Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Une croix pour deux brigands

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Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et ainsi la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché... Romains 5: 12 (v. L. S)

...
il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement... Hébreux 9: 27 (v. L. S)

(Jésus) est mort, et
c'est pour le péché qu'il est mort une fois pour toutes... Romains 6. 10 (v. L. S)

Alors que le calendrier nous a signalé que le printemps est arrivé, alors que le jour dédié au mensonge est derrière nous (le 1er avril)...
... il règne, un peu partout dans les magasins des pays "christianisés", un parfum de paganisme, un parfum de basses-cours "enchocolatées" où lapins, poussins, poissons et oeufs en chocolat se bousculent dans les rayons pour rappeler, à grand coup de publicité, que nous sommes dans la période pascale !

"Admirons" au passage la main mise du prince des ténèbres sur les âmes des hommes qui ont été conduits à célébrer la plus grande fête du christianisme en s'offrant mutuellement des confiseries plutôt que de prêter attention à la bonne nouvelle de l'Évangile !

Est-ce à dire que je ne dois pas offrir ce genre de confiserie à mon prochain pour lui signifier ma sensibilité à cette fête religieuse et démontrer que je reste attaché aux traditions?

Qu'en dit la Parole de Dieu ?
Qu'est-ce que les auteurs du Nouveau Testament m'apprennent concernant la célébration de la mort et de la résurrection de Jésus ?

Loin des festivités mondaines, les saintes Écritures m'enseignent que c'est au travers de la sainte Cène que je dois me souvenir de la mort de Jésus et que je dois m'en souvenir RÉGULIÈREMENT, jusqu'à ce qu'il revienne :

... toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, (la sainte Cène) vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne.
C'est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.
1 Corinthiens 11: 26-27 (v. L. S)

Les Pâques mondaines qui nous sont proposées n'ont donc rien à voir avec la mort et la résurrection de Jésus-Christ.
En réalité, ces fêtes servent de support pour obtenir des jours de congés supplémentaires dont bien peu serviront à la gloire de Dieu ; elles servent aussi à faire des affaires commerciales qu'une grande majorité ne voudrait pas manquer !
Les commerçants chrétiens ont-ils aussi à coeur de remplir leur tiroir-caisse durant les fêtes pascales en vendant ce que le monde a dédié aux Pâques païennes ou profitent-ils plus de l'occasion pour témoigner de leur foi?

L'avertissement du monde, par sa conduite envers Jésus-Christ, est suffisament clair pour que nous prenions nos distances avec lui et que nous sachions prendre nos responsabilités de témoins de Christ sans qu'il soit question d'être légaliste :

- Il y a la table du Seigneur et celle des démons, nous rappelle l'apôtre Paul (1 Corinthiens. 10: 21).
- Il y a les "viandes" sacrifiées aux idoles et les autres !
- Il y a la façon du monde de célébrer Pâques et il y a ce que le Seigneur Jésus nous a enseigné concernant le rappel de sa mort (et de sa résurrection).
- Et il y a le fait que nous restons libres !

Que notre liberté EN CHRIST ne soit pas une pierre d'achoppement pour celui qui est le plus faible dans la foi parmi nous (1 Corinthiens 8: 9).

Que ferait Jésus à ma place dans telle ou telle circonstance ?
La question "passe-partout" qu'il faut avoir le courage de se poser afin de ne pas se fourvoyer dans des chemins dangereux et de ne pas être une occasion de chute pour notre frère (Romains 14: 13 & 21).

Souvenons-nous que Jésus reprochait aux religieux de son époque qu'ils prêtaient plus d'attention aux traditions des hommes qu'aux commandements de Dieu. Un reproche qui pourrait bien nous être adressé si nous nous laissons facilement harponner par les traditions, et particulièrement par celles qui déforment le message de la Parole de Dieu.

Il (Jésus) leur répondit : Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition ? Matthieu 15: 3 (v. L. S)

Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie,
s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, ET NON SUR CHRIST. Colossiens 2: 8 (v. L. S)

Loin de cette atmosphère "polluée" où religiosité et paganisme s'entremêlent, il serait bon d'aller faire un tour dans nos campagnes, loin des bruits de la ville et de s'arrêter devant les calvaires que nos ancêtres ont installés à la croisée de certains chemins pour que le passant réfléchisse sur leur signification.

Quoique ce ne soit qu'une représentation d'un passé lointain montrant le Fils de Dieu cloué sur le bois maudit, je ne puis m'empêcher de penser, qu'il s'est laissé conduire à la mort comme une brebis à la boucherie (Esaïe 53: 7). Qu'il l'a fait pour moi, pour toi, pour chacun d'entre nous individuellement !
Souvenir d'un passé lointain, certes, mais d'un passé qui me parle au présent et qui me rappelle que je suis un pécheur qui a besoin de pardon.
En effet, la Bible démontre que ce sont NOS péchés, que ce sont MES péchés qui sont responsables de la mort de celui qui fut le seul juste que la terre ait connu.

lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois... 1 Pierre 2. 24 (v. L. S)

Lui, le Fils de Dieu, a été mis au rang des malfaiteurs alors qu'il n'avait commis aucun crime ! Mais ce sont nos péchés qu'il a portés..., ce sont MES péchés qu'il a portés !
Il les a portés afin que je n'aie plus à les porter moi-même, que je n'ai plus à en subir les conséquences. Il les a portés pour que je sois libéré de leur emprise et que je devienne, en quelque sorte, une nouvelle créature ayant de nouveaux objectifs (2 Corinthiens 5: 17).

Sa mort sur la Croix parle-t-elle suffisamment à mon coeur, m'encourage-t-elle à m'engager dans le chemin étroit que le Fils de Dieu a tracé pour moi ? M'engage-t-elle à y rester ?

(Jésus) est mort, et c'est pour le péché qu'il est mort une fois pour toutes... Romains 6. 10 (v. L. S)

Il fut placé entre deux brigands !
Deux descendants d'Adam et d'Eve qui, comme nous, ont montré par leur conduite, que le péché fini par retrouver, tôt ou tard, celui qui le commet (Nombres 32: 23). "Le salaire du péché c'est la mort" rappelle l'épître aux Romains (6: 23).

Criminels ou non, il est réservé aux hommes de mourir une seule fois
, car (Romains 3: 23) :

TOUS ONT PÉCHÉ ET SONT PRIVÉS DE LA GLOIRE DE DIEU

Qu'importe le chemin à parcourir ! Qu'importe le nombre d'années qu'il reste à passer sur cette terre, nos cimetières rappellent l'inévitable sentence divine prononcée dans le jardin d'Éden, sentence consécutive à la désobéissance.

Combien de fois avons-nous désobéi depuis que nous savons plus ou moins faire la différence entre le bien et le mal ?
Combien de fois n'avons-nous pas voulu nous plier aux commandements de la Parole de Dieu depuis que nous avons accepté Jésus comme Sauveur de notre vie ?
(Je ne dis pas "Seigneur de notre vie", car la désobéissance démontre à elle seule que sa seigneurie se heurte trop souvent à la nôtre, c'est-à-dire à notre propre volonté.)

Tous les hommes ont donc rendez-vous avec la mort, avec la destruction de ce corps de chair : "tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière" (Genèse 3: 19).
La mort n'est pas un accident de parcours, elle est programmée afin que l'homme ne vive pas éternellement sous l'emprise du péché. Vouloir repousser les limites de cette dernière n'a aucun impact sur le fait qu'un jour il faudra rendre notre âme immortelle à Dieu qui nous jugera en fonction de notre attitude à l'égard de Jésus et de ce que nous aurons fait de SA parole.

Nées de parents désobéissants (Adam et Eve), les générations qui se sont suivies les unes derrière les autres, se sont enfoncées toujours plus dans le péché : "Dieu regarda la terre, et voici, elle était corrompue ; car toute chair avait corrompu sa voie sur la terre" (Genèse 6: 12).
C'est ainsi que les eaux du déluge exterminèrent tous les habitants de la terre, excepté la famille de Noé qui, sur l'ordre de Dieu, construisit une arche afin d'être sauvée, car cet homme ne participait pas au péché de ses contemporains : "Noé était un homme juste et intègre dans son temps ; Noé marchait avec Dieu (Genèse 6: 9).

Malheureusement un passager clandestin était dans cette arche, caché dans le coeur de l'homme il attendait l'occasion propice pour se manifester, c'était le péché !
Depuis, il a donné libre cours à ses activités et n'a pas manqué d'accomplir son oeuvre dans chacune de nos vies...
Mais ce sont nos péchés que Jésus a portés..., ce sont MES péchés qu'il a portés !

Malgré cette vérité, malgré l'annonce de la bonne nouvelle de l'Évangile, malgré nos fêtes religieuses qui se répètent d'année en année et les diverses occasions qui sont données aux hommes pour faire la paix avec Dieu, bien des hommes et des femmes subiront les conséquences éternelles de leurs péchés pour avoir fait le choix de les "entretenir".

Parler de choix implique au minimum deux propositions !
Propositions qui avaient déjà été faites au peuple de Dieu après qu'il fut sorti d'Égypte : "Vois, je mets aujourd'hui devant toi la vie et le bien, la mort et le mal" (Deutéronome 30: 15). Propositions assorties du conseil divin : "Choisis la vie, afin que tu vives" (Deutéronome 30: 19).

Un choix déterminant pour vivre la totalité du nombre de jours que Dieu nous a préparés (Psaume 139: 16) et aussi un choix qui va bien plus loin puisque c'est notre éternité qui est en jeu !

Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Jean 3: 18 (v. L. S)

Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé,
mais celui qui ne croira pas sera condamné. Marc 16. 16 (v. L. S)

Non pas une adhésion intellectuelle, mais un comportement qui met en valeur le fait que l'on croit ce que Dieu dit.
Dire que l'on croit en Dieu et agir à l'inverse de ses commandements, démontre que l'on ne croit pas Dieu !

Loin de nos basses-cours "enchocolatées" qui donnent à Pâques une douceur frelatée, revenons à cette Croix sur laquelle Jésus offrit sa vie pour le pardon de nos péchés, revenons à cette Croix proposée à deux catégories de "brigands", deux catégories de pécheurs !
Qu'allons-nous faire de la Croix de Christ ? Quel impact a-t-elle dans ma vie ?
Que représente pour moi l'homme qui fut couronné d'épines ? Qu'est-ce que j'attends de lui ?

Un des brigands nous donne sa perception de Jésus-Christ :

N'es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même, et sauve-nous ! Luc 23: 39 (v. L. S)

N'es-tu pas pas l'Oint de l'Éternel, voulait dire ce malfaiteur ? N'es-tu pas le béni de Dieu ?
Oui il l'était ! Mais cette vérité ne sortait pas d'un coeur repentant puisque ce malfaiteur-là injuriait Jésus !
Comment pouvait-il imaginer un instant que l'Oint de l'Éternel accomplisse quelque chose en sa faveur, la crainte de Dieu n'étant pas dans son coeur !
Qu'imaginait-il ?
Pouvoir être libéré afin de reprendre sa vie de débauche, de meurtrier, de voleur, de menteur, de "bon vivant" tout en se glorifiant que Dieu l'avait délivré ?

Impensable, et pourtant réalité quotidienne dans le monde dit "chrétien" ! Un monde où l'on met le nom du Seigneur à toutes les sauces, un monde où on lui demande pardon du bout des lèvres afin d'être plus libre pour retourner dans le même bourbier.

Oui ! Il y a encore des "brigands" qui vont mourir à cause du péché originel inscrit dans les gènes de chaque individu, mais aussi à cause du péché gravé dans leur coeur. Péché dont ils ne veulent surtout pas se séparer croyant que le pardon n'implique pas l'abandon de leur mauvaise conduite.

Oui ! Il y a encore des "brigands" qui n'ont que faire de la Croix de Jésus, de sa mort et de sa résurrection, des "brigands" religieux qui croient à l'existence de Dieu de la même façon que les démons, sans toutefois trembler à l'écoute de sa Parole, des "brigands" religieux, des pécheurs "christianisés" qui ne veulent pas se soumettre au Seigneur des seigneurs !

Fort heureusement, il y a une autre catégorie de "brigands" qui, emportés par le concert de critiques et d'injures s'associent pour un temps aux offenses et aux outrages verbaux, puis se reprennent et considèrent la situation après avoir sondé leur propre coeur.

Les brigands, crucifiés avec lui (Jésus), l'insultaient de la même manière. Matthieu 27: 44 (v. L. S)

Les brigands suivaient l'exemple des principaux sacrificateurs, des scribes et des anciens. Ils insultaient Jésus - "DE LA MÊME MANIÈRE" - nous dit l'Évangile de Matthieu (27: 41& 44) jusqu'au moment où l'Évangéliste Luc rapporte que l'un d'entre eux a fait volte-face :

Mais l'autre le reprenait, et disait : Ne crains-tu pas Dieu, toi qui subis la même condamnation ?
Pour nous, c'est justice, car nous recevons ce qu'ont mérité nos crimes ; mais
celui-ci n'a rien fait de mal. Luc 23: 40-41 (v. L. S)

"Admirons" l'attitude de ce malfaiteur qui, en présence de Jésus, se rend compte que, parmi les crucifiés qui vont mourir sur le mont Golgotha, l'un d'entre eux est innocent. Non seulement il est innocent, mais il appartient à une autre "classe" que la sienne.

La crainte de l'Éternel est le commencement de la sagesse ; Tous ceux qui l'observent ont une raison saine" Psaume 111: 10 (v. L. S)

Là, pendu à une croix à cause de ses méfaits, de ses crimes, ce brigand prend conscience qu'il est aux portes de l'éternité et la crainte du jugement de Dieu lui donne une raison saine.

Conscient de ses fautes, il regarde néanmoins à Jésus.
Ce Jésus dont il a entendu parler comme tout à chacun. Il réalise que cet homme, hors du commun, est véritablement le Fils de Dieu et il comprend que le pardon se trouve auprès de lui ! Se souvient-il de l'enseignement religieux qu'il a eu dans son enfance ? Peu importe !

Il sait que Jésus est le Sauveur du monde !
Il sait que la mort n'est pas la fin de tout !
Il sait qu'il y a un autre Royaume au delà de la mort, un Royaume où Jésus régnera !

Et il dit à Jésus : Souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne.
Je
(Jésus) te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis Luc 23: 42-43 (v. L. S)

Une croix pour deux brigands !
Une croix pour deux catégories de pécheurs !

L'éternité étant une chose sérieuse qui ne peut se préparer que durant notre séjour terrestre, ne méprisons pas la Croix de Jésus, ne restons pas dans le camp des moqueurs ou dans celui des insouciants !
Ne méprisons pas le sang du Fils de Dieu qui a coulé pour que nos péchés soient effacés.
L'éternité étant une chose sérieuse, si sérieuse que Christ a donné sa vie pour que nous ayons la Vie éternelle.

Le ciel ne sera jamais un royaume de "brigands" pratiquants ayant le nom de Jésus à la bouche ! Il est un royaume ouvert à tous les pécheurs qui se repentent sincèrement de leurs péchés et qui s'en repentent au point d'en avoir horreur.

Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. Romains 8: 1 (v. L. S)

Heureux ceux dont les iniquités sont pardonnées, Et dont les péchés sont couverts !
Romains 4: 7 (v. L. S)

Une croix pour deux brigands !
Une croix à ne pas mépriser ! On ne joue pas avec le salut de son âme quand on a obtenu le pardon de ses péchés et l'assurance de la Vie éternelle. On ne se moque pas de Dieu en vivant d'une façon indigne d'un enfant racheté, d'un fils de Dieu !

... si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l'ardeur d'un feu qui dévorera les rebelles. Hébreux 10: 26-27 (v. L. S)

Puisque le sang de Jésus nous a purifiés de TOUS péchés, puisqu'il nous a rendus saints comme si nous n'avions pas péché, entretenons cette sainteté acquise au prix fort par le Fils de Dieu.
Entretenons-la en nous conduisant d'une manière digne de la vocation qui nous a été adressée (Éphésiens 4: 1).
"SANS LA SANCTIFICATION" nous ne verrons pas le Seigneur (Hébreux 12: 14) ; Dieu nous a appelé à la sanctification (1 Thessaloniciens 4: 7). "Que celui qui est saint se sanctifie encore" (Apocalypse 22. 11).

En revoyant ce calvaire à la croisée de deux chemins, ce Christ donnant sa vie pour mes péchés, en sachant qu'aujourd'hui il est assis à la droite du Père, je prends conscience, une fois de plus, que chaque jour j'ai la possibilité de choisir le chemin de l'obéissance ou de la désobéissance.

Si la croix plantée en terre m'indique le chemin du ciel, chacun de ses bras me montre qu'à droite et à gauche il y a un brigand.
Il y a deux pécheurs qui ne se rencontreront jamais dans l'éternité, chacun ayant fait un choix différent.
Qu'ils eussent été à droite ou à gauche, l'Écriture ne dit pas lequel fut sauvé !
L'important fut que le gracié regarda au centre, à Jésus et le suivit jusqu'au bout malgré les souffrances qu'il subissait en raison de ses propres péchés.
Il resta fidèle même après qu'on lui eût brisé les jambes pour qu'il meure plus vite. Cette souffrance supplémentaire ne l'empêcha pas de garder les yeux fixés sur Jésus, le Fils de Dieu donnant sa vie pour le pardon de ses péchés..., des miens, des tiens.
C'est ainsi qu'il vit le soleil voiler sa face en plein midi et qu'il put entendre un centenier dire (Matthieu 27:54) ;

Assurément, cet homme était Fils de Dieu.

Il l'était et il l'est toujours, car :

Dieu l'a ressuscité, en le délivrant des liens de la mort, parce qu'il n'était pas possible qu'il fût retenu par elle. Actes 2. 24 (v. L. S)

Christ est mort ;
bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous ! Romains 8: 34 (v. L. S)

(Jésus) est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier.
1 Jean 2. 2 (v. L. S)

Loin de ces basses-cours "enchocolatées" destinées à nous détourner de Christ avec des symboles qui n'ont rien à voir avec le salut de notre âme, des symboles qui ne sont même pas utilisés dans les paraboles pour nous éclairer concernant le Royaume à venir...

... Tournons "les regards vers Jésus" (Hébreux 12: 2)...
... Marchons dans le chemin étroit "étant enracinés et fondés en lui" (Colossiens 2. 7)...
.. Rappelons-nous que ce n'est pas par des choses périssables, par de l'argent ou de l'or, que nous avons été rachetés, mais par le sang précieux de Christ, comme d'un agneau sans défaut et sans tache (1 Pierre 1: 18).

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Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu... 1 Pierre 3: 18 (v. L. S)

(Jésus) est mort, et c'est pour le péché qu'il est mort une fois pour toutes ; il est revenu à la vie, et c'est pour Dieu qu'il vit.
Ainsi vous-mêmes,
regardez-vous comme morts au péché, et comme vivants pour Dieu en Jésus-Christ. Romains 6: 10- 11 (v. L. S)

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J-M Ravé 4 avril 2009 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse