La foule suivait
Jésus, elle s'arrêtait sur les places
où le Maître s'arrêtait. Au
milieu d'elle se trouvaient certainement des
personnes avec des cheveux blancs ou des cheveux
gris tandis que d'autres marchaient
péniblement avec un bâton à la
main, images de nobles vieillards dont la simple
présence devait forcer le respect.
Mélangés à cette foule dans la
force de l'âge, il n'y avait pourtant rien
qui ne les distinguait les uns des autres quant
à leur comportement.
Leurs cheveux blancs auraient dû être
une couronne d'honneur (Proverbes 16: 31), l'ornement des vieillards
(Proverbes 20: 29), un
signe extérieur démontrant qu'ils
étaient remplis de sagesse à cause du grand nombre de
leurs jours. Mais voilà, cette sagesse
faisait défaut tout comme elle faisait
déjà défaut dans certaines
vies au temps de Job, ceci au grand
étonnement d'Élihu, ami de ce
dernier.
Je disais
en moi-même : Les jours parleront, Le
grand nombre des années enseignera la
sagesse.
Mais en réalité, dans l'homme, c'est
l'esprit, Le souffle du Tout-Puissant, qui donne
l'intelligence ; (c'est l'inspiration du Tout-puissant
qui les rend intelligents. - v. D. M)
Ce
n'est pas l'âge qui procure la
sagesse, Ce n'est pas la vieillesse qui
rend capable de juger. Job 32: 7- 9 (v. L. S)
Ainsi donc, l'intelligence et la sagesse ne
s'acquièrent pas systématiquement
avec l'expérience de la vie. Nous constatons
d'ailleurs qu'il y a toujours plus de personnes
âgées tout autour de nous qui se
conduisent comme si elles ne devaient jamais rendre
compte à Dieu de leur vie ; un signe
évident de manque de sagesse dont les
conséquences seront éternellement
catastrophiques.
Pourtant ce ne sont pas les occasions qui ont
manqué pour qu'elles entendent le message de
l'Évangile ! Il suffit simplement de
compter toutes les grandes fêtes qui
rappellent la naissance, la mort ou la résurrection du Fils de
Dieu. Ces jours qui
n'ont pas pu passer inaperçus puisqu'ils ont
été estampillés d'une marque
que personne ne voudrait supprimer : celle de
"jour férié" !
Si nous constatons qu'il y a beaucoup d'amertume
dans le coeur de ceux qui finissent leurs jours
dans des homes de personnes âgées,
c'est parce qu'ils n'ont pas connu CELUI qui a
promis d'être le même envers ceux et
celles qui se confient en lui, et de l'être jusque dans la
blanche vieillesse.
Notre coeur pourrait s'inquiéter en
regardant la dégradation de la
société et nous pourrions craindre
pour nos vieux jours, tout comme le Psalmiste le
faisait :
Ne me
rejette pas au temps de la vieillesse ; Quand
mes forces s'en vont, ne m'abandonne pas !
Psaume 71: 9 (v. L. S)
Mais le Dieu d'amour, celui qui a reçu la
liberté de conduire ses rachetés,
veut toujours rassurer ceux qui lui ont
confié leur vie :
Jusqu'à votre vieillesse
je
(l'Éternel) serai le même, Jusqu'à votre
vieillesse je vous soutiendrai ; Je l'ai fait,
et je veux encore vous porter, Vous soutenir et
vous sauver. Esaïe 46: 4 (v. L. S)
Avant d'arriver à cette blanche vieillesse,
cette retraite souvent attendue, il ne faut pas
oublier l'étape précédente,
celle où l'homme est en pleine force de
l'âge, celle où il va devenir le chef
d'une famille, celle où il va instruire ses
enfants dans la voie qu'ils doivent suivre. Quelle
sera cette voie ?
Il suffit de regarder vivre nos anciens !
Instruis l'enfant selon la voie
qu'il doit suivre ; Et quand il sera
vieux, il ne s'en détournera
pas.
Proverbes 22. 6 (v. L. S)
Belle image que nous présentent les Saintes
Écritures où l'on voit une famille
qui construit son foyer sur le Rocher de la Parole
de Dieu et qui inculque à ses enfants la
crainte de l'Éternel.
Image touchante qui, dans bien des cas, est loin de
refléter la réalité lorsque
l'on regarde certaines personnes
âgées.
Leur conduite, leur langage, leurs
activités, tout démontre que les
fruits de l'enseignement biblique sont inexistants.
Que l'enseignement qu'elles ont reçu dans
leur jeunesse, cette
voie, qu'elles ont appris à suivre, n'a pas
été la bonne, et qu'elles ont
continué à marcher dans le chemin de
la perdition. Un
chemin qu'ont suivi leurs parents !
Par contre, il est plaisant de parler avec de
nobles vieillards qui ont marché avec Dieu
tout au long de leur vie. Combien il est bon
d'être à leur écoute, eux dont
le coeur est plein du
Seigneur ! Eux,
qui ne peuvent faire autrement que de parler de
leur bien-aimé Sauveur ! Leur bouche ne
cesse de parler de l'abondance de leur coeur comme
le dit l'Écriture (Matthieu 12: 34), et cette abondance est douce, aussi
bien aux oreilles du Père Céleste,
qu'à celles de ceux qui ont donné
leur vie à Christ.
Ainsi, dans la foule qui suivait Jésus, dans
cette foule plus ou moins religieuse, cette foule
où tous les âges se
mélangeaient, le Fils de Dieu ne pouvait faire de
différence entre les comportements des uns
et des autres. Jeunes
ou vieux, ils agissaient tous de la même
façon.
Pour leur faire comprendre cette
incohérence, le Seigneur fit une comparaison
qui pourrait bien aussi concerner notre
génération... qui pourrait
CERTAINEMENT encore mieux décrire la
nôtre que la leur :
À
qui donc comparerai-je les hommes de cette
génération, et à qui
ressemblent-ils ?
Ils
ressemblent aux enfants assis dans la place
publique, et qui, se parlant les uns aux autres,
disent : Nous vous avons joué de la
flûte, et vous n'avez pas dansé ;
nous vous avons chanté des complaintes, et
vous n'avez pas pleuré. Luc 7. 31-32 (v. L. S)
Il est question d'une génération
d'hommes qui ne sont pas à leur place
d'hommes !
Une génération d'hommes qui ne
raisonnent pas comme des hommes devraient
raisonner !
Une génération d'hommes qui se
comportent tous comme des enfants et qui, de
surcroît, ne sont même pas des enfants
qui sont à leur place puisqu'ils sont assis
dans la place publique ou sur les marchés
(selon les versions).
(En considérant l'époque dans
laquelle nous vivons, nous engloberons les femmes
dans l'expression "génération
d'hommes".
Aujourd'hui leur attitude n'est plus aussi
réservée qu'au temps où
Jésus marchait en Israël ; leur
désir d'égalité fait qu'elles
se placent elles-mêmes au même niveau
que l'homme.
Attitude juste
lorsqu'il est question du salut puisqu'il n'y a point de distinction
entre les sexes ou les races pour
bénéficier de la grâce et du
pardon de Dieu, mais quant au reste... l'homme a
été créé pour
être un homme et la femme pour être une
femme afin que chacun soit à sa place pour
accomplir la part qui lui incombe.)
Dans cette génération d'hommes dont
le Seigneur Jésus nous parle, il y avait
bien entendu la populace peu instruite, mais il y
avait aussi des pharisiens et des docteurs de la
Loi !
Des hommes religieux qui faisaient partie de
l'élite du peuple de Dieu et qui
étaient souvent regardés comme des
guides spirituels (Nicodème, Gamaliel, Paul
par exemple).
Des pharisiens qui avaient refusé de passer
par le baptême de repentance que
Jean-Baptiste dispensait dans le Jourdain. Un refus
qui leur faisait perdre le bénéfice
des promesses de Dieu.
... mais
les pharisiens et les docteurs de la loi, en ne se
faisant pas baptiser par lui, ont rendu nul à
leur égard le dessein de
Dieu.
Luc 7: 30 (v. L. S)
Nous avons parmi nous beaucoup de personnes dites
"religieuses", des personnes qui affirment croire
qu'il y a un Dieu. Malheureusement leur croyance ne
va pas plus loin et, comme les pharisiens et les
docteurs de la loi, ils ergotent, ils contestent,
ils trouvent à redire sur tous les points
principaux qui touchent le domaine de la foi et
s'en repartent comme elles étaient venues,
c'est-à-dire aussi perdues que si elles
n'avaient jamais entendu parler de
l'Évangile et du salut en
Jésus-Christ.
Génération gâtée,
génération d'enfants mal
éduqués !
Génération qui n'a pas la foi
d'enfants ! Cette foi qui toucha tellement le
Seigneur qu'il demande encore à ce que nous
ayons ce genre de foi pour nous approcher de
lui : "Laissez les petits enfants, et
ne les
empêchez pas de venir à
moi ; car le royaume des cieux est pour
ceux qui leur ressemblent" (Matthieu 19: 14).
Hélas, les enfants d'aujourd'hui n'ont
guère le loisir de venir à Christ
car, au fur et à mesure que les
générations se suivent, la crainte de
Dieu est de moins en moins enseignée. De
plus en plus la place est donnée à la
satisfaction des désirs personnels.
Ainsi il y a de plus en plus de pères de
famille qui ont des comportements qui n'ont rien
à voir avec celui que devraient avoir des
adultes..., des hommes..., des "hommes faits" selon
l'expression de 1 Corinthiens 14: 20; des "hommes faits" concernant le
jugement !
Comment remédier à cette
situation ?
Exhortation puissante que
l'Ancien Testament nous livre au travers de la
bouche d'un roi, serviteur de Dieu (David), qui
allait passer la main à son fils
(Salomon).
Fortifie-toi, et sois un
homme !
- Observe les commandements de
l'Éternel, ton Dieu,
- En
marchant dans ses voies,
- Et
en gardant ses lois, ses ordonnances, ses
jugements et ses préceptes...
Afin que tu réussisses dans tout ce que tu
feras et partout où tu te tourneras...
1 Rois 2: 2-3 (v. L. S)
Sois un homme qui se différencie du reste de
la création ! Sois un homme, une femme
qui sache nourrir son âme de bonnes choses et
non prendre uniquement soin de son corps !
Certains pourront dire que, pour une telle fonction
(celle de roi), il fallait bien une
éducation exceptionnelle et un comportement
adéquat afin que le nom de l'Éternel
ne soit pas sali au milieu du peuple qu'il
s'était choisi. Il fallait qu'à la
tête du pays il y ait un homme exemplaire qui
mette en pratique les commandements du Seigneur
pour que ses administrés suivent le
même mouvement.
Quand la tête est malade, c'est tout le corps
qui souffre, raison pour laquelle il est important
que les responsables soient des modèles.
Quand les parents ne
se soucient pas de Dieu, quand la tête de la famille
n'élève pas sa progéniture
dans la crainte du Seigneur, il ne faut pas
s'attendre à ce que ces derniers soient
enclins à le chercher !
Quand les
chrétiens se laissent aller, quand les membres du corps de Christ
(l'Église) ont un coeur partagé entre
les choses du monde et celle de Dieu, il ne faut
pas s'attendre à ce que nos contemporains
soient attirés par le message de
l'Évangile.
C'est pour cette raison que le Nouveau Testament
nous rappelle ce que disait l'Ancien (1 Corinthiens 16. 13) :
Comment ?
En veillant et en
demeurant ferme dans la foi ! (1 Corinthiens 16. 13)
Veiller sur sa conduite ! Une conduite qui
doit être différente de celle des
"sans-Dieu" !
À qui Jésus pourrait-il comparer la
génération de croyants que nous
formons ?
À des enfants assis dans des lieux où
il ne s'attend pas à les voir !
Plaise à Dieu que nous soyons à notre
place, accomplissant le travail qu'il a
préparé d'avance pour que nous
entrions ainsi dans SON oeuvre sans être
catalogués de serviteurs paresseux ou de
serviteurs inutiles.
Plaise à Dieu que nous soyons aussi des
adultes responsables qui enseigneront leurs enfants
à suivre le chemin étroit. Des
adultes qui ne les laisseront pas vagabonder de
droite à gauche, qui ne les laisseront pas
courir après toutes les idoles qui se
proposent de leur faire passer du bon temps au
détriment de leur âme, de la vie
éternelle !
Dernièrement, je lisais un passage d'une
homélie de Jean Chrysostome (né
à Antioche aux alentours de 354 de
notre ère). Il était surnommé
"bouche d'or" en raison de la qualité de ses
prédications.
Son langage ne serait pas déplacé
aujourd'hui en 2008, car les passions de son
époque sont les mêmes que celles
d'aujourd'hui et les excuses pour ne pas se nourrir
de la Parole de Dieu ou pour ne pas
fréquenter régulièrement les
réunions sont quasiment
semblables :
(HOMÉLIE III. - AU COMMENCEMENT ÉTAIT LE VERBE - Quelle éducation il faut donner à la jeunesse. )
"... quand vous menez vos enfants au théâtre et aux spectacles, vous n'avez point d'études, ni d'autres occupations à prétexter, il n'en est plus question (vous n'avez rien qui vous retienne) ; et lorsqu'il s'agit de quelque profit spirituel, vous dites que c'est un dérangement ! Comment n'irriteriez-vous pas la colère de Dieu ?
Vous trouvez du temps de reste pour toute autre chose, mais pour le service de Dieu, vous jugez que le loisir manque à vos enfants !
Ne vous conduisez pas ainsi, mes chers frères, ne vous conduisez pas ainsi. C'est principalement cet âge qui a besoin de nos leçons...
Si donc au commencement, et dès les premières années, on détourne les enfants du vice, et qu'on les mette dans le droit chemin... nous les rendrons plus respectables et plus utiles à l'État que les vieillards eux-mêmes, et nous leur inspirerons, dès la jeunesse, les vertus de la maturité. "
"À qui donc
comparerai-je les hommes de cette
génération, et à qui
ressemblent-ils ?", disait Jésus ?
À qui pourrait-il nous comparer
aujourd'hui ?
À des enfants assis dans la place
publique, et qui, se parlant les uns aux autres,
disent : Nous vous avons joué de la
flûte, et vous n'avez pas dansé ;
nous vous avons chanté des complaintes, et
vous n'avez pas pleuré. Luc 7. 31-32 (v. L. S)
L'actualité aidant, il nous sera facile de
faire un parallèle avec ce que le Seigneur
Jésus disait !
Il nous sera facile de comprendre sa pensée
si
nous avons su nous démarquer d'une
génération d'adultes qui n'ont pas
grandi et qui passent une partie de leur vie
à aimer le plaisir plus que
Dieu... ( 2 Timothée 3. 4).
Ne soyons pas offusqués si l'on nous montre
du doigt parce que nous ne voulons pas prêter
une attention soutenue aux épreuves
sportives telles que l'Euro foot ou les Jeux
olympiques :
"Nous avons
joué, nous avons marqué des buts,
nous avons remporté des médailles et
vous n'avez pas dansé, vous n'avez pas
applaudi ni bu à notre santé ;
nous avons chanté dans les festivals, dans
les cabarets, sur les places publiques et vous
n'avez pas été touchés par la
musique et les paroles de nos chants."
Le monde en effervescence trouve étrange que
l'on ne participe pas à ses
débordements et, comme le dit l'apôtre
Pierre, il nous calomnie en raison de notre
appartenance à Christ trouvant que nous exagérons de
mettre autant de ferveur pour défendre notre
foi qu'il en met lui-même pour
défendre ses idoles, ses
dieux !
Ce matin, au réveil, alors que je pensais
à ce message, je songeais à ces
ouvriers d'usine, ses manoeuvres, ses
employés de bureau, ses travailleurs de la
terre ou de la mer, ces hommes et ses femmes qui,
rentrant dans leur foyer et peuvent dire :
"J'ai bien travaillé".
Ensuite je faisais le rapprochement avec les
sportifs professionnels qui, lors de leurs
interviews ne cessent de répéter
qu'ils ont joué ... joué..., bien
joué ou mal joué !
Différence de langage qui qualifie bien deux
genres d'activités !
La première servant à gagner le pain
quotidien, la seconde à gagner une couronne
de laurier (ou un bon chèque), servant aussi
à porter la renommée d'une personne,
d'une équipe, d'un peuple, jusqu'aux
extrémités du monde.
Faut-il vraiment que ce soit le sport qui fasse la
renommée d'une nation ?
N'y a-t-il pas d'autres valeurs qui puissent
permettre à une nation, à un homme
d'être renommé ?
Bien sûr qu'il y a autre chose, et c'est
l'apôtre Paul qui nous parle de
renommée, mais sans pour autant parler
d'exploits sportifs !
Je rends
d'abord grâces à mon Dieu par
Jésus-Christ, au sujet de vous tous, de
ce que
votre foi est renommée dans le monde
entier. Romains 1: 8 (v. L. S)
Suis-je renommé, ou au moins reconnu pour
mon engagement chrétien ?
Est-ce que, dans mon quartier, dans mon immeuble ou
sur mon lieu de travail, de vacances, on sait que
j'appartiens à Christ ?
Pourquoi suis-je "renommé" ?
Le sport, l'apôtre l'avait soulevé,
n'est pas nuisible en soi, mais son utilité est si faible pour
l'enfant de Dieu,
qu'il préférera se mettre à
l'écart "sur la montagne de Dieu", pour
jouir de la paix que le Seigneur dispense largement
à ses enfants.
Loin des bruits de la ville, loin des bruits de la
foule, loin des stades et de tous les lieux de
compétitions, il pourra certainement
être plus utile à ses contemporains en
servant le vrai Dieu qu'en adorant les "dieux du
stade".
Ces dieux du stade qui, par leur emprise et leur
pouvoir de séduction, sont capables
d'attirer à eux ceux et celles qui sont mal
affermis dans la foi.
Leur appel se fait si pressant que bien des brebis
quitteront (pour un temps) leur place dans
l'Église pour assister à la
"grand-messe" du foot ou de quelque autre
sport ! Sans parler de ceux qui utiliseront le
mensonge pour se faire porter malade et qui se
"soigneront" devant le petit
écran !
"À qui donc comparerai-je les hommes de
cette génération, et à qui
ressemblent-ils ?
Ils ressemblent aux
enfants..."
constatait celui
à qui tout jugement a été
remis (Jean 5: 22).
Ils ressemblaient
à des enfants..., nous avons peut-être
eu des comportements d'enfants quoique nous soyons
devenus majeurs par rapport à notre
date de naissance...
... Souvenons-nous que les choses anciennes,
même dans ce domaine-là (celui du
comportement enfantin), appartiennent au
passé, et que désormais nous devons
avoir une conduite qui honore notre Maître,
le Seigneur Jésus !
Lorsque
j'étais enfant, je parlais comme un enfant,
je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un
enfant ; lorsque je suis devenu homme, j'ai
fait disparaître ce qui était de
l'enfant. 1 Corinthiens 13: 11 (v. L. S)
Il est entendu qu'il
n'est pas question de tirer à boulet rouge
sur les épreuves sportives.
Simplement, si nous
devons aimer Christ plus que tout, plus que notre
famille, à
plus forte raison
le sport ne doit-il
pas prendre une place exagérée dans
notre coeur ou dans notre vie et ne doit-il pas
être célébré plus que ne
l'est celui qui a donné sa vie pour nous
sauver de la condamnation éternelle.
Si le monde a su défendre la flamme des jeux
olympiques sans prendre en considération les
obstacles qui lui barraient la route, sachons aussi
défendre notre foi, la faire valoir et
montrer haut notre drapeau.
Notre pays, c'est le Ciel! Et la croix sanglante de
Christ est le symbole qui nous unit les uns aux
autres !
Je n'ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié. 1 Corinthiens 2 ; 2 (v. L. S)
Si donc
quelqu'un se conserve pur, en s'abstenant de ces
choses, il sera un vase d'honneur,
sanctifié, utile à son maître,
propre à toute bonne oeuvre.
Fuis les passions de la jeunesse, et recherche la
justice, la foi, la charité, la paix, avec
ceux qui invoquent le Seigneur d'un coeur pur.
2 Timothée 2:
21-22
(v. L. S)