Tu as
aimé la justice, et tu as haï
l'iniquité... Hébreux 1: 9 (v. L. S)
N'aurions-nous pas envie de connaître la
personne à qui fut adressée la
pensée ci-dessus ? Une parole
prononcée par le Dieu qui est l'auteur de
toute la création visible et invisible,
le Dieu qui
connaît les pensées les plus
secrètes de notre
coeur ! "
L'Éternel connaît les
pensées de l'homme... " (Psaume 94: 11) ; "la parole n'est pas sur ma langue,
que déjà, ô
Éternel ! tu la connais
entièrement !" (Psaume 139: 4)
Sachant qu'il sonde chaque recoin de notre coeur,
de nos pensées, ne serait-il pas rassurant
de s'entendre dire ces mêmes paroles le jour
où nous aurons à rendre compte de la
vie que nous aurons menée ici-bas ?
Rassurant parce que le jugement divin ne saurait
être remis en cause vu que son impartialité est garantie
par un jugement exemplaire qui a
démontré qu'il n'y a rien à
craindre de ce Juge,
le Dieu trois fois saint, le Dieu qui ne saurait
mentir, le Dieu que l'on ne pourra JAMAIS
tromper !
Tu es
juste, ô Éternel ! Et tes
jugements sont équitables... Psaume 119:137 (v. L. S)
Cette justice a été
particulièrement mise en avant au travers
d'un jugement mémorable que l'histoire a
gardé.
Nous pourrions tous en ressentir les bienfaits si
nous savions nous approprier les
bénédictions qui découlent de
cette sentence exemplaire consécutive
à un geste
d'amour exceptionnel qui ne pourra plus jamais se
renouveler !
Si la justice sanctionne le coupable sans prendre
en considération la personne mise en
accusation, nous devons admirer et respecter
notre Père
céleste qui n'a pas faibli lorsque son
propre Fils fut "mis en jugement".
Quoique innocent Jésus aurait pu être
libéré de tout acte d'accusation et
ne jamais connaître la mort de la Croix. Mais
il a voulu porter nos péchés !
Mais il a été "fait
péché" pour nous ! Il a pris sur
lui tout ce qui nous séparait de Dieu,
passé, présent et avenir ! IL A
ÉTÉ FAIT
PÉCHÉ !
Il s'est défait volontairement de sa
divinité pour se faire homme parmi les
hommes. Il s'est défait de son innocence
pour devenir ce qu'il y a de plus exécrable
aux yeux de son Père. Aux yeux de
Dieu : il est devenu
péché !
Il l'est devenu volontairement pour toi, pour moi !
En regardant Christ à la Croix, le Dieu
trois fois saint a vu ton péché, a vu
mon péché, il l'a vu et a
déclaré COUPABLE celui qui s'en est
chargé. Coupable pour que j'en sois
déchargé si j'accepte ce transfert et
que je reconnaisse ma responsabilité dans la
mort du Fils de Dieu. "Le châtiment qui nous donne
la paix est tombé sur lui." (Esaïe 53: 5)
Suis-je au bénéfice de cette
paix ?
Celui qui
n'a point connu le
péché, il l'a fait devenir
péché pour nous, afin que nous
devenions en lui justice de Dieu. 2 Corinthiens 5: 21 (v. L. S)
Jésus a perdu
son innocence en
devenant coupable à notre place !
Et nous... :
Nous perdons notre
culpabilité
aux yeux de Dieu dès que nous reconnaissons
l'acte de justice qui nous a délivrés
de la condamnation à venir. (Et que nous
vivions en conséquence, bien
entendu !)
Dieu a
abandonné son Fils à l'instant
où il s'est fait pécheur pour
nous, à
l'instant où il a accepté de porter
sur lui la responsabilité de nos
péchés. C'est ainsi que cela s'est
réellement passé ! "Mon Dieu ! mon
Dieu ! pourquoi m'as-tu abandonné, Et
t'éloignes-tu sans me secourir, sans
écouter mes plaintes ?" (Psaume 22)
Paroles prophétiques qui ont trouvé
leur accomplissement lorsque Jésus-Christ
fut cloué au bois !
"Le
salaire du péché c'est la
mort", nous dit
l'apôtre Paul en Romains 6: 23. Dieu ne pouvant voir le
péché, s'est détourné
de son propre Fils, de son unique Fils, lui qui,
par amour, a consenti à subir
la sanction que nous
méritions tous, que je
méritais et
que tu mérites
peut-être encore si tu n'as pas
accepté que Jésus se soit
substitué à ta place !
Suis-je toujours reconnaissant pour cet acte qui
m'a ouvert la voie du pardon et m'a fait
connaître la grâce et l'amour de
Dieu ?
Depuis que Christ est ressuscité d'entre les
morts, depuis qu'il est assis à la droite de
Dieu (Colossiens 3: 1), l'homme, quel qu'il soit, peut
être mis au bénéfice de l'amour
de Dieu, un amour qui
n'a pas sacrifié la justice, mais UN
AMOUR QUI A ÉLEVÉ LA
JUSTICE à un
niveau tel qu'aucun tribunal, qu'aucun juge
terrestre ne sera en mesure d'égaler cette
justice-là !
En effet, les palais de justice, les cours de
cassations et autres offices où des hommes
sont appelés à être le bras de
Dieu (Romains 13: 5-6) pour
punir le méchant et délivrer
l'innocent, ces lieux
deviennent des endroits où les innocents
tremblent autant que les coupables lorsqu'ils sont
mis en accusation. Ils tremblent parce que de plus
en plus le mot "justice" change de sens selon les
circonstances ou les individus.
Alors que, selon les Écritures (Romains 13: 5-6), le
magistrat est serviteur de Dieu pour
notre bien, force est
de constater que Dieu a de moins en moins de place
dans ces bâtiments où les lois divines
ont été remplacées par des
lois humaines faites par des hommes qui ont
plutôt préféré
écouter la voix du peuple que celle du
Créateur !
Si le Dieu de justice ne régit plus le coeur
et les pensées de ceux et celles qui sont
appelés au "ministère" de juge, si
les lois vont à contresens de
l'éthique, alors il est vrai, que l'innocent
n'a plus qu'à "trembler" devant une justice
qui change "légalement" le mal en bien et le
bien en mal !
Trembler ou bien se soumettre aux nouvelles
législations qui condamnent ce que les
pères appelaient bien, nouvelles lois qui encouragent
à pratiquer et à approuver ce que les
lois d'antan désapprouvaient et
sanctionnaient.
Ce n'est
pas pour une bonne action, c'est pour une
mauvaise, que les magistrats sont à
redouter.
Veux-tu ne pas craindre l'autorité ?
Fais-le bien, et tu auras son approbation.
Romains 13: 3
Faire le bien pour ne pas avoir à redouter
les foudres de la justice des hommes !
Soit ! Mais quelle est la véritable
notion du bien AUJOURD'HUI ?
Hier, le bien avait un certain visage !
Aujourd'hui, son identité ne pourrait plus
être reconnue par ceux qui nous ont
précédés. Elle ne pourrait
même plus être reconnue par les juges
d'antan qui ne s'y retrouveraient plus dans ce
fatras de lois dont certaines en
désapprouvent d'autres ! Un plaisir
pour les avocats !
La définition du bien et du mal ayant
désormais trouvé ses assises sur des
sables mouvants et non sur la Parole de Dieu, du
Dieu éternel en qui il n'y a pas "une ombre
de variation" (Jacques 1: 17), il est compréhensible que
l'innocent d'autrefois s'en vienne à
trembler par crainte de devenir un coupable
aujourd'hui.
Coupable pour avoir gardé la morale, la
façon de penser, la façon de vivre
qu'il tient de ses pères, coupable pour
avoir gardé les enseignements de
l'Écriture !
"C'est
pour une mauvaise action que le magistrat est
à craindre", nous
rappelle l'épître aux Romains, mais la
norme du bien et du mal étant en continuelle
mutation, subissant les courants de pensées
qui régissent un monde soumis au prince des
ténèbres, l'individu, contraint de
vivre dans ce tourbillon, est de plus en plus
déboussolé.
Le malaise de notre
jeunesse, de notre nouvelle civilisation, ne
viendrait-il pas de ce que les frontières du
bien et du mal ont été
déplacées ?
Dieu a
créé toute chose bonne, il les a
placées là où elles devaient
être ! Si un savant fou greffait les
oreilles d'un individu au bout des pieds, ou ses
yeux au bout des doigts, bien vite on enfermerait
un tel homme afin de protéger la population
d'un dément qui n'a plus conscience de ce
qui fait la personnalité de l'homme.
La bonne conscience, qui nous fut donnée par
le Créateur lors de notre naissance, est
continuellement agressée, attaquée de
tout côté, assaillie par des principes
nouveaux qui la perturbent. Malheureusement, dans
ce cas-là, il n'y a personne qui met la
population à l'abri d'un tel
fléau !
Par tous les moyens l'esprit de ce monde cherche
à faire plier à SA volonté,
par la douceur ou par la violence, toute conscience
afin d'uniformiser la façon de se conduire,
de penser.
Tant pis pour les dégâts, tant pis
pour les désordres qui sont
engendrés, tant pis pour les consciences
blessées, handicapées, tant pis pour
les consciences déréglées, il
suffira de quelques lois répressives pour
tenter d'endiguer un mal être qui ne pourra
jamais être contenu de cette
façon.
Dieu a
fait les hommes droits ; mais ils ont
cherché beaucoup de détours.
Eccl. 7: 29 (v. L. S)
Il est intéressant de relever que la Parole
de Dieu a invité tous les croyants, depuis
la nouvelle alliance, depuis la venue de
Jésus-Christ, à ne pas se conformer au siècle
présent !
Ainsi le monde qui est proposé à
chaque
génération est un monde dont la plupart des
structures morales sont à l'opposé de
ce que Dieu demande.
Pour cette raison nous sommes invités
à avoir une intelligence renouvelée,
une intelligence qui nous amène à
avoir une bonne conscience envers...
DIEU, démontrant ainsi que la
grâce qui nous a été faite,
n'aura pas été vaine.
Elle (la
grâce de Dieu) nous enseigne à renoncer
à l'impiété et aux convoitises
mondaines, et à vivre dans le
siècle présent selon la sagesse, la
justice et la
piété... Tite 2: 12 (v. L. S)
Le fait d'avoir déplacé les bornes du
bien et du mal, a donné un essor
considérable à l'injustice et a fait
naître dans bien des coeurs, un sentiment de
frustration que ni l'or, ni l'argent, ni le
bien-être matériel ne peuvent
compenser.
Bien plus que les plaisirs du monde qui sont un
ersatz de bonheur (produit de substitution et de
moindre valeur que l'original) ont pu créer
des paradis artificiels, ces plaisirs-là ne
sauraient masquer le désir du coeur humain
d'étancher sa soif de justice et aussi de
pardon !
La faim et la soif de justice, loin d'être
une anomalie, démontrent au contraire qu'il
reste encore en l'homme une sensibilité qui
le différencie de l'animal. Une faim et une
soif qui promettent le bonheur pour celui qui se
trouve contraint à la disette en raison de
la place qu'a pris "Dame Injustice" !
Heureux ceux qui ont faim et soif
de la justice, car ils seront
rassasiés ! Matthieu 5: 6
Parce que je crois que Dieu ne peut mentir, je me
réjouis par avance de ce "plat" de justice
qui me sera donné, impatient de voir le jour
où le Seigneur jugera bon de me le faire
goûter !
Tu peux y répondre par
l'affirmative sans être contredit par le Juge
suprême pour autant que tu aies
déjà été mis au
bénéfice de la justice divine,
une justice qui a
démontré ta culpabilité et
fait connaître celui qui t'a
délivré de la
condamnation.
Hors de cette juridiction de "haute Justice"
où le bien et
le mal ont gardé leurs frontières
respectives depuis toujours, tu ne pourras jamais avoir faim et
soif de la justice car, étant encore
considéré comme injuste pour n'avoir
point été pardonné de tes
péchés, tu te trouverais encore sur
le banc des accusés.
Si la justice et l'injustice peuvent
fréquenter les mêmes lieux, elles ne
devraient jamais s'asseoir l'une à
côté de l'autre ; elle devrait se
regarder comme des ennemis qui se font face et non
comme des larrons en foire qui vont s'acoquiner
pour prendre des décisions qui n'ont plus
rien à voir avec la... JUSTICE !
Oui ! "Dame injustice" sait jouer des coudes
et bénéficier de la complicité
de tous ceux et toutes celles qui sont sous la
puissance du prince des ténèbres.
Elle sait si bien présenter des arguments
qu'il lui arrive d'avoir gain de cause en faisant
innocenter des coupables et condamner des
innocents !
Associée avec des défenseurs dont
certains ont le triste comportement d' "avocat du
diable" en défendant avec excès le
coupable pour le faire passer comme victime des
circonstances et en accusant l'innocent comme
quelqu'un qui n'est pas aussi net qu'il le
prétend, Dame injustice a beau jeu et peut
se frotter les mains de plaisir, son avenir est
assuré pour longtemps encore!
Dans ce monde où Dieu n'a plus grand chose
à dire, surtout en ce qui concerne la morale
et la justice, il n'en demeure pas moins que
la Justice divine est
restée ce qu'elle
était et
qu'à tout moment elle peut se manifester
contre ceux qui bravent le droit et la
justice !
De toute façon, c'est elle qui, au jour du
Jugement, sanctionnera, SANS APPEL, tous ceux et
toutes celles qui auront fait "ami-ami" avec "Dame
Injustice".
Tu as
aimé la justice, et tu as haï
l'iniquité... Hébreux 1: 9 (v. L. S)
Ce témoignage rendu au Fils de Dieu nous
invite à aimer la justice, à faire en
sorte que nous la pratiquions et que nous la
défendions indépendamment de notre
situation.
Éternel !
conduis-moi dans ta
justice, à cause de mes
ennemis, Aplanis ta voie sous mes pas.
Psaume 5: 9 (v. L. S)
Il me
conduit dans les sentiers de la
justice, A cause de son nom. Psaume 23 (v. L. S)
Ce désir intense de la justice (Heureux ceux qui ont
faim et soif de la justice), s'il est produit par l'Esprit de
Dieu qui habite en nous, va permettre au Seigneur
de nous conduire dans des chemins où nous
trouverons la paix. Une paix que le monde ne pourra
pas comprendre. Une paix qui s'opposera à
l'esprit de ce monde qui voudrait bien que le
désir de vengeance nous ronge au point de
nous pousser à commettre
l'irréparable.
La vengeance n'appartient pas à l'enfant de
Dieu, elle appartient à son Père
céleste : "A moi la vengeance, dit le
Seigneur !"
(Romains 12: 19)
Il est bon d'insister sur ce point particulier car
Dieu est le seul qui puisse agir contre l'injustice
sans en subir les
conséquences.
Il est Dieu ! C'est lui qui a établi
les bases de la justice et personne ne pourra les
lui faire changer !
Dieu
renverserait-il le droit ? Le Tout-Puissant
renverserait-il la justice ? Job 8: 3 (v. L. S)
La persévérance à chercher le
bien, voilà ce qu'il nous est
demandé !
La
persévérance à chercher le
bien lorsque le mal nous environne ou nous
frappe, la
persévérance à aspirer
à la justice, à crier à Dieu
contre l'injustice ne
pourra jamais laisser le coeur de notre Père
céleste insensible.
N'ayons donc jamais
crainte de dénoncer l'injustice, cela fait
partie intégrante de notre vocation à
mettre en valeur le bien !
Faisons notre part,
Dieu fera la sienne !
Tu
seras affermie par la justice ; Bannis
l'inquiétude, car tu n'as rien à
craindre, Et la frayeur, car elle n'approchera pas
de toi...
... Toute arme forgée contre toi sera
sans
effet ;
Et
toute langue qui s'élèvera en justice
contre toi, TU LA CONDAMNERAS.
Tel est l'héritage des serviteurs de
l'Éternel, Tel est le salut qui leur viendra
de moi, Dit l'Éternel. Esaïe 54: 14-17 (v. L. S)
Quoique les apparences soient souvent trompeuses,
celui qui est victime de l'injustice n'est pas
oublié de Dieu ! Même si la
reconnaissance de ses droits tarde à venir,
même s'il a l'impression que l'adversaire
fait tout pour l'enfoncer davantage, Dieu
agira !
Non ! Dieu n'agira pas !
Il agit
déjà maintenant envers les récalcitrants, les
"semeurs d'injustice" qui travaillent dans l'ombre
pour fabriquer des "armes" afin de tourmenter ceux
et celles qui veulent rester attachés aux
commandements de Dieu.
... j'ai
(l'Éternel) créé
aussi le destructeur pour la briser (l'arme qui a été
fabriquée.) Esaïe 54: 16 (v. L. S)
Cette pensée ne fait-elle pas écho
à ce texte impressionnant qui garantit que
Dieu rendra l'affliction à ceux qui nous
affligent ? "... il est de la justice de Dieu de
rendre l'affliction à ceux qui vous
affligent... "
(2 Thessaloniciens 1: 6)
Est-ce que je suis capable d'avoir foi dans la
Parole de Dieu ? Est-ce que je suis capable de
croire qu'à l'instant même Dieu agit
en ma faveur si je suis victime de l'injustice
même si je n'en vois par encore les
effets ?
L'Éternel aime la justice,
Et il
n'abandonne pas ses fidèles ; Ils sont
TOUJOURS sous sa
garde,
Mais la postérité des méchants
est retranchée. Psaume 37:28 (v. L. S)
Sanction terrible que celle qui est sur la
tête des méchants, des injustes, de
ceux qui pratiquent l'iniquité !
Sanction qui nous pousse à intercéder
en leur faveur avec insistance afin que ne
s'abattent pas sur eux et sur leur famille les
conséquences de leurs
péchés !
La justice est toujours aimable ! Elle
mérite d'être aimée et
d'être poursuivie. Elle porte des fruits dont
personne n'a à rougir. N'ayons pas peur de
l'aimer, elle saura bien nous le rendre !
Ayez le mal en horreur ; ATTACHEZ-VOUS
FORTEMENT AU BIEN ! Romains 12: 9 (v. L. S)
Ayez en horreur le mal, vous tenant collés
au bien. (v. D. M.)
Fais-moi justice de ma partie
adverse ! La
supplication, le cri d'une femme face à un
juge inique. (Luc 18: 3)
Fais-moi justice de ma partie
adverse !
La supplication et le
cri de ceux qui souffrent l'injustice !
(année 2006 et....)
Un cri à l'attention des juges, serviteurs
de l'Éternel qui sont mandatés pour
exercer la justice !
Un cri qui s'adresse
à l'homme de loi qui, s'il ne veut pas agir,
deviendra alors un
cri, une prière qui s'adressera à
Dieu :
Rends-moi justice, ô
Éternel ! Selon mon droit et selon mon
innocence ! Psaume 7: 9 (v. L. S)
Rends-moi justice,
Éternel ! car je marche dans
l'intégrité, Je me confie en
l'Éternel, je ne chancelle pas. Psaume 26:1 (v. L. S)
(Ne l'oublie pas Seigneur!
Ne l'oublie pas mon frère, ma soeur! Que je
ne l'oublie JAMAIS! La justice et
l'équité sont la base de ton
trône, O Éternel!)
© J-M
Ravé 9 décembre 2006 -
CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse