Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

De nos piscines et de nos plages à la piscine de Béthesda.

Ici et là, nous pourrions encore entendre :

«Va..., et ne pèche plus !»

Puisque nous sommes pendant la période des vacances, je vous invite à aller faire un tour à la piscine. Oh ! Pas n'importe quelle piscine !

En effet, il y a de nombreuses piscines où la présence de Jésus ne serait pas la bienvenue. Il y a de nombreux endroits où le prince des ténèbres règne en mettant tout en oeuvre pour que se commettent certaines catégories d'adultères.
Il s'y prend si bien que les gens du monde n'y prêtent aucune attention et ne se sentent pas repris lorsqu'ils convoitent du regard les femmes dénudées qui s'exposent à leurs yeux.

Ces endroits, piscines ou plages, ces endroits où la chair est exposée quasiment sans pudeur au regard des innocents comme des vicieux, sont devenus des lieux de prédilection pour l'adversaire de nos âmes.
Sans aucun doute, il saura tirer parti de notre présence éventuelle dans ces "temples " de la nudité partielle où la convoitise déshabille les parties du corps que l'on cherche à peine à cacher.

Combien d'adultères n'ont-ils pas été provoqués inconsciemment ?
Des adultères qui sont commis par les deux sexes, l'un étant utilisé - souvent à son insu - comme un instrument de tentation! Cela dégage-t-il pour autant sa responsabilité ?

Mais moi, (Jésus ; celui à qui le Père a remis tout jugement – Jean 5 : 22) je vous dis que quiconque regarde une femme pour la convoiter a DÉJÀ COMMIS UN ADULTÈRE avec elle dans son coeur. Matthieu 5 : 28

Sans doute bien des femmes ne se rendent pas compte du péché qu'elles font commettre à certains hommes en s'exposant comme elles s'exposent ; péché dont elles ont une part de responsabilité le sens où nous devons nous abstenir (hommes comme femmes) de tout ce qui pourrait être une occasion de chute pour notre prochain.

Il est bien de ne pas manger de viande, de ne pas boire de vin, et de s’abstenir de ce qui peut être pour ton frère une occasion de chute, de scandale ou de faiblesse. Romains 14 : 21

Ce n'est donc pas dans ces piscines que je vous invite à aller ; ces piscines, ces plages où la convoitise finit très souvent par venir à bout de la résistance de celui qui s'est laissé prendre au piège afin de le conduire à commettre le péché avec une personne qui se sera laissée séduire par des paroles doucereuses.

Ces piscines où.. CERTAINS PASSAGES DE LA PAROLE DE DIEU DOIVENT ÊTRE MOMENTANÉMENT RETRANCHÉS les enfants de Dieu qui veulent jouir, comme le monde, des plaisirs de la plage.

« Je veux », disait l'apôtre Paul à Timothée, je veux aussi que les femmes, vêtues d’une manière décente, avec pudeur et modestie... » (1 Timothée 2 : 9).

Notez que ce commandement – inspiré par le Saint-Esprit– s'adresse à des enfants de Dieu à qui le Seigneur pourrait dire : « tu ne sais pas que tu es nu (que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu)...
... je te conseille d’acheter de moi... des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies » (Apocalypse 3 : 17-18).

Suite à ce qui vient d'être dit, nous allons faire un petit saut dans le dictionnaire pour bien comprendre les mots que l'apôtre Paul emploie dans l'épître à Timothée. Les mots de décence et de pudeur ont perdu – dans le monde d'aujourd'hui – leur signification. Qu'il n'en soit pas ainsi dans l'Église de Jésus-Christ !

Décence : Respect des normes morales et des convenances, notamment en matière sexuelle, dans la tenue, les actes et les paroles.

Pudeur : Disposition à se retenir de montrer, d'observer, de faire état de certaines parties de son corps, principalement celles de nature sexuelle, ou de montrer, d'observer, de faire état de choses considérées comme étant plus ou moins directement d'ordre sexuel ; attitude de quelqu'un qui manifeste une telle disposition. (dictionnaire Lexilogos).

Sachez-le bien, aucun impudique, ou impur, ou cupide, c’est-à-dire, idolâtre, n’a d’héritage dans le royaume de Christ et de Dieu. Éphésiens 5 : 5
Lire aussi : 1 Corinthiens 6 : 9 ; Hébreux 13 : 4 ; Apocalypse 21 : 8 ; 22:15)

La sentence, comme vous le voyez, est catégorique : AUCUN IMPUDIQUE N'ENTRERA DANS LE ROYAUME DE CHRIST !

Puisqu'il en sera ainsi, nous avons tout intérêt à veiller sur notre habillement, sur notre conduite afin que nous ne devenions pas des impudiques par ignorance.
Une ignorance qui ne devrait être que de courte durée si nous sommes sensibles à la voix du Saint-Esprit.

Impudique : Dont le comportement outrage la morale sexuelle établie (par la Parole de Dieu, pour ce qui nous concerne).

N'êtes-vous pas surpris que, dans cette dernière Église de Jésus-Christ (l'Eglise de Laodicée, la nôtre), on ne soit plus capable de se rendre compte que l'on est nu, au sens propre comme au sens spirituel ? « TU NE SAIS PAS QUE TU ES.. NU (e) »

Ne l'êtes-vous pas alors que le monde arrive encore à faire la différence lorsqu'il a envie de la faire ?
Ne vous êtes-vous jamais demandé pourquoi les « vêtements » de plage ne doivent pas être portés en ville ? Serait-ce, par hasard, une question de décence ?

Extrait d'un article de journal : « La municipalité de.... a indiqué que désormais une amende allant jusqu'à 500 euros sera donné à quiconque se promènera dans la ville en tenue légère. »

En tant qu'enfants de Dieu, nous devons donc prêter une grande attention à notre comportement, à notre habillement afin de ne pas devenir une pierre d'achoppement pour notre prochain (Romains 14 : 13).
Nous devons d’autant plus veiller sur notre conduite si nous voulons avoir part à l'héritage qui est réservé dans les cieux à ceux et celles qui craignent l'Éternel et qui obéissent aux commandements de Dieu.

Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait. Romains 12 : 2

Ce siècle présent, ces 100 dernières années, nous devrions les regarder un peu plus en détail afin de découvrir comment les moeurs se sont dégradées.
Comment on a légalisé tout ce que les pouvoirs publics ne pouvaient plus contenir sous la pression du peuple qui exigeait plus de libertés : prostitution, tenue vestimentaire (sur les plages), divorces, avortements, homosexualité...

Qui sait si à force de voir le mal, nous ne sommes pas devenus plus ou moins insensibles ?
Si à force de le voir se répandre il n'est pas devenu la référenceà tel point que le bien d'autrefois est appelé mal et que le mal d'aujourd'hui représenterait le bien qu'il ne faut pas dénigrer sous peine d'être passible des tribunaux ? Attitude contraire aux enseignements de l'Écriture !

Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, Qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres... Esaïe 5 : 20

« À force de voir, on s'est lassé de juger sérieusement ; les scènes du monde ont paru ne plus valoir la peine de remonter le temps, pour les comparer, aux grands principes (bibliques), et les principes (bibliques) eux-mêmes sont peu à peu devenus, pour beaucoup de gens, sans intérêt...

Un illustre chrétien disait jadis :
« Cœur large, et conscience étroite. »
Aujourd'hui, le cœur est étroit, ne vous y trompez pas ; c'est la conscience qui est large. » (D'après: Christ et le siècle présent – Félix Bugenner – 1856)


Nous n'irons donc pas vers ces piscines et ces plages où le péché a de si nombreuses occasions de se manifester, nous nous contenterons d'aller à la piscine de Béthesda.
Une piscine qui n'a rien d'extraordinaire si ce n'est qu'elle est remplie de personnes qui, au travers de leurs maux, nous apprennent que le péché a fait - et fait encore - de nombreux ravages suite à la désobéissance de nos premiers parents.

... à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s’appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques.
Sous ces portiques étaient couchés en grand nombre des
malades, des aveugles, des boiteux, des paralytiques... Jean 5 : 1-3

C'est là que nous allons suivre le Seigneur Jésus et nous intéresser à un homme malade depuis 38 ans.
Nous ne nous attarderons pas sur sa guérison qui ne doit pas nous surprendre. En effet, chaque malade qui s'est trouvé dans la présence de Jésus, soit qu'il soit venu de lui-même ou qu'il y fut amené, est toujours reparti en bonne santé !

... on amena auprès de Jésus plusieurs démoniaques. Il chassa les esprits par sa parole, et il guérit TOUS les malades... Matthieu 8 : 16

Les gens de ce lieu, ayant reconnu Jésus, envoyèrent des messagers dans tous les environs, et
on lui amena tous les malades. Ils le prièrent de leur permettre seulement de toucher le bord de son vêtement. Et TOUS ceux qui le touchèrent furent guéris. Matthieu 14 : 35-36

Tous furent guéris, lisons-nous ! Mais, à la piscine de Béthesda, les autres, aveugles, boiteux ou paralytiques, n'ont pas bénéficié de la guérison.
S'ils sont restés dans leur état, c'est simplement parce qu'aucun n'est venu vers Jésus, parce qu'aucun n'a crié à lui.

Cela nous étonne peut-être, mais, « il n'y a rien de nouveau sous le soleil » (Ecclésiaste 1 : 9).
Aujourd'hui, il y a encore des personnes qui sont guéries ;
- D'autres qui ne le sont pas encore ;
- Et d'autres qui ne le seront jamais simplement parce qu'elles ne se sont pas approchées de Jésus ou parce qu'elles ne se sont pas laissées interpeller par lui ; hier à la piscine de Béthesda, comme aujourd'hui autour de nous.

Quant à notre homme, il a bénéficié de la grâce de Dieu sans savoir qui était l'inconnu qui lui demandait s'il voulait être guéri. Il s'est contenté d'obéir simplement à la parole du Seigneur, se leva sur son ordre, prit son lit et marcha (Jean 5 : 9). Se serait-il comporter de la même façon s'il avait eu l'occasion de prêter attention aux critiques des hommes religieux qui enseignaient le peuple ?

En le suivant dans la foule, nous voyons qu'il ne tarda pas à être interpellé par les Juifs qui, par leur conduite, vont révéler les sentiments de leur coeur.

D'abord, il serait normal de les voir surpris devant cet homme subitement en bonne santé alors qu'il était malade depuis 38 ans.
Surpris ! Oui, ils le furent ! Mais pas à cause de la guérison.
La seule chose qu'ils voyaient, c'est que cet homme ne respectait pas la loi qui interdisait que l'on porte un fardeau le jour du sabbat (Nombres 15 : 32-36).

Ne sachant pas qui l'avait guéri, notre "pauvre" homme ne put se justifier qu'en disant : « Celui qui m’a guéri m’a dit : Prends ton lit, et marche » (Jean 5 : 11).

Mais qui donc avait guéri cet homme, devaient se demander les Juifs religieux ?
Qui donc avait « travaillé » le jour du sabbat ? « Il y a six jours pour travailler ; venez donc vous faire guérir ces jours-là, et non pas le jour du sabbat » avait osé dire un chef de synagogue (Luc 13 : 14).
Mais qui est donc celui qui m'a guéri, devait aussi se demander ce miraculé ?

Il est évident que l'ignorance de cet homme devait être comblée.
Dieu ne permet pas que l'on donne SA gloire à quelqu'un d'autre et encore moins que l'on reste indifférent à ses bontés. Jésus allait donc se faire connaître à lui.

Laissons, momentanément notre homme dans la foule et réfléchissons quelques instants.
Dieu approuve-t-il que l'on prie pour quelqu'un de notre entourage qui passe par une difficulté sans que nous ne l'informions de ce que nous faisons pour lui ?

Notre silence ne deviendrait-il pas un empêchement, un frein pour que se manifeste la gloire de Dieu en faveur de celui pour qui l'on prie ?
Comment le Seigneur serait-il glorifié si nous taisons son nom ?

Je suis l’Éternel, c’est là mon nom ; Et je ne donnerai pas ma gloire à un autre, Ni mon honneur aux idoles. Esaïe 42 : 8

Si nous prions, dans le secret pour un malade, comment ce malade pourrait-il rendre gloire à Dieu s'il ne connaît pas l'auteur de sa guérison... éventuelle ?

Les médecins et les chirurgiens ont droit aux remerciements des malades dont ils se sont occupés tandis que le Grand Médecin, celui qui a porté nos péchés et nos souffrances sur le bois de la Croix (Matthieu 8 : 17), ne recevrait aucun signe de reconnaissance ?

Pire que l'oubli de dire merci..., la bonne santé retrouvée serait alors mise sur le compte de quelqu'un d'autre ou sur des circonstances favorables et non sur l'auteur du bienfait accordé, et cela, à cause de nous, enfants de Dieu ! « Je ne donnerai pas ma gloire à un autre. Esaïe 48 : 11 ».

Parce que cette gloire ne devait pas être occultée, le Seigneur Jésus ira de nouveau à la rencontre de l'homme qu'il avait guéri à la piscine de Béthesda.
C'est dans le temple qu'il retrouvera le bénéficiaire de ses bienfaits.

Comment ne pas se réjouir du bon comportement de cette personne ?
Il ne connaissait pas Jésus, mais il connaissait suffisamment l'Éternel pour aller dans son Temple afin de le remercier de la faveur qui lui avait été accordée. « Jésus le trouva dans le temple » (Jean 5 : 14).

Savons-nous aussi prendre un temps devant notre Sauveur et Seigneur pour le remercier d'une attention qu'il a eue à notre égard ?
Ou bien... trouvons-nous tellement normal qu'il nous bénisse, normal au point que nous ne pensons même plus à lui prouver notre reconnaissance ?

Le Fils de Dieu a donc trouvé cet homme dans le Temple, il allait se faire connaître à lui et lui expliquer que :

La bénédiction d'un jour ne garantit pas le bonheur pour tous les jours,
et encore moins le bonheur éternel.

C'est toujours l'éternité qui doit être l'objet de nos pensées.
C'est elle que nous ne devons pas perdre de vue tout en nous rappelant continuellement que nous avons été sauvés de la perdition éternelle par pure grâce.

Si le Seigneur Jésus lui rappelle qu'il a été guéri, il laisse sous-entendre que sa longue maladie serait conséquente à son péché.
En effet, pourquoi le Seigneur lui précise-t-il qu'il ne doit plus pécher ?
N'est-ce pas parce qu'il avait péché auparavant ?
N'est-ce pas parce que son péché l'avait conduit à se retrouver en mauvaise santé ?

Nous ne pouvons pas négliger cette supposition, d'autant plus que le Fils de Dieu va encore aller plus loin dans sa pensée (Jean 5 : 14) :

... ne pèche plus, DE PEUR QU'IL NE T'ARRIVE QUELQUE CHOSE DE PIRE.

Il est facile de comprendre ce qui vient d'être dit : s'il venait à pécher, son péché pourrait avoir des conséquences plus graves que la longue maladie qui l'avait cloué sur un lit durant 38 ans !
Qu'est-ce qui pourrait bien y avoir de pire que 38 ans de maladie ?
La mort ?
Mais nous sommes tous appelés à mourir un jour !

Le plus grand drame qui pourrait nous arriver serait la perte de notre âme ! « Que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perd son âme » (Marc 8 : 36).

Et que nous servirait-il de retrouver une bonne santé si nous perdons notre âme ?
La maladie ou la souffrance, nous l'avons vu la semaine passée, peut être un des moyens utilisés par Dieu pour nous ramener à lui.
Alors..., si nous avons bien compris le sens de la volonté de Dieu, nous serons vigilants afin qu'il ne nous arrive rien de pire que l'épreuve par laquelle il nous aurait fait passer pour nous ramener dans le troupeau de sa bergerie.

Cet homme est donc mis en garde : son péché aura de graves conséquences !
Bien entendu il n'est pas question du péché accidentel ou du péché commis par ignorance, il est question du péché volontaire.
Ce péché volontaire dont nous avons déjà eu l'occasion de parler il n'y a pas très longtemps. Ce péché volontaire dont les conséquences sont pires que toutes les autres catastrophes réunies.

Ces conséquences sont tellement terribles que nous devons prendre très au sérieux l'avertissement solennel qui nous est fait dans l'épître aux Hébreux.
Pesons bien tous les mots afin que nous évitions le pire pour notre âme, le pire pour notre éternité :

Si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera les rebelles. Hébreux 10 : 26-27

« ... ne pèche plus, DE PEUR QU'IL NE T'ARRIVE QUELQUE CHOSE DE PIRE. »

Derrière cet avertissement solennel, nous comprenons que les péchés de cet homme ont été pardonnés comme les nôtres ont été pardonnés, comme ceux de la femme prise en flagrant délit d'adultère (Jean 8 : 3-11).

Il est intéressant de relever que cette femme et cet homme... ont entendu le même message : « NE PÈCHE PLUS ! »
Si nous ne l'avons pas entendu aussi distinctement qu'eux, ces trois mots nous sont aussi destinés. Nous ferions bien d'y prêter une grande attention suite à ce que nous venons de lire concernant le péché volontaire.

Il est impensable de croire un instant que le Seigneur ait pardonné nos anciens péchés, qu'il nous ait amenés à la repentance, et qu'ensuite il ferme les yeux sur notre conduite.
La Parole de Dieu, du début jusqu'à la fin, demande à l'homme de ne plus pécher et de veiller ATTENTIVEMENT sur son âme !

Bien sûr que nous pécherons encore, n'allons pas dire le contraire, nous serions désignés comme des menteurs !

Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous le faisons menteur, et sa parole n’est point en nous. 1 Jean 1 : 10

Nous péchons encore, mais, à tout moment ces péchés non volontairesbénéficient du pardon :

Je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le juste. 1 Jean 2 : 1

L'amour de Dieu, ne l'oublions pas, ne réside pas seulement dans le fait qu'il nous ait sauvés de la perdition éternelle, mais il se manifeste aussi au travers des multiples conseils qu'il nous donne au travers de SA Parolepour que nous ne nous égarions point.

« NE PÊCHE PLUS ! » est bien plus qu'un conseil si l'on sait prendre conscience des conséquences – éternelles – que l'inobservation de cette Parole du Seigneur aura pour ceux et celles qui n'auront pas été attentifs à ses enseignements.

Ne voulant pas que nous restions ignorants, il nous invite, pour notre bien, à méditer sa Parole, à sonder les Écritures. Si nous avons à coeur de le faire, il ne fait aucun doute qu'il nous donnera toujours plus d'intelligence pour la comprendre.
C'est ainsi qu'au fur et à mesure que nous avancerons dans le chemin étroit nous abandonnerons avec joie tout ce qui entrave notre marche et qu'alors, il sera naturel pour nous de ne pas pécher VOLONTAIREMENT.

Enseigne-moi tes voies, ô Éternel !
Je marcherai dans ta fidélité.
Dispose mon coeur à la crainte de ton nom.
Psaume 86 : 11

* Les textes bibliques, sans indication particulière, sont tirés de la Bible Segond.

J-M Ravé le 23 juillet 2011 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse

C08082011