Dimanche dernier, alors que
je relisais la prédication qui allait
être donnée ( b - Entre la
sainteté et l'amour de Dieu), mon attention
fut particulièrement retenue par une portion
des versets d'Hébreux 10: 26-29 ; celle que je mettrai en
majuscule dans le paragraphe
ci-dessous :
.... si nous péchons
volontairement après avoir
reçu la connaissance de la
vérité, il ne reste plus de sacrifice pour
les péchés, mais une attente
terrible du jugement et l'ardeur d'un feu qui
dévorera les rebelles.
Celui qui a violé la loi de Moïse meurt
sans miséricorde, sur la déposition
de deux ou de trois témoins ;
de
quel pire châtiment pensez-vous que sera
jugé digne celui...
- qui
aura foulé aux pieds le Fils de Dieu,
- qui aura tenu pour profane le sang de l'alliance,
par lequel il a été
sanctifié,
- ET
QUI AURA OUTRAGE L'ESPRIT DE
GRÂCE ?
En lisant
et relisant ces textes de la Parole de Dieu, en
s'en imprégnant, en pesant bien ce que Dieu
veut nous dire lorsqu'il emploie des mots qui ne
laissent aucun doute sur leur signification,
nous
devons réaliser le sérieux qu'il y a
dans cet avertissement.
Un avertissement qui se résumerait par cette
autre pensée : "On ne se moque pas de
Dieu !" (Galates 6:7).
L'auteur de l'épître aux Galates
précisant avant tout : "Ne vous y
trompez pas !"
C'est-à-dire : ne nous faisons pas
d'illusion en nous trompant nous-mêmes par de
faux raisonnements (Jacques 1: 22), des raisonnements
inspirés par le Malin et qui n'ont rien
à voir avec la pensée de Dieu.
Dieu agira comme il l'a dit parce qu'il n'est pas
un homme pour mentir ! (Nombre 23: 19)
Donc, loin de nous la pensée que les
avertissements faits au peuple de Dieu ou les
menaces dirigées contre les impies, les
rebelles, ne soient que des paroles
destinées simplement à faire peur et
qu'elles ne s'exécuteront jamais !
Dieu serait menteur s'il n'accomplissait pas ce
qu'il dit !
Nous croyons qu'il dit la vérité
lorsqu'il parle du salut ou des
bénédictions, croyons-le aussi
lorsqu'il parle de châtiments !
Aujourd'hui il est urgent de prendre en
considération la pensée de notre
Père céleste lorsqu'il avertit ses
enfants ! Une pensée claire qui ne
laisse aucun doute sur le fait qu'il y aura un
moment de non-retour, un moment où la
grâce n'aura plus d'efficacité.
La
richesse infinie de la grâce de Dieu sans
effet?
Comment l'infinie richesse de cette
grâce pourrait-elle être tarie?
Simplement parce qu'elle n'est infinie
que
pour ceux et celles qui en apprécient la
valeur !
Un jour, par la grâce de Dieu justement, nous
avons compris qu'il nous était
nécessaire d'accepter Jésus comme
Sauveur de nos âmes, qu'il était
INDISPENSABLE de nous repentir de nos
péchés afin de pouvoir entrer dans
une nouvelle vie et avoir part à la
félicité éternelle, au
Paradis.
Aussi sales que nous avons pu l'être, Christ
a payé le prix fort ! Il l'a fait en
donnant sa vie pour que le pardon de son
Père nous soit accessible, et cela
indépendamment du "capital" de
péchés que nous avions en
compte !
...
là où le péché a
abondé, la grâce a surabondé...
Romains 5: 20 (v. L. S)
Ainsi, en début de "carrière
chrétienne" la grâce a pleinement
accompli son effet : Tous nos
péchés ont été
pleinement pardonnés et effacés de la
mémoire de Dieu ! Nous avions alors
connu la richesse infinie de la
grâce de Dieu qui nous a permis d'avoir
l'assurance de la Vie éternelle.
Le
salaire du péché, c'est la
mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la
vie éternelle en Jésus-Christ notre
Seigneur. Romains 6: 23 (v. L. S)
Sauvés de la mort, de la
séparation éternelle d'avec Dieu,
nous avons maintenant le devoir de prouver notre
reconnaissance envers ce Dieu qui nous a
adoptés et fait de nous des fils et des
filles à part entière !
Comprenant alors un peu mieux la gravité du
péché et sachant que chaque
péché met une distance entre le
Seigneur et nous-mêmes en raison de sa
sainteté, il nous appartient
désormais de répondre favorablement
à chaque injonction de l'Esprit de
Dieu
qui, par divers moyens, met en lumière les
éventuels péchés qui
démontrent que nous sommes encore
liés à notre vieille nature.
Confiant dans la bonté de notre Père
céleste, nous avons alors l'assurance
que :
Si nous confessons nos péchés, il est
fidèle et juste pour nous les pardonner, et
pour nous purifier de toute iniquité.
1 Jean 1: 9 (v. L. S)
... pour nous pardonner nos péchés,
et nous nettoyer de toute iniquité. (v. D.
M.)
Tout au long de son pèlerinage, le croyant
honnête pourra toujours être au
bénéfice de la richesse infinie de la
grâce. Une grâce qui ne cessera
jamais et qui ouvrira toujours les portes du
pardon à l'enfant racheté
qui reconnaît sa
faute
lorsqu'il a péché ou, que par
inattention, il s'est égaré sur un
chemin de traverse.
Par contre, il en est tout autre pour celui ou
celle qui prend à la légère
son engagement avec le Seigneur et qui s'imagine
que la liberté qu'il a en Christ l'autorise
à pécher impunément.
C'est
pour la liberté que Christ nous a
affranchis. Demeurez donc fermes, et ne vous
laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la
servitude. Galates 5: 1 (v. L. S)
Voilà une
invitation qui pourrait être mal comprise,
celle de la liberté, et en faire retomber
plusieurs dans l'esclavage ou sous la domination de
leur ancien maître, Satan le prince des
ténèbres, Satan le père du
mensonge.
Il a toujours eu une manière insidieuse de
présenter la liberté qu'il propose
à ceux et à celles qui sont mal
affermis dans la foi. Agissant de façon
trompeuse, cachant les conséquences qu'il y
a à abuser d'une liberté contraire
aux enseignements divins, le diable mènera
par le bout du nez ceux qui ont accepté
Christ comme Sauveur, mais qui ont refusé
qu'il soit Seigneur par crainte de perdre leur
ancienne liberté.
Il importe peu au diable que les hommes ou les
femmes acceptent Jésus comme Sauveur si lui,
Satan, garde le pouvoir de diriger leur vie, s'il
peut encore régner et les manipuler selon
son mauvais plaisir !
Cette liberté, la liberté que Christ
nous a donnée, est celle de ne plus
être esclaves du péché, de ne
plus répondre à ses sollicitations et
non la liberté de faire tout ce que l'on a
envie de faire sous prétexte que Dieu est
amour !
Frères, vous avez
été appelés à la
liberté, seulement ne faites pas de cette
liberté un prétexte de vivre selon la
chair... Galates 5: 13 (v. L. S)
Pour bien comprendre ce que sont les oeuvres de la
chair, oeuvres qui conduisent à la
perdition, relevons la liste qu'en fait la Parole
de Dieu :
Or, les
oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont
l'impudicité, l'impureté, la
dissolution, l'idolâtrie, la magie, les
inimitiés, les querelles, les jalousies, les
animosités, les disputes, les divisions, les
sectes, l'envie, l'ivrognerie, les excès de
table, et les choses semblables.
Je vous dis d'avance, comme je l'ai déjà
dit,
que ceux qui commettent de telles
choses n'hériteront point le royaume de
Dieu.
Galates 5: 19-21 (v. L. S)
Pour mieux saisir la description qui nous est
donnée, je me permettrai d'utiliser une
version de la Bible en français plus
conventionnel (Parole vivante).
Quoique je ne sois pas un chaud partisan de ce
genre de version, la façon de décrire
les comportements qui nous fermeront la porte du
Royaume de Dieu, me semble bien plus accessible
à notre compréhension que celle de
nos versions traditionnelles ; à nous
d'en tirer des réflexions utiles pour notre
vie !
" ... on sait bien de quoi est capable l'homme livré à ses penchants naturels ; ce sont d'abord les pensées impures, la sensualité, l'immoralité, l'indécence, le libertinage, l'adultère, la débauche.
C'est ensuite l'adoration de faux dieux, les superstitions, l'occultisme, la sorcellerie et la magie. Puis ce sont les inimitiés (haine, antipathie), les discordes et les querelles, la jalousie, le mauvais caractère, les accès de colère, les intrigues, les cabales, les rixes, les rivalités inspirées par des ambitions égoïstes et aboutissant à des dissensions et des scissions dans l'Église. C'est l'esprit de parti, le sentiment d'être seul dans la vérité, ce sont les fausses doctrines et leur cortège de divisions.
C'est la haine, l'envie, l'ivrognerie, la gloutonnerie, les beuveries, les ripailles et autres excès de ce genre. Je ne puis que répéter ce que j'ai déclaré jadis à ce sujet : celui qui commet de telles actions n'a aucune part à l'héritage du Royaume de Dieu. "(Parole vivante)
Toutes ces
oeuvres qui viennent d'être décrites
ont pu appartenir à notre passé,
appartenir au temps où nous vivions sans
Christ, sans espérance et... sans Dieu
(Ephésiens 2: 12). Mais en donnant notre vie
à Christ tous ces péchés ont
été pardonnés ! (Lire
1 Corinthiens 6: 9-11)
La
richesse infinie de la grâce de Dieu
n'a
pas tenu compte de la quantité de nos
péchés. Dieu a tout pardonné
sans faire de détail, sans tenir compte de
l'horreur de certains qu'il qualifie lui-même
d'abominables !
Maintenant nous devons reconnaître que
certaines "passions" de notre passé peuvent
encore se manifester durant notre pèlerinage
terrestre malgré le désir que nous
avons de vivre pour Christ.
Il faut une persévérance constante et
un désir ardent d'être secouru par le
Seigneur pour ne plus être esclave d'un
péché qui nous pousse à faire
ce que
nous n'avons plus envie de faire.
L'apôtre Paul en connaissait quelque chose
lui qui a reconnu qu'il faisait le mal qu'il ne
voulait pas faire ! (Romains 7: 19)
Insistons bien sur le fait que son intention
n'était pas de faire le mal, bien au
contraire ! Son attitude de coeur était
juste devant Dieu et nous devons avoir la
même lorsque nous constatons que nous avons
"glissé" dans le péché.
... je ne
fais pas le bien que je veux, et je fais le mal
que je
ne veux pas. Romains 7: 19
Arrivés à ce point-là, nous
pouvons tirer une conclusion qui se résume
ainsi :
- La grâce de Dieu est continuellement en
action pour celui et celle qui
reconnaît son péché, le
confesse et le délaisse ou demande le
secours du Seigneur pour en être
libéré.
- Les avertissements de Dieu nous sont
donnés, non pas pour nous faire
peur,
mais pour nous éviter le
pire !
Nous venons
de voir que le péché qui nous
sépare de Dieu nous a fait connaître
l'amour infini qu'il a toujours eu pour l'homme, un
amour, nous le savons bien, qui s'est
concrétisé par le fait que
Jésus a subi, à notre place, la
condamnation que nous méritions tous.
Dès lors, l'accusateur de nos âmes ne
peut plus revendiquer ses droits sur ses anciens
esclaves qui sont devenus serviteurs volontaires du
Seigneur.
Il n'y a
donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui
sont en Jésus-Christ, lesquels ne marchent
point selon la chair, mais selon
l'Esprit. Romains 8: 1 (v. D. M.)
Notez la deuxième section de ce
verset ; passage inexistant dans la version
Louis Segond et Darby, mais se trouvant dans les
versions King James, Osterwald, et d'autres
encore.
Ce passage manquant explique pourtant qu'il y a
une
marche à suivre, marche qui est quand même
mise en avant en Romains 8: 4, et
répétée dans les versions qui
viennent d'être nommées.
En marchant selon l'Esprit, il va de soi que nous
ne pourrons pas pécher VOLONTAIREMENT comme
en parle notre texte d'Hébreux 10: 26-29:
.... si nous péchons
volontairement après avoir
reçu la connaissance de la
vérité...
L'Écriture nous apprend ainsi que nous
pouvons pécher involontairement et volontairement depuis que nous nous
sommes donnés au Seigneur.
Deux situations dont l'aboutissement final conduira
les uns dans le Royaume de Dieu et les autres vers
la perdition éternelle.
Quoique Dieu pardonne tout, absolument tous les
péchés, il exclut de son pardon le
péché contre le Saint-Esprit !
Jésus est catégorique sur ce
point-là :
En
vérité je vous dis, que toutes sortes
de péchés seront pardonnés aux
enfants des hommes, et aussi [toutes sortes] de
blasphèmes par lesquels ils auront
blasphémé ; Mais quiconque aura
blasphémé contre le
Saint-Esprit, n'aura jamais de pardon, mais il sera soumis
à une condamnation
éternelle. Marc 3: 28-29 (v. D.
M.)
Quiconque
parlera contre le Fils de l'homme, il lui sera
pardonné ; mais quiconque parlera
contre le Saint-Esprit, il ne lui sera
pardonné ni dans ce siècle ni dans le
siècle à venir. Matthieu 12: 32 (v. L. S)
Cette affirmation n'est pas une plaisanterie !
Elle est à prendre très au
sérieux !
Je tremble à la pensée que des
enfants de Dieu ont pris des libertés avec
la Bible en s'appuyant uniquement sur le simple
fait que le Seigneur pardonne et que son amour
finira bien par triompher du jugement !
Si Dieu passait l'éponge sur les
péchés volontaires comment se fait-il
que, par la bouche de l'apôtre Jean, il nous
demande de ne pas prier en faveur de ceux qui
commettent le péché qui conduit
à la mort ?
Si
quelqu'un voit son frère commettre
un
péché qui ne mène point
à la mort, qu'il prie, et Dieu donnera la
vie à ce frère, il la donnera
à ceux qui commettent un péché
qui ne mène point à la
mort.
Il y a
un péché qui mène à la
mort ; ce n'est pas pour ce
péché-là que je dis de
prier.
Toute iniquité est un péché,
et il
y a tel péché qui ne mène pas
à la mort. 1 Jean 5: 16-17 (v. L. S)
Comment est-il possible d'en
arriver à ce point de
non-retour ?
Sans vouloir mettre en doute la conversion de ceux
qui ont péché contre le Saint-Esprit,
la Bible ne le faisant pas, nous pouvons
réfléchir et chercher à
comprendre comment le déclin de la foi a pu
en conduire certains à ne plus pouvoir
bénéficier du pardon. (Matthieu 12. 32)
Tout semble être une question de marche dans
l'obéissance !
Une
obéissance qui elle-même est
conséquente de la crainte respectueuse qui
nous est demandée de la part de notre Dieu
Sauveur, une crainte qu'un des brigands sur la
Croix a retrouvée et qu'il n'a pas
manqué de signaler à son compagnon de
mauvaise vie :
Ne
crains-tu pas Dieu, toi qui subis la même
condamnation ? Luc 23: 40 (v. L. S)
Une parole qui nous rappelle que nous sommes tous
et toutes sous la même condamnation et que
c'est "justice de
Dieu" de condamner le
péché !
Combien ne devrions-nous pas avoir cette crainte
respectueuse sachant que le Fils de Dieu a pris
VOLONTAIREMENT notre place pour subir NOTRE
châtiment ?
La
crainte n'est pas incompatible avec l'amour que
Dieu nous offre.
La crainte n'empêchera jamais notre amour
pour le Seigneur de s'épanouir.
La
crainte de Dieu est recommandée,
exigée, ordonnée !
- Honorez
tout le monde ; aimez les frères ;
craignez Dieu ; honorez le roi.
1 Pierre 2: 17 (v. L. S)
- ... le temps est venu de juger les morts, de
récompenser tes serviteurs les
prophètes, les saints et ceux qui craignent ton
nom... Apocalypse 11: 18 (v. L. S)
- ... bien-aimés, purifions-nous de toute
souillure de la chair et de l'esprit, en
achevant notre sanctification dans
la crainte de Dieu. 2 Corinthiens 7: 1 (v. L. S)
- ...
vous soumettant les uns aux autres dans la crainte de
Christ. Ephésiens 5: 21 (v. L. S)
Si cette crainte n'est pas dans le coeur, il va de
soi que le respect dû au Seigneur en
pâtira et que l'importance donnée
à ses commandements en sera réduite
d'autant !
Si l'Écriture nous enseigne de ne pas jeter
nos perles devant les pourceaux, de ne pas jeter
les choses saintes aux chiens sous peine d'en subir
le contrecoup (Matthieu 7. 6)...
.... à plus forte raison nous ne devons pas
mépriser le Fils de Dieu, le rabaisser en
tenant pour une chose de peu d'intérêt
le sang de la nouvelle alliance, son propre sang
qu'il a versé pour que nous ayons
accès au pardon de son Père. À
plus forte raison nous ne devons pas outrager,
insulter l'Esprit Saint qui un jour nous a
visités.
(Hébreux 10: 26-29)
Le péché volontaire est un bras de
fer contre l'autorité de Dieu, un bras de
fer où nous n'avons aucune chance de
gagner ! Qui oserait prétendre dicter
sa conduite à celui qui a créé
le monde visible et invisible ?
On ne joue pas avec le Dieu trois fois saint, avec
sa sainteté, sa justice ou son amour !
On ne se moque pas de Dieu : " si nous péchons
volontairement après avoir
reçu la connaissance de la
vérité... "
Nous sommes
prévenus ! Et parce que nous le sommes,
il nous appartient de ne pas tenter le Seigneur en
allant frôler les limites de sa patience.
Qui sait si un jour, par inadvertance, nous ne
finirions pas par franchir la frontière de
la grâce pour nous retrouver sous le
jugement ?
Nulle part la Bible nous présente
d'échappatoire à la terrible
sanction qui nous est
présentée !
Il ne
reste plus de sacrifice pour les
péchés, mais une attente terrible du
jugement et l'ardeur d'un feu qui dévorera
les rebelles. Hébreux 10: 26-27 (v. L. S, v. D. , v.
D. M. etc.)
À ma connaissance,
il n'y a pas de
traduction qui minimise ce comportement et qui
laisse entrevoir un pardon possible.
Le seul texte qui pourrait encore donner de
l'espérance...
(je parle au conditionnel car rien ne dit qu'il
puisse s'appliquer à cette situation)
... ce texte serait celui où Dieu
précise qu'il ne tient pas compte du temps
d'ignorance.
Mais quelle ignorance pourrait-on mettre en
avant ?
Celle de ne pas avoir compris le sérieux des
avertissements divins !
Une chose est certaine : DIEU NE FAIT PAS
D'ERREUR ET N'EN FERA JAMAIS !
"Seigneur... Je savais
que tu es un Dieu trois fois saint, mais je me
rends compte que la mesure de ta sainteté
dépasse mon imagination. Tu es plus saint
que je ne pourrai jamais le penser.
Ta sainteté n'a d'égal que
l'immensité de ton amour, cet amour sans
limite dont je suis encore le
bénéficiaire.
Aide-moi mon Dieu à marcher d'une
manière qui soit digne de la grâce que
tu m'as faite et que jamais je ne minimise la
portée de tes paroles sous prétexte
que je chercherais un moyen de faire ma
volonté plutôt que la
tienne !"
"Aide-moi à marcher
dans l'obéissance et surtout
À NE JAMAIS RESTER DANS LA
DÉSOBÉISSANCE"
© J-M
Ravé 9 septembre 2006 -
CP 474 -
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