Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Quand la crainte devient l'ennemie de la peur

Dimanche dernier, lors de l'introduction, j'ai été impressionné pendant la lecture du Psaume 103 ; impressionné de ce que la crainte de l'Éternel apporte autant de bénéfices à celui qui la possède.

Qu'est-ce donc que la crainte de l'Éternel ?
A-t-elle quelque chose à voir avec la peur de Dieu ?
C'est ce que nous allons découvrir aujourd'hui !

Alors que le monde va à la dérive, bien de nos concitoyens connaissent diverses craintes qui les empêchent plus ou moins de dormir.
Ces derniers jours, l'actualité nous a montré que certains ont la crainte que leurs économies ne fondent comme neige au soleil, car ils ont mis leur confiance dans leur argent.
D'autres sont dans la crainte que des pillards viennent saccager leurs biens au point qu'ils en sont arrivés à former des milices pour patrouiller dans leur quartier.

Ces craintes peuvent être justifiées, mais elles n'ont rien à voir avec la crainte que l'on doit avoir de Dieu.
Les premières engendrent la peur qui empêche de vivre en paix ; tandis que la crainte de Dieu favorise un sommeil doux et agréable :

Voici, l’oeil de l’Éternel est sur ceux qui le craignent, Sur ceux qui espèrent en sa bonté... Psaume 33 : 18

Je me couche et je m’endors en paix, Car
toi seul, ô Éternel! tu me donnes la sécurité dans ma demeure. Psaume 4 : 9

Si les mots « crainte » et « peur » peuvent souvent être intervertis pour ce qui concerne particulièrement les choses du monde, il ne devrait pas en être ainsi pour ceux et celles qui ont choisi Jésus-Christ comme Sauveur et Seigneur.

Avons-nous des raisons d'avoir PEUR... de Dieu ?
NON... !
Nous sommes à l'abri de sa colère au travers de l'oeuvre de son Fils qui n'a pas hésité à donner sa vie pour que nous n'ayons pas à subir le châtiment réservé aux impies.

... (nous attendons) des cieux son Fils, qu’il a ressuscité des morts, Jésus, qui NOUS DÉLIVRE de la colère à venir. 1 Thessaloniciens 1 : 10

Avons-nous des raisons d'avoir la CRAINTE de Dieu, cette crainte que Noé a connue après avoir pris connaissance des plans de Dieu ?
TRÈS CERTAINEMENT !
Sa crainte est l'exemple de la crainte que nous devrions avoir, car elle avait pour base un profond respect !

Un respect qui, aujourd'hui, va à la dérive dans le monde chrétien. Pour beaucoup, Jésus est devenu un « copain » avec lequel on se permet des familiarités qui l’abaissent à notre hauteur, quand ce n'est pas en dessous de nous, au rang de serviteur à qui l'on donne des ordres.

Ce Jésus-là, s'il acceptait ce... « copinage », ne saurait être le Seigneur des seigneurs devant lequel «tout genou fléchira» (Romains 14 : 11).
Il faut avoir perdu son bon sens pour ne pas montrer plus de respect au Créateur du Ciel et de la Terre, celui devant lequel nous passerons tous en jugement en temps voulu.

Rendez hommage au fils, de peur qu’il ne s’indigne, et que vous n’alliez à votre perte; car bien vite sa colère prend feu: heureux tous ceux qui s’abritent en lui! Psaume 2 : 12 - (v. Sefarim, Bible du Rabbinat français)

Comme Noé, nous connaissons les plans de Dieu pour l'humanité incrédule, mais, comme lui, avons-nous cette crainte RESPECTUEUSE qui va nous conduire à marcher dans l'obéissance à SA parole ?

C’est par la foi que Noé, divinement averti des choses qu’on ne voyait pas encore, et saisi d’une crainte respectueuse, construisit une arche pour sauver sa famille... Hébreux 11 : 7

Si toutes les versions de la Bible n'utilisent pas le mot de « respectueuse », il n'en demeure pas moins que cette épithète souligne parfaitement le genre de crainte que nous devrions avoir. Une crainte qui doit accompagner notre vie « religieuse » et notre vie active de tous les jours.

Noé eut donc cette sainte crainte de l'Éternel lorsqu'il comprit que Dieu ne plaisantait pas et que le décret divin était sans appel.
Il se mit alors à travailler pour son salut et pour celui de sa famille ! «Travaillez à votre salut avec crainte et tremblement», nous dira l'auteur de l'épître aux Philippiens (2 : 12). C'est exactement ce que fit Noé !

Savez-vous que nous sommes quasiment dans la même situation que Noé ?
Savez-vous qu'en réalité, nous sommes dans une situation PIRE que celle de Noé ?

Pire..., parce que, de son temps, la Terre fut épargnée, tandis que nous sommes prévenus que «les cieux et la terre d’à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies» (2 Pierre 3:7).

Connaissant les desseins de Dieu à l'égard de notre planète, connaissant la fin de ceux et celles qui ne sont pas entrés dans le chemin étroit qui conduit à la Vie éternelle, avons-nous, comme le patriarche, cette crainte respectueuse qui va nous pousser à nous mettre au travail afin d'en conduire quelques-uns au salut ?

Entre la CRAINTE de Dieu que nous venons à peine d'entrevoir et la PEUR de Dieu, il y a une grande différence !
C'est le roi David qui, ayant connu l'une et l'autre, va nous éclairer sur cette différence dont nous pouvons déjà dire que :

La crainte - respectueuse - de Dieu nous pousse à servir le Seigneur.
La peur de Dieu paralyse tout service pour le Roi des rois et conduit l'homme à s'éloigner de lui au lieu de chercher un abri en lui.

David eut peur de Dieu en ce jour-là... 1 Chroniques 13 : 12

Quand David eut-il peur de Dieu ?
Après qu'il eut couché avec Bath-Schéba ? Non !
Après qu'il eut fait tuer son mari ? Non !
Après qu'il eut épousé sa femme ? Non !

Non...! Il eut peur de l'Éternel après qu'il eut vu la colère de Dieu se manifester sur la personne d'Uzza, un homme qui voulut retenir l'arche de l'alliance alors qu'il semblait qu'elle allait tomber suite à un écart des boeufs qui tiraient un char sur lequel elle était posée.

David fut irrité de ce que l’Éternel avait frappé Uzza d’un tel châtiment (la mort) ... David eut peur de Dieu en ce jour-là... 1 Chroniques 13 : 11-12

Cette peur « paralysa » le roi David qui renonça - pour un temps - à faire entrer cette arche de l'alliance dans sa cité. Sans doute, comme lui nous pensons que Dieu est allé trop loin et qu'il aurait pu sévir avec moins de rigueur.
S'il l'avait fait à ce moment-là, c'était admettre alors que l'homme pouvait mettre en pratique la Parole de Dieu selon sa convenance, selon son humeur du moment. C'est impensable ! C'est impossible... ! Tout comme il est impossible que chacun suive le code de la route à sa façon !

L'homme étant né dans le péché (Psaume 51 : 5-7), l'habitude de vivre dans son environnement – celui du péché - minimise la sensibilité de la conscience . Elle s'habitue à cet entourage malsain et prend de plus en plus de temps pour réagir.
Nous le voyons fort bien avec David qui ne se rendit pas compte du mal qu'il avait fait dans « l'affaire Bath-Schéba ».
Ce n'est qu'au bout bout d'une année (environ) qu'il fut repris dans sa conscience par le prophète qui lui ouvrit les yeux au travers d'une parabole (2 Samuel chapitre 11 et 12).

Par contre, il en fut tout autre pour Adam et Eve qui, étant créés sans péché, ont connu la peur de Dieu après qu'ils aient désobéi : «l’Éternel Dieu appela l’homme, et lui dit: Où es-tu? Il répondit: J’ai entendu ta voix dans le jardin, et J'AI EU PEUR, parce que je suis nu, et je me suis caché» (Genèse 3 : 9-10).

Quant à la crainte salutaire de Dieu..., le roi David ne manqua pas de la connaître et d'en tirer de saines conclusions qu'il fit partager à son peuple.
Au travers de ses écrits nous voyons distinctement qu'il y a une grande différence entre la peur et la crainte.

La peur, dans le nouveau Testament (et dans les psaumes), est un terme qui est bien plus souvent employé pour nous mettre en garde que pour décrire le comportement de quelqu'un :

... de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence... 1 Corinthiens 7 : 5

...
de peur d’être moi-même rejeté, après avoir prêché aux autres. 1 Cor. 9 : 27

...
de peur qu’entraînés par l’égarement des impies, vous ne veniez à déchoir de votre fermeté. 2 Pierre 3 : 17

C’est pourquoi nous devons d’autant plus nous attacher aux choses que nous avons entendues,
de peur que nous ne soyons emportés loin d’elles... Hébreux 2 : 1

Ces mises en garde, nous le comprenons certainement, ne doivent pas susciter en nous la peur de Dieu, mais, au contraire, une crainte salutaire qui va nous amener à être vigilants afin que nous ne perdions pas le bénéfice de notre salut.

Notons quand même que la peur de Dieu est pleinement justifiée pour qui n'a pas fait la paix avec lui, et que les affres de l'enfer ont été connues par bien des personnes au coeur endurci qui, sur leur lit de mort, « goûtaient » déjà les tourments qu'ils allaient subir éternellement.

La peur de Dieu et la peur du châtiment éternel, peuvent devenir une « bénédiction » pour autant qu'elles poussent l'homme ou la femme à chercher s'il n'existe pas une solution pour ne plus être tourmenté - de leur vivant – par l'incertitude de l'éternité.
Connaissant la réponse à leur donner, il serait « criminel » de notre part, de ne pas leur présenter le salut en Jésus-Christ comme il nous a été présenté un jour :
«Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche» (Matthieu 4 : 17) ; voilà par quelles paroles le fils de Dieu commença son ministère : … Jésus commença à prêcher, et à dire: Repentez-vous, car ...»
Si le Fils de Dieu trouva bon d'apporter ce message aux hommes pour les engager à prendre le chemin qui conduit à la Vie éternelle, nous devons suivre son exemple et exhorter nos semblables à se repentir de leurs péchés. On ne peut pas être AMI DE JÉSUS faire ce qu'il demande.

La peur de Dieu, nous l'avons vu tout à l'heure, amène la peur de l'éternité, mais la crainte de Dieu amène LE BONHEUR !

Heureux l’homme qui est continuellement dans la crainte!
Proverbes 28 : 14

Heureux l’homme qui craint l’Éternel, Qui trouve un grand plaisir à ses commandements. Psaume 112. 1

Je
(Salomon) sais aussi que le bonheur est pour ceux qui craignent Dieu, parce qu’ils ont de la crainte devant lui. Ecclésiaste 8 : 12

Rendus à ce point, nous devons admettre que la crainte de Dieu n'a rien à voir avec la peur et que nous ne pouvons pas intervertir ces mots, pas même lorsqu'il est question du brigand sur la croix qui connut - tardivement - la crainte salutaire de Dieu (Luc 23 : 39-43).

Quant à l'autre brigand, celui qui continua à injurier Jésus, ni la peur, ni la crainte de Dieu n'étaient dans son coeur.
C'était un homme qui était mort spirituellement !

Insensible aux appels de son compagnon d'infortune, il n'obtint pas le pardon de ses péchés et ne put entrer, le même jour (après sa mort), dans le Paradis de Dieu en compagnie de Jésus et du malfaiteur repentant (Luc 23 : 43).
Combien de personnes, dans le monde..., dans notre entourage n'ont ni la peur, ni la crainte de Dieu ?
Combien iront-ils rejoindre ce brigand qui ne voulut pas saisir la grâce qui était à sa portée ?
La réponse ne nous appartient pas, par contre, il nous appartient de cultiver en nous la crainte de Dieu, de l'entretenir, de veiller à ce qu'elle ne s'étiole pas.

Si pour un païen cet état d'âme est déplorable, que devrions-nous dire pour un chrétien qui n'a plus la crainte de Dieu? Qui n'a, ni peur, ni crainte dans son coeur ? Serait-il mort spirituellement comme le brigand qui injuriait Jésus ?
Je n'oserais pas aller jusqu'à l'affirmer !

Cependant, en n'ayant pas la crainte de Dieu dans son coeur, ce croyant démontre que le Seigneur Jésus n'est pas le centre de sa vie et que, quoiqu'il fasse, il ne veille pas attentivement sur son âme (Deutéronome 4 : 9), ne se préoccupe pas de savoir s'il plaît ou déplaît à son Dieu.

Si ce chrétien n'est pas mort spirituellement, il en présente en tout cas un des symptômes les plus conséquents !
«La crainte de Dieu n’est pas devant leurs yeux», voilà ce que disait l'apôtre Paul aux Romains (3 : 18) en parlant de l'état de l'homme avant qu'il ne rencontre Jésus. Ne retombons pas dans cet état, car, n'ayant plus la crainte de Dieu dans notre coeur, nous n'aurons aucune envie de chercher à faire sa volonté, et nous n'y penserons même pas !

Heureux l’homme qui est continuellement dans la crainte!
Continuellement dans la crainte ! Cela laisse supposer que nos pensées sont toujours tournées vers le Seigneur, et cela..., quoique nous fassions !

Quant au bonheur dont il est question pour ceux et celles qui vivent dans la crainte de Dieu, la Bible est riche en informations pour nous donner le désir de connaître cette crainte salutaire qui nous aidera à être toujours plus proche du Seigneur Jésus.
Avant de parler des avantages que cette crainte va nous apporter, relevons d'abord quelques passages qui nous exhortent à avoir cette crainte qui nous permettra d'être des témoins de Christ :

Connaissant donc la crainte du Seigneur, nous cherchons à convaincre les hommes... 2 Corinthiens 5 : 11

Souvenons-nous de Noé qui, ayant une crainte respectueuse, entrepris, non seulement de construire une arche pour se sauver lui et sa famille, mais devînt un prédicateur fidèle durant toute la durée de la construction de l'arche (2 Pierre 2 : 5).
Ainsi, si nous avons la crainte de Dieu dans notre coeur, nous serons de fidèles témoins, et nous le serons d'autant plus facilement que nous avons en nous le Saint-Esprit.

Ayant donc de telles promesses (devenir des fils et des filles du Seigneur)... achevons notre sanctification dans la crainte de Dieu. 2 Corinthiens 7 : 1

... travaillez à votre salut avec crainte et tremblement... Philippiens 2 : 12

...
montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte qui lui soit agréable, avec piété et avec crainte... Hébreux 12 : 28-29

Et
si (dans vos prières) vous invoquez comme Père celui qui juge selon l’oeuvre de chacun, sans acception de personnes, conduisez-vous avec crainte pendant le temps de votre pèlerinage (jusqu'à la fin de vos jours)... 1 Pierre 1 : 17

Êtes-vous convaincus que la crainte de Dieu est indispensable dans la vie chrétienne ?
Êtes-vous convaincus que le salut en Jésus-Christ n'est pas qu'un simple passeport pour l'éternité qui, une fois acquis, nous laisse la liberté de faire comme nous avons envie ?

D'abord... avez-vous ce passeport, si j'ose ainsi appeler le salut en Jésus-Christ ?
Avez-vous le VRAI passeport ou possédez-vous une contrefaçon qui ne serait qu'une imitation du véritable ? (Je pense encore aux vierges folles..., pensez-y aussi!)
Une pâle imitation sur laquelle il manque le sceau de la Vérité, le filigrane qui prouvera que vous avez le bon « document » , ce filigrane qui ne se voit que par transparence révélant que vous avez déjà en vous quelques traits de ressemblance avec Christ !

La crainte de Dieu porte TOUJOURS des fruits visibles y compris au milieu des païens :

Job un homme intègre et droit, craignant Dieu, et se détournant du mal. Job 1 : 8

Ceux des serviteurs de Pharaon qui
craignirent la parole de l’Éternel firent retirer dans les maisons leurs serviteurs et leurs troupeaux. Exode 9 : 20

Voyez un peu le comportement de ces païens qui, après avoir vu la main de l'Éternel se manifester au travers des premiers fléaux, comprennent que le Dieu des Hébreux (notre Dieu) accomplit fidèlement SA parole et qu'en raison de cela, ils comprirent qu'ils avaient intérêt à faire comme les descendants d'Abraham.

Comprenons-nous les événements qui se passent autour de nous, ces signes annonciateurs du retour de Jésus-Christ ? Sommes-nous des exemples au point que certaines personnes essaient de calquer notre vie extérieure parce qu'elles savent que nous avons donné notre vie à Jésus et qu'en conséquence nous n'avons plus le même genre de vie qu'autrefois ?

La crainte de Dieu produit le service et la louange :
(Je ne parlerai pas de la louange, car, en ces temps de la fin, nous constatons que le chant, la musique, les danses, sont mis en avant au détriment de l'observation et de l'étude de la Parole de Dieu. La louange est bonne lorsqu'elle se manifeste sainement dans la crainte de Dieu ; Psaume 22 : 23 ; 135: 20)

Maintenant, craignez l’Éternel, et servez-le avec intégrité et fidélité. Josué 24 : 14 ; 1 Samuel 12 : 24

Noé... d’une crainte respectueuse, construisit une arche pour sauver sa famille. Hébreux 11 : 7

Cet homme était pieux et
craignait Dieu, avec toute sa maison; il faisait beaucoup d’aumônes au peuple... Actes : 10 : 2

Connaissant donc
la crainte du Seigneur, nous cherchons à convaincre les hommes. 2 Corinthiens 5 : 11

Et enfin... la crainte de Dieu nous garantit son amitié, sa bonté, sa compassion, la sécurité, etc...
La liste des textes bibliques est bien trop longue pour que je vous les cite tous, quelques références vous donneront au moins envie de vivre dans la crainte de Dieu :

L’amitié de l’Éternel est pour ceux qui le craignent... Psaume 25 : 14 ;

Oh!
combien est grande ta bonté, Que tu tiens en réserve pour ceux qui te craignent... Psaume 31 : 19 ; 103: 11 et 17 ; 147 : 11

L’Éternel a compassion de ceux qui le craignent. Psaume 103 : 13

Craignez l’Éternel, vous ses saints! Car
rien ne manque à ceux qui le craignent. Psaume 34 : 9

Il accomplit les désirs de ceux qui le craignent, Il entend leur cri et il les sauve. Psaume 145 : 19

Êtes-vous convaincus que la crainte que nous devons avoir, n'a rien de comparable avec la peur de Dieu ?
Que cette crainte va nous permettre d'avancer contre vents et marées jusqu'au bon port sans (trop) nous soucier de ce que diront les hommes ? Alors... si nous n'avons pas encore cette crainte salutaire en nous, tournons-nous vers notre bien-aimé Sauveur et Seigneur et n'hésitons pas à la lui demander :

Enseigne-moi tes voies, ô Éternel! Je marcherai dans ta fidélité. DISPOSE MON COEUR Á LA CRAINTE DE TON NOM. Psaume 86 : 11

***

La crainte des hommes tend un piège, Mais celui qui se confie en l’Éternel est protégé. Proverbes 29 : 25


Les textes bibliques, sans indication particulière, sont tirés de la Bible Segond.
J-M Ravé le 13 août 2011 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse