temps où le Seigneur
Jésus en faisait la remarque à ses
disciples (Matthieu
9: 37) !
Ne perdons donc pas nos
forces et notre temps, servons le Seigneur du mieux
que nous le pouvons afin qu'à l'heure de son
retour il nous surprenne à travailler
à son Royaume plutôt qu'à
batifoler avec le monde.
Maintenant, certains sont peut-être
conscients qu'ils sont au bout de leur parcours,
heureux d'avoir bien travaillé pour la
gloire de Dieu et d'être prêts à
recevoir la couronne de justice, une couronne
réservée pour ceux et celles "qui
auront aimé l'avènement du Seigneur"
(2
Timothée 4: 8)
et qui
auront été fidèles jusqu'au
bout :
"celui
qui persévérera jusqu'à la
fin
sera sauvé"
(Matthieu
10: 22) !
Dans un cas comme dans l'autre, l'intérêt central de la
vie aura été d'être un
fidèle témoin de
Christ qui, non
content d'avoir cru pour être sauvé,
aura continuellement veillé à
marcher
dans
l'obéissance
afin de ne pas se perdre loin de la
Vérité.
Hélas! Tous n'ont pas ces
pensées ! Trop de croyants veulent
simplifier leur marche avec le Seigneur en
s'arrêtant sur le seuil de la porte du salut
sans vouloir s'engager plus loin dans le chemin
étroit.
Plusieurs
pensent
qu'avoir dit "oui" à Dieu est
suffisant pour
s'assurer la sécurité
éternelle sans qu'il soit utile de donner
des preuves de fidélité, d'amour et
de respect, autant pour la Parole reçue de
Dieu, que celle qui lui fut donnée.
Que dirait-on d'un homme ou d'une femme qui, le
jour de son mariage, prononcerait le "oui" attendu
par le représentant de la loi, et qui, par
la suite, vivrait sa vie comme célibataire
loin de son conjoint ?
Ne méprisons donc pas la Parole de Dieu ni
l'engagement que nous avons pris le jour où
nous avons donné notre vie à
Christ ! Pensons que, s'il y a "un temps pour toute
chose, un temps pour naître et un temps pour
mourir" (Ecclésiaste
3:
1-2)..., il y a
aussi
un temps pour naître de nouveau (Jean
3: 5) !
S'il y a un temps pour naître spirituellement
(naître de nouveau), par contre
il n'est
pas
prévu qu'il y ait un temps pour mourir
spirituellement.
La mort physique nous attend tous, pas la mort
spirituelle ! Ne la provoquons pas par un
comportement insensé !
Si cette dernière venait à se
manifester dans la vie d'un "croyant", c'est que
l'individu se serait "suicidé
spirituellement" en mettant fin à sa
relation avec Dieu !
Ce temps qui est prévu pour la nouvelle
naissance, une naissance qui prend effet le jour
où l'on donne sa vie à Christ, est un
jour à ne pas mépriser. Ce jour a
été un jour de naissance !
C'est-à-dire un jour où une vie a
été manifestée après un
certain temps de gestation. Une
vie qui, par la suite, doit
être entretenue pour que la mort ne fasse pas
son oeuvre.
Toute
vie non
entretenue - physique ou spirituelle - a son
arrêt de mort "signé" !
La vie
terrestre ne
peut être maintenue qu'à condition de
lui offrir les éléments
nécessaires pour son épanouissement.
Là, généralement, nous ne
négligeons rien pour la rendre le plus
agréable possible !
La vie spirituelle, quant à elle,
obéit aux mêmes lois, elle ne pourra
s'épanouir que si elle reçoit une
nourriture conséquente.
L'ignorance ou la négligence peuvent, dans
un cas comme dans l'autre, avoir de graves
conséquences et contribuer à une
détérioration de la santé. Les
symptômes ne sont pas toujours
évidents au premier coup d'oeil, mais
à la longue des comportements bizarres, des
habitudes malsaines, révéleront une
dégradation de cette santé.
Lorsque l'on voit certains chrétiens vivre,
on ne sait plus très bien de quel bord ils
sont. Naviguant entre l'Église et le monde,
partageant leur vie entre Christ et Mammon, on peut
voir que leur santé spirituelle est
déficiente même s'ils ne s'en rendent
pas compte eux-mêmes.
Le temps du
"oui
Seigneur"
est un temps continuel qui se vit TOUJOURS
au présent,
jamais au passé !
Oui, j'ai donné ma vie au Seigneur !
Oui, elle lui appartient aujourd'hui et je veux le
démontrer en marchant dans
l'obéissance à SA parole ! Je
veux qu'il en soit ainsi aussi longtemps que je
suis en mesure de dire :
aujourd'hui !
Si croire est indispensable, la croyance sans l'obéissance
ne résistera pas à l'épreuve
du temps. La foi
est
conditionnelle à l'obéissance autant
qu'elle est indispensable pour s'engager dans le
chemin qui conduit à la Vie
éternelle.
Celui
qui croit au Fils a la vie
éternelle ; celui qui ne croit pas au Fils ne
verra point la vie, mais la colère de Dieu
demeure sur lui. Jean
3: 36
(v. L. S)
Divers passages du Nouveau Testament vont dans ce
sens, toutefois chacun doit comprendre que
le verbe
"croire"
implique bien plus qu'une décision
intellectuelle.
Il y a trop de "croyants" qui ne croient pas comme
le Seigneur le demande !
Trop de "croyants" qui tambourineront à la
porte pour entrer dans le Royaume de
Dieu !
Trop de "croyants" qui, pour avoir fermé la
porte de leur coeur au Fils de Dieu lorsqu'il
voulait les engager à corriger leur vie,
trouveront la porte fermée !
L'homme
ferma son
coeur et Dieu ferma la porte !
Une étude
sérieuse des Écritures mettra en
lumière que tous
ceux qui croient
(grec :
pisteuo)
ne
seront pas sauvés !
Les démons
croient
(grec :
pisteuo) et
pourtant
aucun ne
sera
sauvé !
Quant aux hommes... ?
Laissons la Parole de Dieu s'exprimer et ouvrons
d'autres versions afin de mieux comprendre le
verset de Jean 3: 36 et plus
particulièrement ce mot "croire". Un mot qui
est employé deux fois et dont le sens
pourrait induire en erreur ceux qui pensent qu'il
s'agit d'une simple négation lorsqu'il est
répété dans ce verset de la
version Segond :
Celui
qui croit (grec :
pisteuo)
au
Fils a la vie
éternelle ; celui qui ne croit pas
(grec :
apeitheo)
au
Fils ne verra point la vie, mais la colère
de Dieu demeure sur lui. Jean
3: 36
Quant à la version Darby,
nous lisons différemment ce deuxième
"croire" :
- Qui
croit (grec :
pisteuo) au Fils a la vie
éternelle ; mais qui
désobéit (grec : apeitheo) au Fils ne verra pas
la vie...
Il en est de même dans les versions David
Martin, Ostervald et Bible annotée.
- Celui
qui croit au Fils a la vie éternelle ;
mais
celui qui désobéit (grec : apeitheo)
au
Fils ne verra point la vie...
Avant de poursuivre, lisons un extrait de la note
qui concerne ce passage (v. Bible annotée)
où le commentateur a bien relevé la
différence :
"1°
On s'attendait à ce qu'à ces
mots : croire au Fils, seraient
opposés à ceux-ci :
ne
pas croire ; au lieu de cela, nous
lisons : désobéit au
Fils...
2° A ce verbe au
présent : a la
vie, se trouve opposé un verbe
au futur : ne verra point la vie, ni
maintenant, ni
plus tard...."
Si l'expression " ne pas croire" (grec : apeitheo) a un sens un peu vague pour
certains, par
contre
le mot désobéir (grec :
apeitheo)
dit bien
ce qu'il
veut dire.
L'homme
peut donc
croire en Dieu, croire ce qu'il dit, croire que la
Bible est la Vérité et en même
temps vivre dans la désobéissance en
raison de la dureté de son coeur ! La
désobéissance! Est-il besoin de
rappeler qu'elle est aussi coupable que la
divination ?
La
désobéissance est aussi coupable que
la divination... Puisque tu as rejeté la
parole de l'Éternel, il te rejette
aussi
comme roi". 1
Samuel 15: 23 (v. L. S)
Celui
qui
me
(Jésus) rejette et qui ne reçoit
pas mes paroles a son juge ; la parole que
j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au
dernier jour. Jean
12: 48 (v. L. S)
Celui qui
croit a
la vie éternelle... MAIS...
... celui qui désobéit...
... la colère de Dieu demeure - RESTE - sur
lui.
C'est-à-dire qu'il n'y
a pas de changement: la colère n'est pas
partie, c'est,
en
définitive, comme s'il n'avait pas cru!
Alors..., gardons-nous
de désobéir, de rejeter quoique ce
soit de la Parole de Dieu
si nous avons cru le message de
l'Évangile. Souvenons-nous que les plus
belles oeuvres accomplies pour le Seigneur ne
pourront jamais servir de paravent pour cacher les
péchés volontaires !
Rappelons-nous que ceux qui auront chassé
des démons, prophétisé ou
guéri des malades au
nom de Jésus,
n'entreront pas tous dans le Royaume
de Dieu (Matthieu
7: 21-23). Leur
engagement ne saurait couvrir
leurs transgressions, car le Seigneur sait et voit
qu'ils "commettent l'iniquité" (Matthieu
7: 23).
Il sait très exactement ce qu'il en est de
TA vie, de MA vie indépendamment de l'image
que nous désirons montrer.
Pour ne pas avoir couru ni travaillé en
vain, acceptons d'être repris lorsque nos
frères et soeurs dans la foi se rendent
compte - à la lumière de la Parole de
Dieu - que nous ne marchons plus en accord avec les
enseignements qu'a laissés le Seigneur.
Celui
qui
méprise la parole se
perd,
mais celui qui craint le précepte est
récompensé. Proverbes
13: 13 (v. L. S)
Un homme qui mérite d'être repris, et
qui raidit le cou, sera brisé subitement et
sans
remède. Proverbes
29: 1
(v. L. S)
Derrière ces avertissements solennels, il
est facile de comprendre que celui qui ne veut pas changer de
conduite se retrouvera devant une porte
fermée et
qu'il n'aura aucun argument à faire valoir
pour que cette porte s'ouvre afin de le laisser
entrer dans le Royaume de Dieu.
Une fois que la porte aura été
fermée, elle restera fermée.
L'important
sera
alors d'être du bon côté de la
porte !
Cette porte, tant
qu'elle est
ouverte, ne semble pas engageante pour ceux et
celles qui passent près d'elles, car
franchir une porte, c'est abandonner un monde pour
entrer dans un autre monde. Suivre
Jésus-Christ, c'est une marche
continuelle durant laquelle il n'est plus
question de revenir en arrière ou de
faire des aller-retour d'un monde à
l'autre !
Il serait
quand
même dommage d'attendre que la porte soit
fermée pour se rendre compte qu'elle
était ouverte pour notre
salut, pour
notre
délivrance et qu'en passant le seuil nous
allions entrer dans un monde qui allait nous faire
découvrir des richesses toujours plus
nombreuses au
fur et
à mesure de notre avance.
Il fut très dommageable pour les
compatriotes de Noé d'attendre que la porte
de l'arche soit fermée pour qu'ils aient le
désir ardent de la passer !
Ce fut une époque où il n'y a jamais
eu autant de croyants sur la terre. Malheureusement
pour eux, le temps de la grâce avait
laissé la place à celui du
jugement !
Tous les moqueurs, tous les blasphémateurs,
tous ceux qui pratiquaient le mal, n'avaient plus
qu'une seule pensée : passer par la porte pour se mettre en
sécurité dans
l'arche ! Ils voulaient
tous entrer, mais ne le pouvaient plus car
l'Éternel avait fermé la
porte !
...
beaucoup, je (Jésus) vous le dis,
chercheront à entrer et ne pourront pas.
Luc
13. 24 (v. D)
"Il y a un temps pour tout, un temps pour toute
chose sous les cieux" et lorsque le temps est
écoulé, le plan
de Dieu se poursuit tel qu'il
l'avait prévu
avant la fondation du monde !
Il se poursuit indépendamment de ceux qui
n'ont pas voulu prendre le temps d'être
sérieux avec la Parole de Dieu ou avec le
message de l'Évangile !
Que tu veuilles suivre Jésus ou non, que tu
obéisses ou non, ton attitude ne
bouleversera pas les plans divins :
Jésus reviendra sur les nuées du ciel
pour chercher ceux qui lui appartiennent ! Si
tu es prêt, tu es prêt !
Si tu n'es pas, prêt tu passeras à
côté de l'enlèvement qui se
fera sans toi !
Alors que la porte de la grâce est toujours
ouverte, ne méprisons donc pas les appels de
Dieu à la repentance, ne méprisons
pas les avertissements des Saintes
Écritures, ne
dédaignons pas la sanctification sans
laquelle personne ne verra le Seigneur
(Hébreux
12: 14).
La sanctification, le fait de rechercher la
sainteté pour être "comme Christ", est
un signe de consécration, une preuve que
l'on s'est mis à part pour Dieu !
Il n'y a pas de sanctification possible quand on
refuse d'obéir aux enseignements de la
Parole de Dieu.
Ta
parole
est une lampe à mes pieds, Et une
lumière sur mon sentier.
Je
jure, et je le tiendrai, D'observer les lois
de ta justice. Psaume
119: 105-106 (v. L. S)
Ils étaient nombreux à entendre le
message de l'Évangile, à suivre le
Fils de Dieu dans ses déplacements, à
se réjouir des oeuvres qu'il accomplissait
pour la gloire de Dieu. Ils étaient nombreux
et pourtant...
... pourtant le Fils de Dieu, celui à qui le Père
céleste a remis tout
jugement
(Jean
5: 22), NOUS
AVERTIT que BEAUCOUP
trouveront la porte fermée :
Quand
le maître de la maison se sera levé
et aura
fermé la
porte,
et que vous, étant dehors,
vous
commencerez à frapper à la
porte,
en disant : Seigneur,
Seigneur, ouvre-nous ! il vous
répondra : Je ne sais d'où vous
êtes.
Alors vous vous mettrez à dire : Nous
avons mangé et bu devant toi, et tu as
enseigné dans nos rues.
Et il répondra : Je vous le dis, je ne
sais d'où vous êtes ;
retirez-vous
de moi, vous tous,
ouvriers d'iniquité. C'est là qu'il
y aura des pleurs et des grincements de dents...
Luc
13: 25 et suivants (v. L. S)
Ils savaient tous qu'il n'y avait qu'un seul
chemin !
Ils savaient où était la bonne
porte !
Ils ne se sont pas trompés !
Ils ont frappé là où il
fallait frapper, mais ils sont venus trop
tard !
Loin d'être des ignorants, le texte nous
montre qu'ils connaissaient
le
Seigneur, qu'ils
avaient entendu
son
enseignement.
Tu fais peut-être partie de ces
gens-là ?
Sache alors que si tu restes dans ce groupe,
tu seras du
mauvais
côté de la
porte !
Dans la chrétienté d'aujourd'hui,
beaucoup ont entendu parler de Jésus,
beaucoup sont allés à des rencontres
où la Parole de Dieu a été
prêchée, mais beaucoup trouveront la
porte fermée parce qu'ils ne se sont pas
engagés à long
terme dans la
voie qui mène à
la Vie éternelle ! Eux aussi, ils
seront du mauvais côté de la porte et
frapperont vainement pour entrer !
Afin de ne pas en arriver à ce point de
non-retour, ne nous bornons pas à
écouter la Parole de Dieu, mettons-là
en pratique (Jacques
1: 22) !
Jésus
revient
bientôt ! Il l'a promis !
Et parce qu'il l'a promis, il demande à ce
que nous soyons prêts pour le jour de son
retour. "Demeurez
dans mon amour" a-t-il dit
à ses disciples
(Jean
15: 9).
Pour rester dans cet amour il suffit de
"marcher
dans ses commandements"
(2
Jean 1. 6), de "garder ses
commandements"
(1
Jean 5: 3).
Celui
qui a mes commandements et qui les
garde,
c'est celui qui m'aime ; et
celui qui m'aime sera aimé de mon
Père, je l'aimerai, et je me ferai
connaître à lui. Jean
14: 21 (v. L. S)
Si un jour nous nous
retrouvons devant la porte fermée, ce ne
sera pas parce que Dieu ne nous aura pas
aimés, ce sera
parce que, NOUS, nous n'aurons pas aimé
Dieu.
Ne l'ayant pas aimé comme il le demandait,
n'ayant pas voulu respecter sa Parole...
... Comment
pourrions-nous vivre éternellement en
présence de quelqu'un qui nous
dérangeait
chaque fois qu'il montrait ce qu'il fallait mettre
en pratique?
Quelqu'un
qui nous
agaçait chaque
fois qu'il demandait - conformément à
SA parole - que certains comportements changent
dans notre vie?
Veillez
donc attentivement sur vos
âmes,
afin d'aimer l'Éternel,
votre Dieu. Josué
23. 11 (v. L. S)
Prenez garde à
vous-mêmes, afin que vous ne perdiez pas le
fruit de votre travail, mais que vous receviez
une
pleine récompense. 2 Jean 1: 8 (v. L. S)
À suivre : (3) Ne te prépare
plus, sois prêt !
J-M Ravé 1er novembre 2008 - CP 474 - 2300
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