Un coup d'oeil sur certains regards

5) Regarde si je suis sur une mauvaise voie.Est-ce bien mon désir?

Si tous les chemins mènent à Rome la ville éternelle (selon la pensée populaire), la plupart conduisent aussi à la perdition éternelle quoi qu'en disent ceux qui prônent l'oecuménisme, un assemblage de tout ce qui paraît bon dans chacune des religions.

Telle voie paraît droite à un homme, Mais son issue, c'est la voie de la mort. Proverbes 14: 12 ; 16: 25 (v. L. S)

En réalité, il n'y a qu'un chemin, rien qu'un seul chemin qui conduise à la Vie éternelle !
Un seul chemin qui nous permettra d'entrer un jour dans la VRAIE VILLE ÉTERNELLE, celle que Dieu a préparée et que la Bible nomme la "Jérusalem céleste".

Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Jean 14: 6 (v. L. S)

Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. Jean 17: 3 (v. L. S)

Entre ces deux villes qualifiées "d'éternelles", Rome et la Jérusalem céleste, entre tous ces chemins qui s'ouvrent devant nous, il est nécessaire que nous fassions le point afin de savoir sur quel chemin nous nous trouvons aujourd'hui et quelle sera la finalité de notre parcours.
Afin de ne pas être trompés par nos propres illusions ou par des trompe-l'oeil, nous devons savoir qui conduit réellement nos pas, quel est celui qui nous trace le chemin.

Si de nombreux "GPS" sont en mesure de nous indiquer la route à suivre pour nous rendre d'un lieu à un autre, il n'existe aucun appareil qui puisse nous conduire jusqu'aux portes du Royaume de Dieu.
Seule une personne, seul Jésus est à même de nous mener dans la présence de Dieu: "nul ne vient au Père que par moi". Toutefois, malgré cet excellent guide, nous pourrions nous égarer, non pas en le suivant, mais en perdant de vue celui qui marche devant nous, en écoutant d'autres voix que la sienne.

Sachant aussi que Satan se déguise en ange de lumière (2 Corinthiens 11: 14), il suffirait d'un moment d'inattention, d'un instant où nous regardions en arrière, aux choses du monde que nous avons abandonnées par exemple, pour que cet ange de lumière nous détourne du chemin dans lequel nous nous étions engagés le jour où nous avons accepté Jésus comme Sauveur et Seigneur de notre vie.

Il n'y a pas plus trompeur que Satan pour nous faire croire que tout va bien !
Il n'y a pas de danger plus grave que celui de se persuader d'être sur le bon chemin alors qu'en réalité tout prouve que Jésus n'a plus le contrôle de notre vie.
De même, il est très dommageable pour nous de nous croire abandonnés de Dieu, simplement parce que les sombres nuages de l'épreuve assombrissent notre vision et que nous ne voyons plus sa main, que nous ne discernons plus sa voix (sa voie) dans la tempête.
Dieu abandonnerait-il ses enfants ?

Que ce soit pour conquérir ce que le Seigneur a promis de donner (à Josué par exemple), ou que ce soit pour la vie matérielle, le Dieu de l'Ancien et du Nouveau Testament a gardé le même langage :

... je ne te délaisserai point, je ne t'abandonnerai point. Josué 1: 5 ; Hébreux 13: 5 (v. L. S)

(Paroles à se souvenir en toute occasion ! Particulièrement lorsque des Goliaths, des... "super-Goliaths" agissent en se moquant du droit et de la justice. Paroles à ne pas oublier lorsque la farine et l'huile sont au plus bas dans le pot - cf. 1 Rois 17: 14)

Ceci dit, la pensée de l'éternité étant dans le coeur de chaque homme (Ecclésiaste 3: 11), il était normal que Dieu s'implique envers eux pour leur montrer le chemin à suivre. Il l'a fait plus précisément en faveur de ceux et celles qui prêtent attention à cette éternité et recherchent celui qui a mis une telle pensée dans leur coeur.
(La pensée de l'éternité étant dans ton coeur, qu'en as-tu fais ?)

Si la recherche est faite sincèrement, elle en conduira plusieurs à rencontrer Dieu selon une promesse que l'on trouve aussi bien dans l'Ancien que dans le Nouveau Testament !

Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre coeur. Jérémie 29: 13 (v. L. S)

Et moi (Jésus), je vous dis : Demandez, et l'on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l'on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvre à celui qui frappe. Luc 11: 9-10 (v. L. S)

Cette rencontre INÉVITABLE - pour les chercheurs - ne va pas rester sans conséquences puisque le Seigneur va s'investir pour les conduire, les mener, durant toute leur vie terrestre, afin qu'ils arrivent à bon port selon SA promesse.

Mais la part du Seigneur ne saurait remplacer la nôtre (la mienne, la tienne), celle d'être obéissants à SA parole en nous détournant volontairement des convoitises que nous avions autrefois : "Comme des enfants obéissants, ne vous conformez pas aux convoitises que vous aviez autrefois, quand vous étiez dans l'ignorance" (1 Pierre 1: 14).

C'est donc en étant fidèles à notre engagement que Dieu sera fidèle pour nous secourir dans nos difficultés.
(Suis-je fidèle, non pas à mes yeux, mais aux yeux du Seigneur ?)

C'est donc en ayant nos coeurs et nos pensées tournés vers lui que nous serons instruits.
Nous le serons au risque qu'il nous corrige sévèrement chaque fois que nous rechignerons à mettre en pratique ce qu'il nous demande.
Étant devenus SES enfants, il agira comme un Père qui se doit d'élever les siens de la bonne façon afin qu'il n'ait point honte d'eux.

Si nous n'avons pas part à la correction, c'est que nous sommes des enfants illégitimes, que nous ne sommes pas de véritables enfants de Dieu considérés comme des fils ou des filles.
(Suis-je véritablement un enfant de Dieu ?)

... si vous êtes exempts du châtiment auquel tous ont part, vous êtes donc des enfants illégitimes, et non des fils. Hébreux 12: 8 (v. L. S)

L'objectif du Seigneur est TOUJOURS de nous montrer la voie à suivre.
Accepterons-nous qu'il nous reprenne, qu'il mette sous nos yeux ce qui doit changer dans notre vie ou trouverons-nous mille et une excuses pour ne pas nous soumettre à sa volonté ?

"Je bénis l'Éternel, mon conseiller ; La nuit même mon coeur m'exhorte" Psaume 16: 7 (v. L. S)

Puissions-nous être comme le roi David et accepter de tout notre coeur que Dieu nous conseille ! Sachons soupirer après le Seigneur pour recevoir les réponses dont nous avons besoin, car lui-même a dit :

Je t'instruirai et te montrerai la voie que tu dois suivre ; Je te conseillerai, j'aurai le regard sur toi. Psaume 32: 8 (v. L. S)

L'instruction en elle-même est une bonne chose. Elle sera d'autant plus excellente si c'est le Seigneur qui la donne.
Sa Parole est là pour nous instruire au travers des Saintes Écritures.
Mais l'instruction ne saurait porter de fruit si l'élève ne veut pas mettre en pratique ce qu'il a appris ou s'il a oublié quelques principes de base comme par exemple la persévérance dans l'obéissance, la foi, etc.

Par ses réflexions, le roi David nous montre l'exemple d'un coeur qui cherche continuellement la volonté de Dieu. Il a réalisé que la vie éternelle était un enjeu qu'il ne fallait pas négliger !
Sachant qu'il était un pécheur pardonné, qu'il vivait parce que la grâce de Dieu s'était manifestée à son égard, il tenait à ne pas perdre le bénéfice de cette grâce et de ce pardon divin ! Psaume 139: 24 (v. L. S)

Parce que nous vivons des temps difficiles où la foi véritable est malmenée, il nous appartient, à nous aussi, de retenir les deux pensées principales de ce verset : l'une demandant à Dieu de nous examiner, l'autre de nous conduire.

Ai-je vraiment envie que Dieu regarde avec attention si je suis à la place qu'il désire, si je me comporte selon sa volonté ?
Ne répondons pas trop vite car, en lui donnant le feu vert, nous l'autoriserons à prendre le sécateur pour :

- Couper tout ce qui ne le glorifie pas dans notre vie,
- Couper tout ce qui nous freine ou nous embarrasse dans notre marche,
- Couper tout ce qui pourrait être une pierre d'achoppement pour ceux qui nous entourent et qui les empêchent de donner leur vie à Christ à cause de notre comportement.

Nous méritons tous d'être repris, corrigés, émondés.
Vouloir rester comme nous sommes aujourd'hui signifierait que nous n'avons plus envie de combattre notre vieille nature, c'est-à-dire que nous ne voulons plus marcher dans la sanctification à moins que...

... À moins que nous nous imaginions être déjà parvenus à la perfection de Christ et n'avoir plus d'effort à faire pour tenir en bride notre vieille nature !
Dans ce cas, nous aurions dépassé l'apôtre Paul qui disait : "Ce n'est pas que j'aie déjà remporté le prix, ou que j'aie déjà atteint la perfection ; mais je cours, pour tâcher de le saisir, puisque moi aussi j'ai été saisi par Jésus-Christ" (Philippiens 3: 12)

Courons donc, car Dieu VEUT notre sanctification : " Ce que Dieu veut, c'est votre sanctification... (1 Thessaloniciens 4: 3) ; une sanctification "sans laquelle personne ne verra le Seigneur" (Hébreux 12. 14).

La sanctification est un travail progressif, un travail continuel qui ne prendra fin qu'avec notre vie terrestre. Nous sommes donc appelés à être vigilants et à "travailler à notre salut avec crainte et tremblement" (Philippiens 2: 12).

Relisons les lettres adressées aux Églises décrites dans l'Apocalypse et nous nous rendrons vite compte qu'il y a de nombreux dérapages qui, s'ils ne sont pas corrigés, auront de graves conséquences :
" Ce que j'ai contre toi... ; j'ai quelque chose contre toi... " reproches justifiés suivis d'une exhortation à ne pas prendre à la légère : "À CELUI QUI VAINCRA..."

"À celui qui vaincra" et non "à celui qui s'est simplement donné à Christ" et qui par la suite continue à suivre son petit bonhomme de chemin sans chercher à marcher en vainqueur, sans même chercher à avancer !
Rejetons loin de nous la pensée de croire qu'une fois sauvés, il n'y plus qu'à se laisser vivre : " A celui qui vaincra...! nous dit le Fils de Dieu glorifié !

En relisant ces lettres de l'Apocalypse, nous nous rendons compte qu'il est préférable de prendre les devants afin de ne pas être confrontés aux reproches du Seigneur.
Comme David, n'ayons pas crainte de demander au Seigneur qu'il nous examine maintenant, qu'il nous sonde aujourd'hui afin que nous n'ayons pas honte lorsqu'il mettra en évidence et aux yeux de tous, nos manquements, nos désobéissances, nos péchés non confessés, nos péchés non abandonnés !

Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur ! Éprouve-moi, et connais mes pensées ! Psaume 139: 23 (v. L. S)

Fais passer au creuset mes reins et mon coeur Psaume 26: 2 (v. L. S)

Quoique Dieu nous connaisse parfaitement - le Psaume 139, à lui seul, nous montre que rien n'est caché aux yeux de l'Éternel - il n'en demeure pas moins que le fait de demander à être sondés est une démarche particulière qui démontrera que nous avons à coeur de plaire à celui qui nous a sauvés de la perdition éternelle et que nous sommes disposés à faire ce qui lui est agréable.

Si nous lui appartenons, si nous avons accepté Jésus comme Sauveur et Seigneur de notre vie, nous devons savoir que nous sommes aimés de lui et que cet amour devrait être réciproque.
Si nous l'aimons, cherchons à être comme il veut que nous soyons : "Si vous m'aimez, gardez mes commandements" (Jean 14: 15) ; "Celui qui ne m'aime pas ne garde point mes paroles" (Jean 14: 24).
(Qu'ai-je fait des derniers enseignements reçus, de cette parole qui a touché mon coeur dernièrement ? Quel est la température de mon amour pour lui au thermomètre de l'obéissance?)

Nous avons déjà vu que son amour passe quelquefois par la correction, un mal pour notre vieille nature qui n'accepte pas d'être reprise, mais un bienfait pour notre être intérieur qui désire marcher de progrès en progrès.

Moi (Jésus), je reprends et je châtie tous ceux que j'aime... Apocalypse 3: 19 (v. L. S)

Cette "correction", consécutive à ce que Dieu voit dans notre vie, n'est pas toujours comprise comme il le faut !
Cette correction de... trajectoire, pourrait être mal vécue et nous pousser à prier Dieu d'une mauvaise façon en croyant que nous sommes les victimes de Satan.

Ainsi, il peut donc y avoir des périodes particulières dans nos vies où les difficultés rencontrées ne viendront pas de l'adversaire de nos âmes, mais proviendront du Seigneur en raison d'un comportement qui doit être modifié.

Si le prince des ténèbres est responsable de bien de nos maux, ne voyons pas, au travers de toutes nos difficultés, l'oeuvre continuelle du Diable ! Il en fait déjà trop !
L'apôtre Paul, dans l'épître aux Hébreux, souligne le fait que nous oublions parfois que notre Père céleste prend la liberté de nous châtier pour notre bien ! Il précise que nous avons oublié ce principe !

Vous avez oublié l'exhortation qui vous est adressée comme à des fils :

Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, Et ne perds pas courage lorsqu'il te reprend ; Car le Seigneur châtie celui qu'il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu'il reconnaît pour ses fils.
Supportez le châtiment : c'est comme des fils que Dieu vous traite ; car quel est le fils qu'un père ne châtie pas ?
Mais si vous êtes exempts du châtiment auquel tous ont part, vous êtes donc des enfants illégitimes, et non des fils. Hébreux 12. 5-8 (v. L. S)

En tant qu'adultes, il est rare que nous corrigions les enfants des autres, mais en tant que parents, il est normal que nous disciplinions nos enfants.
Les parents qui aiment leurs enfants ne se plient pas à leurs quatre volontés, mais les éduquent de façon à ce que plus tard, ils deviennent des adultes qui soient utiles à la société et au Royaume de Dieu.

N'en voulons pas à Dieu si, comme un Père excellent, il nous suit de près, s'il a l'oeil sur nous. Il nous aime trop pour nous laisser vagabonder sur des chemins qu'il sait être dangereux. Dieu est conscient des risques encourus lorsque l'éducation fait défaut, raison pour laquelle il veut nous instruire et corriger nos erreurs, du moins tant que nous voudrons être à son école !

Juste une parenthèse au passage pour dire que le roi David avait failli dans ce domaine-là, au moins à l'égard d'un de ses fils, Adonija, enfant gâté, enfant pourri qui voulut être roi à la place de Salomon : "Son père ne lui avait de sa vie fait un reproche, en lui disant : Pourquoi agis-tu ainsi ?" (1 Rois 1: 6).
Connaissons-nous sa fin ?
"Salomon dit : S'il se montre un honnête homme, il ne tombera pas à terre un de ses cheveux ; mais s'il se trouve en lui de la méchanceté, il mourra" (1 Rois 1: 52). La suite nous montre qu'il fut mis à mort à cause de son péché de lèse-majesté (1 Rois 2: 13-25).

Donc Dieu nous aime. Il nous aime lorsqu'il nous discipline, il nous aime même lorsque nous péchons par accident... En réalité il aime tous les hommes, mais la conduite de certains l'empêche de manifester concrètement son amour à leur égard.

Dieu m'aime, et parce qu'il m'aime, j'ai envie de lui montrer ma reconnaissance pour tout ce qu'il a fait pour moi.
Conscient que, sans sa grâce et son pardon, je serais perdu, je tiens absolument à être enseigné de lui !
Je tiens à ce qu'il me sonde, qu'il mette en lumière ce qui, dans certaines occasions, pourrait m'empêcher d'être utilisable pour l'avancement de son Royaume !

Y a-t-il quelque chose en moi qui empêche quelqu'un de venir à Christ ?
Il est possible que la réponse soit positive, raison pour laquelle je suis infiniment reconnaissant pour tous les changements qu'il a déjà apportés dans ma vie et qu'il continuera à faire parce que je le désire ardemment.

David voulait ABSOLUMENT passer au "scanner" de Dieu parce qu'il était conscient que, même bien intentionné, il pouvait s'écarter insensiblement du chemin étroit !
Puissions-nous avoir la même pensée et reconnaître que si le Seigneur emploie un frère ou une soeur en Christ pour nous reprendre affectueusement, il le fait pour notre bien :

Que le juste me frappe, c'est une faveur ; Qu'il me reprenne, c'est de l'huile sur ma tête ; ma tête ne s'y refusera pas... Psaume 141: 5 (v. Bible annotée)

Frères, si un homme vient à être surpris en quelque faute, vous qui êtes spirituels, redressez-le avec un esprit de douceur. Galates 6: 1

À l'opposé de cette pensée, le Seigneur avertit l'homme que, s'il ne veut pas se laisser avertir, il en portera les conséquences :
Un homme qui mérite d'être repris, et qui raidit le cou, Sera brisé subitement et sans remède. Proverbes 29: 1 (v. L. S)

"Sonde-moi, ô Dieu ! Que ma volonté se plie à la tienne !
Ne me laisse pas m'éloigner un tant soit peu de ton chemin ! Tu connais mon coeur, tu sais que j'ai tout misé sur toi (du moins je le pense).

Alors... regarde si je suis sur une mauvaise voie... !
Avertis-moi AVANT que je ne fasse un faux pas, et deviens mon conseiller pour chaque domaine de ma vie.
Je ne veux surtout pas dire "je n'ai besoin de rien" comme ceux de l'Église de Laodicée. Je connais trop ma faiblesse pour ne pas réclamer ton secours !
Tu connais ce qui pèse sur mon coeur... sur nos coeurs, tu sais que nous ne voulons pas vivre dans l'insouciance comme le monde qui nous entoure...
... "Je réfléchis à mes voies, Et je dirige mes pieds vers tes préceptes." Psaume 119: 59 .

Dans nos luttes, dans nos doutes, donne-nous l'intelligence de réaliser que le ciel et la Terre ne sont pas encore passés et qu'en conséquence TA PAROLE s'accomplira : J'attends ton conseil selon qu'il est écrit :
"Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de coeur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes" (Matthieu 11: 29 ; "Je t'instruirai et te montrerai la voie que tu dois suivre ; Je te conseillerai, j'aurai le regard sur toi" (Psaume 32: 8)

... tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé » Matthieu. 5 : 18

Heureux ceux qui placent en toi leur appui ! Ils trouvent dans leur coeur des chemins tout tracés.
Lorsqu'ils traversent la vallée de Baca (la vallée des larmes), Ils la transforment en un lieu plein de sources, Et la pluie la couvre aussi de bénédictions.
Leur force augmente pendant la marche, Et ils se présentent devant Dieu à Sion. Psaume 84: 5-7 (v. L. S)

© J-M Ravé 17 mai 2008 -
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