Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

La tristesse

(2) Et il s’en allèrent tout tristes et... irrités!

(Une porte ouverte pour l’ennemi)

Pourquoi es-tu irrité, et pourquoi ton visage est-il abattu ? Fais-tu bien de t'irriter ? Genèse 4: 6 ; Jonas 4: 4

Comment ne pas penser encore une fois à ce jeune homme riche (Matthieu 19: 16-26) qui s’en alla tout triste parce que le choix qui était mis devant lui, lui imposait un sacrifice qu’il n’était pas en mesure de faire en raison de son amour immodéré pour les biens de ce monde ?
Comment l’oublier alors qu’il avait entrepris toutes les démarches pour avoir la vie éternelle et qu’il buta sur
la seule exigence (pour sa vie) que le Seigneur Jésus lui demandait ?
Il s’en alla aussi triste que ceux qui ne sont pas allés jusqu’au bout de leur démarche, triste mais non irrité contre un Dieu trop exigeant.

Comment t’ignorer,
toi qui ne connais pas encore la joie du salut et qui marches aussi triste que ce jeune homme riche alors que tu SAIS que Dieu est près de toi, prêt à t’aider à franchir l’ultime pas qui te fera passer du royaume des ténèbres à celui de la lumière ?

Si tu savais comme ta tristesse nous rend tristes !
Tristes d’une sainte tristesse, semblable à celle que Jésus a dû ressentir en regardant le jeune homme repartir vers des richesses qui n’avaient jamais donné de satisfaction à son âme assoiffée !
Si tu savais comme nous nous interrogeons sur “la pauvre richesse” qui te tient captif et t’empêche de prendre la bonne décision une fois pour toute !

Tout près de Jésus, tout près de la grâce ! Et pourtant si loin de la vie éternelle ! Quelle tristesse, quel chagrin chaque fois que l’on entend le Seigneur dire à ceux qui font demi-tour ou qui n’osent pas faire le pas dans la bonne direction :

Et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie ! Jean 5: 40

En songeant à ta tristesse, à la tristesse de ceux qui résistent à Dieu, qui tournent le dos à son amour, à sa compassion, à son conseil, à son pardon, je ne puis que frémir à la pensée que cette tristesse fait parfois naître un autre sentiment.
Une irritation qui pourrait donner une occasion supplémentaire à Satan pour manipuler ses victimes et les conduire dans des voies encore plus sombres que celles où ils sont actuellement.

En s’écartant de la lumière, en refusant d’écouter le conseil de Dieu (cela va autant pour celui qui n’est pas loin du royaume de Dieu, que pour celui qui est déjà engagé dans le chemin qui conduit à la vie éternelle), donc en refusant d’écouter le conseil de Dieu
c’est admettre que nous sommes attentifs à une autre voix qui, comme dans le jardin d’Eden, présente un autre chemin que celui indiqué par le Seigneur.
Le chemin du mensonge n’est séduisant que pour celui qui n’aime pas la Vérité ! Fuyons donc toutes personnes qui bâtissent leurs échanges en prenant pour fondement la tromperie, toute personne qui n’a pas à coeur la droiture !

Toi qui t’apprêtes à repartir triste et à survivre lamentablement sans joie en accomplissant avec peine le travail ou les devoirs qui sont tiens, pense que ta situation ressemble à celle de plusieurs hommes dont la Bible nous parle. Plusieurs qui sont repartis tristes et qui ont laissé l’irritation envahir leur coeur à la place de l’amour qu’ils auraient dû avoir pour celui qui veut encore et toujours les sauver de la perdition éternelle. Une irritation dangereuse qui en a conduit certains à montrer, par leur comportement, qu’ils étaient les “dignes” descendants de Caïn.

Caïn fut le premier à connaître la tristesse
et l’irritation. Il se laissa envahir par ces sentiments en raison de l’attitude de Dieu face au sacrifice qu’il avait offert.
Comme beaucoup,
il n’admettait pas le jugement du Seigneur lorsque celui-ci ne lui était pas favorable; il pensait que son attitude “religieuse” valait autant que la consécration de son frère.

L'Éternel porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande ; mais il ne porta pas un regard favorable sur Caïn et sur son offrande. Caïn fut très irrité, et son visage fut abattu. Et l'Éternel dit à Caïn : Pourquoi es-tu irrité, et pourquoi ton visage est-il abattu ? Genèse 4: 6

À partir du moment où Dieu n’est plus souverain, où sa Parole est mise en doute, tout est à craindre car l’homme qui juge Dieu, qui dénigre sa Parole, se place au-dessus de la majesté divine.
Par cette attitude impie et irrespectueuse, il démontre visiblement qu’il est sous la puissance du Malin qui lui a susurré à l’oreille, comme à celle d’Adam et Eve : “
Vous serez comme des dieux... ” (Genèse 3: 5)

Il y en a de plus en plus qui se croient supérieur au Seigneur des seigneurs et qui condamnent le Dieu de Justice, qui le clouent au pilori, qui l’assaillent de tous les qualificatifs. Tout cela parce que le Créateur ne s’est pas plié à leurs caprices, à leur façon de voir, de penser, tout cela parce qu’ils tiennent à garder la liberté qui les enchaîne à leurs passions malsaines ! Ils veulent bien
croire EN Dieu, mais n’acceptent pas de croire Dieu lorsqu’il demande que sa Parole soit mise en pratique !

C’est ainsi que Caïn, sans même répondre à l’Éternel qui cherchait pourtant le dialogue, s’en retourna, le visage abattu et irrité. C’est dans cet état, dans cette mauvaise disposition d’esprit qu’il s’en alla parler à son frère qui, soit dit en passant, ne lui avait fait aucun tort !
Abel, responsable de vivre sa foi au plus près de sa conscience, subit alors la colère d’un frère qui n’admettait pas les jugements de Dieu, qui ne souffrait pas d’être conseillé par Dieu (si tu agis bien..., si tu agis mal... [
Genèse 4: 7]) ! Abel le premier croyant qui paya de sa vie son engagement avec son Seigneur ! Abel le premier martyr !

Nous pouvons imaginer cette rencontre et comprendre que les paroles de Caïn n’étaient pas empreintes d’amour fraternel. Que ses paroles, inspirées par celui qui avait séduit Adam et Eve, ne firent qu’activer sa colère tandis que la bonne attitude d’Abel, au lieu de l’apaiser, le conduisit au paroxysme de l’énervement au point qu’il se jeta sur son frère et le tua.

Cette histoire ancienne s’est répétée de nombreuses fois au cours des millénaires dans des proportions qui font frémir aujourd’hui tous ceux et toutes celles qui s’intéressent un tant soit peu à l’actualité.
Il n’est pas besoin d’aller aussi loin dans le mal pour se rendre compte que, sans la grâce de Dieu, nous pourrions aussi avoir des comportements à risque lorsque la colère nous domine.

Si vous vous mettez en colère, ne péchez point ; que le soleil ne se couche pas sur votre colère, Éphésiens 4: 26

Que toute amertume, toute animosité, toute colère, toute clameur.... disparaissent du milieu de vous.
Éphésiens 4: 31

Laisse la colère, abandonne la fureur ; Ne t'irrite pas, ce serait mal faire. Psaume 37: 8

Ainsi un agacement ou une contrariété (non maîtrisé) peut amener notre esprit en effervescence, en ébullition, et provoquer une colère dont les débordements sont à redouter en raison de la perte de contrôle de son corps, en raison d’une perte de maîtrise de soi.
«Si vous vous mettez en colère... que le soleil ne se couche pas sur votre colère» nous dit l’auteur de l’épître aux Éphésiens. Qu’à chaque fois que l’irritation commence à nous exciter, nous sachions déposer cette “bombe” au pied de la croix afin qu’elle n’endommage pas la vie de notre entourage et qu’elle ne nous détruise pas.

Le comportement de Dieu et sa Parole blessent toujours ceux et celles qui ne veulent pas se soumettre à son autorité.
La paix de Dieu énerve ceux qui sont excités par le malin et qui, par une attitude de rébellion, montrent bien que la Parole de Dieu a eu un certain effet sur eux.
Celui qui repart tout triste après avoir entendu le message de l’Évangile
fait voir qu’il a été touché par ce qu’il a entendu. Mais n’ayant pas envie d’abandonner ses “richesses” il en arrive à faire la tête à ceux qui l’engagent à revenir aux pieds du Seigneur, à détester plus ou moins ouvertement ceux qui sont attentifs à l’état de son âme.

Pour d’autres la tristesse est la conséquence du refus d’observer la Parole de Dieu.
Alors qu’ils se sont mis en route, qu’ils connaissent la volonté du Seigneur, ils agissent à leur guise sans se soucier du commandement divin.
Par la suite, ils s’irritent quand un “envoyé” du Maître met en lumière leur désobéissance.

Tristesse et irritation ne font jamais un bon ménage
. Ils deviennent un mélange explosif qui, à la moindre étincelle, à la moindre contrariété, va semer son ivraie empoisonnée.

C’est ainsi que le roi Achab, conscient de la volonté de l’Éternel, va agir différemment que ce qui lui a été demandé.
Au lieu de détruire l’ennemi juré d’Israël, il va faire alliance avec le roi de Syrie (
1 Rois chapitre 20).
(Au lieu de fuir le péché, nous pourrions aussi faire alliance avec lui, le cajoler, le cacher dans un coin de notre coeur en dépit de la volonté de Dieu.)

... un prophète s'approcha d'Achab, roi d'Israël, et il dit : Ainsi parle l'Éternel : Vois-tu toute cette grande multitude ? Je vais la livrer aujourd'hui entre tes mains, et tu sauras que je suis l'Éternel. 1 Rois 20: 13

... Achab répondit 
(aux envoyés du roi de Syrie): Est-il encore vivant ? Il est mon frère. 1 Rois 20: 32
... Et moi, reprit Achab, je te laisserai aller, en faisant une alliance.
Il fit alliance avec lui, et le laissa aller. 1 Rois 20: 34

Pour réveiller sa conscience endormie (celle d’Achab), l’Éternel se servit d’un prophète qui usa d’un subterfuge pour le mettre face à sa responsabilité en évoquant une attitude qu’il prétendait avoir eue lui-même,
le roi prononça alors une sentence par laquelle il condamnait le comportement de ce prophète.
Ce dernier, révélant son identité, lui retourna sa sentence en mettant en avant sa désobéissance afin qu’il comprenne qu’en jugeant son prochain, il se condamnait lui-même pour avoir eu le même comportement.
Conscient de sa faute, le roi Achab s’en retourna chez lui dans un état semblable à celui de Caïn.

Le roi d'Israël s'en alla chez lui, triste et irrité, et il arriva à Samarie. 1 Rois 20: 43

Égaré par ses pensées personnelles, ce roi pensait-il agir avec plus de compassion que Dieu en voulant épargner la vie de Ben-Hadad, roi de Syrie ? Non ! la Bible nous dépeint Achab comme un mauvais roi.

Achab, fils d'Omri, fit ce qui est mal aux yeux de l'Éternel, plus que tous ceux qui avaient été avant lui. 1 Rois 16: 30

À première vue nous pourrions admirer le courage de cet homme qui est contre la peine de mort ! Toutefois qui est-il pour ne pas prendre en considération les commandements divins ?
Qui sommes-nous pour contrecarrer les plans de Dieu alors que notre justice n’est qu’un vêtement souillé face à la sainteté de celui qui tient notre vie dans sa main ? (
Esaïe 64: 6)

Dieu, dans sa parfaite justice, a condamné le péché.
Il l’a condamné
formellement et sans appel en en faisant tomber les conséquences sur son Fils qui accepta de porter la terrible sanction que nous méritons tous.
Son oeuvre, une fois acceptée, nous garantit alors qu’il n’y a plus de condamnation sur notre tête pour autant que nous restions dans le chemin étroit qu’il nous a tracé et que nous ne méprisions pas ses ordonnances.

Nous savons qu’il y a de nombreux défenseurs du mal qui s’insurgent contre les lois divines et qui pourtant
prétendent croire en Dieu. Ils usent et abusent d’une des qualités de Dieu en prétextant que “Dieu est tellement bon” qu’il fermera les yeux sur leurs désobéissances !
Que personne ne nous séduise avec de telles pensées qui ne peuvent sortir que du coeur de ceux et celles qui n’ont pas Christ comme Sauveur et Seigneur de leur vie !
On ne se moque pas de Dieu, on ne bafoue pas sa Parole sans en subir les conséquences !

Achab
croyait en Dieu.
Il s’était mis en marche
aux ordres de l’Éternel.
Il avait un certain
respect pour les prophètes.
Mais malgré ces attitudes extérieures,
son coeur était mauvais, ensemencé par le Malin qui l’incita à s’enfoncer encore davantage dans le péché.

Tout comme Caïn il s’en retourna triste et irrité
après avoir entendu la Parole de Dieu.
C’est certainement dans cet état d’esprit, rongé par le mécontentement, qu’il rencontra son voisin, Naboth, et qu’il lui proposa un marché : l’échange de sa vigne contre un autre terrain.
Contrarié par le refus de cette proposition, il repartit, encore une fois
triste et irrité (une habitude chez lui) au point d’en perdre l’appétit.

La tristesse et l’irritation ! Une particularité de ceux et celles qui ne veulent pas se donner à Dieu et qui résistent à l’appel de la grâce !
Leurs pensées passent et repassent dans leur coeur et assombrissent chaque fois un peu plus leur esprit rebelle ; des pensées qui prennent par la main d’autres pensées toujours plus sombres.
N’en n’est-il pas ainsi de celui qui s’en va en marmonnant dans son coin, qui rumine des pensées noires en en voulant à tout son entourage à cause du mal qu’il se fait lui-même quand il refuse d’écouter la voix de la sagesse, la voix de Dieu ?

La méchanceté, enveloppant la maison d’Achab, n’a pas manqué de saisir l’occasion en utilisant les armes qu’elle avait à portée de la main. Elle se présenta sous la forme de Jézabel qui fit assassiner Naboth avec l’approbation tacite du roi.

Quel cheminement !
- D’abord le Seigneur qui parle, qui conseille ou qui fait connaître sa volonté
- Ensuite l’homme qui regarde à ses intérêts et agit comme si Dieu n’avait rien dit.
- Vient la constatation du mal qui, faute de repentance, engendre la tristesse.
- Et enfin, pour les plus endurcis, les plus mauvais, se joint l’irritation qui, en prenant de l’ampleur, conduira son esclave à aller plus loin dans le péché.

Un parcours désastreux ! Un chemin où même des enfants de Dieu, des hommes de Dieu, se sont retrouvés sur ce terrain miné sans trop bien savoir comment.
Un chemin où nous avons peut-être fait quelques pas un jour ou l’autre.
Si tout à coup la tristesse venait envahir notre âme à cause de la Parole de Dieu, et si au loin se dessinait une esquisse d’irritation, joignons vite notre voix à celle du psalmiste et crions avec lui :

Pourquoi t'abats-tu, mon âme, et gémis-tu au dedans de moi ? Psaume 42:5 (42:6)

Pourquoi t’abats-tu mon âme ?
Y a-t-il une raison valable qui autorise la tristesse
et le mécontentement à envahir mon âme ?
Une raison valable
aux yeux de Dieu qui soupèse chacune de nos actions, qui sait pourquoi nous agissons d’une façon plutôt que d’une autre !
Ne soyons pas comme Jonas qui, après avoir accompli à contrecoeur la volonté de Dieu,
quitta le lieu où la Parole vivante accomplissait son oeuvre de grâce.
Il se mit à l’écart
sans répondre à l’Éternel qui lui demandait s’il avait raison de s’irriter ainsi.

Comment aurait-il pu répondre quelque chose de sensé puisque dans son for intérieur il souhaitait la mort des pécheurs plutôt que leur conversion ?
Mais la bonté de Dieu en faveur de ceux qui lui appartiennent, ne l’a pas lâché. Dieu ne lâche pas ses enfants même lorsque ces derniers lui lâchent la main !
La bonté de Dieu l’a suivi jusque dans son désert. Elle lui a procuré un parasol, sous la forme d’un ricin afin qu’il ne souffre pas de la chaleur. Une bénédiction qu’il sut apprécier et qui calma sa tempête intérieure.
Puis, afin qu’il apprenne une leçon, le ricin fut détruit aussi vite qu’il poussa, ce qui irrita une fois de plus notre ami Jonas.
Lui qui voulait que les Ninivites soient perdus, qu’ils soient précipités en enfer à cause de leur méchanceté (qu’ils ne soient pas au bénéfice de la grâce divine et du pardon), fut confronté à un vent chaud venu d’orient, un vent qui le fit souffrir au point de tomber en défaillance. (Jonas 4:8).
Maintenant c’était à lui de connaître les tourments de son “enfer” personnel qui le poussaient à réclamer la mort.

Dieu dit à Jonas : Fais-tu bien de t'irriter à cause du ricin ? Jonas 4: 9

Encore une fois Dieu tend la main à son serviteur, son enfant afin de lui faire comprendre que, si la perte d’un bien terrestre dont il a été le bénéficiaire peut l’attrister et l’irriter, l’Éternel veille sur ceux à qui il a donné le souffle de vie. Il désire les faire tous passer du royaume des ténèbres à celui de son admirable lumière.

L'insensé périt dans sa colère, Le fou meurt dans ses emportements. Job 5: 2

Toi, qui comme le jeune riche, n’a pas encore franchi la porte qui s’ouvre vers la vie éternelle, ne t’en retourne pas trop vite d’où tu es venu. Ne t’irrite point contre le Seigneur que ne cherche que ton bien et qui n’a jamais donné de mauvais conseils.

Et toi, oui toi que je rencontre chaque jour lorsque je suis en face de mon miroir, toi qui dis faire tes délices de la Parole de Dieu, prends aussi garde de ne pas faire demi-tour en te cherchant mille et une excuses pour te dérober au sécateur divin qui voudrait retrancher de ta vie une particularité qui gâche l’image de ta vie chrétienne !
Ne sois pas triste et ne t’irrite pas de ce que la Lumière, en éclairant un recoin de ton coeur, a mis en avant ce qui t’empêche de grandir maintenant.
Il serait regrettable que tu n’avances plus alors que tu as déjà fait tant de chemin !

Et si le monde nous accable, que jamais la tristesse et l’irritation ne prennent le dessus et nous conduisent à endommager le témoignage que nous avons rendu jusqu’à présent.

L'esprit du Seigneur, l'Éternel, est sur moi (sur Jésus), Car l'Éternel m'a oint
- Pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux ; Il m'a envoyé
- Pour guérir ceux qui ont le coeur brisé,
- Pour proclamer aux captifs la liberté, Et aux prisonniers la délivrance ;
- Pour publier une année de grâce de l'Éternel, Et un jour de vengeance de notre Dieu ;
- Pour consoler tous les affligés ;
- Pour accorder aux affligés de Sion,
- Pour leur donner un diadème au lieu de la cendre, Une huile de joie au lieu du deuil,
Un vêtement de louange au lieu d'un esprit abattu Esaïe 61: 1-3


© J-M Ravé 20 août 2005

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