Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Jésus sauve parfaitement...

... et pourtant les justes se sauvent avec peine.

Savez-vous que nous sommes toujours en route vers l'autre bord ?
Je vous pose la question, parce que depuis deux mois, tout en restant attachés à la Parole de Dieu, nous avons abordé d'autres sujets.

Je vous pose la question, car il se pourrait bien que l'éternité ne soit plus l'objet de vos pensées, celles-ci étant davantage fixées sur le temps des vacances et les plaisirs qu'elles peuvent offrir.

Même en vacances, Dieu est réel !
Même en vacances la mort peut nous faire passer d'un monde à l'autre !

Il suffit de regarder les informations pour constater que plusieurs vacanciers ne sont pas arrivés à leur lieu de villégiature malgré les réservations qu'ils avaient faites. Ils n'y arriveront jamais, car ils ont franchi les portes de l'éternité !
Étaient-ils prêts à rencontrer Dieu ?
Étaient-ils prêts à joindre leur voix à celle de l'apôtre Paul ?

J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi.
Désormais la couronne de justice m’est réservée; le Seigneur, le juste juge, me la donnera dans ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé son avènement. 2 Timothée 4 : 7-8

Pour eux..., pour ceux qui sont partis dans l'éternité, il est trop tard pour changer quoi que ce soit : « il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement » (Hébreux 9 : 27).
Mais pour nous qui sommes encore sur la Terre des vivants, il est temps de prendre ou de reprendre en considération que nous sommes toujours en route vers l'autre bord.
Il est temps de nous comporter comme si la fin de notre pèlerinage allait être imminente, de cette façon nous ne serons pas surpris d'être à la fin de notre vie :

Quoi! mes jours sont passés, mes projets sont anéantis, Les projets qui remplissaient mon coeur... Job 17 : 11

Ce n'est pas sans raison que le psalmiste - un homme comme tous les autres - demandait à être enseigné pour qu'il apprenne à bien compter ses jours (Psaume 90 : 12).
N'avons-nous pas besoin d'être enseignés aussi dans ce domaine afin de ne pas remettre à plus tard ce que nous devons faire aujourd'hui pour notre âme, pour notre prochain ou pour l'avancement du Royaume de Dieu ?

Si nous avons mal compté nos jours - ce qui ne manquera pas d'arriver si nous nous laissons distraire - le calendrier n'a pas oublié de le faire pour nous ! Les jours n'ont pas manqué de défiler même si nous n'en avons pas pris conscience.
Notre capital temps s'amenuisant au fur et à mesure que les heures, les jours, les mois et les années s'égrènent, il est impératif - pour le bien de notre âme - de prendre..., de reprendre en considération que nous sommes en route vers l'autre bord.

Et si nous faisions le bilan de ces deux derniers mois où nous avons mis en sourdine le fait que nous sommes en route vers l'autre bord ?
N'y a-t-il pas eu du relâchement dans notre vie chrétienne ces derniers temps ?

Si oui..., reconnaissons alors que c'est une grâce que nous soyons encore de ce monde pour bénéficier de la patience de Dieu et mettre à profit ce temps pour nous remettre en ordre avec lui.
Profiter aussi du temps qu'il nous accorde pour amener des âmes à Christ, ou du moins, pour annoncer la bonne nouvelle du salut en Jésus-Christ.

Ne trouvez-vous pas étrange que Dieu soit obligé d'user de patience à notre égard pour que nous soyons sauvés ou, pour être conforme à l'Ecriture : «"ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous (les bien-aimés qu'il a rachetés) arrivent à la repentance" (2 Pierre 3 : 9)?

Je ne veux pas vous ennuyer en parlant encore une fois sur ce sujet, mais je pense que cette période de vacances - une période des plus dangereuses pour la foi – cette période de vacances m'oblige quand même à nous mettre en garde sur la façon dont nous allons vivre cette foi que nous professons en temps ordinaire.

Un mois de vacances suffit à anéantir le travail de restauration fait dans une âme durant les six derniers mois.
Un mois de vacances..., la « terreur » des serviteurs de Dieu qui devront passer les mois suivants à réparer – pour autant que ce soit encore possible - les dégâts, qu'une tranche de vie vécue un peu trop loin du Seigneur a occasionnés.

Au début de la semaine, alors que je demandais au Seigneur quel sujet je devais apporter pour ce dimanche, deux textes bibliques me sont venus à l'esprit. Deux textes qui semblent se contredire, mais qui mettent en évidence que :

Un salut parfait ne nous fera pas passer dans l'éternité aussi facilement qu'une lettre à la poste !

Il (Jésus) peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. Hébreux 7 : 25

Et SI LE JUSTE SE SAUVE AVEC PEINE , que deviendront l’impie et le pécheur? 1 Pierre 4 : 18

Ce dernier verset nous place devant notre propre responsabilité puisque le juste, celui qui a été rendu juste, reste responsable de la façon dont il marche avec le Seigneur.

"Si le juste se sauve avec peine... !"
S'il a de la difficulté à garder le cap, alors, oui, nous sommes en droit de nous demander ce que deviendront ceux et celles (de notre entourage) qui n'ont pas fait la paix avec Dieu.

Mais aujourd'hui il n'est pas question des impies et des pécheurs qui nous environnent, il est question de nous... nous qui confessons avoir donné notre vie au Seigneur, il est question de notre salut, de ce salut parfait.
Nous devons déjà nous mettre dans la tête qu'il n'y a rien à redire concernant ce salut, rien qui soit à même d'en affaiblir la portée.

Si l'enfant de Dieu se sauve AVEC PEINE, ce n'est ni à cause du salut, ni à cause du Seigneur Jésus qui SAUVE PARFAITEMENT ceux qui s'approchent de Dieu au travers de lui.

Si nous nous sauvons avec peine, c'est parce que notre responsabilité est engagée.

Certes, nous avons été sauvés par grâce au travers de l'oeuvre que le Seigneur Jésus a accomplie en notre faveur.

C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu.
Ce n’est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie. Éphésiens 2 : 8-9

Comment comprendre que ma responsabilité soit continuellement engagée après avoir accepté que Jésus devienne mon Sauveur et mon Seigneur ?
Comment comprendre que ce ne sont pas mes oeuvres qui me sauveront, mais que ce sont quand même mes oeuvres qui témoigneront en ma faveur ou contre moi ?

Et, comme il y en a plusieurs (de mes oeuvres) qui ne me seront pas favorables, Dieu est obligé d'user de patience pour que je ne périsse pas en subissant la condamnation originelle! « Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait », nous recommande le Seigneur Jésus (Matthieu 5 : 48) !

Une condamnation qui serait justifiée malgré le salut parfait qui m'a été accordé.
Un salut sur lequel il n'y a rien à redire...
.... ce qui est loin d'être le cas pour la conduite de ceux et celles qui doivent être mis au bénéfice de la patience de Dieu.

Déjà, nous devons réaliser que, SI DIEU USE DE PATIENCE À NOTRE ÉGARD, c'est parce que nous avons une conduite qui ne le satisfait pas.

Cette conduite est telle, qu'il doit nous donner du temps pour que nous saisissions l'occasion afin de nous repentir et de marcher - enfin - "d'une manière digne de l'Évangile de Christ" (Philippiens 1 : 27).

Imaginez quelques instants qu'un homme, condamné par la justice des hommes, ait fait une demande de grâce à l'autorité compétente.
La grâce lui ayant été accordée – tout comme elle nous fût accordée – il n'y a plus de condamnation pour sa faute ! Il peut jouir de sa nouvelle liberté tout en manifestant sa reconnaissance par les moyens qui sont à sa disposition.

C'est la même chose pour nous : « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ » (Romains 8 : 1).
Reste à savoir si je suis bien EN JÉSUS-CHRIST, si je vis pour lui, et si lui vit en moi !

Que va faire notre condamné de cette liberté qu'il a obtenue par pure grâce, de cette vie nouvelle qui s'ouvre devant lui ?
Va-t-il mettre à profit le pardon qui lui a été accordé pour vivre de façon à ce que la justice n'entende plus jamais parler de lui, ou va-t-il recommencer le même genre de vie qui l'avait conduit à être condamné ?

Il n'a que deux chemins devant lui !
Certes, les tentations sont là ; elles sont d'autant plus pressantes que les amis d'autrefois insistent pour qu'il réintègre leur cercle. Comment va-t-il se conduire ?

C'est aussi notre cas, la même question nous est posée à nous qui avons été rachetés de la vaine manière de vivre que nous avions héritée de nos pères (1 Pierre 1 : 18) : Comment allons-nous vivre notre carrière d'enfants de Dieu ?

Réponse : Nous avons été rachetés, nous avons été bénéficiaires du pardon et de la grâce, non pour recommencer notre ancienne vie, mais pour vivre une vie nouvelle !

SI quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. 2 Corinthiens 5 : 17

Comme vous le voyez, il n'y a pas besoin de faire beaucoup d'efforts pour réaliser que nous ressemblons à ce condamné. Comme lui nous avons bénéficié de la grâce..., comme lui nous devons être vigilants pour ne pas perdre le bénéfice de cette nouvelle liberté.

Le salut parfait qui nous a été accordé - par grâce – ne peut pas perdre de son efficacité. Le salut reste parfait même lorsqu'il est refusé !
Il reste parfait parce qu'il est universel ; Dieu voulant que tous les hommes soient sauvés (1 Timothée 2 : 4).
Une personne peut donc refuser ce salut parfait, il restera néanmoins parfait pour ceux qui l'accepteront !
Un cadeau reste un cadeau même si certains bénéficiaires n'en veulent pas !

Notre attitude ne change rien à la valeur du salut.
D'ailleurs, ce salut est tellement parfait que, s'il m'arrive de pécher...

... il montre sa perfection en Jésus-Christ qui devient alors MON avocat en faisant valoir l'efficacité de son sang, l'efficacité de son sacrifice lorsque je confesse et abandonne ce péché accidentel.

Alors..., s'il en est bien ainsi, comment cela se fait-il que ceux qui ont été rendus justes par le Seigneur, aient de la peine à se sauver ?

Et si le juste se sauve avec peine , que deviendront l’impie et le pécheur? 1 Pierre 4 : 18

Il est impossible de passer sous silence cette parole.
En effet, elle laisse sous-entendre que la vie chrétienne n'est pas un long fleuve tranquille sur lequel on peut se laisser porter jusqu'au bon port. Si c'était le cas, l'Ecriture ne nous préviendrait pas que le juste se sauve avec peine !
Il suffirait de se laisser aller, de "se la couler douce" (pour reprendre l'expression de certains) et de profiter des bonnes choses de la vie aussi longtemps que possible.

Ainsi nous avons un salut parfait qui nous a été accordé. Un salut auquel il n'y a rien à y ajouter pour que nous soyons sauvés.
La seule chose que nous avons à faire est de :

- Suivre le Seigneur Jésus  en marchant à ses côtés, sous son joug ;
- Faire les oeuvres qu'il a préparées d'avance pour que nous les pratiquions.

... NOUS SOMMES SON OUVRAGE, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes oeuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions. Éphésiens 2 : 10

Notre nouvelle vie en Jésus-Christ, nous le voyons, ne doit pas être une vie stérile. Pensez au serviteur inutile (Matthieu 25 : 26-30) et regardez sa fin : "Et le serviteur inutile, jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents."

Nous qui sommes devenus serviteurs et servantes du Seigneur, nous ne sommes pas entrés à son service pour rester les bras croisés ou pour continuer à vivre comme par le passé.
Ce n'est pas une mince affaire de dire que nous appartenons à Christ, faut-il encore le prouver par une attitude qui confirmera nos dires !

(Jésus) qui s’est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, et de se faire un peuple qui lui appartienne, purifié par lui et zélé pour les bonnes oeuvres. Tite 2 : 14

Jésus s'est fait un peuple qui lui appartient.
Il s'est fait un peuple... ZÉLÉ ! Pas un peuple de fainéants, de paresseux !

Suis-je zélé pour lui ?
La question n'est pas banale !
Elle ne l'est pas, car la réponse que nous fournirons, sera un indice pour savoir si nous pouvons être reconnus comme faisant partie de son peuple ; un peuple qui lui appartient, un peuple qui a été purifié par lui, un peuple zélé !

Afin que nous ne nous méprenions pas sur le zèle dont il est question, j'ai repris mon dictionnaire des synonymes afin de mieux comprendre ce terme.
D'abord, il est question d'enthousiasme qui exprime l'état ardent d'une âme qu'un zèle extraordinaire transporte et inspire.
Ensuite, il est question d'élan qui suppose une ardeur passionnée vers quelqu'un ou vers quelque chose.

Nous n'avons pas besoin d'aller plus loin pour comprendre que si nous avons perdu cet enthousiasme, cet élan vers le Seigneur, c'est que nous sommes devenus... tièdes !

« Aie donc du zèle, et repens-toi », dira le Seigneur Jésus glorifié à son Église de Laodicée, cette église de la fin des temps à laquelle nous appartenons (Apocalypse 3 : 19).
Quelle grâce de savoir qu'il y a encore de l'espérance pour ceux et celles qui ont été nonchalants, insouciants !
Au lieu d'être rejetés, ils sont encouragés à renouveler leur attachement au Seigneur et à le prouver par une conduite qui ne laissera aucun doute quant à leurs sentiments à l'égard de leur Sauveur redevenu le Seigneur de leur vie.

« Si le juste se sauve avec peine... ! »

Maintenant nous comprenons un peu mieux que la vie chrétienne suppose un engagement qui sera d'autant plus difficile à tenir que le monde nous tiendra !

C'est donc à nous de lâcher prise et de le faire d'autant plus vite puisque Jésus « s’est donné lui-même pour nos péchés, afin de nous ARRACHER du présent siècle mauvais » (Galates 1 : 4).

Nous voulons tous entrer dans le Royaume de Dieu, du moins c'est ce que nous déclarons..., mais je ne sais pas si vous vous rendez compte que le Seigneur doit nous ARRACHER (texte grec) du présent siècle mauvais !
Ne croyons pas que ce soit le prince des ténèbres qui nous retienne de force et qu'il faille toute l'énergie du Seigneur pour nous en délivrer. Non ! Satan a été vaincu à Golgotha. C'est nous qui, selon les circonstances, ne voulons pas lâcher prise.

Il doit nous arracher..., un mot qui montre la difficulté de l'entreprise tant nous sommes encore attachés aux choses de ce monde, au siècle présent.
Tellement attachés que certains ne seront pas libres de participer à l'enlèvement de l'Eglise lorsqu'il aura lieu !

Ne vous conformez pas au siècle présent , mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait. Romains 12 : 2

Nous parlions du temps des vacances, de ce temps favorable au refroidissement spirituel, ce temps où il semble plus facile de lâcher le Seigneur que les plaisirs du monde.

Ce temps où le juste est particulièrement éprouvé pour tester sa fidélité !

Ce temps des vacances où le juste – celui qui est un peu plus négligeant que les autres - aura encore plus de difficultés à garder le bon cap !

En conclusion :
Si le juste se sauve avec peine..., c'est parce que, depuis le jour où il a reçu ce salut parfait, il s'est encombré de bien des choses qui ont rendu sa marche difficile.

Et, s'il a pu s'encombrer de la sorte..., c'est parce qu'il a abandonné sur le chemin bien des points de doctrine qui ne pouvaient pas faire bon ménage avec les choses du monde que son coeur désirait.
Il s'est débarrassé de certaines des instructions du Seigneur ou les a adaptées à son mode de vie au lieu d'adapter sa vie aux enseignements de la Parole de Dieu.

"Si je le juste se sauve avec peine... !"
Il y a au moins de l'espérance..., le juste se sauve... Il se sauve !
Avec peine, certes !
Mais il se sauve « en y laissant des plumes », en y perdant - peut-être - sa récompense :

Si l’oeuvre bâtie par quelqu’un sur le fondement subsiste, il recevra une récompense.
Si l’oeuvre de quelqu’un est consumée, il perdra sa récompense; pour lui, il sera sauvé, mais comme au travers du feu.
1 Corinthiens 3 : 14-15

Bien sûr, l'âme n'est pas perdue !
Mais, moi, je ne veux pas vivre ma vie chrétienne au rabais en pensant que je serai sauvé in extremis !
En effet, rien ne me dit que je ne serais pas allé trop loin dans mon laisser-aller.
Rien ne me dit que ma paresse spirituelle n'aurait pas engendré de la désobéissance, et qu'au lieu d'être sauvé avec peine, je finirai par être vomi de la bouche du Seigneur en raison de ma tiédeur !

Sincèrement..., Comment pourrions-nous nous contenter de donner des miettes de notre coeur au Seigneur alors que, lui, il a donné sa vie pour que nous soyons réconciliés avec Dieu ?

Le Seigneur se fait un peuple purifié par lui, un peuple zélé pour les bonnes oeuvres, pas un peuple qui vit sa foi au rabais !

En vivant une foi à prix réduit, nous prenons le risque de faire partie de ceux et celles qui se perdent.


Ils ne sont pas encore perdus !
Le salut qu'ils ont reçu est parfait ! Mais ce sont eux qui prennent le chemin de la perdition en n'ayant plus goût pour les choses de Dieu.
N'ayant plus d'intérêt, plus de passion pour le Seigneur, ils vivotent avec une petite foi religieuse qui n'est pas capable de nourrir leur âme.

Nous, nous ne sommes pas de ceux qui se retirent pour se perdre, mais de ceux qui ont la foi pour sauver leur âme. Hébreux 10 : 39

Pour être certains d'être dans le bon groupe – celui de ceux qui ont la foi "active" pour sauver leur âme - suivons l'exhortation de Romains 12 : 11 ; suivons là en tout temps...

.... y compris pendant les vacances, un temps où nous avons la possibilité de nous ressourcer au lieu de nous dessécher !

Ayez du zèle, et non de la paresse.
Soyez fervents d’esprit.

Servez le Seigneur.

* Les textes bibliques, sans indication particulière, sont tirés de la Bible Segond

J-M Ravé le 16 juillet 2011 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse

C08082011