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Délinquance et la drogue (la)

Le sexe opposé, les relations parents-jeunes, l'insécurité, la solitude sont des préoccupations très importantes pour Dieu...

© Lydia - Concept

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Vivre une agression sexuelle et y survivre par le pardon

- "Je réalisai que j'étais encore en vie alors qu'il aurait pu me tuer"

- Une main l'a tiré

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Crime et châtiment (personnalités) 1994

- Les personnalités mises en examen font le beurre des médias

- "Avec l'extinction des scrupules monte la corruption"

- "L'argent est devenu le sésame qui ouvre toutes les portes"

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Chronologie des temps difficiles

- Des enfants comme des fauves

- Aucun des assassins n'a manifesté de regret

- Les foyers de violences

- Les jeunes délinquants deviennent de plus en plus violents

- Le professeur James Fox, un criminologue de la jeunesse de Boston

- Rechercheur des tendances: adieu la famille, bonjour la tendance maximale au mal

- Nouvelle constitution fédérale conçue sans Dieu?

- Quand la détresse, les souffrances et le mal prendront des dimensions catastrophiques

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La vraie raison demeure cachée

Paris n'arrive pas à maîtriser l'augmentation de la criminalité juvénile Depuis les explosions de violence dont Strasbourg et d'autres villes françaises ont été le théâtre vers le Nouvel An, l'opinion publique française a réalisé que de plus en plus de délits sont l'oeuvre d'adolescents, voire d'enfants. Les statistiques publiées par la gendarmerie et la police confirment cette tendance. Tandis que l'ensemble de la criminalité a de nouveau diminué ces dernières années une baisse de 1,86 pour cent réduisant à 3.493.442 le nombre de crimes et de délits (à l'exclusion des délits concernant la douane, la circulation routière et les finances) - la part des crimes perpétrés par des jeunes et des enfants a de nouveau connu une forte augmentation de 8,2 pour cent par rapport à l'année passée.

En 1997, les mineurs étaient responsables de près d'un cinquième de tous les délits - soit de 19,37 pour cent. En 1972, il ne s'agissait que de la moitié.

Bien que le phénomène de la criminalité juvénile soit systématiquement enregistré et analysé depuis 1992, on n'a toujours pas réussi à maîtriser le problème. On connaît les causes, qui trouvent surtout leur origine dans la dégradation des conditions de vie dans la banlieue des grandes villes; mais ni les autorités politiques ni les forces de l'ordre n'y ont trouvé de remèdes.

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Quand la porte s'ouvre à tous les excès ....

Il est effrayant de voir comment la violence et la dépravation des moeurs s'imposent de plus en plus. Rares sont les jours où les médias ne parlent pas de voies de fait, de viols, d'abus d'enfants et de délits sexuels. Et ce qui est publié constitue seulement la partie visible de l'iceberg. Le phénomène est universel. On ne cesse de sacrifier des interdictions et des prescriptions sur l'autel de la mentalité moderne. Et les résultats ne se font pas attendre. L'apôtre Paul le constatait déjà: «Car déjà le mystère de l'iniquité est à l'oeuvre ... » (2 Thess. 2, 7). Et à présent, où la révélation de l'impie est imminente (v. 8), son influence se fait de plus en plus sentir.

Liberté et manque de retenue, voilà l'évangile moderne. Tout est permis. La discrétion et les tabous sont vieux jeu. La moindre censure que l'on applique sur les films, la littérature et la presse au sujet de la violence, l'horreur, la perversion sexuelle, la pornographie et d'autres monstruosités, est actuellement considérée et refusée comme une atteinte à la liberté d'expression. Ceux qui essaient encore de sauvegarder un minimum de bienséance et de décence risquent d'être traînés en justice pour atteinte au droit fondamental de la liberté d'expression et de passer pour des encroûtés, démodés et réactionnaires.

Mais le pis de tout est que cette mentalité anarchique, qui est typique de la fin des temps, sape les derniers bastions élevés contre le péché, et elle s'est infiltrée dans les églises et les communautés chrétiennes. On s'indigne et on a des haut-le-coeur en lisant des articles sur des représentants d'églises, même d'églises indépendantes, qui défendent l'homosexualité et veulent la légaliser, au lieu d'appeler à la repentance et à la conversion pour aider ceux qui ont succombé à la tentation, afin qu'ils puissent se libérer des tentacules du péché. On fait exactement le contraire. Les égarés sont confirmés dans leur égarement, comme si tout allait pour le mieux. Et tout cela est possible parce que ces représentants des églises ont eux-mêmes transgressé la loi de Dieu et qu'ils approuvent donc ceux qui en font autant (Rom. 1, 32).

Quiconque s'y oppose de nos jours doit sérieusement tenir compte de l'éventualité d'être inculpé et puni. On veut être plus sage que Dieu et on croit qu'à notre époque moderne, on ne peut plus avoir les mêmes conceptions qu'il y a deux mille ans. Mais on oublie que l'immoralité et la dissolution ne sont pas moins que jadis des péchés. Et lorsque les inéluctables conséquences de cet affranchissement de toute contrainte arrivent, on se demande comment on a pu en arriver là, puisqu'on a toujours agi pour bien faire. Il y a lieu de s'inquiéter, car qui protégera encore nos enfants de l'immoralité sexuelle, de l'homosexualité, de l'alcool et des narcotiques, qui ruinent la vie, corrompent l'âme et mènent régulièrement à la mort, voire au suicide?

Tous ces signes de décadences sont pour nous autant d'exhortations à nous tenir plus près encore du Seigneur, à L'aimer et à L'imiter davantage en respectant Ses voies, Ses commandements et Sa justice. C'est de cette manière que nous pouvons Lui témoigner notre amour. Tant que nous resterons en Lui, Il accomplira ses fidèles promesses, comme le Psaume 91 nous l'enseigne, notamment au verset 10: «Aucun malheur ne t'arrivera, aucun fléau n'approchera de ta tente.»

F.W.

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Euthanasie: mourir n'est plus un choix... ou la mort en face 1991

- Le problème de l'euthanasie est brutalement posé par des élus du suffrage universel.

Le Parlement Européen de Strasbourg doit débattre ce mois-ci d'une proposition de loi (émanant de la commission de l'environnement, de la santé publique et de la protection des consommateurs) qui admet l'interruption volontaire de la vie.

- Proposition de résolution au Parlement Européen

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Le référendum a abouti (Oui à la vie)1991

Le référendum lancé par «Union démocratique fédérale» (UDF) et le mouvement «Oui à la vie» contre la modification du Code pénal suisse sur la sexualité a récolté 147 000 signatures. Un Grand merci à tous les signataires! Ainsi le peuple suisse aura à se prononcer par un vote au courant de 1992. Il faut espérer que la réforme du code pénal, déjà acceptée par les chambres, sera rejetée par le peuple, car elle comporte une «libéralisation des moeurs» qui prévoit que les actes sexuels entre mineurs (moins de 16 ans) ne soient plus punissables si la différence d'âge entre les partenaires n'excède pas trois ans, même s'il s'agit d'homosexualité. Cette modification rendrait aussi la pornographie accessible aux mineurs dès l'âge de 16 ans. Il nous faut prier et voter pour la bonne cause!

(voir la B. N. 5 / 91 p. 170)

La Bonne Nouvelle - Droit de reproduction: prière de s'adresser au journal

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Euthanasie: la mort assistée 1992

- Deux affaires récentes confrontent le Québec à l'euthanasie

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Euthanasie: les Pays-Bas dépénalise... 1993

Les 500 000 adhérents des associations occidentales "pour le droit de mourir dans la dignité" se réjouissent de voir les Pays-Bas devenir le premier pays industrialisé à dépénaliser l'euthanasie. la loi néerlandaise garantit l'impunité aux médecins qui mettent un terme, sous 28 conditions, à la vie d'un patient incurable qui en fait la demande à plusieurs reprises.

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Euthanasie: Suicide (Exit) 1993

L'association suisse pour le droit de mourir dans la dignité (EXIT) retire sa brochure d'aide au suicide... parce que les méthodes décrites y sont peu sûres, notamment après le retrait de la vente de certains médicaments préconisés.

"Exit" regroupe 56 000 personnes en Suisse (dont 10% de Romands). Une trentaine de groupes semblables, dans le monde, rassemblent 1 millions de personnes favorables à l'euthanasie pour les malades en phase terminale.

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Euthanasie: faut-il légaliser ? 1995

- L'euthanasie, une notion à définir

- L'embarras des médecins

- Et les soins palliatifs ?

- Mourir dans la dignité ?

- Un débat autour des valeurs

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25 ans de Oui à la vie 1997

- Le mouvement Oui à la vie a fêté son quart de siècle avec des rencontres sur le thème de l'euthanasie

- Sous le slogan " Jusqu'à la mort, accompagnons la vie", les organisateurs ont proposé un réel échange d'idée sur la question de l'euthanasie. Comment répondre à l'angoisse d'un patient en fin de vie, diminué par la souffrance et la maladie, parfois abandonné par son entourage et habité d'un sentiment d'inutilité ?

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Celui qui cherche son bonheur dans le malheur trouvera le malheur.

Etats-Unis: le taux des suicides est quatre fois plus élevé dans les villes qui ont des casinos Le nombre des suicides dans les villes américaines qui ont des casinos est jusqu'à quatre fois plus élevé que dans les villes sans salles de jeux. Tel est le résultat d'une étude effectuée par le sociologue

D. Philips (San Diego) dans trois grandes villes américaines réputées pour leurs casinos: Las Vegas, Reno et Atlantic City.

En 1990, à Las Vegas, chaque 25e décès parmi les touristes était dû à un suicide, ce qui est quatre fois plus élevé que la moyenne nationale. Depuis que 24 Etats fédérés ont autorisé les jeux de hasard, voici une dizaine d'années, on redoute une augmentation du nombre de suicides dans les régions concernées.

(Le héraut de sa venue, févr. 1998)

A quel point les gens ne vivent-ils pas sous l'emprise du prince de ce monde, qui les séduit par une apparence de bonheur afin de les jeter dans le malheur. Combien le coeur de Dieu ne doit-il pas être ému à la vue d'une telle séduction et d'une telle détresse, car Dieu ne veut pas la mort du malheureux.