Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Un voyage dans l'Évangile de Jean

Une longue histoire d'amour qui dure toujours

Prologue

Après une série de messages où nous avons mis en évidence que nous devions remettre Dieu à sa place en plaçant sur un pied d'égalité, sa sainteté, sa justice et son amour, sans amoindrir une seule de ses caractéristiques, nous allons poursuivre notre marche en parlant de la longue histoire d'amour du Seigneur envers les hommes.

Une histoire d'amour qui met en avant que Dieu a toujours aimé l'homme depuis sa création et qu'il l'a déjà aimé avant même qu'Adam, notre père, ne soit sorti de la poussière de la Terre.
Simple poussière devant retourner à la poussière, nous sommes pourtant l'objet d'un amour continuel dont bien souvent nous ne comprenons ni le sens,
ni les manières dont Dieu l'exprime.

Rien que la conception de l'homme devrait déjà mettre en éveil notre admiration pour l'auteur de nos jours.

L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre... Genèse 2: 7 (v. L. S)

Ce texte de la Genèse nous montre que la création de l'homme diffère de celles de l'ensemble des oeuvres de Dieu.
En effet, si nous regardons comment il a préparé le berceau de l'humanité, nous constatons la répétition d'une expression "Dieu dit" puis, à chaque fois,
nous voyons la Parole accomplir son oeuvre.

Toutes choses ont été faites par elle (la Parole), et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle. Jean 1: 3 (v. L. S)

L'acte créateur, qui fit que l'homme est parvenu à l'existence, est quelque peu différent de celui du reste de la création. En effet la Bible nous montre que Dieu a prêté une attention particulière à cette dernière oeuvre.

Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image... Genèse 1: 26 (v. L. S)

Ici, cette expression, liée à
Genèse 2: 7, (L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre) met en avant que Dieu, dans toute sa plénitude - Père, Fils et Saint-Esprit) - a mis la main à la pâte pour façonner le premier homme. (Faisons l'homme....)

Dans la version Chouraqui, il est intéressant de relever qu'Adam est nommé le "glébeux". Adam l'homme tiré de la glèbe, de l'argile, cette terre qui, telle une "pâte à modeler", allait permettre au Créateur de façonner un être vivant à son image.
Le potier divin a fait de toi un vase d'honneur qu'il désire remplir de sa présence ! Jésus vit-il dans ton coeur ?

Autant la création toute entière crée par la Parole de Dieu fut qualifiée de "bon", autant il lui manquait le "petit quelque chose" pour qu'un qualificatif supérieur soit employé.

Sans l'homme, il est certain qu'il y aurait eu un manque dans la création, car ce n'est qu'après avoir créé l'homme qu'il embrassa du regard l'ouvrage de ses mains et qualifia l'ensemble de son oeuvre de TRÈS BON !

Dieu vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le sixième jour. Genèse 1: 31 (v. L. S)

Ainsi les protecteurs de la nature, si bonnes soient leurs intentions, finissent par déraper lorsqu'ils ne prennent plus en considération le chef d'oeuvre de la création, l'homme créé à l'image de Dieu !
Aujourd'hui, attenter à la vie d'un homme ou lui causer volontairement certains torts à quelquefois moins de conséquences que de toucher à la vie ou au bien-être d'une espèce animale en voie de disparition.

Sans l'homme, il y aurait eu un vide dans la création !
Sans l'homme, comment le coeur de Père de notre Dieu aurait-il pu épancher son amour ?
Avoir le coeur plein d'amour et ne pas avoir la possibilité de le donner ! Une impossibilité que Dieu a résolue en faisant une créature à son image, une créature sensible à cet amour et capable de lui répondre.

Ainsi l'homme a été l'objet d'une attention toute particulière, Dieu s'est approché de cette forme qu'il a façonnée à partir de la poussière de la Terre, il s'est courbé pour souffler un souffle de vie dans les narines du premier homme.
Un souffle de vie qui allait apporter une Vie différente de celle des animaux qui eux, ne reçurent point ce souffle particulier.

Le voyez-vous encore, ce Père attentionné, préparer un endroit privilégié, une oasis,
plantant un jardin en Éden alors que la création était achevée. C'était un jardin agréable à voir où tous les arbres étaient bons à manger !

L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant.
Puis l'Éternel
Dieu planta un jardin en Éden, du côté de l'orient, et il y mit l'homme qu'il avait formé.
L'Éternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
Genèse 2: 7-9 (v. L. S)

Dieu a donc aimé l'homme avant que ce dernier ne soit conscient de son existence, avant même que la main divine ne le façonne.
L'ayant richement béni,
il mit le comble à son amour en lui donnant un commandement à mettre en pratique afin qu'il ne se laisse pas surprendre par le diable qui, expulsé du Ciel de Dieu, n'a jamais manqué une occasion pour détourner du Seigneur ceux qui lui étaient proches.
Un tiers des anges n'a-il pas préféré suivre Lucifer plutôt que de rester fidèle à Dieu ?

La première interdiction, celle de ne pas manger du fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, loin d'être un boulet, d'être une entrave à la liberté, était, au contraire, la garantie de l'amour d'un Père qui ne désirait que le bien de son enfant, la garantie de rester libre à l'égard du péché.

Quelle force irrésistible poussa donc nos premiers parents à céder à la tentation en obéissant à une autre voix que celle de l'Éternel ?
La même qui nous pousse à nous détourner des commandements de Dieu, la même qui nous freine dans nos élans vers le Seigneur, la même qui peut parfois nous pousser à travailler davantage pour le monde que pour l'avancement du Royaume de Dieu !

Combien de larmes auraient pu être évitées en restant sous la protection de l'amour de Dieu ?
Combien de douleurs auraient été épargnées en restant dans l'obéissance ?
Combien de situations éprouvantes consécutives à nos propres péchés - quand bien même ces derniers auraient été confessés et pardonnés - combien de ces situations auraient pu nous être épargnées si nous avions écouté la voix de Dieu et non celle du serpent ancien.
Tentateur et père du mensonge, son arsenal semble sans limites pour faire tomber dans ses filets ceux qui n'ont plus les yeux fixés sur la Parole de Dieu, sur Jésus-Christ !

À chaque croisée de chemin, à chaque décision à prendre, il y a toujours la même pensée de l'Esprit de Dieu qui est envoyé du Ciel dans nos consciences, cet Esprit qui nous invite
à réfléchir avant de nous engager dans une voie plutôt que dans une autre.

Vois, je mets aujourd'hui devant vous la bénédiction et la malédiction... Deutéronome 11: 26 (v. L. S)

Vois, je mets aujourd'hui devant toi la vie et le bien, la mort et le mal.
Deutéronome. 30: 15 (v. L. S)

Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité... Deutéronome 30: 19 (v. L. S)

Un choix et non une contrainte ! Un choix qui doit être renouvelé
chaque jour de notre vie et qui, obligatoirement, fera que nous irons toujours dans une direction forcément opposé à l'autre !

Puissions-nous toujours être comme le psalmiste et faire le bon choix en disant chaque matin :

J'ai choisi la voie de la fidélité, j'ai placé [devant moi] tes jugements. Psaume 119: 30 (v. D)

J'ai choisi la voie de la vérité... (v. D. M.)

Pour n'avoir pas choisi la bonne part, l'homme et la femme, Adam et Eve, ont été expulsés du jardin d'Éden, chassés de la présence de Dieu, condamnés à ne plus jouir des fruits de l'arbre de Vie.

Sueurs et larmes sont désormais devenues un pain quotidien bien amer qui en ont poussé plusieurs à maudire Dieu en raison de tous les malheurs qui affligent le genre humain, des malheurs consécutifs aux malédictions lancées contre le Seigneur.

Quiconque maudira son Dieu portera la peine de son péché. Lévitique 24: 15 (v. L. S)

Fermant leurs oreilles à la voix de la sagesse, ils ne comprennent pas que
leur propre comportement ne fait qu'alimenter leur mécontentement.
Par leurs pensées, par leurs paroles, ils donnent ainsi un accès continuel au diable qui ne se gênera pas de les encourager à dénoncer un soi-disant manque d'amour de Dieu en leur présentant toutes les catastrophes qui ont frappé la Terre et toutes les injustices dont les hommes sont les victimes.

Toutes ces atteintes à notre désir de vivre en paix en ont poussé plusieurs à s'éloigner toujours plus de la Vérité et à se chercher d'autres dieux plus compréhensibles, plus malléables, des dieux qui s'adaptent à leurs pensées...

Pourtant,
la chute de nos premiers parents n'a jamais fermé la porte à l'amour de Dieu pour eux. Ils n'ont pas été maudits à cause de ce qu'ils ont fait !
Le serpent, en tant qu'animal ayant servi le diable, fut maudit !
Le sol fut maudit dans le sens où les ronces et la mauvaise herbe viendraient entraver le travail de l'homme.
Quant aux conséquences de la désobéissance, elles devaient impérativement se manifester faute de quoi la Parole de Dieu n'aurait point été la vérité.
Ce fut d'abord l'instigateur du péché qui fut sous la condamnation, puis ce fut le tour d'Eve qui céda à la tentation et enfin ce fut Adam qui entendit la sentence de l'Éternel le condamnant pour avoir obéit à la voix de sa femme plutôt qu'à celle de Dieu.

L'Éternel Dieu dit au serpent : Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre...

Il dit à la femme : J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur...

Il dit à l'homme : Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l'arbre au sujet duquel je t'avais donné cet ordre : Tu n'en mangeras point ! le sol sera maudit à cause de toi... Genèse 3: 14-17 et suivants (v. L. S)

Dieu n'a pas cessé d'aimer Adam et Eve, il a pris soin de leur corps en sacrifiant un animal afin de les vêtir pour qu'ils n'aient plus à subir la honte de leur nudité. Ce fut la première mort pour "compenser" une des conséquences du péché. D'autres s'ensuivront encore jusqu'au sacrifice final et parfait, celui du Fils de Dieu, notre Seigneur Jésus donnant sa vie en rançon pour le pardon de nos péchés.

Dieu aurait pu détruire nos premiers parents et recommencer une nouvelle création ! N'a-t-il pas dit un jour à Moïse qu'il était prêt à détruire le peuple d'Israël pour qu'il sorte du législateur une nation plus grande et plus puissante que celle qui se rebellait continuellement contre l'Éternel ? (
Nombres 14: 11 à 24)

Il aurait pu détruire les pécheurs, mais il a laissé parler son coeur afin de donner à chacun la possibilité de renouer avec son Créateur des liens qui ont été rompus.
Même avant que Jésus ne soit venu s'offrir comme sacrifice,
il a toujours tendu la main vers l'homme pécheur afin que ce dernier ne sombre pas encore plus bas dans le mal.
Dieu a toujours cherché à relever celui qui est tombé afin de lui donner,
en récompense de sa foi, le bénéfice concret de son amour.

Regardez Caïn qui eut le triste privilège d'être le premier meurtrier ayant marché sur cette Terre ! Lui qui s'entretenait encore avec l'Éternel malgré le fait qu'il ait hérité de la nouvelle nature pécheresse de ses parents, le voyez-vous au bénéfice de l'amour de Dieu en dépit de son crime ?
Voyez les craintes de cet homme qui a peur pour sa vie et qui reçoit un signe sur lui afin que celui qui oserait le toucher sache qu'il aura à subir la colère divine. Dieu veillait encore sur Caïn!
Cette marque n'était point une protection particulière, mais un avertissement signalant qu'il y aurait de graves conséquences à toucher celui que Dieu avait marqué ; un peu comme les couleurs vives de quelques grenouilles ou insectes qui préviennent que celui qui les mangera périra en raison de leur toxicité.

L'Éternel lui dit : Si quelqu'un tuait Caïn, Caïn serait vengé sept fois. Et l'Éternel mit un signe sur Caïn pour que quiconque le trouverait ne le tuât point. Genèse 4: 15 (v. L. S)

Jamais Dieu n'a regardé l'homme comme un souffre-douleur sur lequel il aurait fait passer tout son mécontentement d'avoir "raté" la dernière de ses créations ! Dieu a toujours cherché à sauver ce qui était perdu et non à perdre celui ou celle qui s'oppose à sa sainte volonté.

Il faut avoir dépassé largement le seuil de tolérance pour que la colère de Dieu éclate sans possibilité de retour en arrière, Il faut être tellement endurci que rien, pas même la souffrance ne puisse percer la carapace d'un coeur devenu inaccessible à l'amour de Dieu.

Il faut aussi avoir une conscience hermétiquement fermée aux appels du Sauveur pour connaître la plus grave des sanctions qui puisse punir les rebelles qui ont laissé le mal s'ancrer dans leur vie à tel point qu'ils n'ont plus le désir de changer.

Ce n'est que lorsque Dieu n'a plus la possibilité de toucher le coeur ou la conscience du rebelle qu'il est contraint de le sanctionner !
L'amour incompréhensible et incommensurable de Dieu envers les hommes n'a jamais empêché ces derniers de choisir la voie qu'ils voulaient suivre en connaissance de cause. Si l'homme ne veut pas de l'amour de Dieu, s'il préfère les ténèbres à la lumière, il est libre de s'engager sur ces routes glissantes, libre tout en étant averti régulièrement du danger qu'il y a à progresser dans le chemin opposé qui mène à Dieu.

C'est ainsi que l'amour de Dieu, même aux temps de Noé, s'est manifesté durant toute la durée de la construction de l'arche, un signe annonçant en quelque sorte la fin des temps, ou du moins la fin d'un temps.
Durant 120 ans, Dieu n'a pas ménagé son serviteur afin qu'il annonçât à ses contemporains l'imminence du jugement qui allait frapper tout ceux qui vivaient sur la terre et qui ne seraient pas sous la protection de l'Éternel dans l'arche de l'alliance.

Et voilà qu'à notre tour, depuis 2000 ans, nous sommes avertis que la Terre est réservée pour le feu et que les rebelles sont destinés à être jetés dans l'étang ardent de feu et de soufre.
As-tu compris la leçon du déluge ?

Avant la venue programmée du déluge, Dieu voulait sauver de la condamnation les hommes méchants, raison pour laquelle Noé eut la double casquette de constructeur et de prédicateur de la justice (
2 Pierre 2: 5)
Hélas ! La voix de Noé s'est perdue dans le brouhaha de celles des moqueurs qui ont tous péri lors du déluge.

Par la suite, il y eut aussi la voix d'un Jonas peu enclin à annoncer le message de Dieu, mais la voix de Dieu, au travers de la sienne, trouva un écho favorable dans le coeur des Ninivites qui prirent le sac et la cendre, abandonnèrent leur méchanceté et espérèrent en la miséricorde divine.

Lève-toi (Jonas), va à Ninive, la grande ville, et crie contre elle ! car sa méchanceté est montée jusqu'à moi. Jonas 1: 2 (v. L. S)

Les gens de Ninive crurent à Dieu (au travers du message apporté par Jonas), ils publièrent un jeûne, et se revêtirent de sacs, depuis les plus grands jusqu'aux plus petits... Jonas 3: 5 (v. L. S)

... Dieu vit qu'ils agissaient ainsi et qu'ils revenaient de leur mauvaise voie. Alors Dieu se repentit du mal qu'il avait résolu de leur faire, et il ne le fit pas.
Jonas 3: 10 (v. L. S)

L'important n'est pas celui qui prêche, mais le message qu'il apporte. L'important n'est pas celui qui prêche, mais l'oreille qui entend la Parole de Dieu !
Qu'entends-tu, que gardes-tu de cette Parole ?

Et il (Jésus) répondit : Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent ! Luc 11: 28 (v. L. S)

Et mettez en exécution la parole, et ne l'écoutez pas seulement, en vous décevant vous-mêmes par de vains discours. Jacques 1: 22 (v. D. M.)

L'amour de Dieu, sa compassion et sa miséricorde, s'ils ont pu être mis en avant lors de repentances nationales ou personnelles dans l'ancienne alliance...
... seront encore plus mis en valeur au travers de Jésus-Christ qui a tout accompli pour que Dieu réponde à celui qui s'approche de lui d'un coeur sincère.
Le temps de la grâce est encore un temps particulier où l'amour de Dieu se déverse en abondance sur un monde qui est déjà à l'agonie, ceci afin que tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté saisissent la main qui leur est tendue et qu'ils soient sauvés !

Au commencement Dieu créa le ciel et la Terre...
Si la Bible commence par mettre Dieu à l'honneur en présentant une terre et des cieux qui furent créés il y a bien longtemps, nous savons qu'à un moment donné, il entreprit d'aménager la terre pour la rendre habitable à celui qui allait être l'objet de son amour.

Au commencement était... l'amour de Dieu !
Un amour qui demandait à s'extérioriser !

Pour cela, il a choisi l'homme afin déverser en lui toutes les richesses dont son coeur débordait, mais la désobéissance mit un frein à cette abondance
tout comme nos désobéissances retiennent sa bénédiction.

Quoique la crainte de l'Éternel s'était emparée de nos premiers parents et qu'elle fut transmise à leur descendance, l'espérance d'une aube nouvelle naquit dans le coeur de certains hommes, l'espérance d'une possibilité de se réconcilier avec Dieu.
C'est en tâtonnant dans les ténèbres qu'ils avancèrent, qu'ils s'égarèrent, qu'ils aperçurent quelques signes indicateurs puis qui s'égarèrent de nouveau jusqu'au jour où la véritable lumière venant dans le monde a brillé pour éclairer chaque homme afin qu'ils découvrent le chemin qui mène à Dieu.

Il a fait que tous les hommes, sortis d'un seul sang, habitassent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure ;
il a voulu qu'ils cherchassent le Seigneur, et qu'ils s'efforçassent de le trouver en tâtonnant, bien qu'il ne soit pas loin de chacun de nous, car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l'être... Actes 17: 26-28 (v. L. S)

Au commencement Dieu créa le ciel et la Terre...

Au commencement était... l'amour de Dieu !

Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.
Elle était au commencement avec Dieu.
Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle.

En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.
La lumière luit dans les ténèbres...
Jean 1: 1-5 (v. L. S)


© J-M Ravé 4 novembre 2006 -
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