Voilà ! Ça
y est ! J'ai donné ma démission,
j'ai déchiré ma carte de membre du
club des "murmurateurs" !
Je dois dire que la tentation de la reprendre n'a
pas manqué de se faire sentir ! En
effet, quelques jours après, un
frère, d'un âge très
respectable, m'a appelé pour me faire part
d'un point particulier dans ma vie qui devait
être changé. (Il avait
raison !)
Qu'allait faire l'ancien murmurateur tout
fraîchement libéré ?
Allait-il encaisser le coup sans rien
dire ?
Allais-je écouter la voix du prince des
ténèbres qui sait si bien me mettre
en avant les pailles qu'il y a dans la vie des
autres tout en m'empêchant de voir la poutre
qui gêne ma propre vision ?
S'il y a eu un moment de flottement où des
pensées étrangères à la
foi sont venues rappeler qu'une carte
déchirée, qu'une carte
détruite, peut toujours être
renouvelée sans frais dans ce club...
... par la grâce de Dieu, le Saint-Esprit a
su me remettre en mémoire le désir
que j'avais de plaire au Seigneur. Il me rappela
certaines de mes prières où je
demandais à être émondé
afin de porter plus de fruits, ou du moins d'en
porter déjà quelques-uns !
Ainsi donc, c'est bien vrai, j'ai pu constater que
cette carte de membre était bien
déchirée. Afin de ne pas avoir envie
de me réinscrire à ce club, j'ai
collé sur le miroir de la salle de bain un
petit texte qui, associé au
précédent (Souris ! Dieu n'est
pas mort), permet de commencer la journée du
bon pied :
Ah, si les Israélites
dans le désert avaient eux aussi connu ce
principe de conduite, si de mon côté
je l'avais appliqué plus vite, sans doute
aurions-nous évité bien des
déboires !
Ne
murmurez point, comme murmurèrent
quelques-uns d'eux, qui périrent par
l'exterminateur. 1 Corinthiens 10: 10 (v. L. S)
Nos murmures portent toujours à
conséquence !
Quoique la patience et la grâce de Dieu se
manifestent abondamment envers ceux et celles qui
ont pris l'option de murmurer plutôt que
celle de prier, cette patience et cette grâce
laissent parfois la place à des actions
correctrices qui devraient servir de
leçon.
Qu'on ne se méprenne pas ! Le murmure
est un péché ! Un
péché suffisamment grave puisqu'il a
conduit, dans l'Ancien Testament, à la mort
d'hommes !
Si la mort physique est une chose qui touche nos
émotions, la séparation
éternelle d'avec Dieu, est, elle aussi,
considérée comme une sorte de mort
( ...
leur part sera dans l'étang ardent de feu et
de soufre, ce qui est la seconde mort - Apocalypse 21: 8). cette seconde mort a
des
conséquences
irrécupérables puisque plus rien ne peut racheter une
âme qui a été exclue du royaume
de Dieu !
pensons-y !
Si nous pouvons nous rappeler que "le sang de
Jésus nous purifie de tous
péchés"
(1 Jean 1: 7), faut-il encore que nous marchions
dans la Lumière et que nous y
restions !
Les Israélites n'avaient-ils pas
bénéficié de la lumière
de Dieu lorsqu'ils quittèrent
l'Égypte ?
L'Éternel allait devant eux,
le jour dans une colonne de nuée pour les
guider dans leur chemin, et la nuit dans une
colonne de feu pour les éclairer, afin
qu'ils marchassent jour et nuit.
La colonne de nuée ne se retirait point de
devant le peuple pendant le jour, ni la colonne de
feu pendant la nuit. Exode 13: 21-22 (v. L. S)
Ils virent les exploits que l'Éternel avait
accomplis en leur faveur, mais ils
murmurèrent sans cesse et retombèrent
dans les ténèbres d'antan, en
soupirant après les "bonnes choses" du temps
passé qu'ils n'avaient plus à
disposition.
Tout cela, parce que la foi ne trouva pas un
terrain propice pour s'enraciner dans des coeurs
où l'amertume envahissante, telles des
mauvaises herbes, étouffait rapidement les
semences de foi qui y avaient été
jetées.
Le présent les contrariait continuellement
parce qu'ils n'avaient
pas su saisir les promesses de Dieu au bon
moment. Pour cette
raison les miracles journaliers, au lieu de les
réjouir, les attristaient parce qu'ils se
rendaient compte qu'ils avaient perdu leur
"liberté" d'esclaves en devenant dépendants de
l'Éternel.
Suis-je heureux de dépendre du
Seigneur ? Avant de
répondre... :
Suis-je vraiment
dépendant de LUI, dans le sens où il est
Seigneur et qu'il peut intervenir à tout
moment dans ma vie pour y apporter des
corrections ?
Insatisfaits, mécontents, les membres du
club des murmurateurs sont certainement les plus
malheureux des hommes, parce qu'ils passent
à côté des bonnes choses sans
les remarquer. Les joies les plus simples, les
joies les plus saines sont escamotées par la
mise en avant des insatisfactions.
Dès lors, la vision du monde est tellement
obscurcie qu'il devient très difficile de se
souvenir du chemin parcouru, des temps où
nous avons été bénis.
Les murmures prenant toute la place, ils deviennent
assourdissants pour le murmurateur. Dans cette
cacophonie de pensées qui s'entrechoquent,
comment va-t-il arriver à discerner la douce
voix du Seigneur qui l'interpelle afin de le
conduire dans le sentier de la paix ?
Il est vrai que l'on ne vit pas avec le pain d'hier
ou d'avant-hier, mais ce pain doit rappeler qu'il
nous permit de vivre (ou de survivre)
jusqu'à aujourd'hui. Il doit nous rappeler
que les bénédictions du temps
passé sont des assises solides qui devraient
nous remettre en mémoire que Dieu a TOUJOURS
été fidèle dans le
passé et qu'il n'y a aucune raison qu'il ne
le soit pas dans le présent ! Il n'y a
pas une ombre de variation en lui !
(Jacques 1: 17)
Les murmurateurs oublient donc le chemin parcouru
et ne pensent plus qu'un jour ils ont
été rachetés à grand
prix. Jour glorieux qui, comme celui de la sortie
d'Égypte, pourrait bien devenir un sujet de
tristesse chaque fois que les bontés du
Seigneur ne sont plus prises comme
telles !
Dégoûtés de la monotonie des
bontés de l'Éternel au point de
qualifier la manne céleste de
"misérable nourriture" :
l'Éternel envoya contre le
peuple des serpents brûlants ; ils
mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens
en Israël. Nombres 21: 6 (v. L. S)
Fallait-il avoir fatigué la patience de Dieu
pour qu'il en arrive à cette
extrémité ?
Réalisons-nous la portée de nos
paroles, de nos actes lorsque nous
"méprisons" la Parole de Dieu ?
Nos murmures ne sont-ils pas des éclaireurs
qui tracent le chemin pour que le
péché contre le Saint-Esprit se
manifeste ?
À force d'être mécontents de
tout, ne donnons-nous pas l'occasion au diable de
nous inspirer des pensées terribles qui nous
pousseraient à commettre
l'irréparable ?
Quiconque
parlera contre le Fils de l'homme, il lui sera
pardonné ; mais quiconque parlera
contre le Saint-Esprit, il ne lui sera
pardonné ni dans ce siècle ni dans le
siècle à venir. Matthieu 12: 32 (v. L. S)
...
quiconque blasphémera contre le Saint-Esprit
n'obtiendra jamais de pardon : il est coupable
d'un péché éternel.
Marc 3. 29 (v. L. S)
Sans vouloir aller jusqu'à cette
extrémité, reconnaissons cependant
que le mécontentement, les murmures
continuels sont un terrain favorable pour que le
prince des ténèbres s'en donne
à coeur joie et fasse tout son possible pour
nous pousser davantage dans le "mépris", le
"dégoût" des choses de Dieu.
Les gros péchés, ceux que nous
qualifions ainsi parce qu'ils représentent
des "énormités" à nos yeux,
peuvent tous être pardonnés sans
exception ! Mais... nos murmures..., s'ils
allaient trop loin, bien trop loin... ne
pourraient-ils pas nous conduire dans une impasse
où il n'y aurait plus de sortie de
secours ?
Réfléchissons sérieusement
à la façon dont nous "jugeons" Dieu,
à notre façon d'agir par rapport
à SA parole !
En me remémorant les années
passées, je ne puis compter les nombreuses
fois où le Seigneur, dans son infinie
bonté, m'a rappelé, par divers moyens
et diverses personnes, d'arrêter de
murmurer.
Une telle insistance n'était-elle pas un
sérieux avertissement qu'il ne faut pas
prendre à la légère ?
Pourquoi m'a-t-il TANT aimé au point de tout
entreprendre pour que j'abandonne cette voie
savonneuse du murmure ? Où pourraient
bien nous conduire nos murmures
incessants ?
Les Israélites murmurèrent tant et si
bien qu'ils commirent l'irréparable en
accusant, une fois de trop, Dieu et Moïse de
les avoir conduits dans le désert pour les
faire mourir !
Et la mort vint au rendez-vous ! Elle
vînt, et, par son action, elle parla au coeur
des vivants qui reconnurent avoir
péché contre l'Éternel et son
serviteur.
Faut-il que ce soit les coups durs qui nous parlent
pour que nous comprenions la volonté de Dieu
et que nous cessions d'obscurcir ses plans à
notre égard ?
Faut-il que ce soit des malheurs conséquents
à notre mauvaise attitude qui deviennent nos
enseignants ?
...
les murmurateurs apprendront la loi de
Dieu.
Esaïe 29: 24 (version Saci)
Comment Dieu va-t-il nous apprendre sa
loi ?
Pour les Israélites, c'est la mort de leur semblable qui
fut leur précepteur, c'est la mort qui, en fermant les
yeux de "beaucoup", ouvrit leurs yeux sur les
conséquences de leur insubordination.
Mais les yeux ouverts sur les dures
réalités conséquentes à
nos péchés, ne sauraient
démontrer que la foi s'est implantée
dans le coeur !
"Nous avons péchés" ! Confession
qui va conduire le peuple à demander la
prière pour que les serpents s'en
aillent.
Si nous prêtons attention à ce que les
Écritures disent, nous ne voyons pas que
l'Éternel chassa les serpents de leur
entourage.
Dieu
s'intéressa d'abord à ceux qui
souffraient de la morsure des serpents et qui
risquaient la mort !
Quant aux autres, puisqu'ils avaient
confessé leurs péchés, la
punition ne devait plus s'exercer contre eux.
Celui qui
cache ses transgressions ne prospère point,
Mais celui qui les avoue et les
délaisse obtient
miséricorde. Proverbes 28: 13 (v. L. S)
La confession des péchés et leur
abandon ont toujours été pris en
considération, car Dieu ne veut pas la mort
du pécheur :
Ce que je
désire, est-ce que le méchant
meure ? dit le Seigneur, l'Éternel.
N'est-ce pas qu'il change de
conduite et qu'il vive ? Ézéchiel 18:
23
(v. L. S)
Je suis vivant ! dit le Seigneur,
l'Éternel, ce que je
désire, ce n'est pas que le
méchant meure, c'est qu'il change de conduite et
qu'il vive. Revenez, revenez de votre
mauvaise voie ; et pourquoi mourriez-vous,
maison d'Israël ? Ézéchiel 33:
11
(v. L. S)
La conséquence du péché
était terrible puisque beaucoup
moururent à cause de la morsure des serpents
et que d'autres, vraisemblablement, allaient mourir
jusqu'à ce que le remède de Dieu soit
prêt.
Un remède qui allait à l'encontre du
raisonnement puisqu'il s'agissait simplement de
regarder un serpent d'airain fixé au sommet
d'une perche ! Un seul regard ! Rien
qu'un seul regard, et celui qui était mordu
par les serpents conservait la vie !
Combien sont-ils morts pour n'avoir point
obéi à la Parole de Dieu ?
Combien mourront-ils pour n'avoir point voulu
accepter l'oeuvre que Jésus a accomplie en
leur faveur ?
Ils ont entendu la Parole de Dieu, ils sont
conscients de leur état et pourtant ils
refusent de faire ce simple pas pour être
sauvés !
...
quiconque avait
été mordu par un serpent, et
regardait le serpent d'airain, conservait la vie...
Nombre 21. 9 (v. L. S)
Dieu a
tant aimé le monde qu'il a donné son
Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne
périsse point, mais qu'il ait la vie
éternelle. Jean 3: 16 (v. L. S)
Ce "quiconque" laisse bien entrevoir que
le salut, la
délivrance, la guérison ne peuvent
s'obtenir qu'à une condition, une seule
condition :
Celle de croire en
celui qui parle et de démontrer notre foi en
obéissant à ce qu'il
demande !
La perche avec le serpent d'airain n'a
prouvé son efficacité
que
dans l'obéissance !
Elle n'eut aucun
pouvoir par sa simple
présence ! Pour qu'elle agisse
conformément à la Parole de Dieu, il
fallait que le regard se pose sur elle.
Combien n'ont-ils pas trouvé absurde cette
solution ? Et combien ne sont-ils pas morts
pour avoir méprisé le remède
de Dieu ?
Sans doute quelques-uns avaient-ils des
remèdes de grand-mère à
essayer avant toute chose, des remèdes qui
avaient pu montrer leur efficacité dans
beaucoup de domaines mais qui devenaient impuissants lorsqu'il
s'agissait de lutter contre les effets du
péché !
...
quiconque avait
été mordu par un serpent, et
regardait le serpent d'airain, conservait la vie...
Nombre 21. 9 (v. L. S)
C'était la Parole de Dieu ! Une Parole
incontournable ! C'était le chemin qui
conduisait à la vie. Tous les autres
conduisaient à la mort !
Le chemin de la foi était le seul par lequel
les hommes étaient invités à
passer pour être sauvés !
C'est le chemin par lequel tu dois passer si tu
veux être sauvé, un chemin qui
t'oblige à passer par Jésus-Christ,
lui qui EST le CHEMIN LA VÉRITÉ ET LA
VIE !
C'est le chemin dans lequel nous DEVONS rester tout
au long de notre pèlerinage !
Ainsi donc, la croix et l'oeuvre de
Jésus-Christ - tout comme le serpent
d'airain - ne peuvent prouver leur
efficacité envers un pécheur que si
ce dernier met en action sa foi en se tournant vers
le seul "objet" du salut qui lui est
proposé.
Combien ne vont-ils pas passer
l'éternité dans le Royaume de Dieu
simplement par le fait qu'ils n'ont pas voulu faire ce pas de
foi qui leur a été
demandé ?
Il y a des morts inutiles ! Des morts
imbéciles ! Des morts qui n'auraient
jamais dû être !
Des morts qui auront été responsables
de leur état de perdition
éternelle !
Imaginez cette main menaçante qui s'approche
inexorablement et qui va frapper de nombreuses
âmes en imprimant sur elles son cachet :
"PERDUE ! PERDUE ! PERDUE !
Certes, cette image n'est pas empruntée
à la Bible, néanmoins elle
reflète une vérité quant
à la perdition éternelle, elle montre
bien que l'esquisse du mot "PERDU" prend de plus en
plus de force au fur et à mesure que le
temps passe.
Rien ne presse, c'est ce que murmure l'ami des
murmurateurs, Satan, le prince des
ténèbres, le père du
mensonge !
Rien ne presse et pourtant Dieu dit le contraire en
rappelant à chacun que son âme
pourrait bien être REDEMANDÉE cette
nuit même ! Riches et pauvres partent
ensemble et leur âme, indifférente
à la beauté du cercueil,
indifférente à la
cérémonie d'adieu, s'en va vers sa
destinée éternelle.
Pour les Israélites, il y avait urgence, car
tous craignaient d'être mordus par ces
serpents, tous craignaient d'être les
prochaines victimes. Que les serpents soient donc
chassés d'autour de nous !
Mais Dieu n'entra pas en considération avec
leur demande ! Il
voulut sauver ceux et celles qui auraient
foi en SA
parole !
De génération en
génération, le peuple se
souvînt de cette expérience
douloureuse au point qu'il garda longtemps ce
serpent d'airain. Nous le retrouverons au temps du
roi Ézéchias qui le détruisit
en raison de l'idolâtrie dont il était
l'objet : " Ézéchias fit
disparaître les hauts lieux, brisa les
statues, abattit les idoles, et mit en
pièces le serpent d'airain que Moïse
avait fait, car les enfants d'Israël avaient
jusqu'alors brûlé des parfums devant
lui : on l'appelait Nehuschtan. " 2 Rois 18: 4)
Ce serpent d'airain, symbole de
délivrance,
fut employé par le Seigneur Jésus
pour faire comprendre la nécessité
absolue de regarder au Fils de Dieu, lui qui allait
être élevé sur une croix pour
le pardon de nos péchés.
Et comme
Moïse éleva le serpent dans le
désert, il faut de même que le
Fils de l'homme soit élevé, afin que
quiconque croit en lui ait la vie éternelle.
Jean 3: 14-15 (v. L. S)
Nous avons tous été "mordus" par le
serpent ancien (Satan). Nous sommes tous "malades"
du péché, condamnés à
mort à cause de son infection.
Seul un regard vers la croix et l'acceptation de
l'oeuvre de Dieu en faveur des hommes peut sauver
celui ou celle qui fait le pas de croire ce que
Dieu dit.
C'est à ce moment-là seulement que
l'effet de la grâce commencera à se
manifester dans une vie et que la guérison
de l'âme sera aussi réelle que fut la
guérison des Israélites qui eurent
foi dans la Parole de Dieu transmise pas
Moïse.
Toi qui n'a pas encore
fait la paix avec Dieu, toi qui hésites à
regarder vers la Croix alors que tu sais que tu es
un pécheur qui a besoin de pardon,
qu'attends-tu pour
faire ce pas de foi ? Demain ne t'appartient pas !
Demain ce pourrait être trop tard ! Nos
cimetières sont là pour montrer qu'un
jour il n'y aura plus de lendemain si ce n'est le
jour de l'éternité ! Nos
cimetières sont là pour indiquer
qu'il n'y a pas d'âge pour quitter ce
monde ! Saisis donc la grâce qui t'es
encore offerte:
Dieu
fixe de nouveau un jour - aujourd'hui -
...
Aujourd'hui, si vous entendez sa
voix, N'endurcissez pas vos coeurs. Hébreux 4: 7 (v. L. S)
Et
toi... !
(c'est aussi pour
moi)
Toi qui es sorti d'Égypte, toi qui
es passé des ténèbres à
la lumière,
souviens-toi d'où tu as été
sorti, non pas pour
avoir des regrets,
mais pour te rappeler TOUT CE QUE LE SEIGNEUR A
FAIT POUR TOI.
Souviens-toi que "sa main n'est pas trop courte pour
sauver, ni son oreille trop dure pour
entendre", mais que ce
pourrait bien être ton péché,
en l'occurrence tes murmures, qui te cache sa face
et l'empêche d'agir en ta faveur !
(d'après Esaïe 59: 1-2)
© J-M
Ravé 26 avril 2008 -
CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse