Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Quand les hommes ressemblent à des enfants

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La foule suivait Jésus, elle s'arrêtait sur les places où le Maître s'arrêtait. Au milieu d'elle se trouvaient certainement des personnes avec des cheveux blancs ou des cheveux gris tandis que d'autres marchaient péniblement avec un bâton à la main, images de nobles vieillards dont la simple présence devait forcer le respect.

Mélangés à cette foule dans la force de l'âge, il n'y avait pourtant rien qui ne les distinguait les uns des autres quant à leur comportement.
Leurs cheveux blancs auraient dû être une couronne d'honneur (
Proverbes 16: 31), l'ornement des vieillards (Proverbes 20: 29), un signe extérieur démontrant qu'ils étaient remplis de sagesse à cause du grand nombre de leurs jours. Mais voilà, cette sagesse faisait défaut tout comme elle faisait déjà défaut dans certaines vies au temps de Job, ceci au grand étonnement d'Élihu, ami de ce dernier.

Je disais en moi-même : Les jours parleront, Le grand nombre des années enseignera la sagesse.
Mais en réalité, dans l'homme, c'est l'esprit, Le souffle du Tout-Puissant, qui donne l'intelligence ;
(c'est l'inspiration du Tout-puissant qui les rend intelligents. - v. D. M)

Ce n'est pas l'âge qui procure la sagesse, Ce n'est pas la vieillesse qui rend capable de juger. Job 32: 7- 9 (v. L. S)

Ainsi donc, l'intelligence et la sagesse ne s'acquièrent pas systématiquement avec l'expérience de la vie. Nous constatons d'ailleurs qu'il y a toujours plus de personnes âgées tout autour de nous qui se conduisent comme si elles ne devaient jamais rendre compte à Dieu de leur vie ; un signe évident de manque de sagesse dont les conséquences seront éternellement catastrophiques.

Pourtant ce ne sont pas les occasions qui ont manqué pour qu'elles entendent le message de l'Évangile ! Il suffit simplement de compter toutes les grandes fêtes qui rappellent la naissance, la mort ou
la résurrection du Fils de Dieu. Ces jours qui n'ont pas pu passer inaperçus puisqu'ils ont été estampillés d'une marque que personne ne voudrait supprimer : celle de "jour férié" !

Si nous constatons qu'il y a beaucoup d'amertume dans le coeur de ceux qui finissent leurs jours dans des homes de personnes âgées, c'est parce qu'ils n'ont pas connu CELUI qui a promis d'être le même envers ceux et celles qui se confient en lui,
et de l'être jusque dans la blanche vieillesse.

Notre coeur pourrait s'inquiéter en regardant la dégradation de la société et nous pourrions craindre pour nos vieux jours, tout comme le Psalmiste le faisait :

Ne me rejette pas au temps de la vieillesse ; Quand mes forces s'en vont, ne m'abandonne pas ! Psaume 71: 9 (v. L. S)

Mais le Dieu d'amour, celui qui a reçu la liberté de conduire ses rachetés, veut toujours rassurer ceux qui lui ont confié leur vie :

Jusqu'à votre vieillesse je (l'Éternel) serai le même, Jusqu'à votre vieillesse je vous soutiendrai ; Je l'ai fait, et je veux encore vous porter, Vous soutenir et vous sauver. Esaïe 46: 4 (v. L. S)

Avant d'arriver à cette blanche vieillesse, cette retraite souvent attendue, il ne faut pas oublier l'étape précédente, celle où l'homme est en pleine force de l'âge, celle où il va devenir le chef d'une famille, celle où il va instruire ses enfants dans la voie qu'ils doivent suivre. Quelle sera cette voie ?
Il suffit de regarder vivre nos anciens !

Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre ; Et quand il sera vieux, il ne s'en détournera pas. Proverbes 22. 6 (v. L. S)

Belle image que nous présentent les Saintes Écritures où l'on voit une famille qui construit son foyer sur le Rocher de la Parole de Dieu et qui inculque à ses enfants la crainte de l'Éternel.
Image touchante qui, dans bien des cas, est loin de refléter la réalité lorsque l'on regarde certaines personnes âgées.
Leur conduite, leur langage, leurs activités, tout démontre que les fruits de l'enseignement biblique sont inexistants. Que l'enseignement qu'elles ont reçu dans leur jeunesse,
cette voie, qu'elles ont appris à suivre, n'a pas été la bonne, et qu'elles ont continué à marcher dans le chemin de la perdition. Un chemin qu'ont suivi leurs parents !

Par contre, il est plaisant de parler avec de nobles vieillards qui ont marché avec Dieu tout au long de leur vie. Combien il est bon d'être à leur écoute, eux dont
le coeur est plein du Seigneur ! Eux, qui ne peuvent faire autrement que de parler de leur bien-aimé Sauveur ! Leur bouche ne cesse de parler de l'abondance de leur coeur comme le dit l'Écriture (Matthieu 12: 34), et cette abondance est douce, aussi bien aux oreilles du Père Céleste, qu'à celles de ceux qui ont donné leur vie à Christ.

Ainsi, dans la foule qui suivait Jésus, dans cette foule plus ou moins religieuse, cette foule où tous les âges se mélangeaient, le
Fils de Dieu ne pouvait faire de différence entre les comportements des uns et des autres. Jeunes ou vieux, ils agissaient tous de la même façon.

Pour leur faire comprendre cette incohérence, le Seigneur fit une comparaison qui pourrait bien aussi concerner notre génération... qui pourrait CERTAINEMENT encore mieux décrire la nôtre que la leur :

À qui donc comparerai-je les hommes de cette génération, et à qui ressemblent-ils ?
Ils ressemblent aux enfants assis dans la place publique, et qui, se parlant les uns aux autres, disent : Nous vous avons joué de la flûte, et vous n'avez pas dansé ; nous vous avons chanté des complaintes, et vous n'avez pas pleuré. Luc 7. 31-32 (v. L. S)

Il est question d'une génération d'hommes qui ne sont pas à leur place d'hommes !
Une génération d'hommes qui ne raisonnent pas comme des hommes devraient raisonner !
Une génération d'hommes qui se comportent tous comme des enfants et qui, de surcroît, ne sont même pas des enfants qui sont à leur place puisqu'ils sont assis dans la place publique ou sur les marchés (selon les versions).

(En considérant l'époque dans laquelle nous vivons, nous engloberons les femmes dans l'expression "génération d'hommes".
Aujourd'hui leur attitude n'est plus aussi réservée qu'au temps où Jésus marchait en Israël ; leur désir d'égalité fait qu'elles se placent elles-mêmes au même niveau que l'homme.
Attitude juste lorsqu'il est question du salut puisqu'il n'y a point de distinction entre les sexes ou les races pour bénéficier de la grâce et du pardon de Dieu, mais quant au reste... l'homme a été créé pour être un homme et la femme pour être une femme afin que chacun soit à sa place pour accomplir la part qui lui incombe.)

Dans cette génération d'hommes dont le Seigneur Jésus nous parle, il y avait bien entendu la populace peu instruite, mais il y avait aussi des pharisiens et des docteurs de la Loi !
Des hommes religieux qui faisaient partie de l'élite du peuple de Dieu et qui étaient souvent regardés comme des guides spirituels (Nicodème, Gamaliel, Paul par exemple).
Des pharisiens qui avaient refusé de passer par le baptême de repentance que Jean-Baptiste dispensait dans le Jourdain. Un refus qui leur faisait perdre le bénéfice des promesses de Dieu.

... mais les pharisiens et les docteurs de la loi, en ne se faisant pas baptiser par lui, ont rendu nul à leur égard le dessein de Dieu. Luc 7: 30 (v. L. S)

Nous avons parmi nous beaucoup de personnes dites "religieuses", des personnes qui affirment croire qu'il y a un Dieu. Malheureusement leur croyance ne va pas plus loin et, comme les pharisiens et les docteurs de la loi, ils ergotent, ils contestent, ils trouvent à redire sur tous les points principaux qui touchent le domaine de la foi et s'en repartent comme elles étaient venues, c'est-à-dire aussi perdues que si elles n'avaient jamais entendu parler de l'Évangile et du salut en Jésus-Christ.

Génération gâtée, génération d'enfants mal éduqués !
Génération qui n'a pas la foi d'enfants ! Cette foi qui toucha tellement le Seigneur qu'il demande encore à ce que nous ayons ce genre de foi pour nous approcher de lui : "
Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi ; car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent" (Matthieu 19: 14).

Hélas, les enfants d'aujourd'hui n'ont guère le loisir de venir à Christ car, au fur et à mesure que les générations se suivent, la crainte de Dieu est de moins en moins enseignée. De plus en plus la place est donnée à la satisfaction des désirs personnels.
Ainsi il y a de plus en plus de pères de famille qui ont des comportements qui n'ont rien à voir avec celui que devraient avoir des adultes..., des hommes..., des "hommes faits" selon l'expression de
1 Corinthiens 14: 20; des "hommes faits" concernant le jugement !

Comment remédier à cette situation ?


Fortifie-toi, et sois un homme !


Exhortation puissante que l'Ancien Testament nous livre au travers de la bouche d'un roi, serviteur de Dieu (David), qui allait passer la main à son fils (Salomon).

Fortifie-toi, et sois un homme !
-
Observe les commandements de l'Éternel, ton Dieu,
-
En marchant dans ses voies,
-
Et en gardant ses lois, ses ordonnances, ses jugements et ses préceptes...
Afin que tu réussisses dans tout ce que tu feras et partout où tu te tourneras...
1 Rois 2: 2-3 (v. L. S)

Sois un homme qui se différencie du reste de la création ! Sois un homme, une femme qui sache nourrir son âme de bonnes choses et non prendre uniquement soin de son corps !

Certains pourront dire que, pour une telle fonction (celle de roi), il fallait bien une éducation exceptionnelle et un comportement adéquat afin que le nom de l'Éternel ne soit pas sali au milieu du peuple qu'il s'était choisi. Il fallait qu'à la tête du pays il y ait un homme exemplaire qui mette en pratique les commandements du Seigneur pour que ses administrés suivent le même mouvement.
Quand la tête est malade, c'est tout le corps qui souffre, raison pour laquelle il est important que les responsables soient des modèles.

Quand les parents ne se soucient pas de Dieu, quand la tête de la famille n'élève pas sa progéniture dans la crainte du Seigneur, il ne faut pas s'attendre à ce que ces derniers soient enclins à le chercher !

Quand les chrétiens se laissent aller, quand les membres du corps de Christ (l'Église) ont un coeur partagé entre les choses du monde et celle de Dieu, il ne faut pas s'attendre à ce que nos contemporains soient attirés par le message de l'Évangile.
C'est pour cette raison que le Nouveau Testament nous rappelle ce que disait l'Ancien (
1 Corinthiens 16. 13) :


Soyez des hommes, fortifiez-vous.

Comment ?
En veillant et en demeurant ferme dans la foi ! (1 Corinthiens 16. 13)
Veiller sur sa conduite ! Une conduite qui doit être différente de celle des "sans-Dieu" !

À qui Jésus pourrait-il comparer la génération de croyants que nous formons ?
À des enfants assis dans des lieux où il ne s'attend pas à les voir !

Plaise à Dieu que nous soyons à notre place, accomplissant le travail qu'il a préparé d'avance pour que nous entrions ainsi dans SON oeuvre sans être catalogués de serviteurs paresseux ou de serviteurs inutiles.

Plaise à Dieu que nous soyons aussi des adultes responsables qui enseigneront leurs enfants à suivre le chemin étroit. Des adultes qui ne les laisseront pas vagabonder de droite à gauche, qui ne les laisseront pas courir après toutes les idoles qui se proposent de leur faire passer du bon temps au détriment de leur âme, de la vie éternelle !

Dernièrement, je lisais un passage d'une homélie de Jean Chrysostome (né à Antioche aux alentours de 354 de notre ère). Il était surnommé "bouche d'or" en raison de la qualité de ses prédications.
Son langage ne serait pas déplacé aujourd'hui en 2008, car les passions de son époque sont les mêmes que celles d'aujourd'hui et les excuses pour ne pas se nourrir de la Parole de Dieu ou pour ne pas fréquenter régulièrement les réunions sont quasiment semblables :

(HOMÉLIE III. - AU COMMENCEMENT ÉTAIT LE VERBE - Quelle éducation il faut donner à la jeunesse. )

"... quand vous menez vos enfants au théâtre et aux spectacles, vous n'avez point d'études, ni d'autres occupations à prétexter, il n'en est plus question (vous n'avez rien qui vous retienne) ; et
lorsqu'il s'agit de quelque profit spirituel, vous dites que c'est un dérangement !
Comment n'irriteriez-vous pas la colère de Dieu ?

Vous trouvez du temps de reste pour toute autre chose,
mais pour le service de Dieu, vous jugez que le loisir manque à vos enfants !
Ne vous conduisez pas ainsi, mes chers frères, ne vous conduisez pas ainsi. C'est principalement cet âge qui a besoin de nos leçons...

Si donc au commencement, et dès les premières années, on détourne les enfants du vice, et qu'on les mette dans le droit chemin... nous les rendrons plus respectables et plus utiles à l'État que les vieillards eux-mêmes, et nous leur inspirerons, dès la jeunesse, les vertus de la maturité. "

"À qui donc comparerai-je les hommes de cette génération, et à qui ressemblent-ils ?", disait Jésus ?
À qui pourrait-il nous comparer aujourd'hui ?


À
des enfants assis dans la place publique, et qui, se parlant les uns aux autres, disent : Nous vous avons joué de la flûte, et vous n'avez pas dansé ; nous vous avons chanté des complaintes, et vous n'avez pas pleuré. Luc 7. 31-32 (v. L. S)

L'actualité aidant, il nous sera facile de faire un parallèle avec ce que le Seigneur Jésus disait !
Il nous sera facile de comprendre sa pensée
si nous avons su nous démarquer d'une génération d'adultes qui n'ont pas grandi et qui passent une partie de leur vie à aimer le plaisir plus que Dieu... ( 2 Timothée 3. 4).

Ne soyons pas offusqués si l'on nous montre du doigt parce que nous ne voulons pas prêter une attention soutenue aux épreuves sportives telles que l'Euro foot ou les Jeux olympiques :

"Nous avons joué, nous avons marqué des buts, nous avons remporté des médailles et vous n'avez pas dansé, vous n'avez pas applaudi ni bu à notre santé ; nous avons chanté dans les festivals, dans les cabarets, sur les places publiques et vous n'avez pas été touchés par la musique et les paroles de nos chants."

Le monde en effervescence trouve étrange que l'on ne participe pas à ses débordements et, comme le dit l'apôtre Pierre, il nous calomnie en raison de notre appartenance à Christ t
rouvant que nous exagérons de mettre autant de ferveur pour défendre notre foi qu'il en met lui-même pour défendre ses idoles, ses dieux !

Ce matin, au réveil, alors que je pensais à ce message, je songeais à ces ouvriers d'usine, ses manoeuvres, ses employés de bureau, ses travailleurs de la terre ou de la mer, ces hommes et ses femmes qui, rentrant dans leur foyer et peuvent dire : "J'ai bien travaillé".
Ensuite je faisais le rapprochement avec les sportifs professionnels qui, lors de leurs interviews ne cessent de répéter qu'ils ont joué ... joué..., bien joué ou mal joué !

Différence de langage qui qualifie bien deux genres d'activités !
La première servant à gagner le pain quotidien, la seconde à gagner une couronne de laurier (ou un bon chèque), servant aussi à porter la renommée d'une personne, d'une équipe, d'un peuple, jusqu'aux extrémités du monde.

Faut-il vraiment que ce soit le sport qui fasse la renommée d'une nation ?
N'y a-t-il pas d'autres valeurs qui puissent permettre à une nation, à un homme d'être renommé ?
Bien sûr qu'il y a autre chose, et c'est l'apôtre Paul qui nous parle de renommée, mais sans pour autant parler d'exploits sportifs !

Je rends d'abord grâces à mon Dieu par Jésus-Christ, au sujet de vous tous, de ce que votre foi est renommée dans le monde entier. Romains 1: 8 (v. L. S)

Suis-je renommé, ou au moins reconnu pour mon engagement chrétien ?
Est-ce que, dans mon quartier, dans mon immeuble ou sur mon lieu de travail, de vacances, on sait que j'appartiens à Christ ?
Pourquoi suis-je "renommé" ?

Le sport, l'apôtre l'avait soulevé, n'est pas nuisible en soi, mais
son utilité est si faible pour l'enfant de Dieu, qu'il préférera se mettre à l'écart "sur la montagne de Dieu", pour jouir de la paix que le Seigneur dispense largement à ses enfants.

Loin des bruits de la ville, loin des bruits de la foule, loin des stades et de tous les lieux de compétitions, il pourra certainement être plus utile à ses contemporains en servant le vrai Dieu qu'en adorant les "dieux du stade".
Ces dieux du stade qui, par leur emprise et leur pouvoir de séduction, sont capables d'attirer à eux ceux et celles qui sont mal affermis dans la foi.
Leur appel se fait si pressant que bien des brebis quitteront (pour un temps) leur place dans l'Église pour assister à la "grand-messe" du foot ou de quelque autre sport ! Sans parler de ceux qui utiliseront le mensonge pour se faire porter malade et qui se "soigneront" devant le petit écran !

"À qui donc comparerai-je les hommes de cette génération, et
à qui ressemblent-ils ?
Ils ressemblent aux enfants..." constatait celui à qui tout jugement a été remis (Jean 5: 22).

Ils ressemblaient à des enfants..., nous avons peut-être eu des comportements d'enfants quoique nous soyons devenus majeurs par rapport à notre date de naissance...

... Souvenons-nous que les choses anciennes, même dans ce domaine-là (celui du comportement enfantin), appartiennent au passé, et que désormais nous devons avoir une conduite qui honore notre Maître, le Seigneur Jésus !

Soyez des hommes, fortifiez-vous.

Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu homme, j'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant. 1 Corinthiens 13: 11 (v. L. S)

Il est entendu qu'il n'est pas question de tirer à boulet rouge sur les épreuves sportives.
Simplement,
si nous devons aimer Christ plus que tout, plus que notre famille, à plus forte raison le sport ne doit-il pas prendre une place exagérée dans notre coeur ou dans notre vie et ne doit-il pas être célébré plus que ne l'est celui qui a donné sa vie pour nous sauver de la condamnation éternelle.

Si le monde a su défendre la flamme des jeux olympiques sans prendre en considération les obstacles qui lui barraient la route, sachons aussi défendre notre foi, la faire valoir et montrer haut notre drapeau.
Notre pays, c'est le Ciel! Et la croix sanglante de Christ est le symbole qui nous unit les uns aux autres !

Loin de nous la pensée d'abandonner l'Éternel,
et de servir d'autres dieux!
Josué 24: 16 (v. L. S)

Je n'ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié. 1 Corinthiens 2 ; 2 (v. L. S)

***

Si donc quelqu'un se conserve pur, en s'abstenant de ces choses, il sera un vase d'honneur, sanctifié, utile à son maître, propre à toute bonne oeuvre.
Fuis les passions de la jeunesse, et recherche la justice, la foi, la charité, la paix, avec ceux qui invoquent le Seigneur d'un coeur pur.
2 Timothée 2: 21-22 (v. L. S)