Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Jette ton pain sur la face des eaux

(afin de ne pas avoir à souffrir de la disette du corps ou de l’âme)

Partage ton pain avec celui qui a faim, Et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te détourne pas de ton semblable. Esaïe 58: 7

Voici, les jours viennent, dit le Seigneur, l'Éternel, Où j'enverrai la famine dans le pays, Non pas la disette du pain et la soif de l'eau, Mais la faim et la soif d'entendre les paroles de l'Éternel. Amos 8: 11

Lorsque les besoins se rencontrent, il y a une bénédiction certaine à partager les richesses que Dieu place entre nos mains. Rien ne se perd, rien ne s’oublie, tout est redonné au moment opportun, que ce soit richesses matérielles ou richesses spirituelles!


1) Le pain de la terre, le nécessaire pour vivre dans ce monde


Jette ton pain sur la face des eaux, car
tu le trouveras après bien des jours. Ecclésiaste 11: 1 (Version Darby)

Ceux qui vivent dans un monde super industrialisé et qui font partie des pays les plus riches (matériellement) de la planète, sont à même de constater que de nombreuses richesses sont jetées à la poubelle alors que des pauvres seraient “aux anges” s’ils pouvaient bénéficier de cette “manne“ abandonnée.

Le coeur de l’homme s’étant endurci, il arrive de plus en plus souvent que la marchandise soit volontairement rendue inutilisable ou inconsommable afin que le nécessiteux ne puisse pas se servir des miettes de la table des seigneurs (saigneurs) de ce monde.

Ce comportement est loin de l’enseignement de la Bible qui, d’une part, demande à ce que l’on donne une partie de nos richesses:

Donne une portion à sept, et même à huit; car tu ne sais pas quel mal arrivera sur la terre. Ecclésiaste 11: 2 (Version Darby)

Et d’autre part, nous encourage à vivre une règle d’égalité afin que notre superflu puisse être mis à disposition de l’oeuvre de Dieu particulièrement en faveur des frères et soeurs en Christ qui sont moins bien lotis que nous et qui peuvent passer par de grandes détresses.

Il s'agit, non de vous exposer à la détresse pour soulager les autres, mais de suivre une règle d'égalité: dans la circonstance présente votre superflu pourvoira à leurs besoins, afin que leur superflu pourvoie pareillement aux vôtres, en sorte qu'il y ait égalité, 2 Corinthiens 8: 13-14

Nous sommes donc confrontés au partage des richesses qui ont été mises entre nos mains et à les faire valoir afin que nos talents (
Matthieu 25: 14-30) ou nos mines (Luc 19: 12-26) ne soient pas enterrés.
Sachons nous laisser toucher par la compassion de Dieu pour qu’elle habite dans notre coeur et qu’elle nous permette d’agir d’une façon qui lui soit agréable afin que, lorsqu’il nous faudra rendre compte à Celui qui nous a confié SES richesses, nous ne soyons pas honteux d'avoir omis de faire fructifier SON bien.

Cette disposition à gérer les biens de Dieu qui nous ont été attribués, nous concerne tous; que l’on soit pauvre ou riche.
Le proverbe mondain: “On ne prête qu’aux riches” n’a pas cours dans le Royaume de Dieu, ni au milieu de ceux et celles qui sont en chemin vers la maison éternelle qui leur a été préparée par le Seigneur (
Jean 14: 2) Dieu donne à tous quelque chose à partager... même aux païens! Des païens qui ont parfois un coeur plus gros que celui des enfants de Dieu en ce qui concerne le domaine social!

Ainsi, il nous est demandé de “jeter” notre pain à la surface des eaux afin qu’il fructifie, de le partager avec celui qui a faim pour qu’au jour où nous serons en peine nous puissions retrouver, avec intérêt, le capital que nous avons distribué de bon coeur.

Comprenons que l’état de notre situation sur cette terre n’est pas un prétexte valable pour refuser un bienfait à celui qui y a droit
lorsque nous avons le moyen de le donner (Proverbes 3: 27).
Les paraboles de Matthieu et de Luc (talents et mines) sont là pour nous montrer que
celui qui a reçu peu a le même devoir que celui qui a reçu beaucoup!

À plusieurs reprises, nous pouvons constater que les pauvres, les malheureux sont souvent les premiers à s’entraider, à se soutenir, à partager le peu qui est à leur disposition. (Il suffit de se remémorer les images des dernières catastrophes naturelles pour apprendre une leçon qu’il est bien difficile de mettre en pratique quand tout va bien et que les “mendiants” viennent quémander un peu de notre bien).

Pour rassurer ceux qui ont un faible pouvoir d’achat et qui pourraient croire à l’inutilité de leurs offrandes, approchons-nous du Seigneur Jésus, observons avec lui les gens qui mettent leurs dons dans le tronc du temple. (
Marc 12: 41-44)
Nous verrons que certains mettent de belles enveloppes bien garnies, que d’autres ont de la peine à glisser rapidement le montant de leurs offrandes tant le volume est impressionnant, puis nous verrons aussi une femme, une pauvre veuve qui ouvre discrètement sa maigre main fermée sur 2 petites pièces qu’elle laisse tomber dans la fente de ce tronc.
Certes, personne n’a pu voir ces deux petites pièces, le don a été fait dans la discrétion, seul le regard de Dieu a pu connaître le montant versé: un quart de sou!
Mais ce quart de sou avait une très grande valeur aux yeux du Seigneur car il était enveloppé d’un coeur aimant, d’un coeur qui s’était abandonné à Dieu et qui, au travers de ces faibles moyens, cherchait à soutenir l’oeuvre du Seigneur.

Les petits ruisseaux ont leur utilité tout comme la simple goutte d’eau tombant du ciel qui, ajoutée aux autres, apportera le rafraîchissement espéré et ardemment désiré dans les périodes de sécheresse.
Le comportement de cette pauvre veuve est là pour nous montrer que, quelle que soit notre fortune, nous avons tous une contribution à offrir au Seigneur afin de
collaborer à l’entretien de la maison de Dieu et du corps de Christ pour que l’Évangile puisse se propager.
Ne sommes-nous pas les premiers à encourager nos enfants à participer à l’offrande faite le premier jour de la semaine, même s’ils n’ont qu’une petite obole à mettre dans la corbeille à offrandes?

Comment donc invoqueront-ils (les païens) celui en qui ils n'ont pas cru? Et comment croiront-ils en celui dont ils n'ont pas entendu parler? Et comment en entendront-ils parler, s'il n'y a personne qui prêche? Et comment y aura-t-il des prédicateurs, s'ils ne sont pas envoyés? Romains 10: 14

Quoiqu’il soit embarrassant de parler d’argent dans le monde chrétien, ce domaine est pourtant incontournable car le Nouveau Testament traite de ce sujet!

Dîmes, offrandes et aumônes sont des mots que l’on ne peut séparer du message de la Bonne Nouvelle!
Si la dîme n’est plus employée dans le même sens que l’enseignait la loi de Moïse, il n’en demeure pas moins:

- Que nous avons une part active à prendre pour soutenir ceux qui annoncent la Parole de Dieu:

Si nous avons semé parmi vous les biens spirituels, est-ce une grosse affaire si nous moissonnons vos biens temporels. 1 Corinthiens 9: 11

... que nous moissonnions de
vos biens charnels? (Versions Darby et David Martin)
- Que nous avons aussi la responsabilité de répondre à l’appel du Saint-Esprit lorsqu’il nous a touchés afin pour que nous fassions un geste envers une mission ou une oeuvre chrétienne; non pas au travers de sentiments qui font suite à un appel d’argent bien argumenté, mais suite à un temps de prière, afin de savoir si c’est bien dans la volonté de Dieu de répondre à la demande.

- Que nous avons encore le privilège de répondre aux besoins d’un malheureux qui tend la main pour recevoir de quoi calmer son estomac criant famine.

Jette ton pain... sème l’amour de Dieu...!

À la lecture de toutes les bonnes dispositions que nous devrions avoir, plusieurs vont s’insurger contre cet étalage de “pertes” et s’écrieront: “Il faut donc tout donner à Dieu!”

Non! Ne confondons pas le langage des sectes avec celui de notre Père céleste!

Disons plutôt qu’il faut tout mettre à la
disposition d’un Seigneur qui ne désire pas que l’on s’expose à la détresse pour soutenir les malheureux.
Son souhait est que nous gardions une ouverture de coeur qui lui permette d’avoir la liberté de réclamer notre secours (en tant qu’instrument entre ses mains) afin que son nom soit glorifié et que nous montrions que nous sommes ses enfants. Qu’as-tu que tu n’aies reçu? (
1 Corinthiens 4: 7)

Il n’est pas dans l’intention de notre Père de nous prendre avec force ce que n’avons pas voulu lui donner. S’il ne nous contraint pas à abandonner certains traits néfastes de notre vieille nature, quoiqu’il les mette en avant pour que nous les déposions au pied de la croix, comment pourrait-il nous forcer la main pour que nous donnions ce que nous voulons absolument garder en ce qui concerne les choses périssables de ce monde?

Rappelons-nous que
tout ce que le monde renferme appartient à Dieu (Psaume 50: 12) et que, s’il veut nous mettre à contribution, c’est pour notre bien et pour nous garantir une “bouée de sauvetage” pour les jours mauvais.
Ainsi, à notre tour, nous retrouverons le capital déposé à la banque du Ciel, un capital qui nous sera redonné avec intérêt, un capital qui sera pesé avec la balance que nous aurons utilisée pour les autres.
Ne méprisons donc pas les miettes que nous pouvons semer au fil des jours qui passent, les bienfaits que nous pouvons accorder:
un verre d’eau devient une richesse pour celui qui a soif et qui n’a rien pour se l’offrir! Voilà pourquoi:

Quiconque donnera seulement un
verre d'eau froide à l'un de ces petits parce qu'il est mon disciple, je vous le dis en vérité, il ne perdra point sa récompense. Matthieu 10: 42

Que cette période de vacances où plusieurs seront à même de jouir, plus qu’à l’accoutumé, des faveurs de Dieu dans le domaine matériel, ne soit pas une saison qui nous fasse perdre de vue les objectifs que le Seigneur nous avait mis sur le coeur, tant en ce qui concerne nos dons et nos offrandes que le partage de la Parole de Dieu!

En effet, si nous sommes invités à partager les bontés que nous sont accordées pour l’entretien de nos corps périssables, à combien plus forte raison nous est-il demandé d’agir de la même façon en ce qui concerne les richesses spirituelles qui doivent nourrir l’âme immortelle!


2) Le pain de Vie, indispensable pour l’âme

Tout le travail de l'homme est pour sa bouche, et cependant ses désirs ne sont jamais satisfaits. Ecclésiaste 6: 7

Quoique nous mangions à notre faim, le corps réclame toujours les aliments dont il a besoin pour fonctionner correctement. Ce désagrément de la nourriture terrestre (plus souvent agréable que désagréable), ne se rencontre pas avec la nourriture spirituelle offerte par le Seigneur Jésus.

Jésus leur dit: Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif. Jean 6: 35

Il est écrit: L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. Matthieu 4: 4

Alors que nous nous réjouissons de notre salut, de ce salut gratuit qui nous fut accessible parce qu’un jour
quelqu’un s’est approché de nous pour nous annoncer la bonne nouvelle de l’Évangile, comment pourrions-nous rester la bouche fermée envers ceux qui ont été placés sur notre chemin afin qu’ils aient la possibilité de faire un choix semblable au nôtre?

Comme le Maître,
nous avons le devoir de semer encore et toujours la Parole de Dieu, de le faire tant que nous aurons un souffle de vie et que les occasions se présenteront.
Nous sommes tous et toutes des missionnaires chargés d’une mission, celle de faire des disciples de Jésus-Christ!

Hélas! Certains sont terriblement handicapés pour ce travail car ils souffrent d’agueusie aiguë!

Agueusie: Perte complète ou importante de la sensation de goût, souvent accompagnée par des troubles olfactifs. Synonyme: Cécité gustative

Les symptômes de “l’agueusie spirituelle” se manifestent par la perte du goût des choses de Dieu, une perte de goût qui, dans les cas les plus critiques, peut conduire à un état de mort même si les personnes peuvent encore avoir l’apparence de la vie:

Je connais tes oeuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. Apocalypse 3: 1

... la foi sans les oeuvres est morte.
Jacques 2: 26

Cette perte de goût devient catastrophique car elle entraîne avec elle
l’impossibilité de faire la différence entre les diverses saveurs ou amertumes qui pourraient être nuisibles à l’organisme (spirituel).
Voilà pourquoi de nombreux enfants de Dieu ne se rendent plus compte que, dans leur conversation, ils mettent plus en avant les choses qui concernent le monde que celles qui ont un rapport avec le royaume de Dieu;
ils le font sans s'apercevoir qu'ils font de la propagande pour le royaume des ténèbres.

Cette perte du goût de la Parole de Dieu est donc facilement identifiable: elle se manifeste par la grande difficulté ou l'impossibilité à partager les richesses des Saintes Écritures!
Il est effarant de constater qu'il y a de plus en plus de frères et soeurs dans la foi qui, à des degrés divers, sont atteints de cette terrible épidémie qui frappe ceux et celles qui n'ont plus Christ au centre de leur vie.

Comment le pain de Dieu a-t-il pu devenir fade, sans goût pour celui ou celle qui a connu la joie de son salut? Car c’est bien ainsi qu’il est devenu pour tous les enfants de Dieu qui n’ont rien à dire suite à la lecture biblique ou à l’écoute d’une prédication!

Comment la source jaillissante a-t-elle pu se tarir au point que les lèvres restent fermées chaque fois que l’on voudrait partager avec ses “malades” les merveilles de la loi de Dieu?

- Ne plus avoir faim de la Parole de Dieu!
- Ne plus rien avoir à partager avec ses frères et soeurs dans la foi!
- Tout faire pour changer de conversation chaque fois que le sujet de la foi est abordé!

Voilà quelques-uns des symptômes caractéristiques de “l’agueusie spirituelle”!
Il est urgent de prier pour que ces malades recouvrent la santé afin qu’ils soient à même de semer à nouveau la Parole de Dieu pour que leurs proches aient aussi envie de venir à Christ.

Notons que ce n’est pas la Parole de Dieu qui s’est affadie, mais c’est le sens du goût qui a été perturbé soit par une nourriture mondaine trop forte, trop épicée qui a affaibli certaines papilles gustatives, soit par une atrophie du sens du goût occasionnée par un manque chronique de nourriture spirituelle!
Nous avons tous envie de partager les bonnes choses de la table, de faire connaître la saveur d’un nouveau plat, de présenter une seconde fois la nourriture qui a été appréciée, d’évoquer le souvenir des plats des grands-parents ou de quelque autre personne...
Que ce désir soit toujours en nous et particulièrement en ce qui concerne la nourriture spirituelle. Cette attitude démontrera que l’âge n’a pas affecté nos “papilles gustatives”, celles qui sont sensibles à la Parole de Dieu.
Par contre, si nous avons tendance à souffrir de la perte de goût, du désintérêt des échanges concernant la foi, il est temps de profiter de ce temps de vacances pour faire une cure de remise en forme afin que, comme divers auteurs bibliques, nous puissions de nouveau dire:

Je fais mes délices de tes statuts, Je n'oublie point ta parole. Psaume 119: 16

Je fais mes délices de tes commandements. Je les aime.
Psaume 119: 47

J'ai recueilli tes paroles, et je les ai dévorées; Tes paroles ont fait la joie et l'allégresse de mon coeur; Car ton nom est invoqué sur moi...
Jérémie 15: 16

Alors, il ne fera aucun doute que le désir de semer cette Parole divine renaîtra, que le désir de partager une friandise venant du ciel se fera de nouveau sentir, que la bouche parlera d’une abondance du coeur qui fera plaisir à ceux qui sont en marche à la suite du Bon Berger.

Le goût de la Parole de Dieu retrouvé transformera notre vie: les paroles en l’air, les paroles vaines, les discussions stériles, toutes ces particularités d’un monde sans Dieu ne seront plus, fort heureusement, monnaie courante!

Je vous le dis: au jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole vaine qu'ils auront proférée. Matthieu 12: 36

.... les paroles en l'air ne mènent qu'à la disette.
Proverbes 14: 23

Si en temps normal il nous arrive de parler pour ne rien dire, qu’en est-il lorsque l’on n’a plus à coeur de parler du Seigneur?

Que la parole de Christ habite parmi vous abondamment;
instruisez-vous et exhortez-vous les uns les autres en toute sagesse, par des psaumes, par des hymnes, par des cantiques spirituels, chantant à Dieu dans vos coeurs sous l'inspiration de la grâce. Colossiens 3: 16

Puisque nous travaillons avec Dieu, nous vous exhortons à ne pas recevoir la grâce de Dieu en vain. 2 Corinthiens 6: 1

Jette ton pain (spirituel) sur la face des eaux, car tu le trouveras après bien des jours! Tu le retrouveras chaque fois que tu auras besoin d’une parole de consolation ou d’un conseil divin dans une situation particulière.

Sachant que nous sommes ouvriers AVEC Christ, faisons-lui honneur ainsi qu’à son Père en partageant toutes les sortes de pain qu’il a mise à notre disposition, les bénédictions qu’il a répandues sur notre tête.
Pain pour le corps, et pain pour l’âme! Dieu nous les a donnés en quantité suffisante pour que nous puissions exercer la miséricorde; il a tout mis entre nos mains pour nous faciliter l'accès auprès des malheureux afin qu’eux aussi connaissent la voie du salut en Jésus-Christ!

Le fondateur de l’Armée du Salut avait bien compris la nécessité d’associer pain pour le corps et pain pour l’âme dans son désir d’amener les pauvres, les nécessiteux, les abandonnés de notre société de consommation, à la connaissance de l’Évangile.
Que son exemple puisse encore nous parler dans cette période où nous prendrons la liberté de nous offrir des petits plus pour souligner ces temps de repos.

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Le pain de la terre, le nécessaire pour vivre dans ce monde

Si un frère ou une soeur sont nus et manquent de la nourriture de chaque jour, et que l'un d'entre vous leur dise: Allez en paix, chauffez-vous et vous rassasiez! et que vous ne leur donniez pas ce qui est nécessaire au corps, à quoi cela sert-il?
Jacques 2: 15-16

... j'ai (Jésus) eu faim, et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire; j'étais étranger... Matthieu 25: 35
... j'ai
(Jésus) eu faim, et vous ne m'avez pas donné à manger; j'ai eu soif, et vous ne m'avez pas donné à boire... Matthieu 25: 42


Je
(Jésus) vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses (ou n’avez pas fait ces choses) à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous les avez faites (ou ne les avez pas faites). Matthieu 25: 40 (ou 45)

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Le pain de Vie, indispensable pour l’âme

Puis il (Jésus) leur dit: Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Marc 16: 15

.... car
nous ne pouvons pas ne pas parler de ce que nous avons vu et entendu. Actes 4: 20

Qu'ils sont beaux Les pieds de ceux qui annoncent la paix, De ceux qui annoncent de bonnes nouvelles! Romains 10: 15

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... mettez pour chaussure à vos pieds
le zèle que donne l'Évangile de paix.

Éphésiens 6: 15


© J-M Ravé 016 juillet 2005

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