Parce que nous sommes les
descendants de nos pères et mères,
nous portons en nous certaines de leurs
caractéristiques physiques et morales.
Si nous avons pu hériter de quelques traits
de caractère fâcheux, ces derniers ne
doivent surtout pas nous servir d'excuses pour nous
déculpabiliser de nos égarements, de
nos fautes, de la façon de nous conduire que
nous avons héritée de nos parents.
(1 Pierre 1: 18)
Aux yeux de Dieu, la responsabilité
personnelle est toujours de mise, même si
nous subissons la conséquence du
péché d'Adam et d'Eve, un
péché qui a conduit l'ensemble de
leurs descendants à être privé
(momentanément) de la communion avec le
Père céleste.
Point question de trouver la moindre excuse pour
minimiser notre faute (notre
péché) ! Rien, absolument rien
ne nous oblige à pécher
volontairement ! Nous sommes pleinement
responsables de nos actes !
Quant à nos pensées... ! Inutile
de dire qu'elles proviennent de l'endroit le plus
noir, le plus "souillé" de notre être.
Un endroit inaccessible à l'oeil humain, un
endroit où il y a la liberté d'avoir
des débordements qui pourraient être
bien plus coupables que nos actes limités
bien souvent par le "qu'en-dira-t-on".
Le
coeur est tortueux par-dessus tout, et il est
méchant : Qui peut le
connaître ? Jérémie 17:
9
Mais ce qui sort de la bouche vient du coeur, et
c'est ce qui souille l'homme.
Car
c'est du coeur que viennent les mauvaises
pensées, les meurtres, les adultères,
les impudicités, les vols, les faux
témoignages, les calomnies. Matthieu 15: 18-19
Alors que nous sommes dans la période
pascale, il est bon de mettre en avant que l'homme,
quel qu'il soit, est perdu, qu'il est
condamné à l'enfer (pour garder
l'expression populaire) et qu'il ne lui est pas
possible de s'amender par lui-même pour
obtenir les bonnes grâces de Dieu.
Cette condamnation est sans appel ! Il est
impossible de demander au Seigneur de revoir son
jugement pour adoucir la conséquence de nos
péchés ! Impossible de
l'amadouer pour qu'il nous juge avec moins de
sévérité. Déjà,
dans le Ciel, il y eut séparation entre le
bien et le mal dès que le mal fut
perçu dans une des créatures de son
entourage. Lucifer (le porteur de lumière)
fut banni de la présence de Dieu, ainsi que
tous les anges qui ont pris l'initiative de le
suivre plutôt que de rester fidèles au
Seigneur des seigneurs, anges désormais
déchus et réservés pour le feu
éternel. (Matthieu 25: 41)
Il y a donc un ordre qui a été
établi et que personne ne peut renverser, ni
un ange, ni un homme, un ordre basé sur la
sainteté et la justice de
Dieu !
Sa
sainteté par
le fait que ses yeux sont trop purs pour voir le
mal et qu'il demande à ce que ses enfants
marchent dans la même
sainteté :
J'habite
dans les lieux élevés et dans la
sainteté. Esaïe 57: 15
... tu (Moïse) leur diras :
Soyez
saints, car je suis saint, moi,
l'Éternel, votre Dieu. Lévitique 19: 2
Sa
justice par le fait
qu'il est obligé de tenir sa parole, faute
de quoi Dieu serait menteur et ne pourrait plus
être le Dieu de Vérité.
Nos premiers parents ont fait la cruelle
expérience de constater que lorsque le Seigneur dit quelque chose
il l'accomplit !
Que l'on s'en souvienne, non seulement pour la
condamnation du péché,
mais aussi pour le
relèvement de l'homme
déchu, et pour
toutes les
promesses qui sont
à disposition de ceux qui sont passés
de l'enfer au Ciel, des ténèbres
à la Lumière !
Dieu est un Dieu de vérité, autant
pour punir le coupable, que pour tendre la main
à celui qui confesse sa faute, autant pour
garantir la vie éternelle à celui qui
sera fidèle, que pour condamner ceux qui le
méprisent.
La justice de Dieu, justice impartiale, a donc
englobé tous les hommes sous la même
condamnation afin qu'aucun ne prétende
être meilleur que son frère et
revendiquer ainsi un régime de faveur :
Tous et toutes sont coupables !
... tous
ont péché et sont privés de la
gloire de Dieu... Romains 3: 23
Être privé de la gloire de Dieu laisse
sous-entendre une séparation totale et
éternelle d'avec lui (en raison de sa
sainteté). Une séparation qui est le
châtiment suprême, la punition la plus
insupportable qui puisse exister puisqu'elle ne
laisse pas entrevoir le moindre espoir de
bénéficier d'une remise de
peine !
Ce châtiment, consécutif à nos
péchés, ne prendra véritablement effet
qu'à partir du moment où nous aurons
passé la frontière qui nous
sépare du présent de
l'éternité.
En attendant cet instant, toute personne demeure
sous le jugement et la condamnation divine, aucun
ne pouvant prétendre n'avoir jamais
péché !
Si la sainteté de Dieu et sa justice l'ont
conduit à avoir une telle attitude envers le
genre humain, il ne l'a pas pour autant
abandonné car :
Ce temps qui est mis à
la disposition de l'homme est le résultat de l'amour du
Créateur envers sa
créature.
Un temps de grâce pour lui permettre de
prendre conscience de la personnalité de
Dieu.
Un temps de grâce pour qu'il prenne
conscience de l'immense gouffre qui le
sépare de son Créateur.
Un temps de grâce pour qu'il ait la
possibilité de déposer le poids de
ses péchés qui l'accablent, qui
tourmentent sa conscience lorsque cette
dernière est encore accessible à
l'esprit de Dieu.
Un temps de grâce pour qu'il réalise
que l'exécution de sa peine peut être
remise définitivement s'il accepte
simplement que quelqu'un ait payé pour lui
le prix réclamé pour ses fautes.
La
sainteté de
Dieu ne peut cohabiter avec le péché,
sa
justice l'oblige
à le condamner, mais son amour pour l'homme l'a conduit à
offrir à ce dernier la possibilité
d'être racheté par quelqu'un qui a
pris volontairement sa place afin d'effacer l'acte
d'accusation qui le concernait.
Sainteté : État permanent de Dieu et de
ceux qui sont admis dans son entourage
Justice :
Manifestation de Dieu qui fait la différence
entre ce qui est saint et souillé, et qui
agit en fonction de l'état de sa
créature.
Amour :
Qualité exclusive de Dieu (Dieu est amour)
qui lui permet d'associer sa sainteté et sa
justice tout en faisant bénéficier
aux coupables que nous sommes, une grâce qui
n'affecte ni sa sainteté ni sa justice.
Ce quelqu'un, dont nous parlions un peu plus haut,
est bien entendu Jésus !
Il n'a pas hésité un seul instant
à quitter le Ciel pour devenir un homme
semblable à nous (excepté le
péché) afin de s'offrir
lui-même comme une rançon suffisante
pour que la justice de Dieu soit satisfaite
à jamais.
L'oeuvre de Christ en notre faveur a
été telle, que les
péchés de l'humanité
entière ont été portés
par le Fils de Dieu.
S'étant chargé, à notre place,
de tout ce qui pouvait nous séparer de son
Père, ce fut lui, l'innocent, qui fut
écarté du Dieu trois fois saint. Il
le fut tellement qu'au moment où le fardeau
devînt le plus pesant pour
lui, il ne put plus
dire "père" à son propre
Père !
La relation filiale étant rompue à
cause du péché, raison pour laquelle
il ne put que crier :
"Mon
Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu
abandonné ? Marc 15: 34
Un cri déchirant qui, aujourd'hui encore,
nous montre tout ce qu'il y a d'horrible à
être séparé du Seigneur,
à ne plus vivre dans son
intimité.
Un cri qui ne reçut aucune
réponse.
Dieu s'étant détourné de
l'homme pécheur, de l'homme souillé
par son péché (nous), il ne peut faire autrement que de se
détourner aussi de celui qui a pris
VOLONTAIREMENT, sur ses épaules, la masse
immonde de nos fautes, un poids de souillures si
nauséabondes que le Père n'eut aucun
regard de pitié sur le
condamné !
Un condamné qui représente
l'humanité toute entière, afin
d'être, par la suite, un
intermédiaire, le seul intermédiaire
valable entre Dieu et les hommes. Lui, le Parfait,
donnant sa vie sainte pour nous... pour moi...,
pour toi, souillé de la tête aux
pieds !
Un condamné qui ne saurait demander pardon
n'ayant rien à se reprocher !
Un condamné puni pour avoir pris ma place !
(As-tu déjà accepté qu'il ait
pris la tienne ?)
Jésus savait ce
qu'il faisait !
Il savait qu'en voulant payer notre dette il
devrait porter la conséquence de nos
péchés; la conséquence pleine
et entière sans bénéficier de
son rang de Fils de Dieu ! (Pas de
favoritisme !) Il prit sur ses épaules
l'héritage empoisonné d'un monde sous
l'emprise du prince des ténèbres
L'homme n'ayant rien de bon à offrir
à Dieu pour le rachat de son âme,
Christ n'a pu prendre sur lui que l'héritage
de nos premiers parents, notre
péché..., nos péchés et
toutes les conséquences qui s'en
suivent.
Toutes les
conséquences !
Quel que soit l'homme qu'il porte le
péché en lui ou sur lui, il est tenu
par la loi de Dieu de subir la sanction
prononcée dans le Jardin d'Éden avant
que l'homme ne soit tombé dans la
désobéissance.
Pouvons-nous imaginer quelques instants la
pensée de Dieu, de ce Dieu trois fois saint,
à l'instant où Christ a
crié : "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi
m'as-tu abandonné ?” Pouvons-nous
prendre la liberté de lui faire
dire :
"Toi qui étais
saint, toi qui avais marché dans la
pureté, toi qui était agréable
à mes yeux, tu as voulu porter l'impureté des hommes,
tu as
voulu que ta
vie parfaite soit souillée par tous les
péchés de.................... et de
toute la race humaine (n'hésitons pas
à mettre notre nom sur les points de
suspension).
A cause de cela, je suis obligé d'exercer ma
sentence contre toi et de laisser la mort accomplir son
oeuvre. Le
salaire du péché.... c'est la
mort !
Pendant un instant, toute la justice du Fils de
Dieu fut oubliée, toute sa vie droite et
pure fut masquée par nos
péchés. Elle ne put refaire surface
qu'une fois l'exécution de la peine
accomplie : la mort du pécheur...
la mort du porteur de
péché ! La mort du porteur de
MON péché !
Sur ce bois maudit que fut la Croix, j'étais
dans les pensées de Jésus, je faisais
partie de cette foule qu'il connaissait bien avant
la fondation du monde. Oui ! Il pensait
à moi et chacun
de mes péchés le faisait souffrir
bien plus que les clous qui traversaient ses mains
et ses pieds.
Ce ne sont pas les péchés des autres
qui l'ont condamné ! Ce ne sont pas les
Juifs, ni les Romains qui l'ont crucifié,
qui l'ont mis à mort ! Eux-mêmes
n'ont été que les instruments de mon
péché
qui chargeait un peu plus l'acte d'accusation
contre le Fils de Dieu, un acte qui me concernait
personnellement et dont j'aurai dû
répondre !
Chacun de mes péchés lui occasionnait
une souffrance dont je porte l'entière
responsabilité.
Si 2000 ans environ se sont écoulés
depuis ce sanglant sacrifice, je dois être
conscient que je dois encore faire couler des
larmes dans les yeux de mon Sauveur en raison de
divers comportements.
Des attitudes qui montrent que, loin d'être
infiniment reconnaissant envers l'oeuvre qu'il a
accomplie en ma faveur, je suis toujours capable de
vivre sans chercher à l'honorer,
particulièrement lorsque je ne lui permets
plus d'avoir la première place dans ma
vie.
Mon Dieu mon Dieu,
pourquoi m'as-tu abandonné ?
Un cri de désespoir qui fit place, peu de
temps avant que la mort n'accomplisse son forfait,
à un cri de triomphe.
Un cri de triomphe alors qu'une vie allait
s'éteindre ?
Non ! Ce n'était pas le cri de victoire
du diable qui aurait réussi à vaincre
le Fils de Dieu, c'était le cri d'un agneau
immolé, sacrifié pour nos
péchés, un cri de victoire qui
allait, une fois pour toutes permettre aux hommes
d'entrer dans le royaume de Dieu.
Le salut gratuit était
désormais à la portée de tous
ceux et toutes celles qui voudraient bien s'en
saisir.
Et, par dessus ce cri de victoire que nous relate
Jean, un autre évangéliste met en
évidence une autre parole du Christ, un
autre cri :
Jésus s'écria d'une
voix forte : Père, je remets mon esprit
entre tes mains. Et, en disant ces paroles, il
expira. Luc 23: 46
Un cri qui montre que la relation filiale
était retrouvée !
L'humanité allait être sauvée
des conséquences de son péché.
Jésus mourant sur la Croix, portant le
fardeau de nos péchés, accomplissait,
une fois pour toutes la justice de Dieu.
Le péché..., MON péché
était effacé en raison d'un sacrifice
exceptionnel qui satisfaisait la justice
de Dieu tout en préservant sa
sainteté et mettant en avant son
amour infini pour l'homme qu'il avait
créé !
Désormais il ne restait plus au Fils de Dieu
qu'un geste à accomplir, celui de remettre
son esprit entre les mains de son Père. Par
cet acte, il démontra ainsi que Satan ne lui
prenait pas la vie, mais que c'était
lui-même, Jésus, qui l'offrait comme
rançon pour le pardon des
péchés.
Depuis ce jour mémorable qui fut suivi de la
résurrection du Fils de Dieu,
si nous avons
péché et que nous sommes
privés de la gloire de Dieu, ce qui
est toujours la
vérité...,
... il y a maintenant
la possibilité d'être gratuitement
justifiés
(rendus justes) par l'oeuvre de Jésus-Christ
(Romains 3: 24)
Cette
possibilité, n'est qu'une possibilité
et non une loi qui
s'appliquerait d'office à la naissance de
chaque individu.
Chacun DOIT accomplir les formalités d'usage
pour bénéficier du "passeport" qui
permettra l'entrée dans le royaume de
Dieu.
Négliger l'oeuvre de Christ à la
Croix, ne pas prendre en considération
l'amour de Dieu qui offre gratuitement le salut,
conduit immanquablement à rester sous la
colère de Dieu comme si la croix et la
grâce n'avaient jamais été
proposées !
Celui
qui croit au Fils a la vie
éternelle ; celui qui ne croit pas au Fils ne
verra point la vie, mais la colère de Dieu
demeure sur lui. Jean 3: 36
Celui qui
croit en lui ne sera point
condamné ; mais celui qui ne croit
point est déjà
condamné ; parce qu'il n'a point crut
au Nom du Fils unique de Dieu. Jean 3: 18 (Version David Martin)
Précisons bien que
le fait de croire implique bien plus qu'une
adhésion intellectuelle ! Croire
implique un engagement personnel qui
démontre réellement que nous avons
pris la décision de suivre Christ et qu'en
conséquence notre vie ne peut plus
ressembler à celle que nous vivions avant de
le connaître.
En
vérité, en vérité, je
vous le dis, si quelqu'un garde ma parole,
il ne
verra jamais la mort. Jean 8: 51
Étrange parole qui pourrait faire douter les
septiques d'aujourd'hui comme les Juifs du temps de
Jésus qui relevaient qu'Abraham et les
prophètes étaient bel et bien morts.
Étrange parole qui semble contredire les
faits dès que l'on fait un tour dans les
cimetières et que l'on aperçoit les
tombes de chrétiens qui ont pourtant
marché fidèlement dans la
foi !
C'est ignorer qu'il y a mort et mort !
La véritable
mort est celle qui nous sépare de
Dieu, quant à
l'autre, celle qui anéantit le corps
(conséquence de la malédiction du
péché), elle n'est pas
envisagée de la même façon par
le Fils de Dieu :
Il
(Jésus) leur dit : Retirez-vous ;
car la jeune fille n'est pas morte, mais elle
dort. Et ils se moquaient de lui.
Matthieu 9: 24
Après ces paroles, il (Jésus) leur
dit : Lazare, notre ami, dort ; mais je vais le
réveiller. Jean 11: 11
Nous
ne voulons pas, frères, que vous soyez dans
l'ignorance au sujet de ceux qui
dorment, afin que vous ne vous affligiez
pas comme les autres qui n'ont point
d'espérance. 1 Thessaloniciens 4: 13
Par opposition il y a aussi des vivants, ayant
toutes leurs fonctions vitales, qui sont
catalogués comme morts en raison de leur
conduite, et puis...
... il y a aussi ceux qui appartiennent à
Christ et qui, avant d'avoir accepté
Jésus comme Sauveur et Seigneur de leur vie,
étaient considérés comme
morts !
....
celle qui vit dans les plaisirs est morte, quoique
vivante. 1 Timothée 5: 6
Vous
étiez morts par vos offenses et par vos
péchés, dans lesquels vous marchiez
autrefois, selon le train de ce monde...
Nous tous aussi, nous étions de leur
nombre...
Mais Dieu, qui est riche en miséricorde,
à cause du grand amour dont il nous a
aimés,
nous
qui étions morts par nos offenses, nous a
rendus à la vie avec Christ (c'est par
grâce que vous êtes sauvés)...
Éphésiens 2: 1 et
suivants
Ainsi le fait de croire
ce que Dieu dit concernant le rachat de notre
âme, devrait nous pousser à croire aussi ce
qu'il dit concernant la conduite que nous devons
avoir comme enfants de Dieu !
Que doit-on penser de quelqu'un qui prétend
croire ce que Dieu dit et qui refuse
obstinément de se conformer à ses
commandements ?
Que doit penser le Seigneur lorsqu'il en voit
quelques-uns qui font si peu de cas de sa Parole ou
qu'ils restent attachés à tout ce qui
lui déplaît ?
Ces personnes-là sont-elles
réellement passées des
ténèbres à la lumière,
de l'enfer vers le Ciel ?
Ceux qui
me disent : Seigneur, Seigneur !
n'entreront pas tous dans le
royaume des cieux, mais celui-là
seul qui fait la volonté de mon
Père qui est dans les cieux. Matthieu 7: 21
Il y a donc une
volonté à découvrir !
Ne vous
conformez pas au siècle présent, mais
soyez transformés par le renouvellement de
l'intelligence, afin que vous discerniez quelle
est la volonté de Dieu, ce qui est bon,
agréable et parfait. Romains 12:2
C'est
pourquoi ne soyez point sans prudence, mais
comprenez bien quelle est la
volonté du Seigneur. Éphésiens 5:
17
(Version David Martin)
À partir du moment où nous avons fait
le premier pas en
obéissant au
Seigneur qui veut que tous les hommes soient
sauvés, nous sommes tous invités
à poursuivre notre marche dans
l'obéissance et
dans la sanctification.
Rien de telle que de se remémorer les
instants de la crucifixion de notre
bien-aimé Sauveur et... Seigneur (?), pour
réaliser que nous avons, avec son secours,
la possibilité de faire mieux que ce que
nous avons fait jusqu'à présent.
Que la
grâce et la paix vous soient données
de la part de celui qui est, qui était,
ET QUI
VIENT... Apocalypse 1: 4
© J-M
Ravé 31 mars 2006 -
CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse