Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

J'ai entendu ta voix, (l'homme s'adressant à Dieu)

... moi aussi, j'ai entendu, dit l'Éternel. (b)

Je te répondrai si...

Prenez donc garde à la manière dont vous écoutez ; car on donnera à celui qui a, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il croit avoir. Luc 8: 18 (v. L. S)

C'est pourquoi
nous devons d'autant plus nous attacher aux choses que nous avons entendues, de peur que nous ne soyons emportés loin d'elles. Hébreux 2: 1 (v. L. S)

... de peur que nous les laissions écouler. (v. D. M)

Quoique les textes qui viennent d'être cités soient tirés du Nouveau Testament, il n'est pas difficile de les rattacher à la vie de Jérémie dont nous parlons depuis quelques semaines et, bien sûr, d'en faire usage pour notre vie d'enfant de Dieu.

Jérémie, "l'homme qui dévorait les paroles de Dieu" !
J'aime cette expression qui met en valeur son ardent désir de prendre avec avidité ce que l'Éternel dit. J'aime cette image qui nous montre comment nous devons nous tenir devant les saintes Écritures qui sont en notre possession, comment nous devons les aimer, les chérir, les apprécier plus que n'importe quel autre écrit.

En dépit de cet amour pour la Parole de Dieu et pour son auteur qui la distribue largement, il faut convenir que les plus illustres personnages bibliques, ceux qui ont vécu au plus près du Seigneur, ont eu des moments où leur foi a vacillé, où leurs convictions furent ébranlées.

Loin de vouloir justifier nos relâchements par des excuses qui s'appuieraient sur les faiblesses de ceux qui nous ont précédés (ou qui nous entourent), sachons profiter à bon escient de leurs erreurs afin que nous ne tombions pas dans les mêmes pièges. En agissant ainsi nous serons au bénéfice de leurs expériences bonnes et mauvaises et nous pourrons devenir de bons élèves qui auront compris que :

Ces choses leur sont arrivées pour servir d'exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui sommes parvenus à la fin des siècles. 1 Corinthiens 10: 11 (v. L. S)

Jérémie, nous l'avions déjà vu, était un homme qui aimait la Parole de Dieu, un homme qui la désirait ardemment. C'était en quelque sorte son pain quotidien : "Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien" (
Matthieu 6: 11), ardente prière de ceux qui ont faim et soif de la Parole de Dieu, qui s'attende à elle !

"Donne-moi aujourd'hui mon pain quotidien, ce pain qui nourrira mon âme et remplira mon coeur au point que ma bouche ne pourra s'empêcher de parler du Dieu grand et vrai et des oeuvres qu'il accomplit encore aujourd'hui. Donne-moi de ce pain qui me permettra de tenir dans cette journée où il me faudra avancer par la foi ne sachant pas ce que je trouverai sur ma route. Sois pour moi comme le boulanger céleste qui donne gratuitement son pain béni!"

Jérémie avait besoin du pain de la Parole de Dieu autant que nous pouvons en avoir besoin. Il en avait besoin et s'en délectait, mais,
aux vues des circonstances, ô combien difficiles, qu'ils vivaient, en raison du secours qui ne venait pas, ce prophète eut un moment de faiblesse.

Sa foi en Dieu, malmenée par les événements qu'il vivait, commença à vaciller. Jérémie commença à perdre pied et à glisser dangereusement vers le doute.

Des pensées étrangères à son engagement vinrent saper son moral en mettant en avant que sa vie consacrée à Dieu n'était pas exempte de difficultés. Situation compréhensible lorsque l'on sait que le prince des ténèbres ne chôme jamais, mais situation difficile à gérer quand on considère que cette vie consacrée ne bénéficie pas rapidement de la délivrance promise aux fidèles.

Serais-tu pour moi comme une source trompeuse, Comme une eau dont on n'est pas sûr ? Jérémie 15: 18 (v. L. S)

Déjà, auparavant Jérémie s'était interrogé suite à une sécheresse permise par l'Éternel, s'attendant à ce qu'après la confession des péchés qu'il avait faite pour le peuple (nous avons péché contre toi), il y ait un retour à une vie meilleure !

Toi qui es l'espérance d'Israël, Son sauveur au temps de la détresse, Pourquoi serais-tu comme un homme stupéfait, Comme un héros incapable de nous secourir ? Jérémie 14: 8-9

Il est vrai que Dieu n'avait point répondu favorablement. Bien au contraire ! Il retenait la délivrance, il ne permettait pas la bénédiction car il connaissait le coeur des hommes et savait qu'ils n'étaient que des rebelles qui voulaient les bienfaits de Dieu tout en gardant la liberté de vivre loin de lui, la liberté d'en faire à leur tête.
Dieu savait tout cela, mais Jérémie, n'étant que prophète, ne pouvait sonder les coeurs, raison pour laquelle le Seigneur dût le convaincre afin qu'il n'intercède plus en faveur de ses contemporains (
Jérémie 14: 11-12).

Cette évidence admise, il ne pouvait s'empêcher de s'interroger sur ce qu'il vivait personnellement. Pour quelle raison, lui, l'homme de Dieu, celui qui était fidèle à la Parole, restait-il sans délivrance comme les autres ?

" Prenez donc garde à la manière dont vous écoutez..." nous disait l'évangéliste Luc !
Comment écoutons-nous ?
Comme Jérémie, nous pouvons nous nourrir de la Parole de Dieu, attendre impatiemment le moment où elle nous est servie ou bien l'instant privilégié où nous-mêmes nous nous servirons. Nous pouvons passer des heures et des heures à écouter des chants chrétiens, des multiples prédications et néanmoins nous entendre dire qu'il faut
RE-venir au Seigneur !

Un instant les pensées de Jérémie s'étaient égarées !
Les nôtres ne se sont-elles pas égarées à un moment ou un autre ? N'ont-elles pas glissé sur le bas-côté du chemin ? Ne sont-elles pas sorties des rails ? N'avons-nous pas été tentés de jeter quelques principes de foi ou quelques points d'obéissance dans le fossé pour alléger notre marche ?

Comme le prophète, nous nous réjouissons de nous nourrir du "pain de vie", mais aussi, comme lui, nos pensées dévient d'autant plus facilement que
l'épreuve est douloureusement longue et qu'elle semble non motivée en raison de notre vie vécue pour Christ.

Israël péchait
abominablement contre l'Éternel à la face du soleil ! Jérémie péchait simplement en pensée, en émettant un doute sur la droiture de Dieu ! Son coeur s'assombrissait au fur et à mesure que des idées noires prenaient la direction opposée à la foi.

Alors que nous pouvons "manger" la Parole de Dieu, chercher au travers elle, le réconfort pour nos âmes affligées, nous pouvons, par des pensées incompatibles avec ce que nous venons de lire ou d'entendre, pécher contre notre Seigneur et l'obliger à nous dire de
RE-venir à lui !

Recadre tes pensées !
Il est important de revoir ce domaine des pensées. Important d'insister sur la façon dont nous devons gérer celles qui envahissent notre esprit et qui se combattent les unes et les autres.
Le plus grand champ de bataille qu'un homme puisse connaître se trouve en lui ! C'est à lui qu'incombe de prendre des décisions en donnant la victoire au parti qu'il a envie de suivre.
En effet, ce sont elles, nos pensées, qui vont devenir le gouvernail de notre vie en donnant une direction à nos actes.
Pour ne plus tomber dans le piège de l'incertitude (pour ne pas parler du doute), nous devrions faire comme Marie lorsqu'elle a reçu les paroles de l'ange lui annonçant qu'elle serait la mère de notre Seigneur Jésus.

Marie gardait soigneusement toutes ces choses, et les repassait dans son esprit. Luc 2. 19 (v. D. M)

Passons et repassons les promesses de Dieu dans notre coeur ! Un exercice salutaire qui fera barrage aux idées noires tant qu'elles seront le carburant de notre journée.
Un exercice salutaire quoique difficile quand nous sommes en face de montagnes gigantesques ! Difficile parce que nous sommes plus souvent enclins à en mesurer la hauteur, à en calculer la masse, plutôt qu'à nous appuyer sur la Parole du Fils de Dieu.
Ne nous a-t-il pas encouragés à prendre position contre elles pour qu'elles soient précipitées au fond de la mer ?
Puissante image reliée à celle de Michée qui montre que l'Éternel jettera au fond de la mer,
loin de lui et loin des hommes, tous les péchés qui auront été confessés et abandonnés. Image saisissante qui montre la distance qui va nous séparer à tout jamais du péché pardonné et des montagnes qui auront disparus au nom de Jésus.

Tu (l'Éternel) jetteras au fond de la mer tous leurs péchés. Michée 7: 19 (v. L. S)

Je
(Jésus) vous le dis en vérité, si quelqu'un dit à cette montagne : Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et s'il ne doute point en son coeur, mais croit que ce qu'il dit arrive, il le verra s'accomplir. Marc 11: 23 (v. L. S)

Mais voilà... ! Entre la mer et moi il y a cette montagne, il y a la Parole que j'ai entendue, que j'ai lu et il y a mon arbitrage !
Comment l'ai-je entendue ? Comment l'ai-je comprise ? Suis-je toujours fermement accroché à elle ou vais-je lâcher prise et tomber dans le vide ?

Si je lâche prise, si je ne m'accroche plus aux promesses de Dieu, il est certain que ces dernières ne trouvant plus le terrain de la foi, ne pourront pas produire le fruit promis par le Seigneur. Voilà le drame ! Voilà peut-être mon..., ton...., notre drame... !

C'est pourquoi nous devons d'autant plus nous ATTACHER aux choses que nous avons entendues, de peur que nous ne soyons emportés loin d'elles. Hébreux 2: 1 (v. L. S)

Pesons bien la valeur du mot "attacher" ! Attacher c'est être lié ! (Qui nous séparera de l'amour de Christ ? (si nous sommes attachés à LUI !) - Romains 8: 35)

Dieu, du haut des cieux, n'est pas insensible à notre sort ! Nous sommes SES enfants et il a payé le prix fort pour nous adopter. Sachant cela, n'oublions pas qu'il a mis à notre disposition
toutes les armes utiles pour que nous résistions à la pression de notre ancien maître qui ne cesse de nous harceler. Il nous a aussi donné tous les moyens, toute l'instruction nécessaire pour que nous réussissions à passer les épreuves destinées à purifier notre foi.
Face à l'adversité sous toutes ses formes, nous sommes loin d'être désarmés !

Le pas de la foi est le seul pas qui puisse permettre de passer par dessus l'abîme du doute, cet abîme qui donne le vertige dès que l'on regarde en bas et non en haut. La foi, si étroite soit-elle, si petite soit-elle,
(un grain de sénevé - Luc 17: 6 ) (1) est cependant suffisante pour ouvrir un chemin devant quiconque prend Dieu au mot.
Ah cette foi ! Particulièrement forte lorsqu'il n'y point d'épreuve ! Particulièrement malmenée lorsque les yeux de la chair regardent avec horreur l'impossibilité d'entrevoir le moindre secours et que les oreilles n'entendent plus comme avant
la même Parole de Dieu, ne comprennent plus son message !

L'impossibilité ! Montagne gigantesque ! Mastodonte qui écrase tout individu qui se laisse impressionner par son imagination. Une imagination qui se trouve bloquée par son incompréhension des plans et des possibilités du Créateur !

Quand l'Éternel ferait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle ? 2 Rois 7: 2 (v. L. S)

Ils parlèrent contre Dieu, Ils dirent : Dieu pourrait-il dresser une table dans le désert ? Psaume 78: 19 (v. L. S)

Pire que de douter des possibilités infinies de Dieu qui peuvent être limitées en raison de notre attitude, il y a DOUTER DE LA PERSONNALITÉ, des qualités du Seigneur lorsque rien ne se passe comme nous le demandons pour notre vie.
Satan sait si bien s'y prendre pour amener l'homme à réfléchir de la mauvaise façon. Il sait ce qu'il faut mettre en avant pour perturber ses pensées : "Dieu a-t-il réellement dit" ? (
Genèse 3: 1) Dieu serait-il comme une source trompeuse, comme une eau dont on n'est pas sûre ? (Jérémie 15: 18)

Eve n'avait aucune raison d'écouter la voix du serpent ancien, elle vivait dans la paix, dans la tranquillité, tout autour n'était qu'harmonie et bonheur. Par contre, il en était tout autre pour Jérémie confronté à un peuple rebelle et supportant lui-même les conséquences du péché national.

Cet instant d'égarement intérieur de Jérémie fut abrégé par Dieu lui-même. Il l'exhorta à revenir à la réalité de la foi, à revenir sous l'autorité de la Parole de Dieu et à faire les bons choix.

Aujourd'hui encore, l'Esprit de Dieu cherche à ramener dans de bons sentiments ceux et celles qui s'égarent dans leurs pensées, qui ont perdu la paix intérieure (et non leur salut) pour avoir laissé le doute avoir une emprise sur eux.

RE-venir à Dieu et faire les bons choix !

C'est pourquoi ainsi parle l'Éternel : Si tu te rattaches à moi, je te répondrai, et tu te tiendras devant moi ; Si tu sépares ce qui est précieux de ce qui est vil, tu seras comme ma bouche. Jérémie 15: 19 (v. L. S)

Jérémie en était-il donc arrivé à ne plus faire la différence entre le bien et le mal ?
Certainement pas ! Mais, environné d'une populace qui n'aimait pas son rôle de porte-parole de Dieu, de témoin fidèle, souffrant à cause de sa position, n'allait-il pas baisser sa garde ? N'allait-il pas s'octroyer des libertés secondaires pour sympathiser quelque peu avec les adversaires de l'Éternel ?
Un petit compromis par ci, un autre par là.... !
On prétend que ça ne change pas notre engagement avec le Seigneur ! On prétend qu'on l'aime toujours autant.... ! Pourtant ces soi-disant dérapages insignifiants, ces petites entorses à la règle de vie que nous avions "signée" le jour où nous sommes passés des ténèbres à la lumière,
ces "petits riens" à nos yeux sont comme des montagnes himalayennes qui nous cachent la face de Dieu !

La source trompeuse dont parlait Jérémie ne pouvait provenir de Dieu, lui dont les yeux sont trop purs pour voir le mal ! (Habakuk 1: 13). Elle était au milieu du peuple choisi par Dieu d'entre les nations pour glorifier son nom !
Une source attrayante pour ceux et celles qui se sont fatigués de Dieu, qui se sont lassés d'attendre le secours de l'Éternel !
Une source capable d'éclabousser les rachetés qui passent par des épreuves interminables et qui, tout à coup, tendent un peu l'oreille à des pensées négatives qui éloignent insensiblement de la foi, de la Parole de Dieu, de ses enseignements, de ses COMMANDEMENTS !

Si tu sépares ce qui est précieux de ce qui est vil, tu seras comme ma bouche !

Qu'est-ce qui sort de la bouche de Dieu ?
Qu'est qui devrait sortir de notre bouche ?
Entre ces deux questions il y a évidemment ce que nous aurons entendu et
ce que nous aurons retenu de ce que nous avons entendu !

Alors ! Que rapporterons-nous de ce que nous entendons ?
Sommes-nous de fidèles "rapporteurs" au service de Dieu ou sommes-nous des pantins manipulés par le prince des ténèbres qui nous pousse à parler du monde en tirant sur les rênes de notre langue pour nous faire changer de conversation dès que nous entrons dans le domaine de la foi en Jésus-Christ ou de tout ce qui s'y rattache ?

Il va de soi que l'environnement dans lequel nous vivons et plus particulièrement celui dans lequel nous choisissons d'aller, aura un impact plus ou moins important selon notre degré d'engagement avec le Seigneur.
Être comme la bouche de Dieu, c'est annoncer sa Parole sans compromis, le faire contre vents et marées ! En suis-je capable ?
Être comme la bouche de Dieu va d'abord nous obliger à séparer les pensées viles, les pensées de doute pour laisser exclusivement la place à toutes celles qui contribueront à augmenter notre foi, notre confiance en celui qui nous a sauvés.

Être comme la bouche de Dieu va permettre de pouvoir prêcher la Parole, de reprendre, de censurer, d'exhorter nos semblables tout comme Jésus savait le faire !

Si tu sépares ce qui est précieux de ce qui est vil...
Un jour, le bon grain sera séparé de l'ivraie (Matthieu 13: 40), mais en attendant ce jour nous devons apprendre à faire le tri dans nos pensées et ne pas maltraiter la Parole de Dieu pour arranger notre petite vie personnelle ou pour sortir - avant l'heure - du temps d'épreuve.

Séparation !
Un mot qui va à contresens du monde ! Un mot qui doit nous conduire à faire des choix douloureux et encore plus douloureux lorsque l'on sait que si l'on persiste à rester fidèles au Seigneur, nous aurons à souffrir davantage.

Suis-je capable de croire Dieu ? De croire qu'il fera concourir toute chose pour mon bien ? Capable de le croire sans comprendre ! Capable de le croire alors que ma raison hurle qu'il n'y plus de solution !
Ou alors vais-je commencer à mettre un pied dans le camp des douteurs, vais-je mettre le doigt dans un engrenage qui finira par m'emporter loin du Seigneur en qui j'avais placé ma confiance?
Un peu de levain fait lever toute la pâte (
Galates 5:9) ! Un peu de doute et...

Pourquoi ma souffrance est-elle continuelle ? Pourquoi ma plaie est-elle douloureuse, et ne veut-elle pas se guérir ? Serais-tu pour moi comme une source trompeuse, Comme une eau dont on n'est pas sûr ? Jérémie 15: 18 (v. L. S)

Pourquoi ?
Dieu a-t-il vraiment des comptes à me rendre ?
Son silence m'autorise-t-il à le juger, lui, le Juge de toute la Terre, lui qui m'amènera devant son tribunal pour me rendre selon mes oeuvres ?

Qui es-tu pour contester avec Dieu? Le vase d'argile dira-t-il à celui qui l'a formé: Pourquoi m'as-tu fait ainsi? Romains 9: 20 (v. L. S)

Derrière ces "pourquoi" il y a une réponse de Dieu qui met en évidence que nous ne sommes pas là où nous devrions être !
Que nous n'obtiendrons de réponse qu'à partir du moment où nous serons capables d'entendre ce qu'il a à nous dire !

Est-ce que je suis déjà capable d'accepter, sans discuter, les choses simples que la Parole de Dieu me demande de mettre en pratique ? (avec l'aide du Seigneur il va de soi !)

Si tu te rattaches à moi, je te répondrai...
Si tu sépares ce qui est précieux de ce qui est vil...

Que vienne rapidement le jour où comme Job nous puissions avoir la victoire sur nos pensées et dire avec lui, même au sein de la détresse :

Je n'ai pas abandonné les commandements de ses lèvres ;
J'ai fait plier ma volonté aux paroles de sa bouche.
Job 23:12 (v. L. S)


© J-M Ravé 10 mars 2007 -
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