Ce
peuple dit : Le temps n'est pas venu,
le
temps de rebâtir la maison de
l'Éternel. Aggée 1: 2
(L'Éternel
dit :) Est-ce le temps pour vous d'habiter
vos demeures lambrissées, Quand cette maison est
détruite ? Aggée 1: 4
(pendant que cette maison demeure
désolée ? - version David
Martin)
Un terrible constat vient d'être fait :
la maison de l'Éternel est
détruite ! Le lieu où l'on vient
à la rencontre de Dieu n'est que ruine. Pour
cette raison, il est évident qu'il n'y a pas
affluence dans le lieu saint pour
célébrer celui qui a
libéré de leurs chaînes les
captifs des hommes ou de la puissance des
ténèbres. Y a-t-il seulement des
rencontres ? Le désir de se
rencontrer ?
Le temple vaut-il la peine d'être reconstruit
alors que la nation a subi l'humiliation de la
déportation ?
L'Église vaut-elle la peine d'être
relevée alors que le christianisme
cède du terrain devant la marée
montante de l'immoralité et devant le
favoritisme accordé aux religions
étrangères ?
Ne vaut-il pas mieux vivoter avec ce qu'il reste
d'un semblant de foi, de vivoter tranquille
à l'abri de l'adversité plutôt
que de devenir un réparateur de
brèches qui devra se salir les mains et
résister à la pression du
courant ?
Bien plus qu'une construction en dur qui devait
unir les hommes les uns aux autres devant la
majesté divine, il y a derrière cette
insouciance à reconstruire la maison de
Dieu, le déclin d'un peuple qui n'a plus de
zèle pour son Seigneur.
Est-ce le temps de rebâtir la maison de
l'Éternel ?
Est-ce le temps de relever les fondements de la foi
chrétienne ?
Est-ce que ça a de l'importance pour moi que
l'Église soit triomphante au nom de
Jésus-Christ ?
Prêt à s'investir pour défendre
son bien, à tout faire pour préserver
ses acquis sociaux, ce peuple-là
traîne les pieds pour remettre en état
tout ce qui pourrait contribuer à son
relèvement, c'est-à-dire à son
bien-être spirituel, un bien-être que
seule la communion avec son Sauveur et Seigneur
peut apporter.
Ce peuple-là ! Lequel ?
Celui dont la Bible
nous parle ou le nôtre ?
Il y a tant de similitudes entre eux et nous qu'il
nous est facile de comprendre la pensée du
Seigneur lorsqu'il condamne le manque de
zèle de ses enfants et qu'il leur explique
pourquoi ils ne vivent pas une vie d'abondance et
de contentement en dépit de leurs belles
maisons.
Travaillez, non pour la nourriture
qui périt, mais pour celle qui subsiste pour
la vie éternelle, Jean 6: 27
Veux-tu poursuivre du regard ce qui va
disparaître ? Car la richesse se fait
des ailes, Et comme l'aigle, elle prend son vol
vers les cieux. Proverbes 23: 5
Dieu veille ! Dieu
surveille en retenant parfois sa
bénédiction afin que son peuple
réalise qu'il doit prioritairement servir
celui qui lui a
donné la vie,
celui qui lui redemandera son âme à la
fin de son parcours terrestre. (... ce que tu as
préparé, pour qui cela
sera-t-il ? Luc 12: 20) Ta maison, ton compte en banque,
tout ce qui est agréable à tes yeux
et que tu ne voudrais pas lâcher, tous ces
biens passagers, même s'ils suivaient ton
corps dans la tombe, n'arriveraient pas à
franchir la porte de
l'éternité ! Par contre, il en
est tout autre du travail accompli en faveur du
royaume de Dieu ! Songes-y!
Vous
comptiez sur beaucoup, et voici, vous avez eu
peu ; Vous l'avez rentré chez vous,
mais j'ai soufflé dessus. Pourquoi ?
dit l'Éternel des armées.
Aggée 1: 9
(Pourquoi ? Un seul
mot qui devrait nous conduire à
réfléchir chaque fois que nous
n'obtenons pas de réponse à nos
prières, chaque fois que nous avons
l'impression de ne plus être bénis. Un
"pourquoi" non pour accuser Dieu, mais pour se
demander si notre attitude n'est pas en
cause !)
... j'ai
soufflé dessus. Pourquoi ? dit
l'Éternel des armées.
À cause de ma maison, qui
est détruite, Tandis que vous vous empressez
chacun pour sa maison. Aggée 1: 9
Ces maisons "lambrissées" pour employer les
termes du prophète Aggée, ces maisons
dont on a amélioré l'intérieur
pour être un peu
plus isolé du monde
extérieur, ces
maisons que l'on embellit toujours un peu plus afin
d'avoir le maximum de confort, ces
maisons-là finissent par devenir de douces
prisons dont on ne désire guère
sortir.
Point n'est besoin d'être riche pour
améliorer sa petite vie quotidienne au
détriment de la maison de
l'Éternel ! Les pauvres aussi font tout
ce qui est en leur pouvoir pour ajouter un petit
plus à leur intérieur. Ils le font
même si leur regard ne se pose que sur les
poubelles garnies d'un superflu à peine
usé qui aura tôt fait de devenir
indispensable.
Étant tous sortis du même moule, tous
enfants d'Adam et Eve, il est concevable que nous
ayons des comportements identiques à cause
de la vieille nature qui survit en nous.
Seule une renaissance, comme l'entend la Parole de
Dieu, peut faire que les buts à atteindre
deviennent, petit à petit, conformes
à ceux de notre Père
Céleste !
Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle
créature. Les choses anciennes sont
passées ; voici, toutes choses sont
devenues nouvelles. 2 Corinthiens 5: 17
Être nés de nouveau, avoir reçu
le pardon de nos péchés, l'assurance
de la vie éternelle, ne nous empêche
pas d'avoir encore un oeil attentif sur
l'état de notre maison au détriment
de l'Église !
D'une Église qui souffre d'avoir des
"pierres vivantes" (1 Pierre 2: 5) qui ne participent plus beaucoup
à l'édification du corps de
Christ !
D'une Église où des "pierres" qui ne sont plus
à leur place laissent passer de dangereux
courants (d'air) qui ont tendance à en
refroidir plusieurs dont la santé
spirituelle est déjà dangereusement
atteinte.
Ils sont déjà trop nombreux ceux qui
n'ont plus envie de faire l'état des lieux,
de compter le nombre de chaises vides, car ils
devraient aussi se rendre compte que leur place est
toujours réservée.
Combien n'ont-ils plus partagé la Sainte
Cène avec leurs frères et soeurs dans
la foi alors que le Seigneur Jésus demande
à ce que l'on s'applique à cette
communion ? Combien se privent-t-ils de la
grâce ?
Absents et absentes de la maison de Dieu, ils
marchent tristement sans connaître la joie du
Seigneur ...
Absents de toutes les
réalités de la vie
chrétienne,
loin, trop loin du peuple que Dieu s'est choisi,
ils n'osent plus
confesser le nom du Seigneur
Jésus. Ils
restent la bouche close alors que l'Esprit Saint,
lorsqu'il demeure en nous, fait jaillir une source
d'eau vive pour que nous exaltions CELUI qui a
donné son sang et sa vie pour nous racheter
de la condamnation éternelle.
Par lui
(Jésus), offrons sans cesse
à Dieu un sacrifice de louange,
c'est-à-dire le fruit de lèvres qui
confessent son nom. Hébreux 13: 15
... je (l'Éternel) les réjouirai
dans ma maison de prière
Esaïe 56: 7
(... dans la maison dans laquelle on m'invoque -
Version David Martin)
La maison s'écroule, celle de Dieu bien
entendu ! Cette maison spirituelle qui lie ses
enfants les uns aux autres au travers de l'amour de
la Parole de Dieu et de la foi en
Jésus-Christ ! Ce foyer de la vie
chrétienne où pères,
mères, frères et soeurs partagent
ensemble le bon pain de la Parole de
Dieu !
Qu'il est
doux pour des frères de demeurer
ensembles! (Psaume 133. 1) Est-ce encore vrai en ce qui te
concerne?
Si quelqu'un est en
Christ !
Suis-je encore en Christ ? Une question que je
dois me poser ! Une question dont la
réponse est lue par ceux qui
m'observent !
Toutes choses sont-elles encore nouvelles dans ma
vie ou suis-je devenu indifférent tout en
ayant parfois un coup de coeur pour le Seigneur,
une amourette de passage, un flirt qui donne
l'illusion que je marche toujours avec lui alors
qu'en réalité, il y a bien longtemps
que je ne suis plus uni à LUI ni à sa
maison ?
Plaise à Dieu que nous soyons toujours
à marcher main dans la main avec lui car,
loin de rejeter les infidèles, il pourrait,
encore dans ce temps de grâce, user de moyens
plus radicaux pour nous sortir de notre indolence.
Il pourrait faire table rase de tout ce qui
encombre inutilement nos vies et nous conduire dans
le désert afin de nous parler entre quatre
yeux. (Osée 2: 14 (16)) Lot en a connu quelque chose lui qui
a dû être extirpé de Sodome par
la main puissante des anges. (Genèse 19: 16)
À croire qu'il faudrait que ce soit nos
maisons qui s'écroulent pour que l'on ait
à coeur de reconstruire la maison de
l'Éternel !
Que nos biens temporaires nous soient
ôtés pour que l'on s'unisse afin que
la croix reprenne la place qui est la sienne, pour
que l'Église soit remise au milieu du
village, et qu'elle redevienne, avec Christ, le
centre de toute vie chrétienne.
Mais, aujourd'hui
encore le constat du Seigneur est le même :
la maison de Dieu s'écroule !
Elle s'écroule
tandis que nous habitons nos maisons, nos
appartements "lambrissés", ces demeures qui
auraient tendance à rendre les coeurs de
certains comme des blockhaus, des abris
blindés qui interdisent toute intrusion de
l'Esprit Saint.
Dès lors, l'absence de plusieurs "pierres
vivantes" de la maison spirituelle (de
l'Église) a fait que le monde a
renouvelé ses efforts pour s'investir dans
l'entreprise de démolition que des
chrétiens démissionnaires ont
fondée par leur comportement.
Ne plus vivre pour le corps de Christ c'est vivre
contre lui !
Ne plus soutenir l'Église par son engagement
personnel, c'est automatiquement travailler
à sa destruction, contribuer à son
délabrement !
Sais-tu que TA place est
irremplaçable ! Que ta voix manque dans un concert de
louange qui risque de devenir bien faible si
d'autres encore se retirent pour vivre dans leurs
maisons lambrissées tout en espérant
que dame nature ne s'en prenne pas à leurs
biens !
(Nous ne parlons pas
des frères et soeurs qui sont dans
l'impossibilité de se déplacer en
raison de leur âge ou de la maladie, mais de
ceux et celles qui se sont
refroidis.)
Sais-tu qu'une
Église où tu n'es plus, a perdu une
voix pour Dieu ?
Une voix qui a été
comptabilisée en faveur du prince des
ténèbres, de celui qui a l'oeil
fixé sur ta descendance, celle que tu
n'enseignes plus comme Dieu le voudrait !
Pour Satan, ce sera alors une proie facile à
manipuler. N'ayant pas de solides fondements pour
construire sa vie, n'ayant pas d'exemple à
suivre dans son foyer, ce sera un jeu d'enfant pour
le diable de l'enseigner à sa
façon.
Si nous n'instruisons pas nos enfants dans la voie
qu'ils doivent suivre (Proverbes 22: 6), d'autres le feront dans des voies
différentes où les sens interdits
auront été déboulonnés,
remplacés par de nouveaux panneaux indiquant
de nouvelles routes qui satisferont, pour un temps,
ceux et celles qui s'y engageront à leur
risque et péril, au risque de la perdition
éternelle !
Bien sûr il y en a tant qui se sont
retirés de la vie chrétienne active
et qui survivent sans trop de problèmes (et
sans trop de joie), qu'une âme de plus ou de
moins ne semble pas porter préjudice
à l'ensemble de la
chrétienté.
C'est ce que chacun des déserteurs
pense ! Voilà pourquoi
l'Église, dans
le monde d'aujourd'hui, ne fait plus le poids et que son influence bénéfique
diminue au prorata de ceux qui l'abandonnent.
Certes ! Il y a de nombreux déserteurs
qui ne se sont pas franchement
détournés de Dieu, qui ne l'ont pas
rejeté ! Ils l'ont gardé
précieusement en le rangeant avec tous les
accessoires qui sont utilisés pour rendre la
vie plus facile le jour où on arrive
à les retrouver !
Est-ce bien le
temps..., le temps de
s'occuper de ses petites affaires, de ses petits
plaisirs alors qu'un peu partout se font entendre
les gémissements de ceux et celles qui
subissent les assauts terribles de
l'adversité, alors que se font entendre le
râle des mourants qui meurent sans
Christ ! Ces mourants qui mangent
peut-être tous les jours à notre
table !
Est-ce bien le temps
de remettre à plus tard la reconstruction de
l'Église ?
En voyant cette Église pour qui
des milliers d'hommes
et de femmes ont sacrifié leur
vie, en la voyant
tomber en ruine, je m'interroge et je me demande si
je ne devrais pas faire plus pour que
l'édifice ne s'écroule pas
davantage.
Celui
qui perdra sa vie à cause de
moi
et de
la bonne nouvelle, disait
Jésus,
la
retrouvera
(Marc 8: 35).
Est-ce que je suis prêt à "perdre" de
mon temps pour la gloire de Dieu, pour la
restauration du corps de Christ ou, pour le moins,
à m'investir afin que l'Église ne se
délabre pas plus ?
Des pans entiers de la vie chrétienne se
sont écroulés sous l'oeil
indifférent des paresseux qui pensent que ce
qui reste aujourd'hui est amplement suffisant.
Dame ! tant que la façade tient le
coup !
Des pans entiers de la vie chrétienne ne
demandent qu'à être relevés.
C'est possible encore aujourd'hui ! Tous les
matériaux sont à disposition !
La Parole de Dieu est toujours la même, aussi
active et performante qu'autrefois pour tous ceux
et toutes celles qui sauront l'écouter et la
pratiquer.
C'est possible pour autant que l'on puisse se lever
et mettre les mains dans le cambouis, pour autant
que nous ayons à coeur la maison de Dieu,
cette maison qui, un jour, nous accueillit dans son
sein en se réjouissant de notre venue.
Peut-elle encore se réjouir si nous lui
faisons du mal par notre désengagement,
notre désintéressement, notre
démission ou notre paresse ?
À quoi
perdons-nous notre temps ?
En revenant aux textes d'Osée, il faut
relever que Dieu, dans sa bonté, a
laissé son peuple rebâtir ses
habitations.
La situation qui nous est présentée
montre des gens qui
vivent tranquillement dans leurs foyers
reconstruits,
améliorés ! Ils se prélassent sans
s'inquiéter que la maison de
l'Éternel est en ruine et qu'aucun ne s'est
levé pour la rebâtir !
Dieu ne leur reproche pas même le luxe de
leurs habitations ! Il dénonce
simplement leur indifférence face à
ce coin de terre où devrait s'ériger
le temple où le Seigneur veut rencontrer son
peuple (1 Rois 8: 29).
S'ils vivaient aujourd'hui, nous pourrions les voir
installés devant la cheminée ou assis
devant la télévision, les voir
partout... sauf dans
l'oeuvre de Dieu qui manque de
bras !
Non seulement la moisson est grande (Luc 10: 2), mais de surcroît,
le fait de ne plus
s'investir pour le royaume de Dieu, de ne plus entretenir la foi de nos
pères, autorise
l'ennemi de nos âmes à
détruire, à ruiner les bienfaits dont
la société entière
(chrétienne ou non) à
bénéficier durant la période
où la pensée chrétienne
servait de fondement pour édicter des lois
saines.
N'entendons-nous pas
l'avertissement de l'apôtre ?
Rachetez
le temps, car les jours sont mauvais. Ephésiens 5: 16
Une parole qui nous
montre l'urgence
à redevenir des
témoins afin
que nous reprenions des forces pour être
fermes lorsque des temps plus difficiles
viendront.
Sachons reprendre ce que l'adversaire a volé
faute de quoi il continuera son pillage.
N'oublions pas qu'avec
Christ nous sommes plus que vainqueurs !
(Romains 8: 37)
Tandis qu'une grande partie du peuple
chrétien vit dans ses maisons
"lambrissées", qu'elle entretient son
environnement afin d'être toujours au "top
niveau", qu'elle jouit de son petit paradis...
... des hommes de l'ombre profitent de son
inactivité pour travailler à
l'anéantissement de tout ce qui est
agréable à Dieu. Ils le font tout en
tranquillisant les âmes faibles ou affaiblies
par le monde et ses attraits ou en parlant de
tolérance, d'amour, de respect pour les
minorités, etc....
En
conclusion !
Évitons de ressembler à cet homme
qui, vivant au bord d'une rivière paisible,
savoure les plaisirs que la nature lui offre sans
penser qu'en amont des ouvriers déboisent
dangereusement les collines tandis que d'autres
"aménagent" le lit de cette
rivière.
Pour lui, toutes ces activités se font bien
trop loin de sa maison, de son jardin à
l'anglaise ou à la française. Tant
qu'on le laisse tranquille, tant que personne ne
marche sur ses plates-bandes, il n'a aucune raison
de manifester sa désapprobation.
Comme lui, beaucoup vivent dans l'insouciance,
heureux d'avoir tout le confort à
portée de main, d'avoir un peu plus que le
nécessaire, et ne s'inquiètent, pas
qu'un peu plus haut, des fonctionnaires à la
solde d'une puissance étrangère
à la foi, entreprennent un abattage
systématique de tout arbre qui porte de bons
fruits, de tout arbre issu des dix
commandements !
Que vienne un orage, que le niveau d'eau de la
rivière paisible commence à monter
plus qu'à l'accoutumée, notre homme
ne s'en inquiète guère et ne s'affole
pas si une fois ou l'autre la rivière s'en
vient à couvrir quelques mètres
carrés de son jardin !
Mais à quoi pensera-t-il lorsque des eaux
rugissantes, indomptables envahiront sa maison,
lorsque des eaux chargées de toutes sortes
de saleté pollueront ce qu'il a de plus
cher ? A Reboiser la forêt ! A
Remettre la rivière dans son état
original !
Bien sûr !
Mais avant que les décisions ne se prennent,
que l'effet protecteur des jeunes arbres fasse leur
oeuvre, il y a de fortes chances que beaucoup d'eau
passera encore sous et sur les
ponts.
Pareillement, avant que les démissionnaires
de la foi, les paresseux ne retrouvent leur bon
sens, il est à craindre que bien des
âmes ne soient jetées à la
pelle dans le bourbier d'un monde qui encourage
ceux qui ont fait alliance avec lui à jeter
des pierres contre l'Église de
Jésus-Christ.
La maison de
l'Éternel tombe en
ruine !
Non pas à cause des pierres qui sont
jetées contre elle, mais à causes des
"pierres vivantes" qui se sont
dégagées de leur premier amour et qui
ont abandonné leur place au sein du corps de
Christ donnant ainsi une image négative d'un
Sauveur qui veut rassembler tous les hommes et
toutes les femmes dans son amour.
Démission et
paresse gangrènent dangereusement ce qui
reste de l'Église !
- Serons-nous des réparateurs de
brèches ou des saboteurs ?
- Sommes-nous prêts à nous investir
pour défendre notre bien, pour
défendre ce que le Seigneur Jésus
nous a donné au travers de son sang et de sa
vie ou allons-nous continuer à vivre dans
nos maisons "lambrissées" sans nous
préoccuper de la maison de l'Éternel
qui tombe en ruine ?
...
tous, en effet, cherchent leurs propres
intérêts, et non ceux de
Jésus-Christ. Philippiens 2:21
Que
personne ne cherche son propre
intérêt, mais que chacun cherche celui
d'autrui. 1 Corinthiens 10: 24
- CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse