Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

AUX CATHOLIQUES FRANÇAIS

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Monsieur le Curé,

La religion de la majorité des Français, le Catholicisme, est en butte aux attaques réitérées des incrédules et aux accusations d'infidélité et d'erreur que lui font les protestants.

Cette situation m'a ému et j'ai pensé que le meilleur moyen était de vous proposer de justifier la foi catholique.
Je ne vous demande pas de prendre en considération les propos des athées ; le roi David les a jugés depuis longtemps : « L'insensé dit en son coeur : il n'y a point de Dieu. »
Mais je vous invite à répondre avec foi et vérité aux critiques des protestants.

Ce sont des chrétiens, ils affirment hautement qu'ils s'inspirent de l'Écriture Sainte ; il est urgent de savoir si leurs accusations d'erreur et d'infidélité sont fondées ou non.
Nous ne sommes plus aux temps de Luther et de Calvin, vous pouvez ne pas recourir à leurs écrits.
Ne vous défendez pas non plus en prenant vos textes dans les Nouveaux Testaments que les protestants ont traduits : on a si souvent dit qu'ils contenaient des erreurs - ce dont je doute sérieusement - que la masse du peuple ne serait point satisfaite.

Puisqu'il faut vous adresser aux fidèles, servez-vous tout simplement du livre que vous mettez entre leurs mains, du Paroissien Romain (1). Il contient beaucoup de citations de l'Évangile et des Épîtres ; elles doivent suffire soit à mettre au grand jour l'hérésie des protestants et la vérité de vos dogmes, soit à vous convaincre d'erreur et d'infidélité, comme ils disent, et, dans ce cas, assurer la victoire définitive de la Vérité.

À la rigueur, dans un cas embarrassant, vous consulterez la traduction du Nouveau Testament de M. l'abbé J.-B. Glaire, approuvée le 22 janvier 1861, par décret de la Sainte Congrégation de l'Index, et référée par le Secrétaire de la Sainte Congrégation à « NOTRE TRÈS SAINT-PÈRE, LE PAPE PIE IX », dans l'audience du 25 janvier, appuyée enfin des recommandations de quinze évêques ou archevêques.

Vous aurez ainsi poursuivi et peut-être atteint, l'union entre les deux grandes branches divisées du Christianisme : les catholiques et les protestants, vous vous serez appliqué « à conserver l'unité d'esprit, par le lien de la paix ». (Ep. aux Ephés. 4-3).

Votre dévoué en N. S. J.-C.

L'AUTEUR.




PREMIÈRE PARTIE

La Question de l'Autorité



CHAPITRE PREMIER

La lecture de la Bible


M. A. - À l'ombre de ce bois de pins qui cache les ruines de l'antique manoir des évêques de Clermont, assis sur un tronc moussu, nous pourrons deviser tranquilles. Le ciel bleu, le parfum des fleurs, le gazouillis des oiseaux, nous inspireront..
Pensez-vous que le livre de la nature doive seul être ouvert devant nos yeux ? Voici la Sainte-Bible. Les protestants vous accusent d'en interdire la lecture à tous les fidèles, est-ce vrai ?

M. le Curé. Non, car la Bible est répandue dans plusieurs de nos paroisses. Vous me parliez, dans votre lettre, du Nouveau Testament de l'abbé Glaire ; il en existe d'autres, cela prouve évidemment qu'on les lit, ou du moins que nous les donnons à lire.

M. A. - Cela n'a pas toujours été l'opinion de Rome, et votre réponse me surprend.
Le Synode de Tolède, en 675, a voulu que les Livres saints ne fussent lus que par le Clergé, c'est au Clergé que s'adressent vos traductions.
Cette opinion a même été confirmée par le Synode de Toulouse en 4129.

M. le Curé. - Vous oubliez que le pape Léon X, en 1515, a approuvé sans aucune restriction la traduction d'Érasme.

M. A. - Je ne l'ignore pas ; seulement, le Concile de Trente, convoqué en 1545, s'est nettement opposé à ce que les fidèles aient la Bible entre leurs mains.

M. le Curé. - La restriction ne fut pas aussi sévère. Le pape Pie IV, dans son Catalogue des Livres prohibés aux fidèles, déclare que nul catholique ne pourra lire la Sainte Écriture sans avoir obtenu la permission de son évêque, de son curé ou de son confesseur (2).

M. A. - Vous me rassurez, car j'allais vous dire que, vingt ans après, un autre pape, Clément VIII, en 1592, ne donnait pas cette latitude !
La fameuse bulle Unigenitus Dei filius de Clément XI, parue en septembre, 1713, était encore bien sévère dans la défense faite aux fidèles !

M. le Curé. - Pour moi, je suis de l'opinion de Clément XI, j'estime que les fidèles ne sont pas en état de comprendre l'Écriture Sainte. Les protestants ont tort de dire que la Bible doive être mise entre les mains de tous les chrétiens.
Nous avons fait un choix des principaux passages que l'on peut lire, et nous l'avons placé dans le Paroissien romain. Cela suffit.

M. A. - Je reconnais que votre choix est assez bien fait. Il va nous renseigner sur la question qui nous occupe. Ouvrons le Paroissien.
Voici un fragment du sermon prophétique de Notre Seigneur :
« Le Ciel et la terre passeront, mais MES PAROLES ne passeront point (3). »
Nous trouvons les paroles de Jésus-Christ non dans une portion de l'Évangile, mais dans l'Évangile tout entier...

M. le Curé. - Oui, mais ce qu'il importe le plus, c'est l'amour que Jésus réclame pour lui ; son ordre c'est de l'aimer Lui plutôt. que de lire ses paroles.

M. A.. - C'est l'un et l'autre, car Notre Seigneur a dit : « Si quelqu'un m'aime, IL GARDERA MA PAROLE (4). »

M. le Curé. - Nous expliquons sa parole, nous, les prêtres, et nous conseillons aux fidèles de la garder. Mais les paroles de Jésus sont souvent bien difficiles, nos pauvres gens sont incapables de les comprendre.

M. A.. - Les apôtres ont fait une autre expérience lorsque le Seigneur les envoya en mission. Les docteurs de la Loi ne les avaient pas compris, tandis que les simples paysans de la Galilée s'étaient enthousiasmés de la bonne nouvelle du salut.
À leur retour, Jésus, transporté de joie, en a béni son Père :
« Je vous rends gloire, mon Père, Seigneur du Ciel et de la terre, de ce que vous avez caché ces choses aux sages et aux prudents, et de ce que vous les avez révélées aux petits (5). »

M. le Curé. - Vous abondez dans mon sens il s'agit bien ici de la prédication de l'Évangile et non de la distribution de l'Écriture Sainte. Quand Satan rugit comme un lion autour d'une âme, ce n'est pas en prenant sa Bible que le chrétien le chassera !

M. A. - Vous croyez ! Notre Seigneur en a jugé autrement. Il a repoussé trois fois le Tentateur en lui disant :
« IL EST ÉCRIT : L'homme ne vit pas seulement de pain, MAIS DE TOUTE PAROLE QUI SORT DE LA BOUCHE DE DIEU...
IL EST ÉCRIT AUSSI : Vous ne tenterez point le Seigneur votre Dieu.
IL EST ÉCRIT : Vous adorerez le Seigneur votre Dieu et vous ne servirez que lui seul (6). »

M. le Curé. - Vous faites néanmoins une différence entre Jésus et ses disciples, entre Notre Seigneur et les fidèles. Nous ne pouvons pas l'imiter en toutes choses.

M. A. - Mais nous devons lire et méditer sa parole pour qu'elle agisse en nous. Saint Jean avait cette pensée lorsqu'il écrivit son Évangile :
« Jésus a fait, dit-il, en présence de ses disciples, beaucoup d'autres miracles qui ne sont pas dans ce livre, mais ceux-ci ont été rapportés dans ce livre, afin que vous croyiez que Jésus est le Christ Fils de Dieu, et qu'en croyant vous ayez ta vie en son nom (7). »
Donc, pour établir notre foi en la divinité de Notre Seigneur, nous sommes invités à lire ce livre, c'est-à-dire, le quatrième Évangile.

M. le Curé. - Eh bien, je ne vois aucun inconvénient à ce que l'on mette l'Évangile selon saint Mathieu, selon saint Marc, selon saint Luc, et selon saint Jean entre les mains des fidèles.
N'est-ce point très raisonnable ?

M. A. - Je suis heureux à la pensée que vos paroissiens pourront se nourrir des pages sublimes qui racontent la vie de notre adorable Sauveur : ils y puiseront des forces nouvelles pour leur vie chrétienne.
Il reste les Épîtres. Persistez-vous à les leur interdire ?

M. le Curé. - Formellement, en dehors des passages du Paroissien.

M. A. - Ne croyez-vous pas que la lecture de ces quelques extraits les invitera à lire les épîtres en entier ?

M. le Curé. - Qui donc voulez-vous qui leur en donne la pensée ?

M. A. - L'apôtre saint Paul. Il écrit sa lettre à Rome, non pas au Clergé seul, mais à tous les membres de l'Eglise :
« À TOUS CEUX qui sont à Rome, aux chéris de Dieu, appelés Saints (8). »

M. le Curé. - Personne ne lira cela dans le Paroissien. On n'a pas cité ce passage parce qu'il n'intéressait que l'Eglise de Rome.

M. A. - En voici un autre qui s'y trouve cette fois. Il est pris dans la même épître :
« La foi vient de ce qu'on a entendu, et ce qu'on entendu est LA PAROLE DE JÉSUS-CHRIST. Mais peuvent-ils objecter qu'ils n'ont point entendu ? « Non, assurément, puisque la voix des envoyés célestes a retenti dans tout l'univers, et que leurs paroles sont parvenues jusqu'aux extrémités de la terre (9). »
Vous voyez que ceux qui n'ont pas la foi sont précisément ceux qui n'ont pas obéi à l'Évangile, qui n'ont pas entendu la parole de Jésus-Christ et qui ont fermé leurs oreilles à la voix des envoyés célestes.
Toutes ces choses, l'Univers, les extrémités de la terre, peuvent les connaître, car elles sont contenues dans la Parole de Dieu écrite.
Nul n'a donc le droit de l'ignorer ou de la tenir fermée.

M. le Curé. - Votre logique vous égare. Rome n'avait reçu encore aucun écrit ; vous abondez de nouveau dans mon sens : il s'agit uniquement de la parole prêchée.

M. A. - J'ignore exactement quels étaient les écrits que possédaient les chrétiens de Rome, ce que je sais, c'est qu'ils en avaient de grande valeur, puisque l'apôtre peut leur écrire ceci :
« TOUT CE Qui EST ÉCRIT l'a été pour notre instruction, afin que par la patience et par la consolation QUE LES ÉCRITURES nous donnent, nous vivions dans l'espérance (10). »

M. le Curé. - En toutes choses, pour être impartial, il faut considérer l'époque, les lieux, les circonstances. Convenez que Rome avait une situation très spéciale. C'était la capitale du monde, elle avait de célèbres rhéteurs, des savants, des philosophes que les discours seuls n'eussent point convaincus.
La lecture de l'Écriture Sainte a donc constitué pour Rome une exception : c'est une concession que saint Paul a faite grâce aux circonstances. Mais l'exception confirme la règle.

M. A. - Je crains bien que les protestants ne vous parlent d'Éphèse. Saint Paul écrivait à cette église : « Prenez-en main le glaive spirituel qui est LA PAROLE DE DIEU (11).

M. le Curé. - Éphèse est aussi une exception à cause de son importance. Les autres églises n'ont point joui des mêmes privilèges.

M. A. - Et Corinthe ?

M. le Curé. - L'apôtre dit seulement qu'il a prêché (12).

M. A. - Et Thessalonique ?

M. le Curé. - Quatre fois saint Paul répète qu'il a prêché (13).

M. A.. - Un passage me revient en mémoire qui me paraît difficile à concilier avec votre manière de voir. Il est dans l'épître aux Colossiens :
« Quand celle lettre aura ÉTÉ LUE parmi vous, faites qu'elle soit LUE aussi dans l'église de Laodicée ; et celle des Laodiciens, LISEZ-LA vous-mêmes (14). »
Vous voyez donc que les Églises lisaient les unes les autres les lettres qui leur étaient respectivement adressées.

M. le Curé. - Oui, je le sais, mais nos fidèles l'ignorent, car le passage que vous invoquez n'est pas dans le Paroissien.

M. A. - Ils y trouveront mieux cette paternelle exhortation de saint Paul à son cher Timothée :
"Vous avez été nourri dès votre enfance DES SAINTES LETTRES, qui peuvent vous instruire pour le salut par la foi qui est en Jésus-Christ (15). »

M. le Curé. - J'en demeure d'accord, mais convenez aussi que Timothée se préparait au Saint Ministère, c'est pour cela que l'apôtre ajoute encore ces instructions, que nous réservons aux prêtres :
« Toute l'Écriture étant inspirée de Dieu est utile pour instruire, pour reprendre, pour corriger et pour conduire à la justice... Je vous conjure devant Dieu et devant Jésus-Christ, d'annoncer la parole... faites les fonctions d'évangéliste (15b). »

M. A. - Est-ce à dire que toute l'Écriture doive être enlevée aux fidèles ?

M. le Curé. - C'est mon sentiment.

M. A. - Eh bien saint Paul pense autrement que vous. Au moment critique où il va couronner sa noble vie par le martyre, il écrit au même disciple Timothée :
« LA PAROLE Du DIEU NE SAURAIT ÊTRE CAPTIVE (16). »

M. le Curé. - Nous ne pouvons pas exclusivement nous appuyer sur saint Paul, nous respectons bien son autorité, mais nous donnons plus de valeur à l'opinion de saint Pierre. Ce dernier seul doit résoudre la question.

M. A. - Consultons-le. Si cet apôtre vous dit que vous vous mettrez en garde contre les légendes et les hérésies avec la parole de Dieu, serez-vous convaincu ?

M. le Curé. - Oui, je le serai.... mais vous allez feuilleter en vain le Paroissien.

M. A. - Voici au contraire ce qu'il me dit :
« Ce n'est point - dit saint Pierre - en suivant des fables et des fictions ingénieuses que nous avons fait connaître la puissance et l'avènement de Notre Seigneur Jésus-Christ, mais nous avons d'ailleurs la PAROLE PROPHÉTIQUE dont la certitude est plus affermie, à laquelle vous faites bien de vous arrêter, comme à une lampe qui luit dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour commence à paraître, et que l'étoile du matin se lève dans les coeurs (17). »

M. le Curé. - Vous sortez de la question ; vous parlez de la parole prophétique, c'est du Vieux Testament qu'il s'agit, et jusqu'ici nous ne nous sommes occupés que du Nouveau.

M. A. - Si les écrits des prophètes qui ont annoncé le Messie sont la lampe qui luit, qui fait lever dans les coeurs l'étoile du matin, que dire des immortelles pages qui nous parlent de la Sainteté, de la Puissance, de la Gloire de Notre Sauveur bien-aimé ?
Elles seront la lumière du monde !

M. le Curé. - Cela est vrai ! Je n'avais pas pensé à tout cela !... Eh bien, je permettrai aussi la lecture des Épîtres de saint Paul et de saint Pierre, mais je n'irai pas au delà.

M. A. - Vous pouvez bien ajouter encore les petites épîtres de Jude, de Jean, et la belle épître de Jacques qui dit :
« Mettez en pratique la divine Parole (18). »

M. le Curé. - Oui, pour en finir, mais je réserve absolument l'Apocalypse, il est trop mystérieux.

M. A. - Mystérieux, il l'est en effet, néanmoins vous ne pouvez pas résister aux conseils du disciple bien-aimé de Jésus qui dit à propos de son livre :
« Heureux celui qui LIT et écoute les paroles DE CETTE PROPHÉTIE et garde les choses qui y sont écrites... (19). »

M. le Curé. - Vous me placez dans une situation difficile. Vous voulez que comme les protestants je donne à mes paroissiens l'Écriture Sainte entière et non fragmentée, que je leur en recommande la lecture alors que les Conciles et les Papes en ont décidé autrement !
J'ai reçu cet ordre :
« Obéissez et soyez SOUMIS à vos pasteurs (20).

M. A. - Il est écrit aussi dans le même pas :
« Ne vous laissez pas séduire par les doctrines diverses et étrangères à la foi (20b). »
Et saint Pierre a dit :
« Il faut plutôt obéir à Dieu qu'aux hommes (21). »

M. le Curé. - Dieu n'a point ordonné de faire lire la Bible.

M. A. - Jésus, répondant à ses adversaires qui contestaient son origine et ses pouvoirs, a dit :
« SCRUTEZ LES ÉCRITURES, puisque vous pensez avoir en elles la vie éternelle, car ce sont elles qui rendent témoignage de moi (22). »

Les ombres du soir enveloppaient les campagnes, la brise secouait les branches des pins, et M. le Curé regagnait son modeste presbytère en murmurant :
« Scrutez les Écritures ! Scrutez les Écritures ! »


(1) Nous nous servirons dans notre travail du Paroissien Romain complet du diocèse de Clermont, imprimé avec permission de Monseigneur Louis-Charles Féron. Paris, Adrien Le Clerc et Cie. 

(2) Bulle du 24 mars 1561. « Index des livres défendus, composé par les députés du Concile de Trente. »
Règle III.
« Les versions du vieil Testament pourront être concédées à la discrétion de l'évêque seulement, aux catholiques doctes et vertueux, moyennant qu'ils usent de ces versions comme d'explication de la Vulgate, pour entendre la Sainte Écriture, et non pas d'un texte exprès. Mais les versions du Nouveau Testament qui sont des auteurs compris au premier ordre de cet Index (Th. de Bèze, Calvin, Didimus, Faventinus (Mélanchton), Luther, etc.), qu'elles ne soient permises à personne, parce que, par leur lecture, il peut arriver beaucoup de dangers aux lecteurs et peu de profit. » 

(3) Luc. 21-33. P. R. Le premier dimanche de l'Avent, p. 167. Comparez Math. 24-35. P. R. Le 24e dimanche après la Pentecôte, p. 488. 

(4) Jean XIV, 23. P. R. Le saint jour de la Pentecôte, p. 394. 

(5) Math. XI, 25. P. R. Le 12 février, Saint Paul ermite, p. 655.

(6) Saint Math. 4-4. P. R. Le premier dimanche de Carême, p. 293. 

(7) Jean 20-30. P. R. Le dimanche de Quasimodo, p. 361.

(8) Rom. 1-7. Le P. R. Vigile de Noël, p. 183, s'arrête précisément à ce verset.

(9) Rom. 10-10 à 19. P. R. Le 30 novembre, saint André apôtre, p. 589.

(10) Ep. Rom. 15-4. P. R. Le deuxième dimanche de l'Avent, p. 170.

(11) Ep. Ephés. 6-17. P. R. Le 21e dimanche après la Pentecôte, p. 478.

(12) Ep. I Cor. 15-1. P. R. Le 11e dimanche après la Pentecôte, p. 430. 

(13) I Ep. Thessal. 2-2 à 9. P. R. Le 16 juin, saint Jean Fran. Régis. p. 744.

(14) Ep. Col. 4-16. P. R. Néant.

(15) Il Ep. à Tim. 3-14 à 16 P. R. Le 28 juin, saint Irénée, p. 760.

(15b) Il Ep. à Tim. 3-14 à 16.

(16) Il Ep. à Tim. 2-9. P. R. Commun d'un martyr non pontife, p. 503.

(17) Il Ep. de saint Pierre 1-19. P. R. Le 6 août, Transfig. de N. S., p. 806.

(18) Ep. de Jacques 1-22. P. R. Capitule. Le 5e dimanche après Pâques, p. 376. 

(19) Apocalypse 1-3. Le 19 septembre, Dédic. de saint Michel Arch., p. 853.

(20) Ep. Hébreux 13-17. P. R. Le 8 décembre, saint Nicolas, p. 395.

(20b) Ep. Hébreux 13-17

(21) Actes 5-29. P. R. Néant.

(22) Saint Jean 5-39. P. R. Néant.

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