Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

D'où me viendra le secours?

7- Amitié et fraternité dans l'épreuve.

Où es-tu mon frère, ma soeur...?

Les frères, les soeurs, et les anciens amis de Job vinrent tous le visiter, et ils mangèrent avec lui dans sa maison. Ils le plaignirent et le consolèrent de tous les malheurs que l'Éternel avait fait venir sur lui, et chacun lui donna un kesita et un anneau d'or. Job 42: 11 (v. L. S)

Quel merveilleux rassemblement que celui des anciens amis de Job et de ses frères et soeurs ! Ils étaient tous là, réunis pour participer à un repas offert par celui qui avait encore tant à partager, quoiqu'il eut perdu une grande partie de ses biens.

Perte des biens de ce monde dont il ne pouvait plus jouir ! Perte des biens de ce monde qui poussèrent amis et famille à le visiter pour le plaindre de ce qu'il avait dû souffrir. Mais quoiqu'il ait beaucoup perdu, il s'était tellement enrichi (au point de vue spirituel), qu'il avait de nouvelles richesses à partager avec ses proches.

C'est qu'il en avait des choses à dire ce patriarche qui fut éprouvé comme bien peu l'ont été ! Des choses à dire, non pas pour critiquer l'Éternel, mais au contraire pour glorifier son nom, un nom et une personne qu'il respectait de son mieux.

Il nous suffit de connaître ses positions fermes quant à l'éternité pour comprendre que cet homme-là avait une assurance que bien des chrétiens ne possèdent pas encore !
Il pouvait affirmer :

... je sais que mon rédempteur est vivant, Et qu'il se lèvera le dernier sur la terre.
Quand ma peau sera détruite, il se lèvera ; Quand je n'aurai plus de chair, Je le verrai,
et il me sera favorable... Job 19: 25-27 (v. L. S)

Ce qui est frappant, c'est qu'il a pu prononcer ces vérités
alors qu'il était dans une profonde détresse, période durant laquelle plusieurs auraient plutôt tendance à tout jeter par-dessus bord à cause d'un coeur trop pierreux, un coeur où la bonne semence n'a pas pu s'enraciner profondément. (Voir la parabole du semeur : Matthieu 13: 3)

L'attitude de Job dans l'adversité démontre le sérieux d'une foi qui ne sombre pas au premier coup de vent !
Qu'en est-il de notre foi ?
A-t-elle les caractéristiques d'une foi inébranlable, une foi qui peut résister à toute la puissance de l'Adversaire, de Satan ou de ceux qu'il emploie?

En tout cas, sa conviction profonde est à souligner d'autant plus qu'elle s'était forgée
uniquement sur ce qu'il avait entendu de Dieu : "Mon oreille avait entendu parler de toi... " (Job 42: 5)

Quoiqu'il ait eu moins de révélations que nous concernant Dieu, il savait servir le Seigneur et surtout agir pour rechercher son pardon pour lui-même et pour sa maison. (Job 1: 4-5)

À nous d'en prendre de la graine ! Nous qui avons tant de connaissances, nous qui avons la Parole de Dieu dans nos foyers, nous qui portons le nom de "chrétiens" et qui, en raison de ce nom, laissons supposer que nous sommes disciples de Jésus-Christ soumis à sa volonté.

Job avait la véritable richesse, celle qui ne peut être dérobée par les voleurs, celle qui ne peut être perdue dans des catastrophes naturelles, celle qui est déposée à la banque du Ciel.
Il avait la foi et possédait la crainte respectueuse de l'Éternel, une crainte qui ne lui permettait pas d'accuser Dieu des maux qui l'accablaient, une crainte qui l'avait conduit à vivre le plus droitement possible afin de ne pas offenser le nom du Seigneur et de ne pas perdre la couronne incorruptible dont nous parlent les apôtres Paul et Pierre :

Tous ceux qui combattent s'imposent toute espèce d'abstinences, et ils le font pour obtenir une couronne corruptible ; mais nous, faisons-le pour une couronne incorruptible. 1 Corinthiens 9:25 (v. L. S)

Et lorsque le souverain pasteur paraîtra,
vous obtiendrez la couronne incorruptible de la gloire. 1 Pierre 5:4 (v. L. S)

Si Job ne parlait pas encore de couronne, néanmoins il savait que Dieu lui serait favorable au jour où il comparaîtrait devant lui !
Remarquons que sa foi et sa fidélité furent récompensées bien avant que le Seigneur ne le rétablisse dans son ancienne prospérité.
Lui qui, autrefois, n'avait simplement "qu'entendu parler de Dieu", voilà qu'il venait de faire une expérience extraordinaire, une expérience telle que les richesses spirituelles qu'il venait de découvrir devaient être partagées avec ceux et celles qui venaient pour le plaindre et le consoler.

Job avait fait la découverte la plus prodigieuse qu'un homme puisse faire ! Désormais il pouvait dire :

Mon oreille avait entendu parler de toi ; Mais maintenant mon oeil t'a vu. Job 42: 5 (v. L. S)

Suite à cette affirmation, devait-il être plaint de ce qu'une partie de son parcours fut éprouvante ?
Sans ces douloureuses épreuves JAMAIS il n'aurait rencontré Dieu !
S'il y avait eu une autre solution que la souffrance, il ne fait aucun doute que le Seigneur aurait choisi la voie la moins pénible !
" Ce n'est pas volontiers qu'il humilie Et qu'il afflige les enfants des hommes. " (Lamentations de Jérémie 3: 33)
De la même façon s'il y avait eu un autre moyen pour sauver l'humanité de son péché, le Seigneur n'aurait jamais envoyé son Fils sur la terre pour mourir sur une croix !

Ainsi l'épreuve, aussi douloureuse soit-elle, a une raison d'être et ne peut être substituée par d'autres peines plus douces, car l'épreuve finit toujours par apporter son pesant de bénédictions pour celui ou celle qui a su la surmonter, qui a su s'accrocher au Seigneur contre vents et marées.

En comparant l'expérience de Job (sa découverte de Dieu) à ce que nous pouvons vivre (si nous avons accepté Jésus comme Sauveur et Seigneur), nous pourrions dire qu'il passa par une sorte de conversion qui lui ouvrit de nouveaux horizons et lui donna une autre compréhension de la volonté de Dieu.

Je reconnais que tu peux tout, Et que rien ne s'oppose à tes pensées...

... C'est pourquoi
je me condamne et je me repens sur la poussière et sur la cendre. Job 42: 2-6 (v. L. S)

Ainsi les réflexions de Job démontreraient que l'épreuve, aussi pénible soit-elle,
tourne toujours à l'avantage de celui qui la subit pour autant qu'il ait la crainte de Dieu et qu'il reste ferme dans la foi.
Bien avant l'heure, son expérience met en avant une grande vérité du Nouveau Testament qui nous encourage à rester confiants, qui nous invite à tenir fermes dans la foi lorsque les épreuves nous harcèlent, sachant que :


.. nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon [son] propos. Romains 8: 28 (v. D)

Pour mémoire, et pour notre consolation
si nous vivons des temps d'épreuves, nous devons nous rappeler que Job fut ASSAILLI dans des limites qui dépassent notre imagination ! En dehors de la description de tous ses malheurs, relevons qu'ils se sont succédés à une cadence diabolique, ne laissant pas une fraction de seconde au patriarche pour souffler un peu.

Alors qu'un serviteur se précipite pour annoncer la première mauvaise nouvelle, voici qu'un second arrive et avant même que le premier ait fermé la bouche, il se met en demeure de rapporter une nouvelle catastrophe. À son tour il a la parole coupée par un troisième qui accourt pour faire part d'un autre malheur quand survînt un quatrième qui, dans sa précipitation, couvrit la voix de celui qui le précédait en annonçant la mort de tous les enfants de Job.

" Il parlait encore, lorsqu'un autre vint et dit : ... "
Une cadence insupportable que certains peuvent connaître lorsqu'ils se rendent compte qu'ils sont frappés de tous côtés dans un laps de temps très court !

Si tu es dans cette situation, si tu subis une avalanche de coups durs, pense que Satan en a assez de constater TA fidélité et qu'il a demandé à te cribler comme il l'a demandé pour les disciples du Seigneur Jésus ! (Luc 22: 31)
Si aujourd'hui il met le paquet pour que tu plies, que tu t'écroules et que tu renies Dieu, ne lâche pas prise, ta foi vaut bien plus que l'or !


Conscient de l'accablement excessif que produisent des assauts répétés, Job nous montre qu'il est possible de garder la foi et
qu'il n'y a pas de honte à dénoncer de toutes ses forces ceux et celles qui nous encourageraient à changer de voie pour ne plus être confronté à l'adversité. (Job 2: 10)
L'épreuve, aussi pénible soit-elle, devient encore plus douloureuse lorsque notre entourage, nos frères et soeurs dans la foi entrent dans le jeu de l'ennemi pour nous accabler !
N'écoutons donc pas..., ou plutôt, ne prêtons plus attention à leurs propos lorsqu'ils tournent notre espérance en dérision ou qu'ils tentent de nous démontrer que nous devons avoir gravement péché pour être tombés si bas !

Amitié et fraternité dans l'épreuve !
Où étaient donc les amis de Job ?
Où étaient-ils suite à cet enchaînement de catastrophes ?
Qu'était devenue leur amitié ?
Qu'était devenu le lien qui unissait les frères et soeurs issus d'un même sang ?

Des questions qui ont traversé les âges et que les enfants de Dieu, malmenés par l'adversaire, se posent lorsqu'ils regardent autour d'eux et qu'ils ne rencontrent plus de regards amicaux, plus de regards fraternels !
Qu'est devenu le lien qui nous unissait les uns aux autres avant que l'épreuve ne survienne ? (
... la charité de plusieurs se refroidira. Matthieu 24: 12 v. D. M.)

Si nous ne savons pas où se trouvaient les anciens amis de Job par contre la Bible relève un détail qui a son importance et qu'il faut mettre en avant afin que nous ne gardions pas les yeux fixés sur le geste généreux qu'ils ont eu
une fois la tempête passée. (Ils le plaignirent et le consolèrent de tous les malheurs que l'Éternel avait fait venir sur lui, et chacun lui donna un kesita et un anneau d'or. Job 42: 11, v. L. S)

C'étaient des anciens amis !
Les frères, les soeurs, et les anciens amis de Job vinrent tous le visiter, et ils mangèrent avec lui dans sa maison... ( Job 42: 11, v. L. S)

Ce mot "ancien" laisse sous-entendre qu'il y a eu un changement de comportement dans leur attitude, un changement qui n'a pu se produire que suite aux diverses épreuves qui marquaient Job comme un pestiféré à ne plus fréquenter.
Des
anciens amis avec une mentalité bien différente de celle d'Éliphaz de Théman, Bildad de Schuach et Tsophar de Naama qui ont toujours gardé le qualificatif "d'amis" (Job 2: 11) quoiqu'ils ne furent pas à la hauteur pour consoler l'affligé.

Dans son malheur le patriarche avait bien réalisé qu'il était abandonné et que cet état de solitude était consécutif à sa situation :

... mes amis se sont détournés de moi ; Je suis abandonné de mes proches, Je suis oublié de mes intimes. Je suis un étranger pour mes serviteurs et mes servantes, Je ne suis plus à leurs yeux qu'un inconnu. Job 19: 13-15 (v. L. S)

Mon frère, ma soeur, toi qui n'as personne pour essuyer tes larmes, toi qui n'as personne qui te comprenne parce que tu passes par des épreuves qui dépassent la raison, toi qui n'as plus ni frère ni soeur dans la foi pour te soutenir, pour t'encourager...
... continue ta marche, n'abandonne pas car au détour d'un chemin tu ne manqueras pas de rencontrer le Consolateur. le vrai Consolateur qui saura changer ta tristesse en joie.


Ceux qui sèment avec larmes moissonneront avec chants d'allégresse. Ps. 126: 5 (v. L. S)

Celui qui porte la semence pour la mettre en terre, ira son chemin en pleurant, mais il reviendra avec chant de triomphe, quand il portera ses gerbes. (v. D. M.)

Où es-tu mon frère, ma soeur... ?

Il y a deux catégories de chrétiens qui pourraient se poser cette question !

- Ceux qui souffrent dans la solitude et l'abandon.
- Ceux qui remarquent l'absence prolongée d'un frère ou d'une soeur dans les rencontres fraternelles que le corps de Christ propose : culte, réunions de prières, études bibliques, etc.

Ceux qui souffrent dans la solitude et l'abandon.
Il va de soi que ce sont les premiers qui subissent particulièrement les effets négatifs de l'abandon de la famille spirituelle surtout lorsqu'ils ont tenté, à maintes reprises, de partager avec autrui leurs soucis et qu'ils n'ont trouvé personne pour les écouter, personne pour avoir à coeur de prier avec eux !
Combien n'ont-ils pas été jugés, voire condamnés, pour s'être écartés de l'Église ?
Condamnés, montrés du doigt sans chercher à comprendre que leur départ n'était pas une fuite ni un rejet du Seigneur, mais la conséquence d'un manque d'intérêt du milieu qu'ils fréquentaient, où personne ne s'inquiétait de la santé d'une brebis malmenée par diverses épreuves.

Ainsi, vous êtes comme si vous n'existiez pas ; Vous voyez mon angoisse, et vous en avez horreur ! Job 6: 21 (v. L. S)

(Sommes-nous encore capables de discerner l'angoisse de nos frères et soeurs qui passent par le creuset de l'épreuve ?)

Jugés, condamnés et oubliés !
Un drame que le monde connaît bien! Un drame qui se cache peut-être derrière certains faire-part de décès où l'on peut lire : " L'ensevelissement a eu lieu dans l'intimité de la famille".
Solitaire dans l'épreuve, abandonné de tous, à tel point que le moribond a pour dernière volonté que son départ soit le plus discret possible, afin de ne pas déranger ceux qui n'ont pas voulu prêter attention à lui lorsqu'il cherchait un peu d'amour et de soutien... fraternels.

Un sujet de réflexion qui devrait nous interpeller dans le cadre du corps de Christ, nous qui faisons partie de :
Ceux qui remarquent l'absence prolongée d'un frère ou d'une soeur dans les rencontres fraternelles que le corps de Christ propose :

Où es-tu mon frère, ma soeur... ?

Sachons nous poser cette question chaque fois qu'il y a une place vide qui demeure vide trop longtemps et agissons en conséquence.

L'ami aime en tout temps, Et dans le malheur il se montre un frère. Proverbes 17:17

Nous pourrions énumérer toute une série de textes bibliques qui nous montrent l'importance qu'il y a à pratiquer l'amour fraternel ou à trouver des excuses pour ne rien faire. Nous en retiendrons particulièrement deux qui décrivent les extrêmes, celle de l'indifférence et celle de l'amour. À nous de savoir lequel de ces deux textes nous convient le mieux.

L'indifférence à son point culminant :

Suis-je, moi, le gardien de mon frère ? Genèse 4: 9 (v. D)

Sans doute un texte un peu violent quand on considère le contexte de ce verset qui parle du meurtre d'Abel ! Mais n'est-ce pas un peu la pensée qui pourrait rester d'une vieille nature qui fut sous la puissance du prince des ténèbres, d'une vieille nature qui manifeste encore des soubresauts de vie et qui colle à mes talons ?
Bien sûr, nous ne sommes pas des meurtriers comme Caïn qui tua son frère parce que ses oeuvres étaient mauvaises (1 Jean 3: 12).
Mais je crains quand même que mon engagement personnel ne soit pas à la hauteur de ce que le Seigneur me demande et que j'aurais encore tendance à oublier son invitation, son commandement :

Portez les fardeaux les uns des autres, et vous accomplirez ainsi la loi de Christ. Galates 6: 2 (v. L. S)

L'amour sans limites :

Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. Jean 15:13 (v. L. S)

Le summum de l'amour parfait qui, au travers de l'exemple de Jésus, nous invite
pour le moins à mettre nos talents au service de notre frère qui est dans la détresse plutôt que de les enterrer ou de les faire valoir dans le monde !

Celui qui méprise son prochain commet un péché, Mais heureux celui qui a pitié des misérables ! Proverbes 14: 21 (v. L. S)

Il y a donc du péché en celui qui sait faire le bien, et qui ne le fait pas.
Jacques 4: 17 (v. D. M.)

Il n'est pas besoin de perdre du temps afin de savoir si le Maître nous a bien remis quelques talents à faire fructifier ! Nous en avons tous car personne n'est exclu de la moisson du Maître ! Tous et toutes sommes ouvriers pour travailler à la gloire de Dieu.

Certains de nos talents sont si naturels qu'on se demande pour quelle raison ils ne sont pas davantage exploités.

Pensons à ce frère qui est malade et que l'on ne visite pas : "J'étais malade et vous ne m'avez pas visité.... " (
Matthieu 25: 43)
Pensons à celui qui a faim : "J'ai eu faim et vous ne m'avez pas donné à manger "(
Matthieu 25: 42)
Des actes à la portée de chacun !

Pour sortir des exemples donnés par la Parole de Dieu, nous pourrions aussi mettre en avant les connaissances professionnelles. Certaines seraient bien utiles pour conseiller tel frère ou telle soeur dans la foi, pour aider ceux qui ne savent plus comment se retourner face à une administration qui ignore que derrière des numéros d'identification il y a des personnes qui souffrent et qui auraient besoin d'un peu de chaleur humaine plutôt que d'articles de loi ou de règlements souvent bien difficiles à comprendre !

Les possibilités de faire le bien sont... incalculables ! "La bonne volonté, quand elle existe, est agréable en raison de ce qu'elle peut avoir à sa disposition" (2 Corinthiens 8: 12). Et cette bonne volonté, placée entre les mains de Dieu fera des prodiges et permettra d'apporter quelques consolations à ceux et celles qui attendent un secours.
C'est dans la détresse que l'on trouve ses vrais amis !

Où es-tu mon frère, ma soeur... ?

Job n'a certainement pas manqué de s'interroger sur le comportement de sa femme, sur le silence de ses frères et soeurs, sur l'abandon de ses anciens amis.
Il n'a pas manqué non plus de répondre à ses fidèles amis qui, maladroitement ont essayé de démontrer que pour en arriver où il en était, il devait être un grand pécheur devant Dieu.

- Amis qui ont tourné le dos suite aux difficultés dont
ils avaient simplement entendu parler,
- Amis avec l'étiquette de "consolateurs fâcheux",
- Frères et soeurs absents...

... voilà bien souvent le lot de ceux et celles qui sont dépréciés en raison des épreuves qui s'entassent sur leur tête !
Si nous sommes dans la détresse, si nos frères et soeurs, si l'Église nous abandonne, nous devons garder l'assurance que le Seigneur n'abandonnera jamais ceux et celles qui tiennent à lui !

... Mais pour vous qui craignez mon nom, se lèvera Le soleil de la justice, Et la guérison sera sous ses ailes ; Vous sortirez, et vous sauterez comme les veaux d'une étable ... Malachie 4: 2 (v. L. S)

Il guérit ceux qui ont le coeur brisé, Et il panse leurs blessures.
Psaume 147:3

Nous pouvons tout perdre, mais personne ne pourra nous voler notre Dieu, personne ne pourra prendre la place qu'il occupe dans notre coeur !

Qui est-ce qui nous séparera de l'amour de Christ ?
Sera-ce l'oppression, ou l'angoisse, ou la persécution,
ou la famine, ou la nudité, ou le péril, ou l'épée ?
Romains 8: 35 (v. D. M.)


© J-M Ravé 1er juillet 2006 -
CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse