Puisque nous sommes pendant la période
des vacances, je vous invite à aller faire
un tour à la piscine. Oh ! Pas
n'importe quelle piscine !
En effet, il y a de nombreuses piscines où
la présence de Jésus ne serait pas la
bienvenue. Il y a de nombreux endroits où le
prince des ténèbres règne en
mettant tout en oeuvre pour que se commettent
certaines catégories d'adultères.
Il s'y prend si bien que les gens du monde n'y
prêtent aucune attention et ne se sentent pas
repris lorsqu'ils convoitent du regard les femmes
dénudées qui s'exposent à
leurs yeux.
Ces endroits, piscines ou plages, ces
endroits où la chair est exposée
quasiment sans pudeur au regard des innocents comme
des vicieux, sont devenus des lieux de
prédilection pour l'adversaire de nos
âmes.
Sans aucun doute, il saura tirer parti de notre
présence éventuelle dans ces
"temples " de la nudité partielle
où la convoitise déshabille les
parties du corps que l'on cherche à peine
à cacher.
Combien d'adultères n'ont-ils pas
été provoqués
inconsciemment ?
Des adultères qui sont commis par les deux
sexes, l'un étant utilisé -
souvent à son insu - comme un
instrument de tentation! Cela
dégage-t-il pour autant sa
responsabilité ?
Mais moi,
(Jésus ; celui à qui le
Père a remis tout jugement –
Jean 5 : 22) je vous dis que quiconque regarde une femme pour
la convoiter a DÉJÀ COMMIS UN
ADULTÈRE avec elle dans son coeur. Matthieu 5 : 28
Sans doute bien des femmes ne se rendent pas compte
du péché qu'elles font commettre
à certains hommes en s'exposant comme elles
s'exposent ; péché dont elles
ont une part de responsabilité le sens
où nous devons nous abstenir (hommes comme
femmes) de tout ce qui pourrait être une
occasion de chute pour notre prochain.
Il est bien de ne pas manger
de viande, de ne pas boire de vin, et de s’abstenir de
ce qui peut
être pour
ton frère une occasion de
chute, de
scandale ou de faiblesse. Romains 14 : 21
Ce n'est donc pas dans ces piscines que je vous
invite à aller ; ces piscines, ces
plages où la convoitise finit très
souvent par venir à bout de la
résistance de celui qui s'est laissé
prendre au piège afin de le conduire
à commettre le péché avec une
personne qui se sera laissée séduire
par des paroles doucereuses.
Ces piscines où.. CERTAINS PASSAGES DE LA
PAROLE DE DIEU DOIVENT ÊTRE
MOMENTANÉMENT RETRANCHÉS les
enfants de Dieu qui veulent jouir, comme le monde,
des plaisirs de la plage.
« Je
veux », disait l'apôtre Paul
à Timothée, je
veux aussi que les femmes, vêtues d’une
manière décente, avec pudeur et
modestie... »
(1 Timothée 2 : 9).
Notez que ce commandement – inspiré
par le Saint-Esprit– s'adresse à
des enfants de Dieu à qui le Seigneur
pourrait dire : « tu ne sais pas que tu es nu
(que tu es
malheureux, misérable, pauvre, aveugle et
nu)...
... je te conseille
d’acheter de moi... des vêtements
blancs, afin que tu
sois vêtu et que la honte de ta nudité
ne paraisse pas,
et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu
voies »
(Apocalypse 3 : 17-18).
Suite à ce qui vient d'être dit, nous
allons faire un petit saut dans le dictionnaire
pour bien comprendre les mots que l'apôtre
Paul emploie dans l'épître à
Timothée. Les mots de décence et de
pudeur ont perdu – dans le monde d'aujourd'hui
– leur signification. Qu'il n'en soit pas
ainsi dans l'Église de
Jésus-Christ !
Décence : Respect des normes
morales et des convenances, notamment en
matière sexuelle, dans la tenue, les actes
et les paroles.
Pudeur : Disposition à se
retenir de montrer, d'observer, de faire
état de certaines parties de son corps,
principalement celles de nature sexuelle, ou de
montrer, d'observer, de faire état de choses
considérées comme étant plus
ou moins directement d'ordre sexuel ; attitude
de quelqu'un qui manifeste une telle disposition.
(dictionnaire Lexilogos).
Sachez-le bien, aucun
impudique, ou
impur, ou cupide, c’est-à-dire,
idolâtre, n’a d’héritage
dans le royaume de Christ et de Dieu. Éphésiens 5 :
5
Lire aussi :
1 Corinthiens 6 : 9 ;
Hébreux 13 : 4 ;
Apocalypse 21 : 8 ;
22:15)
La sentence, comme vous le voyez, est
catégorique : AUCUN IMPUDIQUE
N'ENTRERA DANS LE ROYAUME DE CHRIST !
Puisqu'il en sera ainsi, nous avons tout
intérêt à veiller sur notre
habillement, sur notre conduite afin que nous ne
devenions pas des impudiques par ignorance.
Une ignorance qui ne devrait être que de
courte durée si nous sommes sensibles
à la voix du Saint-Esprit.
Impudique : Dont le comportement outrage la
morale sexuelle établie (par la Parole de
Dieu, pour ce qui nous concerne).
N'êtes-vous pas surpris que, dans cette
dernière Église de
Jésus-Christ (l'Eglise de Laodicée,
la nôtre), on ne soit plus capable de se
rendre compte que l'on est nu, au sens propre
comme au sens spirituel ? « TU NE
SAIS PAS QUE TU ES.. NU (e) »
Ne l'êtes-vous pas alors que le monde arrive
encore à faire la différence
lorsqu'il a envie de la faire ?
Ne vous êtes-vous jamais demandé
pourquoi les
« vêtements » de plage ne
doivent pas être portés en
ville ? Serait-ce, par hasard, une question de
décence ?
Extrait d'un article de journal :
« La municipalité de.... a
indiqué que désormais une amende
allant jusqu'à 500 euros sera donné
à quiconque se promènera dans la
ville en tenue
légère. »
En tant qu'enfants de Dieu, nous devons donc
prêter une grande attention à notre
comportement, à notre habillement afin de ne
pas devenir une pierre d'achoppement pour notre
prochain
(Romains 14 : 13).
Nous devons d’autant plus veiller sur notre
conduite si nous voulons avoir part à
l'héritage qui est réservé
dans les cieux à ceux et celles qui
craignent l'Éternel et qui obéissent
aux commandements de Dieu.
Ne vous conformez pas au
siècle présent, mais soyez transformés par
le renouvellement de l’intelligence, afin que
vous discerniez quelle est la volonté de
Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait.
Romains 12 : 2
Ce siècle présent, ces 100
dernières années, nous devrions les
regarder un peu plus en détail afin de
découvrir comment les moeurs se sont
dégradées.
Comment on a légalisé tout ce que les
pouvoirs publics ne pouvaient plus contenir sous la
pression du peuple qui exigeait plus de
libertés : prostitution, tenue
vestimentaire (sur les plages), divorces,
avortements, homosexualité...
Qui sait si à force de voir le mal, nous ne
sommes pas devenus plus ou moins
insensibles ?
Si à force de le voir se répandre il
n'est pas devenu la
référenceà tel point que
le bien d'autrefois est appelé mal et que le
mal d'aujourd'hui représenterait le bien
qu'il ne faut pas dénigrer sous peine
d'être passible des tribunaux ? Attitude
contraire aux enseignements de
l'Écriture !
Malheur à ceux qui
appellent le mal bien, et le bien mal, Qui changent les
ténèbres en lumière, et la
lumière en ténèbres...
Esaïe 5 : 20
« À force de voir, on
s'est lassé de juger
sérieusement ; les
scènes du monde ont paru ne plus valoir la
peine de remonter le temps, pour les comparer, aux
grands principes (bibliques), et les
principes (bibliques)
eux-mêmes sont peu à peu
devenus, pour beaucoup de gens, sans intérêt...
Un illustre chrétien disait jadis :
« Cœur large, et conscience
étroite. »
Aujourd'hui, le cœur est étroit, ne
vous y trompez pas ; c'est la conscience qui
est large. » (D'après: Christ et le siècle
présent – Félix Bugenner –
1856)
Nous n'irons donc pas vers ces piscines et ces
plages où le péché a de si
nombreuses occasions de se manifester, nous nous
contenterons d'aller à la piscine de
Béthesda.
Une piscine qui n'a rien d'extraordinaire si ce
n'est qu'elle est remplie de personnes qui, au
travers de leurs maux, nous apprennent que le
péché a fait - et fait encore - de
nombreux ravages suite à la
désobéissance de nos premiers
parents.
... à
Jérusalem, près de la porte des
brebis, il y a une piscine qui s’appelle en
hébreu Béthesda, et qui a cinq
portiques.
Sous ces portiques étaient couchés en
grand nombre des malades, des aveugles, des boiteux, des paralytiques... Jean 5 : 1-3
C'est là que nous allons suivre le Seigneur
Jésus et nous intéresser à un
homme malade depuis 38 ans.
Nous ne nous attarderons pas sur sa guérison
qui ne doit pas nous surprendre. En effet, chaque
malade qui s'est trouvé dans la
présence de Jésus, soit qu'il soit
venu de lui-même ou qu'il y fut amené,
est toujours reparti en bonne
santé !
... on amena auprès de Jésus
plusieurs démoniaques. Il chassa les esprits
par sa parole, et il guérit TOUS les malades... Matthieu 8 : 16
Les gens de ce lieu, ayant reconnu Jésus,
envoyèrent des messagers dans tous les
environs, et on lui
amena tous les
malades. Ils le prièrent de leur permettre
seulement de toucher le bord de son vêtement.
Et TOUS ceux qui le
touchèrent furent
guéris.
Matthieu 14 : 35-36
Tous furent guéris, lisons-nous ! Mais,
à la piscine de Béthesda, les autres,
aveugles, boiteux ou paralytiques, n'ont pas
bénéficié de la
guérison.
S'ils sont restés dans leur état,
c'est simplement parce qu'aucun n'est venu vers
Jésus, parce qu'aucun n'a crié
à lui.
Cela nous étonne peut-être, mais,
« il n'y a rien
de nouveau sous le soleil »
(Ecclésiaste 1 : 9).
Aujourd'hui, il y a encore des personnes qui sont
guéries ;
- D'autres qui ne le sont pas encore ;
- Et d'autres qui ne le seront jamais simplement
parce qu'elles ne se sont pas approchées
de Jésus ou parce qu'elles ne se sont pas
laissées interpeller par lui ; hier
à la piscine de Béthesda, comme
aujourd'hui autour de nous.
Quant à notre homme, il a
bénéficié de la grâce de
Dieu sans savoir qui était l'inconnu qui lui
demandait s'il voulait être guéri. Il
s'est contenté d'obéir simplement
à la parole du Seigneur, se leva sur son
ordre, prit son lit et marcha (Jean 5 : 9). Se
serait-il comporter de la même façon
s'il avait eu l'occasion de prêter attention
aux critiques des hommes religieux qui enseignaient
le peuple ?
En le suivant dans la foule, nous voyons qu'il ne
tarda pas à être interpellé par
les Juifs qui, par leur conduite, vont
révéler les sentiments de leur
coeur.
D'abord, il serait normal de les voir surpris
devant cet homme subitement en bonne santé
alors qu'il était malade depuis 38 ans.
Surpris ! Oui, ils le furent ! Mais pas
à cause de la guérison.
La seule chose qu'ils voyaient, c'est que cet homme
ne respectait pas la loi qui interdisait que l'on
porte un fardeau le jour du sabbat
(Nombres 15 : 32-36).
Ne sachant pas qui l'avait guéri, notre
"pauvre" homme ne put se justifier qu'en
disant : « Celui qui m’a guéri
m’a dit : Prends ton lit, et
marche »
(Jean 5 : 11).
Mais qui donc avait guéri cet homme,
devaient se demander les Juifs religieux ?
Qui donc avait
« travaillé » le jour du
sabbat ? « Il y a six jours pour
travailler ; venez donc vous faire guérir ces jours-là, et non pas le
jour du sabbat » avait osé
dire un chef de synagogue
(Luc 13 : 14).
Mais qui est donc celui qui m'a guéri,
devait aussi se demander ce
miraculé ?
Il est évident que l'ignorance de cet
homme devait être comblée.
Dieu ne permet pas que l'on donne SA gloire
à quelqu'un d'autre et encore moins que l'on
reste indifférent à ses
bontés. Jésus allait donc se faire
connaître à lui.
Laissons, momentanément notre homme dans la
foule et réfléchissons quelques
instants.
Dieu approuve-t-il que l'on prie pour quelqu'un de
notre entourage qui passe par une difficulté
sans que nous ne l'informions de ce que nous
faisons pour lui ?
Notre silence ne deviendrait-il pas un
empêchement, un frein pour que se manifeste
la gloire de Dieu en faveur de celui pour qui l'on
prie ?
Comment le Seigneur serait-il glorifié si
nous taisons son nom ?
Je suis
l’Éternel, c’est là mon
nom ; Et je ne
donnerai pas ma gloire à un
autre, Ni mon
honneur aux idoles. Esaïe 42 : 8
Si nous prions, dans le secret pour un malade,
comment ce malade pourrait-il rendre gloire
à Dieu s'il ne connaît pas l'auteur de
sa guérison...
éventuelle ?
Les médecins et les chirurgiens ont droit
aux remerciements des malades dont ils se sont
occupés tandis que le Grand Médecin,
celui qui a porté nos péchés
et nos souffrances sur le bois de la Croix
(Matthieu 8 : 17), ne recevrait
aucun signe de reconnaissance ?
Pire que l'oubli de dire merci..., la bonne
santé retrouvée serait alors mise sur
le compte de quelqu'un d'autre ou sur des
circonstances favorables et non sur l'auteur du
bienfait accordé, et cela, à cause
de nous, enfants de Dieu !
« Je ne
donnerai pas ma gloire à un
autre.
Esaïe 48 : 11 ».
Parce que cette gloire ne devait pas être
occultée, le Seigneur Jésus ira de
nouveau à la rencontre de l'homme qu'il
avait guéri à la piscine de
Béthesda.
C'est dans le temple qu'il retrouvera le
bénéficiaire de ses bienfaits.
Comment ne pas se réjouir du bon
comportement de cette personne ?
Il ne connaissait pas Jésus, mais il
connaissait suffisamment l'Éternel pour
aller dans son Temple afin de le remercier de la
faveur qui lui avait été accordée.
« Jésus le
trouva dans le temple »
(Jean 5 : 14).
Savons-nous aussi prendre un temps devant notre
Sauveur et Seigneur pour le remercier d'une
attention qu'il a eue à notre
égard ?
Ou bien... trouvons-nous tellement normal qu'il
nous bénisse, normal au point que nous ne
pensons même plus à lui prouver notre
reconnaissance ?
Le Fils de Dieu a donc trouvé cet homme dans
le Temple, il allait se faire connaître
à lui et lui expliquer que :
C'est toujours l'éternité qui doit
être l'objet de nos pensées.
C'est elle que nous ne devons pas perdre de vue
tout en nous rappelant continuellement que nous
avons été sauvés de la
perdition éternelle par pure
grâce.
Si le Seigneur Jésus lui rappelle qu'il a
été guéri, il laisse
sous-entendre que sa longue maladie serait
conséquente à son
péché.
En effet, pourquoi le Seigneur lui
précise-t-il qu'il ne doit
plus
pécher ?
N'est-ce pas parce qu'il avait péché
auparavant ?
N'est-ce pas parce que son péché
l'avait conduit à se retrouver en mauvaise
santé ?
Nous ne pouvons pas négliger cette
supposition, d'autant plus que le Fils de Dieu va
encore aller plus loin dans sa pensée
(Jean 5 : 14) :
Il est facile de comprendre ce qui vient
d'être dit : s'il venait à
pécher, son péché pourrait
avoir des conséquences plus graves que la
longue maladie qui l'avait cloué sur un lit
durant 38 ans !
Qu'est-ce qui pourrait bien y avoir de pire que 38
ans de maladie ?
La mort ?
Mais nous sommes tous appelés à
mourir un jour !
Le plus grand drame qui pourrait nous arriver
serait la perte de notre âme !
« Que sert-il
à un homme de gagner tout le monde,
s’il perd son
âme ? »
(Marc 8 : 36).
Et que nous servirait-il de retrouver une bonne
santé si nous perdons notre
âme ?
La maladie ou la souffrance, nous l'avons vu la
semaine passée, peut être un des
moyens utilisés par Dieu pour nous ramener
à lui.
Alors..., si nous avons bien compris le sens de la
volonté de Dieu, nous serons vigilants
afin qu'il ne nous arrive rien de pire que
l'épreuve par laquelle il nous aurait fait
passer pour nous ramener dans le troupeau de sa
bergerie.
Cet homme est donc mis en garde : son
péché aura de graves
conséquences !
Bien entendu il n'est pas question du
péché accidentel ou du
péché commis par ignorance, il est
question du péché
volontaire.
Ce péché volontaire dont nous avons
déjà eu l'occasion de parler il n'y a
pas très longtemps. Ce
péché volontaire dont les
conséquences sont pires que toutes les
autres catastrophes réunies.
Ces conséquences sont tellement terribles
que nous devons prendre très au
sérieux l'avertissement solennel qui nous
est fait dans l'épître aux
Hébreux.
Pesons bien tous les mots afin que nous
évitions le pire pour notre âme, le
pire pour notre éternité :
Si nous péchons
volontairement
après avoir
reçu la connaissance de la
vérité, il ne reste plus de sacrifice
pour les péchés, mais une attente terrible du
jugement et l’ardeur d’un feu qui
dévorera les rebelles. Hébreux 10 :
26-27
Derrière cet avertissement solennel, nous
comprenons que les péchés de cet
homme ont été pardonnés comme
les nôtres ont été
pardonnés, comme ceux de la femme prise en
flagrant délit d'adultère
(Jean 8 : 3-11).
Il est intéressant de relever que cette
femme et cet homme... ont entendu le même
message : « NE PÈCHE
PLUS ! »
Si nous ne l'avons pas entendu aussi distinctement
qu'eux, ces trois mots nous sont aussi
destinés. Nous ferions bien d'y prêter
une grande attention suite à ce que nous venons de
lire concernant le péché
volontaire.
Il est impensable de croire un instant que le
Seigneur ait pardonné nos anciens
péchés, qu'il nous ait amenés
à la repentance, et qu'ensuite il ferme les
yeux sur notre conduite.
La Parole de Dieu, du début jusqu'à
la fin, demande à l'homme de ne plus
pécher et de veiller ATTENTIVEMENT sur son
âme !
Bien sûr que nous pécherons encore,
n'allons pas dire le contraire, nous serions
désignés comme des
menteurs !
Si nous disons que nous
n’avons pas péché, nous le
faisons menteur, et sa parole n’est point en
nous. 1 Jean 1 : 10
Nous péchons encore, mais, à tout
moment ces péchés non
volontairesbénéficient du
pardon :
Je vous écris ces
choses, afin que vous ne péchiez point. Et
si quelqu’un a
péché, nous avons un avocat
auprès du Père, Jésus-Christ
le juste.
1 Jean 2 : 1
L'amour de Dieu, ne l'oublions pas, ne
réside pas seulement dans le fait qu'il nous
ait sauvés de la perdition éternelle,
mais il se manifeste aussi au travers des
multiples conseils qu'il nous donne au travers de
SA Parolepour que nous ne nous égarions
point.
« NE PÊCHE
PLUS ! » est bien plus qu'un
conseil si l'on sait prendre conscience des
conséquences – éternelles –
que l'inobservation de cette Parole du Seigneur
aura pour ceux et celles qui n'auront pas
été attentifs à ses
enseignements.
Ne voulant pas que nous restions ignorants, il nous
invite, pour notre bien, à méditer sa
Parole, à sonder les Écritures. Si
nous avons à coeur de le faire, il ne fait
aucun doute qu'il nous donnera toujours plus
d'intelligence pour la comprendre.
C'est ainsi qu'au fur et à mesure que nous
avancerons dans le chemin étroit nous
abandonnerons avec joie tout ce qui entrave notre
marche et qu'alors, il sera naturel pour nous de ne pas pécher VOLONTAIREMENT.
* Les textes bibliques, sans indication
particulière, sont tirés de la Bible
Segond.
J-M Ravé le 23 juillet 2011 - CP 474 - 2300
Chaux-de-Fonds - Suisse
C08082011