Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Croire est-ce bien suffisant?

5 - Remettre Dieu à la place de Dieu

c - Le péché impardonnable

Dimanche dernier, alors que je relisais la prédication qui allait être donnée ( b - Entre la sainteté et l'amour de Dieu), mon attention fut particulièrement retenue par une portion des versets d'Hébreux 10: 26-29 ; celle que je mettrai en majuscule dans le paragraphe ci-dessous :

.... si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l'ardeur d'un feu qui dévorera les rebelles.
Celui qui a violé la loi de Moïse meurt sans miséricorde, sur la déposition de deux ou de trois témoins ;
de quel pire châtiment pensez-vous que sera jugé digne celui...

- qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu,
- qui aura tenu pour profane le sang de l'alliance, par lequel il a été sanctifié,
-
ET QUI AURA OUTRAGE L'ESPRIT DE GRÂCE ?

En lisant et relisant ces textes de la Parole de Dieu, en s'en imprégnant, en pesant bien ce que Dieu veut nous dire lorsqu'il emploie des mots qui ne laissent aucun doute sur leur signification, nous devons réaliser le sérieux qu'il y a dans cet avertissement.

Un avertissement qui se résumerait par cette autre pensée : "On ne se moque pas de Dieu !" (
Galates 6:7).
L'auteur de l'épître aux Galates précisant avant tout : "Ne vous y trompez pas !"

C'est-à-dire : ne nous faisons pas d'illusion en nous trompant nous-mêmes par de faux raisonnements (
Jacques 1: 22), des raisonnements inspirés par le Malin et qui n'ont rien à voir avec la pensée de Dieu.
Dieu agira comme il l'a dit parce qu'il n'est pas un homme pour mentir ! (
Nombre 23: 19)
Donc, loin de nous la pensée que les avertissements faits au peuple de Dieu ou les menaces dirigées contre les impies, les rebelles, ne soient que des paroles destinées simplement à faire peur et qu'elles ne s'exécuteront jamais !

Dieu serait menteur s'il n'accomplissait pas ce qu'il dit !

Nous croyons qu'il dit la vérité lorsqu'il parle du salut ou des bénédictions, croyons-le aussi lorsqu'il parle de châtiments !

Aujourd'hui il est urgent de prendre en considération la pensée de notre Père céleste lorsqu'il avertit ses enfants ! Une pensée claire qui ne laisse aucun doute sur le fait qu'il y aura un moment de non-retour, un moment où la grâce n'aura plus d'efficacité.

La richesse infinie de la grâce de Dieu sans effet?
Comment l'infinie richesse de cette grâce pourrait-elle être tarie?

Simplement parce qu'elle n'est infinie
que pour ceux et celles qui en apprécient la valeur !

Un jour, par la grâce de Dieu justement, nous avons compris qu'il nous était nécessaire d'accepter Jésus comme Sauveur de nos âmes, qu'il était INDISPENSABLE de nous repentir de nos péchés afin de pouvoir entrer dans une nouvelle vie et avoir part à la félicité éternelle, au Paradis.

Aussi sales que nous avons pu l'être, Christ a payé le prix fort ! Il l'a fait en donnant sa vie pour que le pardon de son Père nous soit accessible, et cela indépendamment du "capital" de péchés que nous avions en compte !

... là où le péché a abondé, la grâce a surabondé... Romains 5: 20 (v. L. S)

Ainsi, en début de "carrière chrétienne" la grâce a pleinement accompli son effet : Tous nos péchés ont été pleinement pardonnés et effacés de la mémoire de Dieu ! Nous avions alors connu
la richesse infinie de la grâce de Dieu qui nous a permis d'avoir l'assurance de la Vie éternelle.

Le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. Romains 6: 23 (v. L. S)

Sauvés de la mort, de la séparation éternelle d'avec Dieu, nous avons maintenant le devoir de prouver notre reconnaissance envers ce Dieu qui nous a adoptés et fait de nous des fils et des filles à part entière !

Comprenant alors un peu mieux la gravité du péché et sachant que chaque péché met une distance entre le Seigneur et nous-mêmes en raison de sa sainteté, il nous appartient désormais de
répondre favorablement à chaque injonction de l'Esprit de Dieu qui, par divers moyens, met en lumière les éventuels péchés qui démontrent que nous sommes encore liés à notre vieille nature.

Confiant dans la bonté de notre Père céleste, nous avons alors l'assurance que :

Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.
1 Jean 1: 9 (v. L. S)

... pour nous pardonner nos péchés, et nous nettoyer de toute iniquité. (v. D. M.)


Tout au long de son pèlerinage, le croyant honnête pourra toujours être au bénéfice de la
richesse infinie de la grâce. Une grâce qui ne cessera jamais et qui ouvrira toujours les portes du pardon à l'enfant racheté qui reconnaît sa faute lorsqu'il a péché ou, que par inattention, il s'est égaré sur un chemin de traverse.

Par contre, il en est tout autre pour celui ou celle qui prend à la légère son engagement avec le Seigneur et qui s'imagine que la liberté qu'il a en Christ l'autorise à pécher impunément.

C'est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude. Galates 5: 1 (v. L. S)

Voilà une invitation qui pourrait être mal comprise, celle de la liberté, et en faire retomber plusieurs dans l'esclavage ou sous la domination de leur ancien maître, Satan le prince des ténèbres, Satan le père du mensonge.
Il a toujours eu une manière insidieuse de présenter la liberté qu'il propose à ceux et à celles qui sont mal affermis dans la foi. Agissant de façon trompeuse, cachant les conséquences qu'il y a à abuser d'une liberté contraire aux enseignements divins, le diable mènera par le bout du nez ceux qui ont accepté Christ comme Sauveur, mais qui ont refusé qu'il soit Seigneur par crainte de perdre leur ancienne liberté.
Il importe peu au diable que les hommes ou les femmes acceptent Jésus comme Sauveur si lui, Satan, garde le pouvoir de diriger leur vie, s'il peut encore régner et les manipuler selon son mauvais plaisir !

Cette liberté, la liberté que Christ nous a donnée, est celle de ne plus être esclaves du péché, de ne plus répondre à ses sollicitations et non la liberté de faire tout ce que l'on a envie de faire sous prétexte que Dieu est amour !

Frères, vous avez été appelés à la liberté, seulement ne faites pas de cette liberté un prétexte de vivre selon la chair... Galates 5: 13 (v. L. S)

Pour bien comprendre ce que sont les oeuvres de la chair, oeuvres qui conduisent à la perdition, relevons la liste qu'en fait la Parole de Dieu :

Or, les oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont l'impudicité, l'impureté, la dissolution, l'idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes, l'envie, l'ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables.
Je vous dis d'avance,
comme je l'ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n'hériteront point le royaume de Dieu. Galates 5: 19-21 (v. L. S)

Pour mieux saisir la description qui nous est donnée, je me permettrai d'utiliser une version de la Bible en français plus conventionnel (Parole vivante).
Quoique je ne sois pas un chaud partisan de ce genre de version, la façon de décrire les comportements qui nous fermeront la porte du Royaume de Dieu, me semble bien plus accessible à notre compréhension que celle de nos versions traditionnelles ; à nous d'en tirer des réflexions utiles pour notre vie !

" ... on sait bien de quoi est capable l'homme livré à ses penchants naturels ; ce sont d'abord les pensées impures, la sensualité, l'immoralité, l'indécence, le libertinage, l'adultère, la débauche.

C'est ensuite l'adoration de faux dieux, les superstitions, l'occultisme, la sorcellerie et la magie. Puis ce sont les inimitiés
(haine, antipathie), les discordes et les querelles, la jalousie, le mauvais caractère, les accès de colère, les intrigues, les cabales, les rixes, les rivalités inspirées par des ambitions égoïstes et aboutissant à des dissensions et des scissions dans l'Église. C'est l'esprit de parti, le sentiment d'être seul dans la vérité, ce sont les fausses doctrines et leur cortège de divisions.

C'est la haine, l'envie, l'ivrognerie, la gloutonnerie, les beuveries, les ripailles et autres excès de ce genre. Je ne puis que répéter ce que j'ai déclaré jadis à ce sujet :
celui qui commet de telles actions n'a aucune part à l'héritage du Royaume de Dieu. "(Parole vivante)

Toutes ces oeuvres qui viennent d'être décrites ont pu appartenir à notre passé, appartenir au temps où nous vivions sans Christ, sans espérance et... sans Dieu (Ephésiens 2: 12). Mais en donnant notre vie à Christ tous ces péchés ont été pardonnés ! (Lire 1 Corinthiens 6: 9-11)
La richesse infinie de la grâce de Dieu n'a pas tenu compte de la quantité de nos péchés. Dieu a tout pardonné sans faire de détail, sans tenir compte de l'horreur de certains qu'il qualifie lui-même d'abominables !

Maintenant nous devons reconnaître que certaines "passions" de notre passé peuvent encore se manifester durant notre pèlerinage terrestre malgré le désir que nous avons de vivre pour Christ.

Il faut une persévérance constante et un désir ardent d'être secouru par le Seigneur pour ne plus être esclave d'un péché qui nous pousse à faire
ce que nous n'avons plus envie de faire.
L'apôtre Paul en connaissait quelque chose lui qui a reconnu qu'il faisait le mal qu'il ne voulait pas faire ! (
Romains 7: 19)

Insistons bien sur le fait que son intention n'était pas de faire le mal, bien au contraire ! Son attitude de coeur était juste devant Dieu et nous devons avoir la même lorsque nous constatons que nous avons "glissé" dans le péché.

... je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Romains 7: 19

Arrivés à ce point-là, nous pouvons tirer une conclusion qui se résume ainsi :

- La grâce de Dieu est
continuellement en action pour celui et celle qui reconnaît son péché, le confesse et le délaisse ou demande le secours du Seigneur pour en être libéré.

- Les avertissements de Dieu nous sont donnés,
non pas pour nous faire peur, mais pour nous éviter le pire !

Quand la richesse infinie de la grâce de Dieu est tarie.

Nous venons de voir que le péché qui nous sépare de Dieu nous a fait connaître l'amour infini qu'il a toujours eu pour l'homme, un amour, nous le savons bien, qui s'est concrétisé par le fait que Jésus a subi, à notre place, la condamnation que nous méritions tous. Dès lors, l'accusateur de nos âmes ne peut plus revendiquer ses droits sur ses anciens esclaves qui sont devenus serviteurs volontaires du Seigneur.

Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, lesquels ne marchent point selon la chair, mais selon l'Esprit. Romains 8: 1 (v. D. M.)

Notez la deuxième section de ce verset ; passage inexistant dans la version Louis Segond et Darby, mais se trouvant dans les versions King James, Osterwald, et d'autres encore.
Ce passage manquant explique pourtant qu'il y a
une marche à suivre, marche qui est quand même mise en avant en Romains 8: 4, et répétée dans les versions qui viennent d'être nommées.

En marchant selon l'Esprit, il va de soi que nous ne pourrons pas pécher VOLONTAIREMENT comme en parle notre texte d'
Hébreux 10: 26-29:

.... si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité...

L'Écriture nous apprend ainsi que nous pouvons pécher
involontairement et volontairement depuis que nous nous sommes donnés au Seigneur.
Deux situations dont l'aboutissement final conduira les uns dans le Royaume de Dieu et les autres vers la perdition éternelle.

Quoique Dieu pardonne tout, absolument tous les péchés, il exclut de son pardon le péché contre le Saint-Esprit ! Jésus est catégorique sur ce point-là :

En vérité je vous dis, que toutes sortes de péchés seront pardonnés aux enfants des hommes, et aussi [toutes sortes] de blasphèmes par lesquels ils auront blasphémé ; Mais quiconque aura blasphémé contre le Saint-Esprit, n'aura jamais de pardon, mais il sera soumis à une condamnation éternelle. Marc 3: 28-29 (v. D. M.)

Quiconque parlera contre le Fils de l'homme, il lui sera pardonné ; mais quiconque parlera contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. Matthieu 12: 32 (v. L. S)

Cette affirmation n'est pas une plaisanterie ! Elle est à prendre très au sérieux !

Je tremble à la pensée que des enfants de Dieu ont pris des libertés avec la Bible en s'appuyant uniquement sur le simple fait que le Seigneur pardonne et que son amour finira bien par triompher du jugement !

Si Dieu passait l'éponge sur les péchés volontaires comment se fait-il que, par la bouche de l'apôtre Jean, il nous demande de ne pas prier en faveur de ceux qui commettent le péché qui conduit à la mort ?

Si quelqu'un voit son frère commettre un péché qui ne mène point à la mort, qu'il prie, et Dieu donnera la vie à ce frère, il la donnera à ceux qui commettent un péché qui ne mène point à la mort.
Il y a un péché qui mène à la mort ; ce n'est pas pour ce péché-là que je dis de prier.
Toute iniquité est un péché, et
il y a tel péché qui ne mène pas à la mort. 1 Jean 5: 16-17 (v. L. S)
Comment est-il possible d'en arriver à ce point de non-retour ?
Sans vouloir mettre en doute la conversion de ceux qui ont péché contre le Saint-Esprit, la Bible ne le faisant pas, nous pouvons réfléchir et chercher à comprendre comment le déclin de la foi a pu en conduire certains à ne plus pouvoir bénéficier du pardon. (
Matthieu 12. 32)

Tout semble être une question de marche dans l'obéissance !
Une obéissance qui elle-même est conséquente de la crainte respectueuse qui nous est demandée de la part de notre Dieu Sauveur, une crainte qu'un des brigands sur la Croix a retrouvée et qu'il n'a pas manqué de signaler à son compagnon de mauvaise vie :

Ne crains-tu pas Dieu, toi qui subis la même condamnation ? Luc 23: 40 (v. L. S)

Une parole qui nous rappelle que nous sommes tous et toutes sous la même condamnation et que
c'est "justice de Dieu" de condamner le péché !
Combien ne devrions-nous pas avoir cette crainte respectueuse sachant que le Fils de Dieu a pris VOLONTAIREMENT notre place pour subir NOTRE châtiment ?

La crainte n'est pas incompatible avec l'amour que Dieu nous offre.
La crainte n'empêchera jamais notre amour pour le Seigneur de s'épanouir.

La crainte de Dieu est recommandée, exigée, ordonnée !

- Honorez tout le monde ; aimez les frères ; craignez Dieu ; honorez le roi. 1 Pierre 2: 17 (v. L. S)

- ... le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et
ceux qui craignent ton nom... Apocalypse 11: 18 (v. L. S)

- ... bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, en
achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. 2 Corinthiens 7: 1 (v. L. S)

- ... vous soumettant les uns aux autres dans la crainte de Christ. Ephésiens 5: 21 (v. L. S)


Si cette crainte n'est pas dans le coeur, il va de soi que le respect dû au Seigneur en pâtira et que l'importance donnée à ses commandements en sera réduite d'autant !

Si l'Écriture nous enseigne de ne pas jeter nos perles devant les pourceaux, de ne pas jeter les choses saintes aux chiens sous peine d'en subir le contrecoup (
Matthieu 7. 6)...

.... à plus forte raison nous ne devons pas mépriser le Fils de Dieu, le rabaisser en tenant pour une chose de peu d'intérêt le sang de la nouvelle alliance, son propre sang qu'il a versé pour que nous ayons accès au pardon de son Père. À plus forte raison nous ne devons pas outrager, insulter l'Esprit Saint qui un jour nous a visités.
(Hébreux 10: 26-29)

Le péché volontaire est un bras de fer contre l'autorité de Dieu, un bras de fer où nous n'avons aucune chance de gagner ! Qui oserait prétendre dicter sa conduite à celui qui a créé le monde visible et invisible ?

On ne joue pas avec le Dieu trois fois saint, avec sa sainteté, sa justice ou son amour ! On ne se moque pas de Dieu : "
si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité... "
Nous sommes prévenus ! Et parce que nous le sommes, il nous appartient de ne pas tenter le Seigneur en allant frôler les limites de sa patience.
Qui sait si un jour, par inadvertance, nous ne finirions pas par franchir la frontière de la grâce pour nous retrouver sous le jugement ?
Nulle part la Bible nous présente d'échappatoire à la terrible sanction qui nous est présentée !


Il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l'ardeur d'un feu qui dévorera les rebelles. Hébreux 10: 26-27 (v. L. S, v. D. , v. D. M. etc.)

À ma connaissance, il n'y a pas de traduction qui minimise ce comportement et qui laisse entrevoir un pardon possible.

Le seul texte qui pourrait encore donner de l'espérance...
(je parle au conditionnel car rien ne dit qu'il puisse s'appliquer à cette situation)
... ce texte serait celui où Dieu précise qu'il ne tient pas compte du temps d'ignorance.

Mais quelle ignorance pourrait-on mettre en avant ?
Celle de ne pas avoir compris le sérieux des avertissements divins !

Une chose est certaine : DIEU NE FAIT PAS D'ERREUR ET N'EN FERA JAMAIS !

"Seigneur... Je savais que tu es un Dieu trois fois saint, mais je me rends compte que la mesure de ta sainteté dépasse mon imagination. Tu es plus saint que je ne pourrai jamais le penser.

Ta sainteté n'a d'égal que l'immensité de ton amour, cet amour sans limite dont je suis encore le bénéficiaire.
Aide-moi mon Dieu à marcher d'une manière qui soit digne de la grâce que tu m'as faite et que jamais je ne minimise la portée de tes paroles sous prétexte que je chercherais un moyen de faire ma volonté plutôt que la tienne !"

Tu es trop juste, Éternel, pour que je conteste avec toi.
Jérémie 12: 1 (v. L. S)

"Aide-moi à marcher dans l'obéissance et surtout À NE JAMAIS RESTER DANS LA DÉSOBÉISSANCE"


© J-M Ravé 9 septembre 2006 -
CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse