Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Un coup d'oeil sur certains regards

1) Ces murmures qui nous empêchent de voir les bontés de l'Éternel

Quiconque met la main à la charrue, et regarde en arrière, n'est pas propre au royaume de Dieu. Luc 9: 62 (v. L. S)


En route vers le pays promis ou en marche vers le Royaume des cieux, depuis que le peuple de Dieu a été appelé à sortir des ténèbres ou de l'esclavage, chacun est invité à marcher par la foi sans regarder en arrière, sans regarder à ce qu'il a laissé derrière lui.

Que ce soit au temps de la sortie d'Égypte ou aujourd'hui, la ligne de conduite est la même, le chemin n'étant guère différent.
C'est un parcours où il y a
des victoires à prendre sur un ennemi qui harcèle continuellement les pèlerins lorsqu'ils sont en marche.
Des victoires à prendre au nom du Seigneur afin que SON NOM soit glorifié puisque lui-même participera à nos combats ayant promis d'être avec nous jusqu'à la fin du monde (
Matthieu 28: 20). Toutefois, notons que sa présence est consécutive à notre obéissance, aussi bien dans l'Ancien Testament que dans le Nouveau et qu'il est dramatique de perdre le "contact" avec notre Père céleste.

Samson, Saül et bien d'autres ont fait l'amère expérience de connaître un vide dans leur vie après avoir expérimenté la présence de Dieu. Un vide pour avoir péché contre l'Éternel ! "L'Éternel s'était retiré de lui" (
Juges 16: 20 ; 1 Samuel 18: 12).

Pour ce qui nous concerne, nous devons nous rappeler que nous pourrions fort bien accomplir des oeuvres
au nom de Jésus-Christ sans pour autant être approuvés de lui !
Peu importe que ces oeuvres servent à glorifier son nom et amener des âmes au salut ! Les miracles, les prophéties, les guérisons accomplis au nom du Seigneur ne sauraient couvrir une vie où le péché est pratiqué !

Alors je (Jésus) leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité. Matthieu 7: 23 (v. L. S)

Pour en revenir à notre parcours, relevons qu'il y aura
des oasis de tranquillité où, durant quelques temps, chacun pourra goûter à un repos bienfaisant sans qu'il ait à se soucier de quoi que ce soit.
Mais ce sera aussi un chemin où le pèlerin sera confronté à
diverses épreuves afin que son endurance et sa foi soient éprouvées.

Ce pèlerin ira-t-il de l'avant ou rebroussera-t-il chemin ?
Continueras-tu ta route ou reprendras-tu ton ancienne vie parce que le chemin qui conduit à la vie éternelle te semble trop étroit en regard des difficultés qui se dressent devant toi ? Des difficultés qui s'évanouiraient au fur et à mesure que tu avancerais par la foi !
Sur quoi ou sur qui allons-nous poser notre regard ?

L'Ancien Testament ayant été donné pour notre instruction, nous ne manquerons pas d'y puiser les ressources nécessaires pour nous encourager à regarder dans la bonne direction sans se laisser tromper par les apparences.
C'est dans le livre des Nombres, avec les neuf premiers versets du
chapitre 21 que nous entrerons dans le vif du sujet. (À lire)

Alors que le peuple d'Israël venait d'obtenir une brillante victoire sur ses ennemis
suite à une prière adressée à l'Éternel - prière réclamant son secours tout en étant assortie d'un voeu - nous découvrons que ce peuple, oubliant la grande délivrance qu'il avait obtenue, s'en vint à parler contre Dieu et son serviteur Moïse.

Combien de bénédictions n'avons-nous pas oubliées ? Des bénédictions dont le souvenir nous aurait aidés à nous rappeler la fidélité de Dieu !
Et pourquoi les oublions-nous ?
N'est-ce pas parce que nos "mercis" ont été bien timides ?
N'est-ce pas parce que nous n'entretenons pas notre reconnaissance pour des bienfaits accordés autrefois et dont nous bénéficions toujours ?

En regardant les Israélites dont nous venons de parler, je ne vois nulle part qu'ils aient remercié le Seigneur pour le soutien qu'il leur avait donné à ce moment particulier. À d'autres occasions nous savons qu'ils ont pu se réjouir des bienfaits et des délivrances accordés, particulièrement après le passage de la Mer Rouge !

Puisque que nous sommes en route vers la cité céleste, heureux (je l'espère) d'avoir échappé à la condamnation éternelle que méritaient nos péchés, nous sommes exhortés à manifester notre reconnaissance à tout moment :

C'est pourquoi, recevant un royaume inébranlable, montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte qui lui soit agréable, avec piété et avec crainte, car notre Dieu est aussi un feu dévorant. Hébreux 12: 28-29 (v. L. S)

Soyez reconnaissants ! Colossiens 3: 15

Ainsi le manque de reconnaissance, ajouté aux épreuves qui jalonnent notre route, pourrait bien nous pousser à murmurer contre le Seigneur comme les Israélites le faisaient ! Et combien de fois ne l'ont-ils pas fait ?

-
Le peuple murmura contre Moïse, en disant : Que boirons-nous ? (Exode 15: 24) - L'eau amère devint douce.

-
Toute l'assemblée des enfants d'Israël murmura dans le désert contre Moïse et Aaron. (Exode 16: 2) - arrivée de la manne.

-
Le peuple était là, pressé par la soif, et murmurait contre Moïse. (Exode 17: 3) - L'eau sort du rocher.

- Le peuple murmura et cela déplut aux oreilles de l'Éternel. Lorsque l'Éternel l'entendit, sa colère s'enflamma... (Nombres 11: 1) -

Le feu de l'Éternel détruit une partie du peuple.

Relisez ces passages, cherchez quelques mots de reconnaissance ; à moins d'avoir mal lu,
je n'ai pas vu que le peuple ait pu dire merci lorsqu'il reçut à boire et à manger !

Sans merci, ce que Dieu nous donne ne saurait être perçu comme une bénédiction !
N'est-il pas triste de constater que de plus en plus de personnes ne savent même plus employer ce petit mot à l'égard de ceux et celles qui leur font du bien ? Ne soyons donc pas étonnés s'ils ne peuvent pas manifester de reconnaissance envers le Créateur. Ne soyons pas surpris non plus si leurs prières sont rarement exaucées.

Ainsi, le peuple d'Israël, avare de reconnaissance, ne put s'empêcher de murmurer contre Dieu et son serviteur chaque fois que cela n'allait pas comme il le voulait. Attitude déplaisante au possible qui, à plusieurs reprises, déclencha la colère du Seigneur.

Quelle fut sa plus grande erreur, cette erreur qu'il renouvela régulièrement ?
Quelle pourrait être la nôtre ou quelle fût la nôtre (la mienne en particulier) lorsque des murmures se font entendre ou se sont fait entendre ?

Ils murmurèrent au lieu de prier !
Ils murmurèrent
au lieu d'exposer leurs problèmes à Dieu comme ils l'avaient fait auparavant lorsque certains de leurs frères étaient prisonniers des Cananéens !
Au lieu de pleurer, de se lamenter et de murmurer, cette fois-ci, ils se tournèrent vers le Seigneur et obtinrent ce qu'ils demandèrent !

Le roi d'Arad, Cananéen... emmena des prisonniers. Alors Israël fit un voeu à l'Éternel, et dit : Si tu livres ce peuple entre mes mains, je dévouerai ses villes par interdit.
L'Éternel entendit la voix d'Israël, et livra les Cananéens.
Nombres 21: 1-3

La prière, nous le voyons, permit à l'Éternel d'opérer la délivrance.
S'ils avaient murmuré, il est peu probable qu'ils aient obtenu quoi que ce soit car les murmures ne sont pas des prières et ne le seront jamais.
Les murmures sont souvent alimentés par des critiques, des plaintes, des protestations à peine voilées.
Elles mettent en cause les autres (en l'occurrence Dieu) tout en masquant nos propres responsabilités.

Prenons note que nos murmures NE SONT PAS DES PRIÈRES et ne seront jamais retenus comme telles !

Quand je murmure je ne prie pas ! Tel est l'enseignement qu'il nous faut retenir !
Si je passe par un moment difficile, deux options vont se présenter devant moi :

1) Je vais murmurer, manifester mon mécontentement allumant ainsi en moi un feu destructeur que le prince des ténèbres ne manquera pas d'alimenter. Il saura me donner de multiples arguments pour appuyer mon mécontentement et ainsi détruire la paix que Dieu m'avait donnée.

2) Je vais prier et présenter au Seigneur ce qui m'afflige. Tout comme l'auteur du Psaume 119, je lui exposerai mes difficultés, mes craintes tout en lui rappelant que j'aime sa Parole et que je désire toujours marcher dans le chemin étroit qu'il a tracé pour moi.

Quand je murmure je ne prie pas ! - Quand je prie, je ne murmure pas !
C'est l'un ou l'autre !


Mais au juste, pourquoi les Israélites murmurèrent-ils sans cesse ?

Pourquoi cette fois-ci le ton monta-t-il d'un cran au point qu'ils
osèrent parler ouvertement contre Dieu et celui qu'il a employé comme libérateur ?

L'escalade dans le mécontentement, nous le voyons, va produire une réaction insensée puisqu'ils vont oser dire que le temps présent est bien moins enviable que celui où ils étaient esclaves.
Oser dire que cette époque où ILS CRIAIENT À L'ÉTERNEL pour être délivrés de leurs oppresseurs, était préférable à ce temps où Dieu prenait soin d'eux !

Souvenons-nous :

... les enfants d'Israël gémissaient encore sous la servitude, et poussaient des cris. Ces cris, que leur arrachait la servitude, montèrent jusqu'à Dieu. Exode 2: 23 (v. L. S)

L'Éternel dit : J'ai vu la souffrance de mon peuple qui est en Égypte, et j'ai entendu les cris que lui font pousser ses oppresseurs, car je connais ses douleurs.
Voici, les cris d'Israël sont venus jusqu'à moi, et j'ai vu l'oppression que leur font souffrir les Égyptiens.
Exode 3: 7 & 9 (v. L. S)

Était-ce donc ce temps-là qu'ils regrettaient ?
Alors que je pourrais être dans la difficulté, alors que ma foi pourrait être éprouvée comme la leur, vais-je à mon tour regretter l'époque où je vivais sans Dieu, sans espérance ?

Autrefois, leurs cris avaient touché le coeur de Dieu et produit la délivrance !
Aujourd'hui, leurs murmures ont dépassé les limites puisqu'ils s'en prennent
ouvertement à Dieu et à Moïse. Leur conduite n'amènera rien d'autre que la réprobation et la colère de Dieu.

Comment en sont-ils arrivés à cette extrémité ?
Nous avons déjà vu que le manque de reconnaissance était significatif. Sans reconnaissance le coeur se remplit vite d'amertume quand il n'obtient pas ce qu'il désire !
Dès lors, l'impatience ne tarde pas à se manifester :

Le peuple s'impatienta en route, et parla contre Dieu et contre Moïse... Nombres 21: 4 (v. L. S)

Questions:
Pourquoi le peuple s'impatientait-il ? Ne devaient-ils pas passer 40 ans dans le désert en raison de leurs précédents murmures ?
Les jeunes étaient-ils pressés de voir mourir leurs parents, ceux qui avaient vécu le passage de la Mer Rouge ?

Quoi qu'il en soit, nous devons constater que ce n'était pas le désir d'entrer dans le pays de la promesse qui les faisait s'impatienter. C'étaient les désirs de la chair qui les faisaient regretter l'Égypte ce pays où, à leurs yeux coulaient le lait et le miel (
Nombres 16: 13).

Leurs regards se posaient sur le passé ! Leur bouche se souvenait du goût du pain étranger :

Nous nous souvenons des poissons que nous mangions en Égypte, et qui ne nous coûtaient rien, des concombres, des melons, des poireaux, des oignons et des aulx.
Maintenant, notre âme est desséchée : plus rien ! Nos yeux ne voient que de la manne.
Nombres 11: 5-6

Aujourd'hui, ils osent qualifier la nourriture donnée chaque jour par Dieu de " misérable nourriture" (Nombres 21: 5), cette nourriture donnée à volonté, cette nourriture qui sera décrite plus tard comme "le pain des grands" (Psaume 78: 25).

Voici donc un moment fort où la bénédiction de Dieu est méprisée au profit de la nourriture du monde ! Un moment où les choses que le monde propose sont préférables à ce que Dieu donne.

Moment fort où nos choix nous amènent à choisir entre la volonté de Dieu et nos propres désirs !

Moment fort qui révélera les intentions cachées de notre coeur !

Le lait et le miel qu'ils avaient choisis (
Nombres 16: 13) étaient la nourriture du passé, celle qui ne leur coûtait rien (Nombre 11: 5-6) tandis que celle que l'Éternel leur proposait, le lait et le miel, leur coûtait un prix exorbitant puisqu'il s'agissait de marcher par la foi et dans l'obéissance.

En réalité, la manne ne leur coûtait rien, mais ayant gardé le goût d'une vie sans Dieu, ils n'étaient pas en mesure d'apprécier ce don, raison pour laquelle nous ne trouvons pas ou peu de reconnaissance.

Il en fut tout autre de deux hommes : Josué et Caleb ont su tourner leurs regards dans la bonne direction, c'est-à-dire, en avant !
Eux aussi avaient mangé à la "table des Égyptiens", mais comme ils avaient goûté que le Seigneur est bon et compris que TOUT CE QU'IL ENTREPRENAIT concourrait au bien de son peuple si ce dernier voulait être docile, ils ont tourné la page et se sont élancés dans la carrière des héros de la foi !
Quoiqu'ils aient dû subir les 40 ans de désert en dépit de leur obéissance, ils ont cru Dieu et ont su attendre patiemment son heure sans murmurer ! La Parole du Seigneur avait de l'importance à leurs yeux ! Puisse-t-elle en avoir autant pour nous !

Le Seigneur Jésus n'a pas manqué de nous mettre en garde afin que nous donnions les priorités à ce qui a de la valeur et non à ce qui est passager.

Jésus répondit (au diable) : Il est écrit : L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. Matthieu 4: 4 (v. L. S)

Par ce verset, nous comprenons que la Parole qui sort de la bouche de Dieu est une nourriture de base qui passe AVANT le pain quotidien, laissant entendre que l
a santé de notre âme est prioritaire puisque immortelle !

Jésus avait faim lorsqu'il fut tenté, mais l'observation de la volonté de Dieu passa AVANT le désir légitime de nourrir son corps : "
Jésus fut emmené par l'Esprit dans le désert, pour être tenté par le diable." (Matthieu 4: 1)

En ce qui nous concerne, s'il n'est pas question de nourriture terrestre, par contre il pourrait bien être question
de nos engagements avec le monde, avec nos relations.

Être à leur écoute, attentifs à ce qu'ils disent, c'est déjà se placer sur une voie glissante qui, le temps aidant, pourrait bien nous pousser à faire de mauvais choix qui porteraient gravement atteinte aussi bien à notre avenir terrestre qu'éternel.
Pensons à Eve qui a accepté le dialogue avec le serpent et qui a suivi son conseil parce qu'elle trouvait plus séduisants ses propos de... liberté, d'indépendance, de nouveautés, que la "dure" restriction que l'Éternel avait imposée à nos premiers parents.

Puisque nous connaissons la suite et que nous en subissons les conséquences, soyons sur nos gardes car le chemin étroit est bordé de toutes sortes de tentations, de tentateurs dont le but est de nous écarter... un peu..., un instant..., quelques instants..., du chemin qui conduit à la Vie éternelle. Juste ce qu'il faut pour ne plus être à la place où Dieu s'attend à nous trouver !

Mépriser les avertissements du Seigneur, mépriser sa Parole, mépriser les richesses qu'il nous offre...
Tout cela démontre que nous n'avons pas encore bien compris la portée du sacrifice de Jésus ou que nous n'avons pas encore pris conscience de la valeur de notre âme.

Nos choix présents seront toujours là pour témoigner de notre appartenance. Je ne parle pas de nos accidents de parcours, de nos glissades, qui, une fois découverts, vont nous amener à la repentance et à être plus vigilants pour ne pas tomber dans les mêmes ornières.
Pour les Israélites dans le désert, il n'était pas question de "dérapages" ! Si cela avait été possible, il y a longtemps qu'ils auraient rebroussé chemin pour se mettre sous la coupe de ceux dont ils voulaient être délivrés autrefois !

Avec une telle attitude de coeur, il est facile de comprendre que les promesses de Dieu n'avaient aucune valeur à leurs yeux. Pourtant, ils avaient été les témoins et les bénéficiaires de la puissance salvatrice du Dieu qui les avait choisis d'entre toutes les nations pour en faire son peuple !

À force de murmurer, tout ce qui leur arrivait de mauvais était de la faute de Dieu et de Moïse !
Qui était véritablement responsable ? Qui est responsable lorsque mon coeur est tourmenté et que je tourne le dos à mon Père céleste pour aller ronchonner dans mon coin, pour aller murmurer et penser que c'est injuste ce qui m'arrive ?

Sommes-nous comme les Israélites dont la vision de l'avenir était faussée ?

N'y avait-il pas des sépulcres en Égypte, sans qu'il fût besoin de nous mener mourir au désert ? Que nous as-tu fait en nous faisant sortir d'Égypte ? Exode 14: 11 (v. L. S)

Vous nous avez menés dans ce désert pour faire mourir de faim toute cette multitude. Exode 16. 3 (v. L. S)

N'est-ce pas assez que tu nous aies fait sortir d'un pays où coulent le lait et le miel
pour nous faire mourir au désert, sans que tu continues à dominer sur nous ? Nombres 16: 13 (v. L. S)

Certainement nos murmures ne vont pas aussi loin que les leurs, toutefois prenons garde car la patience de Dieu a des limites. L'Éternel des armées de l'Ancien Testament est le même Dieu que celui du Nouveau Testament.

Souvenons-nous que
la reconnaissance et la prière feront toujours barrage à d'éventuels murmures.
Autrefois j'ai moi-même été un grand "murmurateur" en ne comprenant pas les plans de Dieu, en ne regardant qu'à ma petite personne et au "mal-être"
que je me fabriquais par mon manque de foi et de confiance.
C'est bien parce que le Seigneur a eu compassion de moi qu'il a poursuivi mon éducation pour que je comprenne ce que voulait dire :

Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Philippiens 4. 6. (v. L. S)

... déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même prend soin de vous.
1 Pierre 5: 7 (v. L. S)

Ce conseil n'est-il pas le meilleur ? Ne va-t-il pas nous pousser à prier plutôt qu'à murmurer en "contemplant" notre misère ?

"Conscient de ma faiblesse, aide-moi Seigneur à ne plus murmurer. Fais-le SELON TA PROMESSE, car je VEUX te plaire et apprendre à TE faire toujours plus confiance !"

Ceux dont l'esprit s'égarait acquerront de l'intelligence, Et ceux qui murmuraient recevront instruction. Esaïe 29: 24 (v. L. S)

Ceux dont l'esprit était égaré seront éclairés, et les murmurateurs apprendront la loi de Dieu. (version Saci)


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Quand je prie, je ne murmure pas ! - Quand je murmure je ne prie pas ! -
C'est l'un ou l'autre !

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Toujours content,
Par la pluie ou par le beau temps,
Quand c'est facile ou difficile,
Sachons être content ;
Un chant joyeux rend gai ce qui est ennuyeux ;
Soyons, comme dit l'Évangile,
Contents et joyeux.
(JEM I n° 151)


© J-M Ravé 19 avril 2008 -
CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse