Dans vos jours de joie,
dans vos fêtes, et à vos nouvelles
lunes, vous sonnerez des trompettes, en offrant vos
holocaustes et vos sacrifices d’actions de
grâces, et
elles vous mettront en souvenir devant votre
Dieu. Je suis
l’Eternel, votre Dieu. Nombres 10: 10
Nous approchons à grands pas de
Noël, une fête chrétienne
paganisée ? Une fête païenne
christianisée ?
Tout dépend par quel bout de la lorgnette on
regarde, tout dépend les sentiments qui
animent notre coeur et tout dépend
à qui appartient notre coeur.
En plongeant nos regards dans la Parole de Dieu,
nous voyons que l'Éternel n'est pas contre
les fêtes, d'ailleurs il en
a instituée de nombreuses afin que SON peuple
se réjouisse devant lui et qu'il se
souvienne ainsi de toutes les
bontés qu'il lui a accordées.
Sans aucun doute, vous avez certainement
été bénis en cette
année 2011 ; avez-vous sonné
de la trompette, avez-vous proclamé que le
Seigneur est bon ?
Vous sonnerez de la trompette, avons-nous
lu ! Action future qui est ordonnée
de mettre en pratique chaque fois que nous aurons
l'occasion de nous réjouir, alors...
... allons-nous sonner de la trompette, allons-nous
proclamer Jésus-Christ si nous faisons
partie de ceux et celles qui
célébreront la Noël ?
Le faire avec ferveur puisque nous avons
expérimenté qu'il est
vivant ?
Alors qu'il a déjà mis sa main
bénissante sur nos vies, qu'il nous a
gardés dans les moments difficiles, qu'il
nous a encouragés, alors qu'il nous
prépare une place dans le Royaume de Dieu,
ne devrions-nous pas sonner de la trompette
continuellement ?
Ne devrions-nous pas manifester notre
reconnaissance chaque fois que l'occasion nous en
est donnée ?
Étant survenue, elle
aussi
(Anne), à
cette même heure, elle louait Dieu, et elle parlait
de Jésus à tous ceux qui attendaient
la délivrance de
Jérusalem.
Luc 2 : 38
Anne était dans le Temple et, lorsque
Jésus fut amené devant
l'Éternel par ses parents, elle ne put
s'empêcher de louer le Seigneur et de parler
du Sauveur qui venait d'entrer dans le monde pour
sauver les pécheurs.
Sa bouche parlait de l'abondance de son
coeur
(Luc 6 : 45)...
Et la nôtre..., en cette fête de
Noël, de quoi parlera-t-elle ?
De l'abondance de notre coeur,
évidemment !
Mais..., de quoi sera composée cette
abondance ?
Tout va dépendre de quels côtés
de la porte Jésus va se trouver !
S'il vit en nous, il ne fait aucun doute que nous
saurons profiter de ce jour particulier pour vivre
en témoins de Jésus-Christ.
Par contre, s'il est dehors, il est à peu
près certain que nous aurons honte de
lui et que l'on évitera tout sujet de
conversation le concernant. Un comportement qui ne
manquera pas de trouver son écho lorsque
Jésus reviendra chercher les siens.
Quiconque aura honte de
moi et de mes paroles, le Fils de l’homme aura honte
de lui,
quand il viendra
dans sa gloire, et
dans celle du Père et des saints
anges. Luc 9 : 26
Aujourd'hui Jésus fait honte, tellement
honte que Noël a perdu le sens que lui avait
donné nos ancêtres !
Noël, en dehors de l'aspect commercial, n'est
plus la fête de la Nativité, mais
c'est une fête de famille
extraordinaire !
Une fête qui sort de l'ordinaire..., UNE
FÊTE OÙ L'ON A MIS JÉSUS
À LA PORTE !
Et ça..., c'est vraiment
EXTRAORDINAIRE !
C'est un peu comme si on fêtait votre
anniversaire et que l'on vous mette à la
porte pour faire la fête sans vous !
Sans aucun doute ça ne vous
réjouirait pas le coeur que l'on agisse
ainsi à votre égard ?
À essayer la prochaine fois lorsque ce sera
votre tour d'être
fêté ?
À essayer tout en espérant que ceux qui
vous fêterons se feront des cadeaux
mutuellement sans rien vous offrir, comme
ceux et celles qui célèbrent
Noël SANS JÉSUS !
En parlant à ceux et celles qui
célébreront cette fête dans
leur famille, j'aimerais leur demander de quels
côtés de la porte sera le Seigneur
Jésus glorifié ?
Oui..., GLORIFIÉ... ! Il ne faut
pas oublier de le dire !
Aujourd'hui, il est assis à la droite de
Dieu et non couché dans une
crèche !
Aujourd'hui, il a tout accompli pour nous
sauver ! Il l'a fait en donnant sa vie sur la
croix afin que nous puissions obtenir le pardon de
nos péchés.
De quels côtés de la porte sera le
Seigneur Jésus glorifié - non
seulement en ce jour de Noël - mais aussi au
jour où vous devrez lui rendre compte de
votre vie ?
Noël... une belle et triste fête en
même temps si l'on en croit le vieux
Siméon qui, en quelques mots, va
résumer la vie de cet enfant :
- ... mes yeux ont vu ton
salut...,
- Lumière pour éclairer les
nations...,
- Voici, cet enfant est
destiné à amener la chute et le relèvement
de plusieurs en
Israël, et à devenir un signe qui provoquera la
contradiction,
- et à toi-même une épée te
transpercera l’âme, afin que les pensées de
beaucoup de coeurs soient dévoilées.
Luc 2 : 29-35
Voici, la vierge sera
enceinte, elle enfantera un fils, et
on lui donnera le
nom d’Emmanuel, ce qui signifie
Dieu avec
nous.
Matthieu 1 : 23
Je suis la
lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas
dans les ténèbres, mais il aura la
lumière de la vie. Jean 8 : 12
Tous les prophètes
rendent de lui le témoignage que
quiconque croit en
lui reçoit par son nom le pardon des
péchés. Actes 10 : 43
(Croire implique TOUJOURS l’idée
d'obéissance ; sans
obéissance..., la foi des
« croyants » ressemble à
la foi des démons !
[Jacques 2 : 19])
il est mort, et c’est
pour le péché qu’il est mort une
fois pour toutes ; il est revenu à la vie, et
c’est pour Dieu qu’il vit. Romains 6 : 10
Il est mort pour
tous,
afin que ceux qui
vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais
pour celui
qui est mort et ressuscité pour
EUX.
2 Corinthiens 5 : 15
De quels côtés de la porte est
Jésus pour ce qui vous
concerne ?
Je ne demande pas comment vous fêterez
Noël.
Je vous demande si Jésus est bien du bon
côté de la porte, car, s'il
était du mauvais côté, vous
aurez beau célébrer Noël, vous
n'en serez pas pour autant sauvés !
Par contre, s'il est du bon côté de la
porte et que vous ne célébriez pas
cette fête chrétienne paganisée
ou cette fête païenne
christianisée, cela se verra quand
même, car vous vivrez cette journée
(comme les autres jours) en vivant pour celui
qui est mort et ressuscité pour
vous.
Un signe qui ne trompe pas et qui marque la
différence entre les croyants de nom, les
croyants religieux et les croyants de coeur pour
qui Jésus est le centre de leur vie.
L'invitation à la joie, dont nous parle
l'apôtre Paul dans son épître
aux Philippiens
(4: 4), nous apprend qu'un enfant de
Dieu doit être continuellement dans la joie
parce qu'il a été lavé,
purifié de son péché.
Le croyant véritable ne peut pas faire
autrement que d'avoir le coeur en fête, non
uniquement parce que Jésus est né,
mais de ce qu'il est né...
Une fête sans Jésus, une
fête où l'on oublie le chemin que cet
enfant (le « petit
Jésus ») a parcouru pour que nous
ayons la vie éternelle dans le Royaume de
Dieu, ne saurait être une fête qui
réjouisse le coeur de notre Père
céleste quand bien même nous nous
définirions comme
« chrétiens » !
Allez faire un tour dans l'ancien Testament, allez
regarder le peuple que Dieu s'était choisi
d'entre les nations pour en faire SON
peuple ;
- ce peuple qu'il aimait ;
- ce peuple qu'il a sorti de l'esclavage ;
- ce peuple auquel il disait :
« Dans vos jours de
joie, dans vos fêtes, et à vos
nouvelles lunes, vous sonnerez des trompettes...
en souvenir devant
votre Dieu »
(Nombres 10 : 10).
Oui..., allez voir ce peuple, puis, regardez
l'Église d'aujourd'hui. Regardez...,
regardons comment nous nous conduisons à
l'égard de Celui qui nous a tant
aimés !
Ce qui a été dit autrefois au peuple
de Dieu, ne devrait-il pas nous être dit
maintenant ?
Cessez d’apporter de
vaines offrandes : J’ai en
horreurl’encens, Les nouvelles lunes,
les sabbats et les assemblées...
MON ÂME HAIT
vos nouvelles
lunes et VOS
FÊTES ;
Elles me sont à charge ; Je suis las de
les supporter.
Quand vous étendez vos mains, JE
DÉTOURNE DE VOUS MES YEUX ;
Quand vous multipliez les
prières, JE
N'ÉCOUTE PAS... Esaïe 1 :
13-18
Comme au temps passé, les fêtes
ne manquent pas, mais, si l'on sonne encore de la
trompette, si l'on fait beaucoup de bruit pour
attirer du monde...
... ce n'est pas pour que le peuple se rassemble
autour de Dieu - même s'il court encore un
peu aux offices religieux - ce n'est pas pour honorer le
Sauveur des hommes !
Si l'on sonne encore de la trompette, si l'on fait
beaucoup de bruit, c'est pour la gloire de Mammon
et aussi pour faire bonne chère, pour
réveillonner... à mort !
« Et voici de la
gaîté et de la joie ! On
égorge des boeufs et l’on tue des
brebis, On mange de la viande et l’on boit du
vin : Mangeons
et buvons, car
demain nous mourrons !
(Esaïe 22 : 13)
Certes, il n'est pas forcément parlé
de ceux qui vont mourir d'avoir trop mangé,
ils ne sont pas encore légion ceux que l'on
enterre après un banquet !
Je veux parler de ceux qui meurent un peu plus dans
ces repas où l'on ne pense même pas
à rendre grâce à celui qui
donne le pain quotidien en abondance ainsi que tout
ce qui va avec.
Dieu en donne tellement, qu'un grand nombre de
personnes va jeter à la poubelle cette
nourriture qui devient misérable en raison
de sa quantité.
Je veux parler aussi de ceux dont l'âme
meure à petit feu parce qu'ils n'ont pas
faim de la Parole de Dieu ; de ceux qui n'ont
plus assez faim pour s'instruire des choses
concernant le Royaume des Cieux et concernant la
façon de marcher dans le chemin
étroit.
En résumé, je veux parler de tous
ceux et toutes celles qui ont une vie spirituelle
squelettique ; un état de santé
qui ne laisse rien de bon à
présager si l'attention restait fixée
sur le corps mortel et non sur l'âme
immortelle.
« Que votre rire se change en deuil,
et votre joie en tristesse », nous
dit Jacques dans son épître
(4 : 9).
Et c'est vrai, notre joie devrait être
teintée de tristesse en voyant, non
seulement ce que le monde est devenu, mais aussi ce
que l'Église de Jésus-Christ est en
train de devenir !
Le monde..., n'en parlons pas, c'est le
monde ! Mais l'Église de
Jésus-Christ n'est-elle pas aussi mal en
point que le monde ?
N'a-t-elle pas déjà
remplacé quelques commandements de Dieu par
la tradition des hommes ?
Vous allez fêter Noël... ? De
quels côtés de la porte sera
Jésus ?
Ah..., s'il est du bon côté, il ne
fait aucun doute que Noël, ou n'importe quel
autre jour, sera un jour de saine joie, un jour
où vous aurez la liberté de
célébrer le souvenir du Fils de
Dieu.
Vous saurez même le faire de la seule
façon qui lui soit agréable, de
la seule façon dont il nous a demandé
de le faire pour que nous gardions le souvenir de
ce qu'il a fait pour nous et que nous ne perdions
pas notre espérance dans les temps
difficiles : « faites ceci en mémoire de
moi ! »
(Luc 22 : 19).
Ainsi, il y a quelque chose que nous pouvons faire
en mémoire du Seigneur, quelque chose qu'il
nous a ordonné de faire !
Non pas de fêter Noël, mais de prendre
part à la sainte cène, afin de se
rappeler de sa mort ; se souvenir de ce
qu'il a accompli en notre faveur, et de s'en
souvenir jusqu'à ce qu'il
revienne ; c'est ce que nous dit
l'apôtre Paul dans une de ses lettres.
... toutes les fois que vous
mangez ce pain et que vous buvez cette coupe,
vous
annoncez la mort
du Seigneur, jusqu’à ce qu’il
vienne. 1 Corinthiens 11 :
26
La naissance de Jésus, je le conçois,
a été un des plus grands
événements que la Terre ait connu et
je ne veux pas en minimiser la portée.
Sans cette naissance, il n'y aurait pas eu cet
autre événement qui a fait trembler
la Terre et l'enfer : LA MORT et la
RÉSURRECTION du Fils de Dieu !
Noël..., bien sûr ! Mais un
Noël sans la Croix, est un Noël
païen qui ne sert qu'à
satisfaire la chair et le compte en banque des
commerçants.
J'ai connu ces Noëls sans Jésus, ces
Noëls avec le sapin pour roi et le père
Noël pour répondre à quelques
désirs, ils ont marqué mon enfance
de païen religieux où tout le
décorum masquait la réalité de
la venue de Jésus dans ce monde et la raison
pour laquelle il était venu.
J'aurais aimé connaître ces Noëls
d'antan où la vraie foi en
Jésus-Christ était encore
prêchée le jour de la Nativité
sans que le prédicateur n'ait la crainte de
dénoncer les comportements païens.
Pourquoi ne reprendrions-nous pas les sentiers
anciens
(Jérémie 6 : 16)
et ne demanderions-nous pas des prédicateurs
de cet acabit qui savaient prêcher la
vérité, même au temps de
Noël, comme vous allez le voir.
« Est-ce bien la bonne joie de Noël qui anime les cœurs de tous ceux qui font profession de célébrer la naissance du Sauveur en glorifiant et louant Dieu comme les bergers ?
Est-ce là, surtout, la joie de tous ceux qui se réjouissent, dans ces temps où les chants d'actions de grâces de l'église sont étouffés par les éclats bruyants des plaisirs mondains, de la dissipation ou de la débauche ?
Est-ce la joie de ces malheureux qui, redoutant de rentrer en eux-mêmes, repoussant les appels de leur conscience et de leur Dieu, plus particulièrement énergiques dans ces jours solennels qui terminent l'année, cherchent tous les moyens de s'étourdir sur l'état de leurs âmes et sur le sort qui les attend dans l'éternité ?
Non, malheureusement non !
Et cependant il n'y a de joie raisonnable, de joie légitime, dans ces jours, que celle du chrétien ; ceux-là seuls qui ont trouvé en Jésus leur Sauveur, par la foi, ont sujet de se réjouir de sa naissance. Toute autre joie de Noël est insensée et trompeuse, est une joie de néant.
En effet, si Jésus n'est pas votre Sauveur, ô vous qui vivez encore dans le formalisme ou dans la mondanité, il est nécessairement votre Juge, un Juge qui va prononcer sur vous, à moins que vous ne vous convertissiez, une sentence d'éternelle condamnation.
Eh bien, aussi longtemps qu'il en est ainsi, dites-le, comment la naissance de Jésus, de votre Juge, pourrait-elle être pour vous un sujet de légitime réjouissance ?
Quelle part pourriez-vous prendre aux joies de Noël ? » (Feuille religieuse du canton de Vaud – 1848)
Tout le monde veut faire la fête ; les
véritables croyants, comme les païens,
les vierges folles comme les vierges
sages !
Dans ce tohu-bohu de festivités, la voix des
enfants de Dieu semblent bien faibles et ne
trouvent quasiment plus de répondant dans ce
monde qui a choisi le chemin large qui mène
à la perdition, ce chemin où l'on se
permet de tout faire. Néanmoins, la voix de
ceux qui ont fait la paix avec Dieu n'est pas
perdue, car elle est entendue par :
- Celui qui sonde les coeurs et les reins.
- Celui qui a aussi bien compté nos jours
que ceux de la Terre !
- Celui qui donne le pain quotidien et celui qui
envoie la famine !
- Celui qui donne la paix à ses enfants, et
qui se prépare à manifester sa grande
colère, comme l'Apocalypse l'affirme.
En se rappelant la naissance de notre Sauveur (et
Seigneur, peut-être), en commémorant sa
première venue, pensons qu'il a promis de
revenir, non pas dans la crèche, mais sur
les nuées pour attirer son Église
à lui.
Pensons aussi qu'il reviendra sur Terre
après que la colère de Dieu se soit
manifestée contre ceux et celles qui sont
partis en guerre contre lui.
Noël..., oui mais..., si Noël est une
fête joyeuse, elle annonce, dans son
sillage, aussi bien le bonheur que le malheur
selon que Jésus sera du bon
côté de la porte ou non.
Noël, en dépit de la crise, sera
vécu par beaucoup de personnes comme s'il
n'y avait pas la crise : « mangeons
et buvons » tandis que le passage de la
nouvelle année n'aura certainement rien
à envier en fastes et luxures des
années précédentes.
N'entendez-vous pas les paroles du
prophète : « Mon âme hait vos nouvelles
lunes et vos fêtes ; Elles me sont à
charge ; Je
suis las de les supporter »
(Esaïe 1 : 13-18)
Si vous n'entendez pas cette voix, si vous ne
voulez pas l'entendre ni la comprendre,
alors ouvrez un peu plus les yeux et faites le
bilan de l'année écoulée
où il semble que notre planète a
plus souvent été dans les larmes que
dans la joie quand on considère tous les
malheurs qui l'ont frappée.
Si nous ne voulons pas voir la
réalité en face, écoutons un
autre prophète qui pourrait bien s'adresser
à notre génération en lui
parlant de cette façon :
Elle n'a pas reconnue que
c’était moi qui lui donnais le
blé, le moût et l’huile... et
l’on a consacré au service des faux
dieux l’argent et l’or que je lui
prodiguais.
C'EST POURQUOI je
reprendrai mon blé en son temps et mon
moût dans sa saison...
Je ferai cesser toute sa joie, ses
fêtes, ses
nouvelles lunes, ses sabbats et toutes ses
solennités. (D'après
Osée 2 : 8-11)
Il n'est pas question d'assombrir les fêtes
de fin d'année, j'espère que vous
l'avez compris !
Il est question de comprendre que si nous voulons
faire la fête nous devons nous
démarquer du monde et la faire selon
Dieu : « Célébrons donc la
fête, non avec du vieux levain, non avec un
levain de malice et de méchanceté,
mais avec les pains sans levain de la
pureté et de la VÉRITÉ. »
(1 Corinthiens 5: 8)
Si nous reprenons le texte qui nous a servi de
base, nous voyons que l'Éternel commande
à son peuple de sonner de la trompette pour
qu'il n'oublie pas de se souvenir de son Dieu.
Pour ce qui nous concerne, nous avons aussi
à sonner de la trompette en
témoignant autour de nous.
Quoi de plus facile en ces jours de fêtes de
parler de Jésus et du salut qu'il propose
encore à ceux de notre famille qui
partiraient en enfer s'ils quittaient ce monde
aujourd'hui !
En restant silencieux et en jouissant de ces
fêtes « religieuses »,
nous mettons un doigt dans l'engrenage infernal qui
finira par nous happer comme il en a happé
plusieurs qui ne considèrent plus la
Noël que comme une simple fête de
famille..., sans Jésus !
Comme dans l'ancien Testament, bien de nos
fêtes ont
dégénéré quoiqu'elles
aient gardé une connotation religieuse.
Attitude que l'Éternel a en horreur
avons-nous lu, il a quelques instants !
Nous ferions bien de nous demander s'il n'aurait
pas en horreur la vie chrétienne que nous
présentons au monde aujourd'hui ?
S'il n'aurait pas en horreur la façon dont
nous allons nous comporter durant ces fêtes
de fin d'année ?
Je ne doute pas que plusieurs vivront avec respect
ce jour particulier que des hommes ont choisi pour
commémorer la naissance du Sauveur.
Si nous avons la crainte de Dieu dans notre coeur,
si nous craignons de lui déplaire, nous
serons d'autant plus vigilants afin que notre
témoignage reste le reflet d'une vie
consacrée à Dieu..., que l'on
célèbre ou non cette fête
chrétienne paganisée ou cette
fête païenne
christianisée !
Quant à ceux et celles qui n'ont pas encore
fait la paix avec Dieu, j'aimerais leur faire
connaître la suite de l'extrait de cette
prédication prêchée en
1848 que je vous ai fait partager tout
à l'heure :
« Encore une fois, Jésus est nécessairement ou votre Juge ou votre Sauveur ; il faut choisir : vous pouvez le rejeter comme Sauveur ; mais alors vous ne pouvez lui échapper comme Juge.
Encore un peu de temps et Celui qui doit venir viendra. Cet enfant de Bethléhem que vous voyez emmailloté et couché dans une crèche, sera bientôt révélé du Ciel avec des flammes de feu, revêtu d'une majesté souveraine, assis sur un trône ; et votre sentence sera prononcée par sa bouche... »
Pour terminer, si nous avions le choix entre
deux textes bibliques qui doivent nous
dépeindre, quel serait celui qui nous
collerait le mieux à la peau, quel est celui
que nos frères et soeurs - dans la foi -
nous attribueraient en regard de notre engagement
avec le Seigneur ?
En donnant cet avertissement,
ce que je ne loue point, c’est que
vous vous
assemblez, non pour devenir meilleurs, mais pour
devenir pires.
1 Corinthiens 11 : 17
Pour vous, votre obéissance est connue
de tous ; je
me réjouis donc à votre sujet, et
je désire
que vous soyez sages en ce qui concerne le bien et
purs en ce qui concerne le mal. Romains 16 : 19
Il va de soi que nous préférons tous
entendre ce deuxième verset et que nous
aurions d’autant plus de plaisir à
l'écouter s'il était assorti à
celui de l'apôtre Jean
(3 Jean 2).
Mais... est-ce bien la réalité de
notre vie ?
N'y aurait-il pas du danger pour vous que votre
corps soit dans le même état que votre
âme ?
Ce verset est certainement un bon verset pour
faire le pont entre deux années, il l'est si
nous avons su veiller sur notre âme et si
nous continuons à le faire jusqu'au jour
où nous serons arrivés vers l'autre
bord !
C'est donc ce que je vous souhaite si votre âme
est en bonne santé !
Si elle ne l'était pas, je ne pourrais que
vous engager à vous humilier devant Dieu et
réévaluer la valeur que vous donnez
à la vie éternelle.
Prends garde à toi
et veille attentivement sur ton âme, tous les
jours de ta vie...
Deutéronome 4 :
9
Voici, je
(Jésus) viens bientô, et ma rétribution est avec
moi, pour rendre
à chacun selon ce qu’est son
oeuvre.
Je suis l’alpha et l’oméga, le
premier et le dernier, le commencement et la
fin.
Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin
d’avoir droit à l’arbre de vie, et
d’entrer par les portes dans la ville !
Apocalypse 22 :
12-14
J-M Ravé le 17 décembre 2011 - CP 474
- 2300 Chaux-de-Fonds – Suisse
C301211
Prochain message écrit, pour le lundi 2
janvier 2012
Les textes bibliques, sans indication
particulière, sont tirés de la Bible
Segond.